Histoire Erotique

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Élise I - Au comptoir

Après difficultés et événements éprouvants, il est bien de tout laisser un peu de côté et partir pour faire le point. Le récit d'une rencontre aussi inattendue qu'enivrante. Ces prochains jours promettent d'être inoubliables.

Proposée le 29/10/2025 par Nuits_Ardentes

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Après une longue dépression et des déboires professionnels, je devais me changer les idées. La situation s’était enfin stabilisée mais j’en étais épuisé. Je partais donc quelques jours ailleurs. Les rails m’amenèrent dans une ville où j’avais décidé de déambuler attendant la belle occasion de prendre quelques clichés. La beauté d’un chemin arboré, le détail d’un bâtiment majestueux joliment décoré, de belles perspectives sur une ville vivante, un point de vue imprenable sur cette vie trépidante, quelques fous-rires au sein d’un groupe d’amis, une scène montrant des visages à l’expression agréable et spontanée, deux amoureux partageant une tendresse touchante. Je ne savais encore ce que j’allais y trouver.


J’ai loué pour quelques jours une chambre d’hôtel dans le centre, pour me ressourcer, trouver un peu la paix après refus, silences et indélicatesses. Le train arriva assez tard dans l’après-midi après 5 heures de trajet. Un bien beau paysage il est vrai mais j’étais tout de même un peu fatigué. J’ai rapidement parcouru le quartier central voyant ce qui pourrait être intéressant sous un soleil du matin. J’aime beaucoup me lever tôt. Je ne me lève que rarement tard dans la matinée.


Après ce parc, ces allées joliment végétalisées, cette trentaine d’avenues, rues et ruelles pavées, ces places vivantes et animées, je finis par tomber sur l’hôtel, un tout petit peu à l’extérieur de l’hyper centre, où j’avais réservé une chambre. Rien à dire, il était comme sur les photos promotionnelles, et même mieux. C’est un photographe qui le dit.


Ma chambre, sur la façade opposée donnait sur l’extérieur de la ville. Je me présente à la réception. La réceptionniste retrouve immédiatement la référence de ma réservation et m’indique que je suis presque tout en haut, au 8e étage. Je ne me rendais pas compte qu’un immeuble pouvait être si haut dans cette ville.
-Vous pouvez prendre l’ascenseur si vous le souhaitez.
-Merci.
-Bonne soirée à vous, me fit-elle avec un sourire professionnel non moins chaleureux.


Je monte par l’ascenseur et entre. Déposant mes affaires sur le lit, je regarde la salle de bain attenante. Sympathique. Une douche à l’italienne, un grand lavabo et dessus, un grand miroir en triptyque. De ma chambre, je me dirige vers le balcon, assez grand avec une vue grandiose côté extérieur de la ville, menant très vite à la campagne. Je regardais inlassablement le paysage. Cette immensité calme était superbe mais dans l’immédiat, je me suis dit qu’il serait bien de profiter de la vie trépidante en ville pour le moment. Je ferme la porte de ma chambre, descends les escaliers 2 par 2, me retrouve vite en bas. Sur le chemin, j’avais vu un grand bar, très vivant. Je devrais y aller.


J’arrive, les tables sont prises par des couples. Une chaise haute se libère à mon arrivée ; un alignement des astres. Je m’empresse de m’en saisir. Pff, encore inutile, j’étais le seul à courir dessus. Je commande un verre de rosé. Je ne sais si c’est la fatigue ou l’alcool mais ma tête tourne un instant. Je tiens pourtant bien l’alcool.


