Il travaille chez lui, et tous les jours entre midi et deux, une voiture s'arrête devant sa fenêtre, dedans un couple qui se sépare dans des moments très chauds. Il n'imagine pas qu'il va franchir le 4eme mur et que quelque chose va s'amorcer puis se passer avec la superbe MILF blonde.
Proposée le 15/09/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme
LA DARLA BLEUE
Pour vous raconter comment ça s'est passé, il faut d'abord que je vous parle du quartier où j'habite. Si je ne pose pas le décor, alors vous ne comprendrez pas grand chose.
G..., c'était une ville ouvrière. Jusqu'aux années 80, des mégisseries faisaient la prospérité de la ville. Les patrons s'étaient rendus compte un jour que délocaliser leur permettait de gagner beaucoup plus d'argent. Des friches industrielles demeuraient, témoin de ce passé glorieux. Tout n'était cependant pas fichu, en effet, il y avait des industries qui étaient restées, liées à la métallurgie par exemple, et d'autres qui s'étaient installées. La ville représentant un curieux patchwork d'activités.
Moi j'habitais dans un de ces quartiers ouvriers, fait de pavillons, habités au départ essentiellement par des ouvriers de ces usines, même s'ils n'avaient pas été construits par des patrons, mais avaient plutôt fait partie de plans sociaux, ou d'entreprises engagées dans l'immobilier. Le temps passant, certains de ces pavillons, à la fois coquets et spacieux, avaient été rachetés par des personnes venues s'installer par ici, attirées par le calme de la ville et les prix modérés.
Moi, j'étais là depuis quatre ans...Et je quittais rarement la maison. En effet, je suis graphiste, ce qui me permet de travailler chez moi, et d'envoyer mes travaux par la suite.
C'est comme ça que je l'ai vue, que je les ai vus, la première fois et les suivantes. Parce qu'à heures régulières, ils s’arrêtaient devant chez moi, dans un créneau de temps d'une demi-heure.
J'ai tenté de reconstruire plus ou moins leur schéma de fonctionnement. Avec quelques certitudes et pas mal d'hypothèses.
Ils arrivaient entre midi et une heure. Ils étaient ensemble, et c'était lui qui conduisait. La Darla bleue. Elle, elle était toujours à côté de lui. A la place du mort, comme on dit, mais elle était bien vivante. Ils avaient tous les deux une cinquantaine d'années, et à la regarder, elle, on comprenait bien que la cinquantaine vécue de nos jours n'avait absolument rien à voir avec la cinquantaine dans les années 60 ou 70, où une femme était finie. Ce n'était pas le cas, et même si elle n'avait plus vingt ans, et parce qu'elle n'avait plus vingt ans, elle était resplendissante. Je captais une tonne de détails qui me séduisaient. Une épaisse chevelure blonde, un joli profil, un joli visage, soigneusement maquillé. Elle n'était pas très grande, avec un corps tout en formes, qu'elle mettait en valeur avec des tenues féminines, sexy, je ne pouvais que le constater. Quand la portière s'ouvrait, j'apercevais pas mal de choses, et quand elle descendait encore plus. Une jupe fendue et qui était remontée très haut, dévoilant un bas stay-up, une robe fendue quasiment jusqu'à l'aine, un pantalon de vinyle hyper moulant, des bottes, des cuissardes, des escarpins à talons aiguille...Elle était très attirante, et c'était aussi l'avis du gars qui conduisait la voiture, et qui généralement la laissait et redémarrait.
Etait-ce un ami? Son mari? Elle partait vers la gauche, et je ne m'étais jamais levé de ma table de travail pour voir où elle allait. Je préférais garder une part de mystère. Est-ce qu'ils se retrouvaient le soir, en couple marié ?
Mon meilleur souvenir, si je devais en avoir un...Il y en avait un bon paquet...Je bénéficiais de vitres sans tain qui me permettaient de voir sans moi être vu.
Il se passait toujours quelque chose quand ils s'arrêtaient. Ce qui me faisait d'ailleurs clairement penser qu'ils n'étaient pas forcément mari et femme. Entre mari et femme, la passion s'use très vite, et là, elle était vraiment au rendez-vous.
C'était souvent des baisers échangés, et pas deux baisers sur la joue, mais à pleine bouche, et en s'éternisant.
Mais il y avait plus hard.
