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Drones de dames

Doriana est très éprise de son collègue de travail qui ne la voit pas. Pour le convaincre, elle lui envoie des documents où elle se dévoile de manière intime, dont une vidéo tournée avec un drone...

Proposée le 15/09/2025 par jerome james b

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


DRONES DE DAMES
Cela faisait six mois qu'il connaissait Doriana quand elle s'était mise, du jour au lendemain, à l'allumer.
Il avait reçu un soir un sexto qui l'avait sidéré.
Ils avaient échangé leurs numéros quand elle était arrivée dans l'entreprise, intégrant comme lui le service du contentieux.
Un échange de numéro tout à fait classique, d'ailleurs. Ca pouvait se révéler bien pratique d'avoir quelqu'un à appeler quand on avait un problème, et qu'on ne pouvait pas le résoudre tout seul.
Et comme ils n'avaient que des problèmes...
Et un soir, sur le coup de 19 heures 30, la surprise.
Un signal sonore qui venait de son smartphone.
Un SMS de Doriana.
Il l'ouvrit.
Et là, il fut terrassé par la surprise.
Une photo.
Ce n'était pas un coucher de soleil.
Une paire de seins.
Nus.
Qu'il identifia immédiatement, bien qu'il ne les ait jamais vus, comme ceux de Doriana.
Des seins charnus, pleins, haut plantés, bien dressés et fermes.
Il ne douta pas un seul instant que ce soient ceux de la jeune femme.
Il ne l'avait bien sûr jamais vue la poitrine nue, mais il l'avait sous les yeux toute la journée, et l'aperçu qu'il pouvait avoir de son corps laissait penser que la poitrine qu'il voyait sous des tissus divers, moulants ou flous, couvrant partiellement ou totalement ses seins, décolletés ou non, était bien celle qui lui était offerte, entièrement dénudée, sur ce cliché.
Doriana était une très belle jeune femme. Elle était très grande, vraiment élancée, avec des talons, elle atteignait des sommets, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir des formes, et des formes généreuses. Qu'elle savait mettre en valeur avec des tenues moulantes et révélatrices. Chez elle, il n'y avait rien à jeter d'ailleurs. Une chevelure blonde longue et épaisse qui captait les rayons du soleil et les regards et un très beau visage, harmonieux dans son dessin.
En plus, et ce n'était pas négligeable, c'était une fille simple, chaleureuse, facile à vivre,
Il remarqua ensuite la légende.
Tu n'aimerais pas jouer avec ?
Il était totalement perplexe.
Bien sûr, et il aurait fallu être aveugle, il avait bien remarqué les charmes de Doriana. Mais il n'avait jamais pensé qu'elle puisse lui proposer.
Elle n'avait pas montré qu'elle puisse être intéressée par lui.
Elle s'était certainement trompée d'interlocuteur.
Il avait choisi d'ignorer le message.
Faire comme s'il ne l'avait jamais reçu.
D'ailleurs, c'était certainement une erreur.
Elle n'évoqua d'ailleurs pas ce SMS quand ils se retrouvèrent au bureau.
Elle était totalement normale, comme si rien ne s'était passé.
Oui, sans aucun doute, c'était une erreur, dont elle ne s'était même pas rendue compte.
Pourtant, ce jour-là, il regarda la jeune femme différemment. C'était vrai qu'elle était hyper-féminine. Ce qui lui avait un peu échappé jusqu'alors. Il avait toujours été dans l'idée qu'il ne fallait surtout penser à une éventuelle relation avec ses collègues, et il n'avait jamais réellement envisagé qu'il puisse se passer quelque chose entre Doriana et lui. Il avait donc gommé dès le départ tout désir, si minime soit-il.
Elle était très sexy ce jour-là, avec un pantalon en vinyle hyper moulant, des bottines avec des talons aiguille de dix centimètres, et une chemise en satin dont les premiers boutons étaient défaits, laissant voir un bon tiers d'une poitrine qui ressemblait furieusement à celle de la photo.
Et pour cause.
Partagé entre l'envie et l'inquiétude, il attendit un autre envoi dans la soirée.
Rien.
Il en éprouva du soulagement. Il préférait rester sur ces relations, neutres.
Il pensait à la formule, moche, stupide même pour lui, 'No zob in the job...'
C'était tout aussi bien.
Une relation c'était faire parler, attirer des jalousies, voire plus. Et si la relation prenait fin...Et qu'on devait continuer à travailler avec une personne qui ne vous aimait plus, ou vous aimait encore, mais voulait se venger de vous...