Épuisé, je m’effondre presque sur le zinc. Une jeune femme blonde, certainement un peu plus jeune que moi semblait m’avoir vu.
« Vous allez bien ? »
Je me redresse brusquement surpris et honteux d’être pris pour un alcoolique.
« Euh oui euh… ça va, ne vous inquiétez pas ».
Je ne m’en étais pas rendu compte mais un siège s’était libéré à côté de moi. Je l’invite à s’asseoir à côté de moi pour lui payer un verre, touché qu’elle se soit inquiétée de moi. Franchement quelle honte, je ne le méritais pas. Allez, essaie donc de faire ressortir cette spontanéité, ce côté humoristique et solaire que tu as. La seule chose qui peut te sauver.
-Venez, asseyez-vous. Je vous offre un verre. Enfin, si vous avez envie de vous poser.
-Ah, merci.
-Je ne vous force pas hein ?
-Ah non pas du tout. Vous savez, je vous ai vu près de la cathédrale tout à l’heure, c’est un sac d’appareil photo que vous aviez avec vous.
-Ah, oui c’était ça. J’essaie de voir ce que ça donne ce petit quartier pour quelques clichés.
Le barman la regarde.
« Un Bailey’s s’il vous plaît ». Elle se retourne vers moi.
-Bah alors qu’est-ce qui vous arrive, c’est épuisant les photos ? Me fait-elle un sourire aux lèvres ; cette phrase soudain si avenante.
« Ah non, euh, j’ai fait un long trajet et j’ai eu quelques jours fatigants avant, fais-je à moitié endormi. Mais décidément quelle honte de balbutier autant.
-Si vous voulez, je viens de retrouver un travail. Cela a bien failli ne jamais arriver mais enfin je me pose pour marcher, un peu comme ça, sans but et exercer mon œil. J’adore ça la photo, ça fait partie des choses qui me maintiennent dans ce monde. Et vous, vous êtes là pour quoi ?
-Moi ? Je suis de passage ici, je vais aller voir des amis quelque jours mais j’en profite pour visiter la région et apparemment cette ville est sympa. Vous me le direz, Monsieur le photographe ».
Je ne sais que dire mais elle avait ce petit quelque chose d’adorable dans son franc parler soudain qui s’efface l’instant d’après dans un sourire gêné ; son sourire communicatif ; et allez, disons le, de terriblement sexy. Maintenant que j’ai les yeux assez clairs pour voir distinctement, elle portait une robe brune aux contours beige, assez moulante et épaisse, il ne faisait pas le froid du siècle mais ce n’était pas le plein été non plus et il était tard. Et pour la première fois, je discerne une formidable poitrine dont le bout des mamelons dépassent lorsqu’elle se penche vers moi. Mon cœur me le fait sentir.


J’essaie de me tourner d’un quart de tour sur ma chaise haute mais, dans ce bar plein, l’espace est réduit. « Oh pardon, je suis désolé, je ne t’ai pas fait mal ? » Tout rouge de l’avoir tutoyé j’allais partir pour me liquéfier en excuses quand elle me dit : « Ah, je me demanderais quand est-ce que l’on allait se tutoyer. J’osais pas non plus. Pourtant, bon, au point où on en est ». Je suis soulagé et me mets à sourire bêtement. Tout faux espèce de nigaud.


« Moi aussi du coup, je suis en ville pour quelques jours, reprend-t-elle.
-Ah, où as-tu réservé ?
-À l’Hôtel des Loges.
-Ah, cela tombe bien moi aussi ».
Nos chambre n’étaient donc pas très loin. Elle avait en fait réservé au 5e étage de l’hôtel mais, sur la façade côté ville.
Je lui demande ce qu’elle comptait faire ici en ville précisément, comme pour relancer la discussion. Elle reste évasive et mystérieuse. Cela ne nous empêche pas de discuter au moins une bonne demie-heure.
Elle doit soudain aller aux toilettes.
« Je vais aux toilettes. Tu peux garder mon sac ?
-Je te garde ça, vas-y ».
Enlevant son tout petit sac en bandoulière de son épaule. Elle le pose sur sa chaise. Je vois, par la fermeture éclair du sac encore ouverte, une partie de sa carte d’identité. Elle s’appelait Élise. Quand elle revient des toilettes, je lui sors avec un petit rire : « Alors qu’est-ce que tu veux boire cette fois Élise » ?
Elle fait un sourire étonné et aussitôt regarde son sac. Elle souffle, souriante.
« Ah, d’accord. Euh, bah oui c’est moi.
-Alors, fais-je d’un sourire amusé.
-Ben voyons, quel cocktail je pourrais prendre ? Un Mojito allez.
-Très bien ! Oh et puis moi… une chartreuse verte. Ma préférée ». Fronçant les sourcils sur la carte affichée au mur.