Des images qui me troublaient énormément, moi qui étais sans femme pour le moment, célibataire, avec l'envie, dans le cœur et le ventre, d'une femme avec laquelle au moins faire l'amour.
J'avais été figé par ce moment, et parce qu'ils pouvaient très bien se séparer en une minute, ou faire une pause d'une dizaine de minutes.
Selon l'inspiration, l'humeur, l'envie, elle lui avait offert à plusieurs reprises du plaisir.
La première fois, j'avais été surpris. Autant que troublé. On avait tendance à se croire isolé dans un véhicule, mais tout le monde pouvait voir.
Apparemment, ils s'en fichaient.
C'est vrai que, quand on est amoureux...
On se fout de tout.
Elle avait dégagé sa queue de son pantalon. Même d'où je me trouvais, dans une position pas forcément avantageuse, j'avais quand même pu mater, et voir cette queue semi-érigée qu'elle avait tiré de son pantalon, qu'elle s'était mise à caresser de la langue et de la bouche, avec habileté. Comment ne pas être troublé par un tel spectacle? Ça avait bien été mon cas. Le plus troublant sans doute, c'était de laisser une part à l'imagination, de ne pas tout voir et d'imaginer le reste. La queue s'était érigée, elle l'avait travaillée avec ardeur, jusqu'à ce que la semence jaillisse, mais je n'avais rien vu, simplement le fait qu'elle garde sa bouche obstinément close, et quand elle était descendue de voiture, un filet de sperme coulant à la commissure de ses lèvres.
D'autres fois, ça avait été plus visible, j'avais vu sa main allant et venant sur la queue, pour une masturbation qui s'était conclue de manière logique par des jaillissements de sperme qu'elle avait accueillis dans sa paume, pour la lécher ensuite.
Ce que j'avais adoré aussi, c'était les regards qu'elle m'avait involontairement offerts sur son intimité.
Quand elle lui suçait la queue avant de se séparer, elle pouvait rester assise ou bien se mettre à quatre pattes sur le siège passager. Me donnant ainsi de belles perspectives sur son anatomie. Avec des jupes courtes, ou même des robes un peu plus longues, la position mettait forcément en évidence son anatomie la plus intime...Spectacles multiples...Un ventre nu sous un collant, avec pas forcément les pièces pour masquer...Ou simplement cul nu avec juste des bas stay-up...Mais même avec un pantalon très moulant, c'était un plaisir.
L'occasion de découvrir des fesses fermes, rondes et cambrées, que la position ouvrait suffisamment pour voir la marque de son anus, mais aussi le gros renflement de sa vulve entre ses cuisses. Qui n'était jamais pareil, en tout cas souvent marqué par des signes évidents d'excitation, s'entrouvrant, s'ouvrant, ses lèvres se dépliant et s'épaississant, et ses liquides intimes se mettant à couler, sur ses lèvres, dans ses aines et à l'intérieur de ses cuisses.
Mais j'avais aussi droit à un autre angle de vue. Quand elle se dégageait du siège, elle restait parfois en mettant une jambe dehors et l'autre restait dedans. Ouverte ainsi en compas, elle me laissait souvent voir son intimité sous un autre angle.
De bons moments.
Mais je n'avais jamais pense être autre chose qu'un simple voyeur. J'admettais tout à fait mon statut, même si je ne le trouvais pas très glorieux. J'ai toujours totalement assumé ce que je fais.
Ca a d'ailleurs été le hasard le plus absolu qui a fait que j'ai basculé sur un autre statut. J'avais rendez-vous en ville pour une prise de sang à valeur de bilan. Ensuite, j'étais parti faire quelques courses. Et rentré chez moi sur le coup de 13 heures. Je m'étais garé un peu plus loin.
J'avais remonté la rue.
J'avais eu la réponse quasi immédiate à la question que je m'étais posée: Est-ce que le véhicule serait là?
Oui, il était bien là, Et j'ai bien distingué les deux silhouettes en approchant.
Dont l'activité est devenue plus nette, alors que j'approchais.
Pour la première fois, je les découvrais sous un autre angle.
Lui et elle de face.
Le bras tendu de la jolie MILF blonde laissait peu de doute quant à son activité.
Je prévoyais de passer simplement le long de la voiture en les ignorant.
