Histoire Erotique

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Ma belle aventure au travail (suite et fin)

Un jeune stagiaire commence à m'entreprendre lors d'une séance de travail, je ne sais pas y résister....et après avoir pris du plaisir avec lui, j’ai envie de plus et l’accompagne à son appartement ou nous passons une soirée de folie. Nous sommes en plein ébats quand soudain….

Proposée le 15/10/2025 par GoldPussy

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Nous en étions à ce point lorsque brusquement la porte de l’appartement s’ouvrit et Damien, le colocataire de Julien (je le sus plus tard) apparu. Celui-ci devait être absent toute la soirée, mais ayant loupé son rendez-vous, il avait décidé de revenir à l’appartement, et pas du tout gêné de nous découvrir ainsi, il nous lança un joyeux "ça va ? Je peux me joindre à vous ? " Julien répondit à cette sollicitation d’un simple " demande à Océane si elle est d’accord ! "
D’abord surprise, embarrassée et toute penaude, je ne savais plus trop ou me mettre. C’était vraiment une grande première pour moi de me retrouver complètement nue avec une bite dans le cul, sous le regard de quelqu’un que je ne connaissais pas, et je le regardais vraiment étonnée. Il était grand, beau, à l’aise dans ses baskets et arborait un joli sourire, tout à fait le type de mec qui me plaisait, et sous l’effet de l’émotion c’est avec étonnement que je m’entendis répondre à son invitation: « et pourquoi pas ? »
De suite, je regrettais d’avoir prononcé ces paroles, il était trop tard, mais dans mon esprit cette acceptation c’était seulement qu’il allait se mettre dans un coin et nous regarder, mais sincèrement, j’étais tellement excitée et dans un tel état second que j'en voulais encore plus, ce soir je me sentais comme une chienne en chaleur, et plus aucune pudeur ne me retenait.

Je n’eus pas besoin de relever plus la tête pour savoir que Damien s’approchait, l’odeur de son parfum attira immédiatement mon attention, apparemment c'était de l'Invictus de Paco Rabanne. Je lui fis un compliment sur son émanation volatile qu'il sembla apprécier et il s’accroupit pour me faire une bise qui dérapa lorsqu’il colla sa bouche sur la mienne pour m’embrasser, et tandis que sa langue forçait l’entrée de ma bouche, je me pris dans l’acte et me surpris à lui rendre son baiser, mes lèvres cédant immédiatement tellement elles étaient chaudes, humides et avides. Nos langues inassouvies se mêlèrent dans des tourbillons de voluptés, envahissant nos bouches respectives, ce baiser fut passionné, passionnel. Mais quand ses dents vinrent mordiller mon oreille et que sa langue s’introduisit dans mon conduit auditif, un frisson indescriptible me parcouru tout le corps et une chaleur intense inonda mon bas-ventre, et bien qu’ayant de nombreuses expériences en la matière, aucun homme n’avais jamais réussi à me procurer une telle sensation, et tandis que ses mains se promenaient déjà agréablement sur mon corps, me faisant frissonner de plaisir, dans ma tête se déroulait la suite du programme, je savais déjà que je ne lui résisterais pas et que je lui appartiendrais dès cette nuit.

Il commença à me peloter délicatement les seins, entourant mes lobes de sa paume puis les pressant entre ses doigts, doigts qui se rejoignirent sur mon mamelon avant de titiller un peu mes tétons et pincer délicatement mes pointes se mirent à saillir et durcir tandis que je laissai échapper un cri de plaisir. Il me prit alors la tête entre ses mains pour que je me redresse sur mes genoux, il se releva et délivra rapidement son organe en le sortant par sa braguette. C’était un bel engin, déjà de belle taille, bien qu’il ne fut pas encore complètement en érection et j'eus une légère contraction au bas du ventre en imaginant déjà une telle queue forcer agréablement l’entrée de mes petites lèvres pour s’insinuer au plus profond de mon ventre.
Sans plus de manière, il le prit en main et le présenta directement devant mes lèvres et d’une manière très provocante, il prit mon poignet et posa directement ma main sur son sexe.

