Il croise un jour le chemin d'une superbe MILF qui porte un superbe fourreau. Troublé autant par son hyper-sensualité que par cet accessoire érotique, qu'il n'avait jamais vu une femme porter, il voit la belle femme le rejoindre pour de premières approches.
Proposée le 14/10/2025 par jerome james b
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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
LE FOURREAU
partie 1
La première fois que j'ai vu Patricia, je me suis joui dessus. Je ne risque pas de l'oublier. C'était lors d'une soirée très simple, qui réunissait toutes les organisations humanitaires de la ville. Une soirée offerte par la mairie, avec un cocktail dinatoire, comme on dit, et après que la maire ait remis des médailles et surtout des sommes d'argent à des associations pour leur permettre d'aller plus loin.
C'est durant cette soirée que j'ai remarqué Patricia pour la première fois.
Il aurait été difficile de ne pas la remarquer, d'ailleurs. Là où la plupart des personnes présentes étaient habillées très simplement, elle était flamboyante. Pas sûr d'ailleurs qu'elle ait voulu faire la mariolle, ça tenait peut-être simplement, et ça je l'ai bien compris par la suite, et j'en ai eu la confirmation, à une élégance naturelle, une manière et une volonté de mettre en valeur sa féminité.
Il y avait pas mal de personnes. Et je ne l'ai pas repérée tout de suite.
C'est quand elle a été appelée sur le podium que je l'ai vue pour la première fois.
Je peux la décrire au mieux, pourtant je serai très loin de tout ce qui est immatériel. La sensualité, le fait qu'il y avait quelque chose en elle d'infiniment séducteur, qu'il s'agisse d'une séduction calculée ou non, le fait aussi qu'elle soit une MILF, avec tout ce que cela implique de séduction, de sensualité, et que, sans aucun doute, elle avait plus de charme que n'en aurait eu une fille de vingt ans parce que ses charmes avaient mûri.
Et puis, il y avait cette robe fourreau. Pour moi, qui suis cinéphile, ça renvoyait forcément à d'autres époques, celle des actrices des années 40...L'époque des grandes séductrices, les Ava Gardner, Véronika Lake, Rita Hayworth, qui dans des scènes, et sur des photos mémorables, jouaient des séductrices...
Si on cherchait à analyser le pouvoir du fourreau, sans doute qu'il y avait plusieurs éléments. Le fait que le tissu soit extrêmement collant, et donc révélateur, et que, paradoxalement, il empêche l'accès au corps, verrouillé, même si certains fourreaux proposaient une longue fente au niveau de la jambe. Le corps était souligné, et en même temps interdit.
Et parallèlement, il y avait des questions obsédantes...Comment l'enlever? Les fermetures-éclair n'étaient pas forcément évidentes...Ni visibles...Soulever, descendre? Facile ou difficile? Et puis une question, qui en tout cas, moi, me taraudait, celle de savoir si la fille portait quelque chose dessous. Soutien-gorge et slip, un simple string, rien du tout?
Pour la femme qui était montée sur scène, la réponse était évidente.
Oui, c'était évident qu'elle était absolument nue dessous. Ses formes, des formes de femme étaient collées directement contre le tissu et bougeaient en même temps qu'elle. Des sous-vêtements auraient limité ces mouvements. Seins lourds, avec les tétons directement contre le tissu, hanches, fesses pleines, étaient en contact direct avec le fourreau.
Ça m'a tellement troublé que, comme indiqué plus haut, je me suis joui dessus. Je n'ai rien vu venir, et j'ai été traversé par un orgasme, qui m'a remué, en même temps que ma semence partait dans mon caleçon. J'ai fermé les yeux, un instant déstabilisé. Heureusement, j'avais un blouson très grand, et, de la sorte, les tâches sur mon pantalon, quand mon caleçon commencerait à le marquer, seraient masquées.
— Vous allez bien?
Ma voisine, juste à côté de moi, avait cru que j'avais un malaise. J'ai failli éclater de rire. Je l'ai rassurée.