Mais ça ne s'est pas déroulé comme ça, et je me suis demandé si mes vitres, étaient, au final, vraiment sans tain.
Quelqu'un a baissé la vitre, elle évidemment et une voix, la sienne m'a jeté:
--Je branle une queue, tu as envie que je branle la tienne, aussi? Ça te ferait du bien, et ça te changerait de simplement mater par ta fenêtre.
Ça s'est calé très vite...Elle m'a laissé passer, a ouvert la portière...Elle m'a défait, et c'est vrai que je bandais depuis que j'avais aperçu la voiture et sa silhouette, moins de la voir que de me souvenir de tous ces moments que j'avais déjà surpris.
Sa main allait et venait, doucement, sur la queue de son partenaire. Déjà bien érigée. Elle masturbait bien, je l'avais déjà constaté, avec une parfaite maîtrise de l'acte, alternant les mouvements...Ça peut paraître un acte mineur, c'est à la fois très difficile à réussir pour une fille, et une source de plaisir très forte pour un gars...Je suis même sûr que certains préfèrent se faire masturber, à pénétrer une fille...
Elle a attrapé ma queue, et elle s'est mise à me caresser, sur le même rythme. Un rythme lent. Dès les premières secondes, ça a été terriblement bon. Il était vrai que ces derniers temps, je n'avais pas de copines...Ça a été un retour à la sexualité, Une simple main allant et venant sur moi, douce et chaude. Ma queue s'est gonflée, allongée encore, partant vers des chemins qui allaient me conduire à la jouissance, une jouissance que je n'attendais pas. Ici en plein milieu de la rue, alors que, plus que le couple, j'étais en pleine vue. Et je connaissais tout le monde. Mais je n'y ai même pas pensé. J'avais du plaisir, et ça surpassait tout.
On a joui quasiment en même temps lui et moi. Sa queue a craché des jets de sperme, la mienne a suivi quelques secondes après. Elle s'est retrouvée avec les mains et les bras couverts de jets crémeux. Heureusement, elle avait les bras nus. Elle a lapé la semence. J'en rengainé ma queue, qui malgré ma jouissance, n'avait pas vraiment diminué, j'étais excité à la fois par ce qu'elle m'avait fait, une caresse que je gardais et que je garderais dans ma chair et dans ma mémoire, par sa présence et sa sensualité. En vue plongeante sur elle, sa jupe en vinyle retroussée presque à sa taille, je pouvais voir son sexe, entrouvert et luisant d'excitation.
Je me suis éclipsé, encore sous la surprise.
J'enfonçais ma clef dans ma porte quand j'ai senti quelqu'un près de moi. Je me suis tourné et j'ai vu la voiture s'éloigner et la blonde près de moi. Elle a tendu la main vers moi, pour vérifier l'état de ma queue.
— Hmm. Je vois que tu es encore bien raide. Tu as envie de sexe?
Elle a désigné le bloc d'immeubles, deux étages.
— Tu vois cet appartement à droite? Premier étage? Tu sonnes en bas, je te débloque la porte et tu me rejoins dans une demi-heure, le temps que je me pose...
Quand je lui ai dit:
— On se connaît à peine...
ce n'était pas tant parce que je n'avais pas envie de la rejoindre, mais parce que je préférais qu'elle me dise non maintenant que plus tard, quand elle aurait réfléchi.
— Non, on se connaît mieux que ça, puisque tous les midis, tu me mates, et moi je te vois me mater...Ça me plaît, de me sentir observée. C'est excitant. Pour répondre à ta question, je n'en ai pas fait plus parce que tu me matais...Bob et moi on est collègues, on travaille dans la même boite, moi je fais la compta, lui il est au service informatique. On a du plaisir ensemble. Je suis célibataire, j'ai vécu un mariage très difficile, et j'ai décidé que pour les jours qui me restaient, j'aurais des moments vraiment sympa sans tabous ni limites...
Elle a ajouté:
— Je t'attends!
Elle m'a tourné le dos, et elle a traversé, ses fesses lourdes dansant sous la mini-jupe de vinyle avec d'autant plus que liberté qu'elle n'avait pas de culotte.
J'en savais un peu plus sur elle, et où elle habitait. Et que la fenêtre sans tain, ça ne marche pas forcément.