D’habitude devant une telle attitude, je crois que ma réaction de femme libérée aurait été violente, mais là après tout le plaisir que je venais de prendre, j’adorais le traitement qu’il m’imposait, c’en était fini de mes résistances, le désir pulsait dans mon corps et je fantasmais déjà sur son sexe ardent dans ma bouche. J’imaginais son gland turgescent qui perlait de satisfaction, et le désir dévorait de plus en plus mon corps, du plus chaud de mon entrecuisse au brûlant de mon tréfonds vaginal. Mais je ne voulais pas aller trop vite et préférais prolonger mes découvertes de ce bel objet d’envies, de désirs, ce beau morceau de chair érigé tel un pieu, un totem, fier et droit. Cette chair pétillante, pétulante… que l’on a envie d’embrasser, d’engloutir… de lécher… de pomper et de sucer comme si c’était un cornet avec deux boules de glace à la vanille… qu’un petit génie nous offrait en plein désert aride.

Je reculais seulement un peu la tête et me saisit délicatement de ce pieu pour lui prodiguer d’abord quelques coups de langue bien appuyés sur le gland, ce qui eut pour effet de faire raidir et grandir un peu plus cette belle queue, avant de l’engloutir dans les délices de mon palais.
Mais je ne pouvais rester comme ça, j’avais envie de voir la totalité de cette queue, de bien la lécher, de la sucer entièrement, de jouer avec ma langue sur toute la longueur de sa hampe, d’aspirer ses couilles dans ma bouche. Je dégrafais donc la ceinture de son pantalon et baissais caleçon et pantalon d’un seul geste.
Elle était maintenant là, juste devant mes yeux, fascinante, obscène, raide comme un piquet et j’en profitais pour la reprendre en bouche, puis arrivée au bout du gland, mes lèvres le lâchèrent quelques secondes avant de replonger pour me laisser à nouveau glisser en salivant sur cette friandise que j’adorais, l’entendant gémir quand ma langue s’activa sur son gland, mes mains caressant l’intérieur de ses cuisses et ses couilles gonflées. Je prenais plaisir à prendre une couille dans ma bouche, l’avaler et la faire rouler sous ma langue, puis remonter sa longue et grosse queue pour faire pression sur son gland. C’est alors qu’il entama un léger mouvement de va et vient, comme s’il voulait baiser ma bouche, et je sentais que son membre grossissait encore et encore dans les limbes de mon palais.

Tout en le suçant, je m’étais emparée de sa verge entre mon pouce et mon index roulé en anneau et le massait et le branlait avec une adresse qui lui arrachait des petits cris et des tremblements de plaisir. J’allais et venais sur cette tige palpitante, ne retrouvant ma respiration que pour le prendre à pleine bouche, le sucer sans fin, serrant mes lèvres pour décalotter son gland, tiraillant la peau de ses couilles, l’astiquant sur toute la longueur, le rendant fou, ce qui eut pour effet que lorsque sa queue s’échappa d’entre mes lèvres, elle se redressa directement à la verticale, plaquée contre son ventre. C’était vraiment une belle érection qu’il avait là et ça me donnait vraiment envie d’en profiter…
Julien était toujours derrière moi et me cajolait les fesses, mais en retournant la tête, je vis que son sexe n’était plus au meilleur de son état, aussi me décidais-je à le laisser se reposer pendant que Damien s’occuperai de moi, d’ailleurs celui-ci était de plus en plus pressé de bruler les étapes.
Sortant son sexe de ma bouche, il se positionna alors le dos sur le tapis et me demanda d’un geste de venir m’allonger sur lui, son regard en disait long sur son excitation et son état d'esprit. Je vins m’installer sur lui, cuisses écartées, ses jambes entre les miennes, mes seins contre sa poitrine et nous commençâmes à échanger quelques savoureux baisers qui me firent venir l’eau à la bouche.

Positionnant sa main entre nous, il câlinait à présent mon sexe de ses doigts, tirant sur mes petites lèvres ou glissant entre elles, puis ses doigts s’activèrent entre mes lèvres avant de les laisser glisser le long de ma fente vulvaire pour venir me caresser délicatement le clito, me faisant gémir. J’étais accaparée par ce plaisir, lorsque sa main se déplaça pour venir me tripoter le vagin, avant qu’un doigt inquisiteur ne s’immisce dans mon puit de désir débordant d’humidité, provoquant des coulées de cyprine et un cri rauque qui sortit de ma gorge, tandis que les mouvements de mon bassin inséraient son doigt un peu plus encore en moi…
Ce doigt fut rapidement rejoint par un deuxième qui me branla consciencieusement, tandis que son autre main venait prendre mon sein gauche et me le malaxait fermement, faisant durcir son bout entre ses doigts. J'émis un petit cri, suivi d'un râle profond, cela me donnait des frissons partout et j’eus un spasme. Une première onde de jouissance me surprit et un jaillissement incontrôlé inonda la main qui me sondait.
Julien, un peu fatigué par nos précédents ébats, restait spectateur et semblait apprécier ce beau spectacle.