Timide, elle remet la suite de notre discussion sur moi.
« Tu photographies quoi en général ?
-Oh en général je fais un peu de tout. Des fois, ce sont des paysages de nature qui m’inspirent mais j’aime bien depuis peu prendre des instants uniques en ville, parmi la foule éparpillée aux quatre coins. Mais ça m’arrive régulièrement des faire des collaborations avec des modèles. Ce sont des moments d’échange très sympa. Pleins de créativité, c’est toujours unique. Je rajoute le set sur mon site avec leur accord en quand elles en ont un, elles le font aussi. Voilà quoi. Je vais pas t’assommer avec le reste ».
Je me rends compte qu’elle m’écoutait religieusement.
« Ah mais j’aime bien t’entendre parler de ça.
-Ah ouf. D’ailleurs si tu veux quelques photos. Tu me dis.
-Ah pourquoi, je ne suis pas très à l’aise devant l’appareil.
-Oh ça ça vient naturellement et parfois on peut s’étonner soi-même de ce que l’on est capable de faire derrière un objectif. Tu as déjà un très beau sourire. Il y a de quoi faire beaucoup avec ça déjà ».
Ces mots la font sourire justement. Je le vois à ses lèvres pendant qu’elle boit à la paille sa boisson que le serveur venait de lui servir.
Elle s’intéresse à ce que je fais et multiplie ses questions auxquelles je m’empresse de répondre avec le plus de justesse sans en faire des tonnes. Le temps a passé. Une complicité s’était installée entre nous malgré cette timidité.


« Tu pourrais me montrer ta chambre ? Je voudrais bien voir la vue de l’autre côté.
-Ah, si tu veux.
-J’irai à ma chambre après. Voir si on a essayé de m’appeler. Je n’ai pas pris mon téléphone, je l’ai laissé charger.
-Bah ok, très bien ».
Pour se lever de sa chaise haute, elle met sa main sur ma jambe. De même je lui prends la main qu’elle me tend pour sortir de la mienne. Nos regards se croisent.


Nous quittons le bar. L’air se rafraîchit mais quelques courants chauds nous traversent. L’hôtel était à deux rues d’ici. Les ruelles étaient tout de même bien éclairées. La place avec le bar, maintenant derrière nous arborait ses couleurs si chaleureuses. Chatoyantes par quelques lumières vives venant de l’éclairage extérieur et des pistes de danse, et tamisées par quelques bars et cafés plus intimistes.


Nous rentrons dans l’hôtel et montons d’abord dans ma chambre. Elle regarde ma chambre, savoir ce que c’est ce qu’être de l’autre côté. Elle s’attarda sur le balcon.
« Sympa la vue d’ici.
-Haha. T’as vu ? ».
Elle s’adosse à la rambarde ; sublimement cambrée. Ses cuisses charnues illuminées par les toutes dernières lueurs du jour. Elle ajuste à nouveau son décolleté. Puis fait le tour du balcon profitant au mieux de la vue. Je fais de même mais dans le salon pour cet autre splendide point de vue qu’elle m’arbore.


Elle revient vers la chambre puis la salle de bain attenante. Je préparais mes affaires pour me changer de cette journée. Il me fallait pourtant régler une dernière chose.
« Je dois passer un appel. C’est professionnel on va dire.
-Pas de souci. Je vais aller me changer. On se retrouve pour manger ?
-On verra si j’ai fini, j’espère que ça ne sera pas trop long ».
Elle part pour sa chambre et revient au bout d’une vingtaine de minutes après une toilette et quelques coquetteries. Elle se change un peu et rajoute un parfum. Un parfum que j’adore. Discret mais très évocateur. Discret de loin mais prenant et enivrant lorsque l’on frôle sa peau.
Elle est revenue pour savoir si j’avais fini de me préparer.
Je lui ouvre rapidement afin qu’elle ne pense pas que je suis déjà descendu. Je n’aime pas crier. Je n’hurle qu’intérieurement, en silence. Mais je n’avais eu le temps de boutonner mon pantalon. Au moins il était mis jusqu’en haut.


Elle regarde donc cette grave imprécision vestimentaire. Je m’empresse de le boutonner.
« Attend désolé, je mets ça vite. Je me suis dépêché pour éviter que tu ne descendes ».
Je me retourne et me dirige vers la salle pour les derniers préparatifs. Je boucle ma ceinture, mets un gilet à manche longue par-dessus ma chemise, et me parfume un peu. Je fais le tour de mon porte-monnaie et de ma sacoche de ceinture tout y était. Elle m’attendait sur le balcon.