La demi-heure, a été une demi-heure d'attente et d'envie. De ces moments durant lesquels on sait qu'on moment de plaisir arrive, et on ne pense qu'à ça. Une partenaire idéale, dont j'aimais le corps, les formes, et dont je savais l'expérience.
Quand j'ai traversé la rue, un peu plus d'une demi-heure venait de se passer. Je me suis demandé un instant si elle allait répondre, mais elle me guettait sans doute parce qu'en arrivant devant la grande porte, j'ai entendu une sonnerie qui l'a débloquée.
Je suis monté au premier. Quand j'ai débouché sur le palier, une porte s'est entrouverte. Elle était derrière je l'ai bien compris. J'ai avancé vers elle. La porte s'est ouverte en grand. Elle avait perdu tous ses vêtements. Le vent qui soufflait dans la rue, sans doute. Elle avait juste gardé ses bas hold-up et les bottes noires à talon aiguille dont le cuir luisait, neuves ou quasi neuves, comme un appel...
J'ai aimé l'accueil qu'elle m'a fait, non seulement parce qu'elle était nue et offerte, mais aussi parce qu'il y avait quelque chose de chaleureux et d'ouvert dans son attitude. On sentait bien qu'elle avait envie de sexe, mais au-delà, de quelque chose de plus, qu'elle donnait de sa personne, de la chaleur. C'était plus qu'un simple rapport.
Elle est venue se plaquer à moi, cherchant ma bouche. L'épaisseur de son corps, sa chaleur m'ont pénétré et m'ont fait chavirer si par hasard j'avais pu encore hésiter à aller vers elle. Mes mains ont glissé le long de son dos, venant empoigner ses fesses, chaudes et dures. Elle a été chercher, elle, ma queue.
— Je vois que jouir tout à l'heure ne t'empêche pas de bien bander...C'est exactement ce que j'aime. Viens, on va sur le canapé....
Tout s'est fait naturellement, la magie du sexe, et des rapports sexuels...On s'est calés tête-bêche, mais sans être l'un sur l'autre, dans quelque chose de circulaire, Elle sur ma queue qu'elle a caressé de la bouche et de la langue avec la même habileté qu'elle avait mis sur la verge de son camarade de travail, tandis que je plongeais avec un plaisir absolu sur ses parties intimes, fouillant sa vulve fondante, béante et dégoulinante de sa cyprine, venant caresser ses lèvres, glissant en elle...Elle avait du plaisir, ça c'était une évidence...Elle gémissait et dégoulinait de plus belle, son sexe de plus en plus ouvert...
On s'est caressés ainsi pendant un long moment, avant qu'elle ne se dégage.
— Je crois que c'est le bon moment pour que tu me pénètres...
Son sexe était largement ouvert d'excitation, et j'étais fasciné par son gland clitoridien que je n'avais pas bien eu l'occasion de voir quand elle était dans la voiture, et qui me présentait un profil comme j'en avais rarement vu chez une fille, il était décalotté, et il se dressait, fine tige de chair, mais très longue.
Elle m'a fait basculer en arrière, cette fois allongé sur le dos, et elle est venue chercher ma queue, l'attrapant de la main, la caressant, mais elle aurait difficilement pu être plus grosse, avant de se tendre au-delà du dossier du canapé pour récupérer une boite de préservatifs sur une table adjacente, et d'y pécher un préservatif. Elle a déchiré l'emballage d'aluminium pour récupérer une rondelle de plastique toute grasse de lubrifiant. Je pensais qu'elle allait la faire glisser sur ma queue, mais elle a sans doute eu la volonté de me montrer ses capacités, dont je ne doutais d'ailleurs absolument pas, ça faisait plusieurs mois que je la voyais faire, et je savais qu'elle était hyper performante. Elle a attrapé, elle avait sans doute vu ça dans un porno, la rondelle, l'a collée contre ses dents, et elle l'a faite descendre le long de ma queue, jusqu'à arriver à la racine de ma verge distendue. Elle avait glissé dans sa gorge pour les derniers centimètres. Satisfaite de son exploit, elle est remontée, me laissant voir comment ma queue était à présent enveloppée de latex. Elle a retiré un peu du latex de mon gland pour faire un vrai réservoir, et elle est venue balader sa langue sur la latex, en me précisant :
— J'adore le goût du latex et celui du lubrifiant.