Mais pour Damien, il était l’heure de passer aux choses sérieuses et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il me bascula sur le côté, vint sur moi et nous nous retrouvâmes en position du missionnaire. Il écarta mes cuisses avec ses genoux, glissa ses jambes entre elles et positionna son sexe entre mes petites lèvres déjà prêtes à l’accueillir. Trouvant sans doute que la position ne lui convenait pas, il me saisit les chevilles et les remonta contre mes épaules, j’étais à présent complètement ouverte et à sa merci.
Dans cette position, il lui était facile de positionner son gland devant l’entrée si convoitée, et d’une simple poussée lente mais vigoureuse, je senti son sexe élargir mes parois vaginales sur son passage et s’enfoncer jusqu’à la garde. Il était maintenant complètement en moi, et en bon baiseur il me pistonnait la chatte, tapant fort au fond de ma matrice, me labourant délicieusement, je prenais mon pied tellement je trouvais ça merveilleux de me faire baiser de cette façon.
" La vache ! Oh oui, défonce-moi ! "

J’eus une pensée furtive pour Rémi que je trompais pour la première fois, vite repoussée par le plaisir qui m’envahissait, Damien me baisait tellement bien qu’à chacun de ses puissants coups de reins je sentais son sexe glisser dans ma grotte en fusion, ramonant toutefois mes parois à chaque passage, vu la grosseur de l’engin qui me pistonnait. Sa queue emplissait mon antre chaud et humide et il me baisait comme une salope, il me fouillait le ventre et je lui donnais bien volontiers ma chatte, le plaisir était fabuleux. Je me laissai prendre jusqu'au bout, Damien me baisa jusqu'à sa jouissance et je le sentis se raidir dans mon ventre, sa queue plongea et se planta au fond de ma chatte en déchargeant une première giclée, ce fut intense, excitant, il me baisait si divinement, et avant que je ne réagisse un autre flot de semence m'aspergeait le fond de ma grotte, me faisant délirer, à vrai dire je n'attendais que cela, je le souhaitais, j'avais eu envie de le sentir jouir en moi, envie de me faire remplir, envie de le sentir décharger. Je lui appartenais jusqu'au fond de mon ventre, je me mis à jouir à mon tour en hurlant mon plaisir, ma tête tournait, partait dans tous les sens, j'avais l'impression que mon cœur n'allait pas tenir, que mon ventre faisait des nœuds.

Bien que venant de jouir, mon ventre se nouait, j'avais encore envie, envie d'être prise, envie de me faire mettre, envie de me faire défoncer par lui à nouveau, envie d’être comblée dans les deux sens du terme.
Mais en fait, je n’eus que peu de temps pour reprendre mes esprits car Damien bascula sur le côté et m’entraina à sa suite sur lui, je sentis qu’il reprenait de la vigueur et j’appréciais sa verge grossir de nouveau contre mon ventre. J’étais toujours affalée sur son torse, les fesses en l’air et soudain je sentis deux mains se poser sur ma région glutéale et me caresser le bas du dos alors que les bras de Damien étaient toujours autour de mes épaules. Julien s’était enfin remis de ses émotions et semblait prêt à repartir pour un tour, et tournant la tête, je fus stupéfaite de le revoir bander aussi fort en aussi peu de temps.
Damien en profita pour me pousser les épaules en arrière pour s’occuper à nouveau de ma poitrine, il se mit à lécher et mordiller mon téton, je ne fus pas longue à réagir à ce traitement qui me rendit très chatte. Mes ronronnements confirmèrent mon excitation et les mouvements de mon bassin lui montrèrent mon envie grandissante d'être possédée à nouveau, ses lèvres abandonnèrent alors ma belle rondeur toute mouillée et mon téton dressé pour partir à la conquête de l’autre sein.
J’adorais, je gémissais de plus en plus fort, mes halètements trahissaient mon extrême excitation... j’étais brulante, chaude, prête de nouveau à être baisée, Damien le savait mais il prenait son temps, il savait qu'en me faisant attendre, le plaisir n'en serait que décuplé...