Alors que je m’assurais d’avoir correctement boutonné ma chemise, elle revient me voir et m’attrape l’épaule. J’essayais de décrypter son regard et, me retournant vers elle, j’ose lui caresser le cou puis le mordiller. Son souffle se fait plus intense. Elle se retourne et se pose contre moi, son dos contre mon torse et lève la tête pour me regarder. Je pose mes mains sur ses épaules puis les croise autour de sa poitrine. Avant que je ne les retire de peur, elle tourne à nouveau sa tête, met ses bras autour de mon cou et m’embrasse tendrement. Puis rapidement avec plus de ferveur. Je bouge mes bras et maintiens une tendre pression sur ses seins. Ils sont splendides, un peau si douce. Et ces mamelons à peine dévoilés qui m’avaient fait tourner la tête m’apparaissent d’autant mieux. Je malaxe sa poitrine avec entrain, calmant mes mouvements avec des petites pincées sur ses tétons. Ses magnifiques seins désormais négligés et tombant du décolleté de sa robe. Cette vue me provoque une excitation presque incontrôlable. J’alterne mes mouvements. Je les caresse puis les prends à pleine main, la serrant toujours plus contre moi. J’avoue avoir une érection que j’ai rarement eue. Elle le sent et s’en amuse sans rien dire. Mon sexe décidément extrêmement dur et serré dans mon pantalon ne faisait que me trahir. Elle le touche de sa main à travers mon pantalon. Je la laisse espérant secrètement qu’à l’avenir elle ne s’arrête pas là. Alors que si pudique par nature, je sentais cette envie de tout lui abandonner. Elle s’amuse avec mon sexe, prenant ce qu’elle peut à pleine main malgré les vêtements.
« Tu me donnes terriblement envie de toi, me fit-elle à voix basse dans un soupir.
-Toi aussi tu me donnes envie de toi. Tu es déjà tellement délicieuse.
-J’ai envie de passer un bon moment. J’ai envie de jouer ».


Je me retourne vers elle, l’agrippe par la taille pour l’embrasser de plus belle. Elle se cambre et reculant, s’appuie contre la rambarde du balcon. Elle passe sa main dans sa longue chevelure et de l’autre prend ma main pour la mettre à l’intérieur de ses cuisses. Je commence à sérieusement transpirer d’avoir ma main sur cette cuisse splendide, cette chair si tendre.
« Si tu remontes, cela risque d’être un peu humide », me dit-elle à voix basse dans l’oreille.
Je m’exécute instantanément sur ce conseil. En remontant, je constate qu’il fait plus chaud et finis par arriver sur sa culotte de laquelle, je sens parfaitement ses lèvres enflées de plaisir. Je passe alors ma main dedans pour titiller cette vulve que je devine divine et commence à caresser ses grandes lèvres. L’intérieur était déjà trempé. Je m’attarde sur son clitoris. Mes doigts jonglant avec. Je retire le capuchon de mon pouce et mon index et tourne la petite perle de mes 2 doigts. Je tire puis appuie dessus, sans relâche. Sa vulve suintait davantage
« Mmmmmmmmmmm. J’aime beaucoup. Oh continue ».
Je le pince alors entre mon pouce et mon index, ne pouvant m’empêcher de rapprocher mon corps du sien. Mais le meilleur devait encore advenir. Elle se tenait fermement d’une main à la rambarde, comme un peu raidie, l’autre main négligemment dans le vide.
Je continuais sans hésitation à attaquer cette petite bille de plaisir de tous les angles possibles, entre caresse et pincée. Encouragé par ses petits gémissements, j’introduis 2 doigts dans son vagin déjà tout trempé. Mon sexe se raidit encore davantage, tant qu’il me fait mal.
J’y tourne mes doigts, caresse avec délicatesse la face antérieure puis supérieure. Ils s’amusent dans cette cavité si brûlante avec des mouvements d’aller-retour. Je m’arrête alors sur une petite zone plus rugueuse, y pose un doigt franc et commence de sérieux mouvements de va-et-viens. Variant les plaisirs, je pose un doigt tantôt plus ferme, tantôt plus effleurant et caresse le tout lentement, puis plus frénétiquement. Elle pousse un gémissement plus intense.
« Oh c’est divin, continue. Fais-moi jouir ! » ne pouvant plus être à vois basse.
Je ralentis et pose toute ma phalange dessus, entraînant ce mystérieux point de plaisir avec. J’y mets plus d’intensité et reprends mes 2 doigts pour faire ce mouvement dans tout son vagin.
« C’est si bon. T’arrête pas. Je vais jouir ! ».
Sa respiration se fait plus qu’audible. Elle gémit sans relâche.
Je continue ce jeu de mes deux doigts. Des gouttes suintent puis coulent toujours plus abondante de sa vulve. Alors je sors le bouquet final en mordillant son cou. Ses cuisses sont maintenant pleines de ce nectar que je m’amuse à récolter de mon autre main puis avec ma langue.
« Tu m’as rendue folle ! ».