— Je n'ai pas assez mangé à midi.
Je ne l'ai pas lâchée du regard une seconde le temps que son équipe était honorée. Il y a des femmes qui sont belles mais qui n'ont aucune sensualité, d'autres au contraire qui sont moyennes, mais très sensuelles, elle parvenait à rassembler les deux, une beauté pure et quelque chose de très fort, qu'elle dégageait et qui vous mettait dans tous vos états...
Je pensais que ça en resterait là, mais ça n'a pas été le cas.
Je me suis demandé par la suite pourquoi elle est venue vers moi et pas vers un autre, alors que, je l'avais bien constaté pendant la cérémonie, tous les yeux des hommes étaient collés à elle, il avait suffi que je regarde autour de moi pour le constater.
Peut-être qu'elle avait simplement ressenti un tant soit peu ce que moi j'avais éprouvé.
J'étais devant la table où était étalée une profusion de mets les plus divers. Il y en avait pour tous les goûts, sucré, salé...Et des boissons dans des seaux avec de la glace. Je venais d'attraper un Sprout sans sucre, quand j'ai senti une présence près de moi, en même temps que je respirais une odeur d'un parfum troublant. Je me suis retourné.
C'était elle.
Parfois, on est déçu quand on voit de près ce que l'on avait aperçu de loin.
Là, clairement, ça n'a pas été le cas. Elle était vraiment magnifique.
Elle m'a souri.
— Tu aimes les fourreaux?
— C'est la première fois que j'en rencontre un dans la vie réelle. Mais il faut un début à tout.
— Apparemment ça te plaît.
— C'est hyper sexy, et hyper troublant. Ça valorise ce qui reste totalement inaccessible. Sauf si la fille le veut.
— C'est joliment résumé. Tu poses bien les enjeux. Je parie que tu te demandes ce que je porte dessous.
— Je crois l'avoir deviné, j'ai répondu. Absolument rien.
— J'ai toujours adoré les fourreaux. Tu veux savoir pourquoi? Quand j'étais petite, je passais des heures à regarder les films hollywoodiens, et je me jurais que je serais comme elles, les stars de rêve, un jour.
— C'est réussi, c'est tout à fait ça.
— Oui, j'ai rien dessous...J'aime être toute nue sous un fourreau. C'est hyper excitant. J'offre mon corps et en même temps, il est inaccessible. Je sais que le fourreau le souligne, le révèle...Que les queues des hommes sont dures quand ils me voient passer. Mais aussi qu'il y a des filles qui mouillent en me voyant. Mais je suis aussi sexy et désirable dans la vie de tous les jours. Ca te dit de le découvrir ? Tiens, viens avec moi, on va aller dans les chiottes...Je vais te faire une démo, comme ça, même si on ne se revoit pas, tu garderas de bons souvenirs.
On a quitté la salle...Dès le couloir il y avait le silence. Elle marchait un peu devant moi, et j'avais le regard collé sur ses fesses, pleines et cambrées, qui bougeaient contre le tissu. Ce n'était pas ce spectacle qui allait faire diminuer mon érection.
Elle a opté pour les toilettes pour handicapé, où il y avait pas mal de place, parfait pour nous deux, les verrouillant derrière nous, en espérant que personne n'en aurait besoin. Mais ma culpabilité s'est vite effacée quand elle s'est pliée en avant et qu'elle a attrapé l'ourlet de la robe. Son regard planté dans le mien comme une provocation, elle a commencé à remonter très lentement le tissu. J'ai eu finalement la réponse, au moins pour ce fourreau là. Elle avait du le passer par dessus ses épaules, et le faire descendre pour masquer son corps. Et il fallait agir dans l'autre sens pour l'enlever.
Elle était vraiment belle. Fine, mais avec ses formes essentielles bien marquées.