Sa langue a glissé le long de ma queue, jusqu'à ce qu'elle vienne me mordiller les couilles. Avant qu'elle ne se décide enfin à s'empaler sur moi. Elle souriait, radieuse, mais je n'étais aussi, du plaisir qui s'annonçait, elle a guidé ma queue vers l'ouverture de son sexe. Elle regardait, je regardais aussi, c'était un gage de plaisir, mais aussi un plaisir en lui-même, que de voir mon gland venir se poser contre ses lèvres et glisser en elle, s'enfoncer au milieu de la muqueuse rose, jusqu'à être totalement avalé. Elle a tout pris en elle, et, en se posant sur mon pubis, poussé un soupir de plaisir.
— Je ne pourrais pas vivre sans queue, elle a soupiré.
Je l'ai attrapée par les hanches et je l'ai faite monter et descendre dessus. Un trip absolu, les yeux clos, elle gémissait et soupirait, mais pour moi aussi, c'était hyper bon. La gaine de sa chatte frottait bien ma queue, et le problème pour nous deux, c'était moins sans doute de jouir que de ne pas jouir. Ça a été très intense. J'avais envie de lui demander si elle baisait comme ça avec son collègue, ou si elle se contentait de ce qui se passait sous mes fenêtres.
Elle a fait quelque chose qui m'a énormément plu. C'était la première fois qu'une partenaire me faisait ça. Resserrant ses muscles vaginaux autour de ma queue, de manière à me présenter son dos, après m'avoir présenté son ventre. Ça a été une sensation très forte. Tellement forte que j'ai failli jouir. Caresse inédite.
J'ai basculé sur un autre plaisir. Celui d'avoir sa croupe sous les yeux, croupe ouverte, bien pleine, bien rebondie, la voir frémir et bouger, s'agiter et trembler, entrouverte sur son anus. Puis de nouveau se retourner, contractant toujours ses muscles vaginaux autour de ma queue, pour se faire monter et descendre sur moi.
Il est arrivé un moment où elle comme moi, on a atteint un point de non-retour. On savait qu'on allait jouir dans les secondes qui suivaient. Elle s'est soulevée, dégagée de ma queue, qui à force d'être caressée et dilatée était énorme, enveloppée par une capote qui dégoulinait de ses sécrétions. Elle l'a remontée, et s'est contorsionnée pour venir envelopper ma queue de ses seins. Ils étaient pleins et lourds...Elle les a écartés, prenant ma queue dont les deux tiers ont disparu. Jamais aucune fille ne m'avait jamais fait de cravate de notaire. La sensation de la délicatesse de sa peau contre moi, de la chaleur de ses seins, sensation d'être enveloppé par une chair de femme, mais pourtant si différente de celle que j'avais pu avoir au creux de son sexe a précipité ma jouissance. Je crois qu'elle ne s'attendait pas à ce que je jouisse aussi vite. Un jet de sperme très copieux a frappé son visage. Elle a eu le réflexe de fermer les yeux, réflexe salvateur car tout son côté gauche, de la joue au front a pris. Elle n'a rien bloqué, gardant simplement les yeux clos pendant que jet de sperme sur jet de sperme jaillissaient, copieux, épais, même si j'avais déjà joui avant.
Elle avait le visage englué d'un sperme qu'elle a ramassé du bout des doigts.
— Tu n'as pas joui?,j'ai dit.
Mais ça tenait moins de la question que de la constatation.
J'ai plongé sur son sexe, et fait ce que je n'avais jamais encore fait. J'ai englouti, comme une fille peut engloutir une queue, son gland clitoridien, et je l'ai sucé. Une impression excitante...Il était long et fin, mais il me remplissait la bouche.
Je ne sais pas ce qui l'a faite jouir, si c'est la surprise d'une caresse inédite, le plaisir de cette caresse ou les deux...En tout cas, peut-être une minute après que j'aie embouché son gland clitoridien, elle s'est mise à se tordre dans tous les sens, criant et éjaculant, trempant mon visage de jets blancs copieux qui ressemblaient furieusement au sperme que je lui avais craché au visage quelques minutes plus tôt. Et moi, la situation m'excitait tellement que je me suis joui dessus, mon sperme partant sur le divan, qui en avait sans doute vu d'autres.
Un moment que je n'aurais jamais cru vivre quand je la matais tout en travaillant.
Quelle serait la suite?
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