Cela ne méritait pourtant pas un pause. Juste une petite inversion des rôles. Elle agrippe mon sexe mais cette fois baisse légèrement le pantalon et le caleçon. Et passant sa main, le caresse. Oh qu’elle savait y faire. Elle appuyait précisément où elle fallait pour m’éveiller peu à peu un orgasme prostatique. Face à moi. Elle m’embrassait le cou, la bouche puis remonte sa main pour me masturber. Avec grand savoir-faire, elle agrippe la peau autour de mon gland et effectue un beau mouvement là-aussi de va-et-viens. Ferme et lent. J’aimais ça déjà terriblement. Tout en effectuant ce mouvement de bas en haut, elle serre et desserre les doigts un par un.
« Élise, tu es incroyable ! ».
Elle me prit alors plus franchement et accéléra le mouvement tout en appuyant de son autre main sur mon périnée. Elle continua quelques longues minutes. Je sentais que ça allait venir.
« Oh Élise, c’est dingue, je vais ... ». Elle ralentit le rythme.
Reprenant mes esprits, je remets mon pantalon. Elle mit ses doigts contre ses lèvres, poussant la coquinerie.
Je la soulève, la porte et l’amène vers le lit. Je l’allonge délicatement et me mets sur elle, l’embrassant. Je retire sa culotte. Nous enlevons vite nos chaussures et chaussettes, excités comme 2 adolescents, et alors que je suis encore debout, elle baisse cette fois complètement tout mon bas.


Mon cœur me fait mal tellement qu’il bat fort. Mon pénis toujours très raide.
« Continuons de jouer. J’en ai tellement envie.
-J’attends que ça ».
Au-dessus d’elle, je relève sa robe et caresse ses cuisses ainsi que ses hanches. Je passe un nez puis ma bouche sur ses seins. Jamais je ne les ai oubliés. J’en ressors un et tente de l’englober d’une main en laissant un trou pour lécher son mamelon. Je le prends d’une langue large, en fais le tour, dans un sens puis dans l’autre. Je serre entre mes lèvres puis entre mes dents son téton, tout dur et excité. Je le tire puis le lâche d’un coup et recommence inlassablement. Qu’il était magique. J’étais honoré de voir qu’elle aimait cela. Elle ferme les yeux, se mordille les lèvres et continue de pousser ses gémissements.
« Continue. Oh. Ahmmm ! ».
C’est maintenant tout son corps que je caresse, auquel je tente d’accéder derrière la robe : son cou, la naissance des ses seins, sa taille, ses petites poignées d’amour. Déposant une ligne de baisers depuis le nombril jusqu’à son pubis.
« J’aimerais beaucoup... ». Elle agrippa mon sexe, comprenant ce que j’avais voulu demander avec hésitation.