"Tu sens comme je suis toute mouillée", lui susurrais-je d’une voix sourde, tandis que lui me parlait de me baiser encore plusieurs fois de suite et par tous mes orifices, de me défoncer à nouveau la chatte avec sa grosse tige. En fait, c’était exactement ce que je voulais et comme il ne se décidait pas à passer à l'action, je suis venue me positionner face à lui, écartant bien les cuisses pour lui offrir au passage une vue divine sur ma chatte toute coulante et ouverte, et sans plus attendre m’empaler de moi-même sur sa grosse queue au garde à vous enduite d’un mélange de son fluide séminal et de mes sécrétions vaginales, la pénétration fut d’une onctuosité délicieuse, j’avais la chatte en feu et une furieuse envie de me faire encore bien baiser.
Je fis coulisser son sexe deux ou trois fois en moi, m'arrachant des frissons tellement c'était bon, puis je me redressais sur mes bras et je le regardais dans les yeux, j'y lus beaucoup de désir.
L’instant d’après il me prenait par les épaules pour me redresser complètement et commençait à entamer un va et vient puissant, me possédant profondément, sa queue m'enfilait la chatte jusqu'au fond, de plus en plus fort, de plus en plus vite, moi la tête rejetée en arrière, oscillant de droite à gauche, la respiration coupée, je m’écroulais alors sur son torse.
Ce fut ce moment que choisit Julien pour revenir à la charge, je sentis ses deux mains écarter avec douceur mes globes généreux et un doigt glisser en descendant sur mon pli inter fessier, puis une légère fraicheur sur ma petite rosette brune due au doigt de Julien qui venait d’y déposer une noisette de lubrifiant sur ma pastille avant que celui-ci ne s'infiltre plus avant et me pénètre sur plusieurs phalanges. Je compris alors son intention et m’entendis dire d’une voix haletante : "Julien, je t'en prie, encule-moi ! Je veux sentir vos bites dans mes deux trous... ".

Je tendis mon cul en arrière en sentant son sexe se poser sur ma petite rondelle, je donnais un léger coup de rein en arrière et voilà la pointe de son gland déjà engagé dans mon anneau... Je sentais son gland large qui m'ouvrait doucement le cul, ça rentrait presque tout seul tellement j’étais excitée.... je ne bougeais plus, Damien non plus, il attendait sagement, ayant compris ce qui se passait dans mon dos... Julien continua à pousser doucement, s'enfonçant lentement entre mes fesses, et lorsqu'il eut dépassé avec son gland le sphincter resserré de mon anus, il se sentit moins comprimé dans mon conduit anal, alors sa queue longue et dure progressa, progressa encore d'une seule poussée rectiligne... elle s’empala en une lente et impérieuse poussée dans l’entrée qui s’offrait à lui, mon petit trou serré et engageant qui ne lui offrait cependant pas une pénétration facile, le membre de Damien prenant déjà pas mal de place. Maintenant la queue de Julien était enfoncée jusqu’au fond, je retins mon souffle, attendant que mon trou du cul soit habitué à se sentir rempli de sa viande rigide, quelle merveilleuse sensation... comment avais-je pu vivre sans deux queues en permanence dans mes trous ? C'était pour moi la toute première fois que je me faisais bourrer par deux bites en même temps. Ainsi, pendant que le pénis de Damien était enfoncé dans mon vagin dégoulinant, le nœud de Julien était planté profondément dans mon anus.

Ils commencèrent alors un lent va et vient, vous ne pouvez pas savoir la sensation que c'était ! Deux énormes membres, je les sentais se frictionner l'un et l'autre, seulement séparés par une mince cloison de chair.
Cependant, ils avaient un peu de mal à se synchroniser, et Damien arrêta ses mouvements tandis que Julien accentuait les siens, ça m'excitait beaucoup qu'il me prenne par ce petit trou et à chaque assaut je sentais cette fièvre qui entrait en moi, je sentais ce morceau de chair tant désiré élargir à chaque pénétration mon anus, il faisait aller et venir sa verge en d’amples mouvements de son bassin et il me lima ainsi une dizaine de fois avant de s’arrêter avant que Damien prenne le relais. C’était plus difficile pour lui dans cette position mais il arrivait à me pilonner à grand coups de reins et je sentais sa queue tout au fond de moi, j’accentuais alors la pression avec mes reins, me trémoussais, ondulais en un accord parfait et sensuel.