Elle n'était pas totalement nue sous le fourreau, puisqu'elle avait des bas stay-up, dont les parties élastiquées prenaient ses cuisses au milieu de celles-ci. Par contre son bas-ventre était lui dépourvu de tout parement. Je voyais bien sa fente, dont débordaient deux bons bouts de lèvre, ainsi qu'une toison qui disait qu'elle était bien blonde. Un jet de mouille est sorti, faisant les lèvres brillantes, et partant dans son aine. Elle s'est retournée pour me montrer aussi ses fesses, qui bénéficiaient de sa cambrure.
Un retour sur sa partie face, elle a remonté le fourreau au-delà de ses seins.
Alors, c'était sûr, le fourreau était très révélateur, mais prendre sa nudité en pleine poire, c'était aussi très fort.
Elle a fait redescendre le fourreau. Je ne savais pas ce qui était le plus excitant, la voir entièrement nue, ou avec le fourreau, qui servait comme un révélateur et un magnifieur de son corps. Les deux, finalement, c'était bien.
— Je t'ai montré mon corps, montre-moi ta queue. J'ai envie d'en voir une et de jouer avec. Je suis totalement nympho. Mon mari ne me baise plus depuis des années. Ceci explique sans doute cela. J'ai pas mal de recul par rapport à moi-même.
Mais je n'ai rien eu à montrer, c'est elle qui, sans doute impatiente, est tombée à genoux devant moi, et a défait mon pantalon pour venir chercher une queue qui n'avait pas vraiment débandé depuis que je l'avais aperçue sur le podium. Elle a eu un sourire ravi, le sourire de la fille qui aime vraiment le sexe, est addict, et ne s'en passerait pour rien au monde. Elle a plongé dessus de la langue et de la bouche, avec une avidité qui disait que oui, elle aimait le sexe, qu'elle avait beaucoup d'expérience, et qu'elle était en manque. Un mariage malheureux, une envie de sexe perpétuelle, ou les deux?
Qu'elle la caresse de la langue, courant sur elle, s'attardant sur des zones sensibles jusqu'à ce que je sois proche de l'orgasme, relâchant la pression avant de redémarrer ailleurs, alternant en me prenant dans sa bouche, et faisant aller et venir celle-ci dessus, elle m'a donné du plaisir comme aucune autre fille ne l'avait fait avant. Je me suis laissé aller, tout en regrettant de ne pas pouvoir aller plus loin. Sans forcément la pénétrer, mais j'aurais aimé pouvoir poser mes mains sur elle, laisser la chaleur de son corps remonter en moi, la regarder sous tous les angles, pour pouvoir me branler avec ces images gravées en moi...Elle restait inaccessible...
Ca a changé, bien sûr, dans les semaines qui ont suivi. Des semaines que je n'aurais absolument pas imaginées. Car je pensais qu'il n'y aurait qu'un one shot, un moment unique lié à cet événement unique.
J'étais au bord de la jouissance, je vacillais, sans pour autant jouir. Elle est venue masser doucement mes couilles, et j'ai définitivement explosé.
Certaines femmes sont dégoûtées par le sperme. Elle au contraire l'a bouffé avec avidité. La bouche obstinément fermée, et j'ai bien compris qu'elle ne voulait pas en perdre une goutte. Après les grand crachements de semence, elle m'a gardé, lapant soigneusement les ultimes coulures. Reculant, elle a ouvert la bouche pour me montrer qu'elle était pleine de sperme. Elle l'a refermée à nouveau, a avalé, quand elle l'a rouverte une seconde fois, il n'y avait plus que de la salive.
Ça aurait pu s'arrêter là. Ça n'a pas été le cas.
— Tu as un portable?
Je lui ai tendu le mien.
Elle a pianoté dessus.
--Patricia. Tu as mon numéro. Tu me fais un SMS, je te dis si on peut se voir ou pas. Ça te va ? J'ai envie d'aller un peu plus loin.
Elle s'est éclipsée. Je l'ai suivie avec prudence, sortant après elle. Sa silhouette, magnifiée par le fourreau glissait au fond du couloir. Quand je suis revenu dans la grande salle, elle avait disparu.
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