Je viens en elle lentement, tendrement, ses parois achevant de s’ouvrir sur le passage. Je la pénètre jusqu’à la garde. Se sentant visiblement pleine, elle poussa un bon gémissement, presque un petit cri.
« Oh que c’est bien ça ».
Me sentant complimenté sur ma virilité. Je m’applique à correctement lui redonner de belles sensations. Je me retire un peu et tape à doucement à nouveau dans le fond. Je mets ma main derrière son cou comme pour la rapprocher de moi.
« C’est si bon ! Vas-y. Donne-tout ! ».
Je la pilonne gentiment. Jusqu’à son col. Les draps se mouillent à vue d’œil. Je ne cesse de la pénétrer en lui mordillant le cou.
« Oh continue ! Continue ! ». Je sentais des profondes sensations monter. Je ralentis légèrement. Nos respirations se transformaient en gémissements.
Voulant prendre les devants, elle s’assied sur moi face à moi. Cette position me faisait la pénétrer encore plus franchement. Elle bougea légèrement et s’inclina vers l’arrière pour trouver peu à peu un angle parfait. Mon sexe épousant à merveille ses zones de plaisir. Elle s’empala sur moi de plus belle, répétant ce mouvement avec ivresse. Ses seins bondissant devant mes yeux ; ses lèvres vaginales englobant mon pénis m’offraient une vue des plus excitantes. Je fermais les yeux ressentant encore mieux. Elle faisait de même. Gémissant de plus en plus fort, sans relâche.
« Oh t’es tellement bien ! Ta bite est tellement génial ! Oh putain tu me rends dingue ! ».
J’avais envie de tout donner. De jouir tout ce que je pouvais. Mais j’avais encore plus envie de la voir se déhancher et gémir de plaisir. Son orgasme monte. Elle lâche un petit râle de plaisir avant de ralentir « Aaaaaah !! Ah oui !!! ». Sa respiration ralentit. Elle se met à m’embrasser à nouveau pour retrouver son souffle.


Au bout de quelques minutes, nous changeons de position. Et elle m’offre son dos. « Avec plaisir ma douce, je te prends en levrette » me dis-je. Les magnifiques courbes de ses fesses quelque peu charnues. Je reprends de plus belle. Je sortais ses deux seins de sa robe et les pris encore une fois dans mes mains. Nous restons plusieurs instants ainsi, nos corps plus ou moins collés. Gémissants sans arrêter.
« Mmmmmmmm. Mmmmmmm ».


Elle se retourne sans prévenir. Voyant que je n’avais pas encore atteint mes plus hauts sommets, elle attrape mon dos pour m’inviter une dernière fois à donner à nouveau le bouquet final.
« Jouis ! Donne-moi tout ! ». M’accorde-t-elle sans préservatif. Elle savait ce qu’elle faisait.
Je la pénètre à nouveau avec ferveur, collant presque sa poitrine, avec un mouvement de bassin plus ample. Toute sa cavité totalement ouverte et lubrifiée. L’orgasme final approchant, je criais son nom dans un râle de plaisir.
« Ah. Élise !! ». Ce dernier mot qui venait du cœur provoqua à son tour un autre orgasme où elle cria de sorte que les chambres voisines l’ont probablement entendu.
Plusieurs jets de sperme se déversaient. Abondamment. Je restai en elle avec ce plaisir coupable jusqu’à ce que sorte la dernière goutte.

Nous nous affalons sur le dos. Nous reprenons nos esprits. Allongés l’un à côté de l’autre. Nous avions faim.
« Élise, ce que tu m’as fait vivre. C’est dingue.
-Oh. Ouh, j’en reviens pas ».


Les instants passent. Nos regards en l’air, vides, épuisés. Encore en transe. Nos corps comme en lévitation sur le lit.


Nous nous essuyons, passons un peu d’eau puis nous nous rhabillons vite un moment après.


« Attend, tu voudrais pas que l’on aille prendre une pizza ? Il y en a bien une qui ferme tard. Il y a tellement de monde.
-Oui, prenons le premier resto. J’ai encore faim ». Me fit-elle souriante d’un ton très coquin.
Nous entendre parler normalement était très perturbant.


Nous quittons la chambre pour descendre, terminant de remettre nos cheveux correctement. Nous dévalons les escaliers. Nous arrivons en bas, il faisait bien nuit depuis un petit moment. Plus loin sur la grande place, une pizzeria nous tendait bien les bras.


Nous nous asseyons à une table pour 2. L’un en face de l’autre. Nous commandons les boissons. Elle avait envie de jouer pour faire passer l’attente.
« Donne-moi ta main sous la table ».
Je lui passe ma main. Elle y déposa quelques gouttelettes qui provenaient de son petit minou encore tout échauffé.


Je la regarde à mon tour amusé. Mes pensées obsédées sur elle. Élise, que me réserves-tu ? Tu es si mystérieuse et si incroyable quand tu te dévoiles un moment. Que vas-tu me faire vivre encore ?


(À suivre)

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