Sur ces entrefaites, Julien se remit à bouger dans mon cul et ils trouvèrent enfin tous les deux la cadence, je n'arrivais plus à respirer, je n'avais même plus la force de me tenir, j’étais pantelante, allongée sur Damien, le cul totalement offert, défoncée par la queue longue de Julien, et empalée à fond sur Damien qui me soulevait un peu pour me limer la chatte de plus en plus vite... L’orgasme n'en finissait pas, il était encore et toujours là, je n'en pouvais plus de jouir, c'était incroyable, j'ignorais qu'on pouvait jouir aussi fort et aussi longtemps. Ils accélèrent, sans doute pour jouir enfin, mais leur accélération provoqua encore en moi une montée du plaisir et même si je ne m'en pensais pas capable, je jouis encore plus fort, dans un râle bestial, je crus que j’allais m'évanouir, mais non je restais consciente, suffisamment pour sentir les tressaillements de leurs queues au plus profond de mon corps.
"On échange nos positions ? " demanda alors Damien à Julien. "J'ai moi aussi envie prendre son petit cul, il est trop excitant, moi aussi je veux le défoncer ! " Et me regardant avec un grand sourire, il demanda : "Tu es partante Océane ? "
"Oh oui ! " Répondis-je sans hésiter. "Moi aussi, j'ai envie de sentir ta belle bite dans mon petit trou"
Longtemps, nos trois corps restèrent immobiles, collés, unis comme pour prolonger ce moment magique, exceptionnel. Chacun avait besoin de reprendre ses esprits, car si j’avais connu une expérience hors du commun, les deux hommes aussi : jamais une femme ne s’était offerte à eux avec tant de disponibilité.
Puis Julien glissa hors de mon rectum désormais bien dilaté, d’où son sperme coulait en abondance et je me relevais pour aller prendre une petite douche et reposer un instant ma chatte douloureuse.

Après avoir ouvert une bouteille de champagne et bu une petite coupe dans le salon, Damien me prit par la main pour m’entrainer dans sa chambre. Durant le trajet, sa main glissa sur mon postérieur et un doigt caressa le sillon de mes fesses serrées jusqu’à se poser sur ma petite rondelle dans laquelle il s’insinua légèrement, il avait atteint la cible de sa convoitise. Mon Dieu qu’il est pressé, me dis-je en pensant au plaisir qui m’attendait. Arrivé dans sa chambre décorée avec goût, Damien s’assit sur son lit, jambes pendantes, et me demanda de venir me positionner dos à lui, puis avec force il me souleva et amena son gland entre mes fesses, il faisait preuve de douceur et évitait de forcer brutalement ma rosette. Je me détendis au maximum, et laissais descendre lentement mon bassin sur sa queue. Bien que la progression fut un peu difficile car son membre était plus imposant que celui de julien, mon cul déjà bien dilaté n’eut cependant pas trop de mal à l’accepter et son membre disparut millimètre par millimètre dans mon fondement, en ponctuant sa progression de cris et de commentaires. Mais même avec mon orifice déjà bien préparé, étant plus gros que Julien, il fallut qu’il appuie sur mes épaules pour accompagner ma descente sur son sexe turgescent. Puis d’un grand coup de rein, il m'embrocha littéralement, pénétrant mon cul avec sa bite longue et dure, je criai de surprise sous cette pénétration violente. "Oh ! Qu'est-ce qu'elle est grosse", ne pus-je m'empêcher de reconnaître... "Non, continue, c'est trop bon !... Ça y est ! Elle est rentrée... Je la sens bien... Vas y maintenant, défonce-moi ! "

Son dard ainsi planté dans mon intimité brulante, il entoura mon buste de ses bras et nous basculâmes tous deux en arrière, j’étais couchée sur son torse chaud et il en profita pour venir à nouveau titiller et pincer mes tétons qui sont chez moi une zone extrêmement érogène, Rémi était déjà parvenu à me faire jouir rien qu'en les triturant... Son bel outil génital installé dans mon conduit rectal, Damien commença à faire de légers va et vient entre mes fesses... il glissait, coulissait, s'enfonçait et ressortait... Il m'encula comme un beau diable, et je tortillais moi-même du cul pour sentir sa longue bite encore plus profondément en moi.
Nous en étions là quand la porte de la chambre s’ouvrit et Julien qui se sentait un peu seul entra. Il se saisi de mes chevilles pour écarter mes jambes et glissa sa tête entre mes cuisses. Tout d'abord, dégageant mon clitoris de son petit capuchon, il le titilla de sa langue, le pressa entre ses lèvres, le mordilla légèrement de ses incisives avant de l’aspirer d‘un coup entre ses lèvres, déclenchant un frisson dans tout mon corps, puis sa langue descendit sur mon périnée en partant de mon anus occupé, il le lécha en remontant jusqu'à la base de ma vulve, puis continuant sa progression, il taquina à nouveau mon petit bouton rose qui grossissait et s’érigeait sous ses attouchements, je frissonnais de plaisir sous la caresse. Il n’a pas attendu de reprendre son souffle pour replonger entre mes jambes nerveuses qui l’on emprisonnées tandis qu’il taquinait à nouveau mon petit bouton, me faisant trembler et étouffer un cri de bonheur.

Puis il cracha sur ma fente et sa langue s'insinua entre mes lèvres, s'enfonçant, explorant mon orifice vaginal. Il la remuait avec beaucoup d'agilité, me tirant de petits cris de plaisir, son majeur qui titillait toujours mon petit bouton rose descendit lentement remplacer sa langue. Il entra le plus profondément possible ce majeur dominateur dans mon antre et lui adjoignit un index pénétrant pour commencer de savants va et vient tandis que son pouce me massait maintenant doucement le clitoris.
Je me tortillais dans tous les sens, je haletais, il me fit subir cette caresse, alternant doigté et coups de langue pendant un temps qui me parut interminable, mais j'en redemandais, je sentais le plaisir m'embraser le ventre, et je pensais que s’il continuait ainsi, je n'allais pas tarder à jouir.
Heureusement il se redressa, et prenant mes chevilles en main, il les posa sur ses épaules, je me retrouvais, cuisses écartées, la fente à l'air, allongée de dos sur le torse de Damien qui reprit rapidement ses va et viens dans mes fesses. Julien positionna son sexe érigé devant moi et sa verge retrouva sans difficulté l'entrée de ma chatte, qui coulait et débordais au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait tout au fond de mon vagin jusqu’à ce que je sente son gland buter sur le col de mon utérus. Il ressortit aussitôt avant de revenir d’un mouvement ample, profond et efficace écarter doucement mes chairs qui se refermèrent autour de sa queue. Je sentais ma chatte s’abandonner complètement sous cette queue qui frottait celle de Damien, je pouvais percevoir et j’appréciais quand leurs deux glands se croisaient, c’était un plaisir incroyable, immense et continu qui envahissait tout mon corps.

Damien se mit à aller et venir dans mon cul un peu plus vite, un peu plus profondément, faisant coulisser ma chatte sur la queue de Julien, et puis soudain, fou de désir, il se lâcha. Ses coups de reins secouaient tout mon corps, me faisaient tressauter et m'empaler sur le pieu de Julien qui me transperçait, et ma mouille émettait un clapotis trahissant mon état. Il s'enfonçait si rapidement et si profondément en moi que mes seins flottaient et rebondissaient dans tous les sens.
Je me demandais combien de temps Julien et Damien allaient tenir à ce rythme, mais je ne pensais pas un seul instant à demander grâce !
Je sentais les deux queues me remplir, et j'avais l'impression que la cloison séparant ma chatte et mon cul allait voler en éclats. J’avais comme des éclairs devant les yeux, je n'avais plus de corps, je ne le sentais plus, je ne sentais que mes orifices et leurs queues qui me prenaient, s'enfonçaient et coulissaient au plus profond de moi... Je n’étais absolument plus maîtresse de mon corps.

Ils avaient enfin trouvé leur rythme, et chaque coup de leurs reins m'arrachait un gémissement, je ne me contrôlais plus, j'avais envie de hurler ! Après un moment, mon bas ventre commença à brûler, je sentais à nouveau mon clito gonfler et gonfler encore, il me faisait mal, vraiment très mal, mes tétons aussi étaient tout durs, j’avais le souffle coupé, je respirais à peine, bruyamment quand j'y parvenais, je ne gémissais plus, je râlais maintenant à chaque fois qu'ils étaient au fond de ma chatte et de mon cul... leurs mouvements s'accélérèrent, j'y croyais à peine, je me demandais comment mon corps résistait à ce traitement, malgré toute leur douceur. J’avais le sentiment d'être écartelée, j'avais la chatte béante et le cul grand ouvert, je me faisais ramoner, limer en profondeur et mon dieu j'aimais ça, j'adorais ça, j’aurai voulu que ça dure éternellement !
Je parvenais difficilement à gémir, je murmurais des "oui" "allez-y plus fort", "baisez-moi" je ne me reconnaissais plus... je pensais être une fille chaude dans mon genre, mais ce soir j'étais devenue une femme, une vraie, une femelle accomplie.

Cette fois je sentis leurs couilles balloter entre mes cuisses, j'entendis leurs cuisses claquer sur mes fesses, je me faisais baiser fort et profondément, comme j'en avais toujours rêvé jusqu'alors, et la réalité était au-delà de mes fantasmes... j'adorais ça, j'aimais être baisée, enculée, défoncée, pilonnée, pinée de la sorte.
Damien augmenta encore la cadence, je sentis cette boule familière se former dans mon ventre, prête à exploser dans ma poitrine lorsque je ne pourrais plus rien retenir.
Et je jouis de nouveau.... un orgasme qui montait progressivement, de façon quasi linéaire, je l'avais vu venir de loin mais il montait très haut avant d'éclater enfin, je donnais des coups de reins comme une furie, m'empalant sur chaque queue à tour de rôle, j’étais prise entre deux feux, je n'avais pas d'échappatoire, sauf jouir, jouir et jouir encore... je criai, je me démenais et eux ne s'arrêtaient pas, ils continuaient au même rythme, et l'orgasme dévastateur ne retombait pas, il continuait, grossissait encore plus fort et plus violent, je n'en revenais pas d'une telle jouissance, d'une telle puissance, cela semblait sans fin, je ne voyais plus rien, rien que des éclairs dans ma tête, des tas d'éclairs.
Enfin je devinais à leurs crispations et leurs râles qu'ils étaient en train de gicler leur chaude semence au fond de leurs trous respectifs, leurs mouvements de reins saccadés, forts, profonds m'arrachèrent des cris de plaisir, finissant enfin l'orgasme qui m'avait secouée ces deux dernières minutes....

Nous crions ensemble, en une longue plainte continue, des râles de bonheur…et nous nous écroulons, nos corps repus et enlacés, nos attentes assouvies.
J'étais heureuse de les avoir reçus en moi tous les deux, d'avoir été baisée par deux belles queues et d'avoir été remplie par ces deux hommes respectueux de mon être, de m’être lâchée totalement et devenue un instant la salope lubrique dont tous les hommes ont rêvé de prendre au moins une fois dans leur vie.
Ni pudeur, ni impudeur, seulement contents et surpris des audaces partagées et assumées.
Il était plus de deux heures du matin, c’était largement l’heure de partir, j’ai ramassé mes affaires et suis partie prendre une douche. Je n’ai pas retrouvé mon tanga, l’un deux l’aurait-il gardé comme souvenir ? De toute façon, vu l’état dans lequel il était, je ne suis pas sûre qu’il soit encore mettable.
Ce fut une soirée merveilleuse. J’avais réussi en une seule journée à tromper mon mec, faire l’amour avec un, puis deux inconnus, avoir une multitude d’orgasmes fulgurants, réaliser avec bonheur ma première double pénétration, toutes ces choses qui me paraissaient tellement inimaginables encore hier. J'eus beaucoup du mal à rentrer chez moi cette nuit-là, et quand je repense à cette soirée qui fut vraiment unique, c'est avec une certaine émotion, et je ne regrette pas de m'être laissée aller ainsi, heureuse de vivre et de prendre du plaisir encore et encore. C’est resté un de mes plus fabuleux souvenirs.

FIN

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