C'était très bien comme ça.
Ce fut seulement à la fin de la semaine que son smart phone fut agité, sur le coup de vingt heures, par une série de signaux.
Partagé entre joie et crainte, il s'approcha, et découvrir une longue série de clichés. Il devait y en avoir une bonne trentaine.
Si le premier cliché pouvait avoir été fait en selfie, ce n'était clairement pas le cas de ceux qui venaient par la suite. Quelqu'un avait pris les photos. Qui? Il n'aurait sans doute pas de réponse.
C'étaient en tout cas de très belles photos. On aurait même dit des clichés artistiques.
Doriana était entièrement nue, sauf pour divers accessoires, qui pouvaient disparaître selon l'occasion. Il y avait sans doute un ordre, on partait d'une tenue maximum, si on pouvait dire avec un soutien-gorge, des bas stay-up et des bottines lacées avec des talons de dix centimètres. Difficile de rester indifférent. Si elle gardait les bas jusqu'à la fin, elle faisait par contre sauter le soutien-gorge dévoilant une poitrine qui était clairement similaire à celle du premier cliché.
Des clichés érotiques très classiques, à ceci près qu'elle s'arrangeait pour garder son visage dans l'ombre. Difficile de ne pas être troublé, par ces photos, sur lesquelles elle prenait des positions très diverses, dans une gamme qui allait du soft au plus hard, quand elle ouvrait son sexe avec ses doigts...
Une chose était sûre, si ce n'était pas Doriana, alors c'était son sosie. Bien sûr on ne voyait pas son visage. Mais en tout cas, il y avait une ressemblance...Etonnante...
Il avait passé la soirée à regarder les photos, saisi par le désir. Il se sentait pourtant totalement bloqué. Répondre? Ou ne pas répondre? Il était effrayé à l'idée d'engager une relation qui pourrait mal tourner, avec le risque que ça lui retombe dessus, si un jour ça partait mal...Pour lui une relation en milieu professionnel, c'était prendre tous les risques, même si au départ, ça se passait bien. Et puis, ce qui le surprenait quand même, c'était qu'après l'envoi du premier SMS, Doriana n'avait rien laissé entrevoir qui puisse penser que c'était bien à lui qu'elle avait envoyé cette photo...
Donc, il était réticent.
D'autant que le lendemain, de retour au travail, rien, absolument rien n'avait changé. Pas le moindre signe de la part de Doriana. La routine, comme d'habitude. Il en arrivait sérieusement me demander si elle ne se trompait pas de correspondant. Mais comment poser la question?
Ce jour-là, elle était ravissante. Comme toutes les autres journées d'ailleurs. Elle portait une jolie robe qui soulignait sa silhouette, et qui se révélait aussi transparente. Soulignant ses formes, donnant des aperçus de son corps. Il avait très vite acquis la certitude qu'elle ne portait absolument rien dessous, selon sa position et les angles de lumière, il apercevait des bouts de chair...
Il se passa encore une semaine avant qu'il ne reçoive un autre envoi. Cette fois par Wetransfer. C'était donc que le fichier était volumineux.
Il ne lui resta plus qu'à le décompresser.
Un fichier vidéo, effectivement.
Avec une légende.
Si tu n'es pas convaincu cette fois...Je te rappelle mon numéro de portable.
C'était bien le sien.
Il lança la vidéo. Un lanceur classique, type vlc suffisait.
Une image de qualité, dont il comprit dès les premières secondes qu'elle avait été faite avec un drone.
Le premier plan, c'était devant un immeuble de quelques étages. Il y avait une fenêtre ouverte. Le drone se rapprochait lentement de la fenêtre. Une silhouette se précisait, c'était celle de sa belle collègue. Doriana, c'était clairement elle, elle n'avait pas le visage masqué. A la main la télécommande qui lui permettait de contrôler le drone, et comme vêtement une paire de longues bottes noires qui lui arrivaient en dessous du genou, bien noires, bien luisantes, et avec des talons aiguille d'une dizaine de centimètres, du nylon au-delà et une robe identique à celle qu'elle avait au bureau, Elle avait un sourire immense, heureuse, d'évidence, de sa démonstration. Elle a parlé, et ça avait bien été enregistré par le drone, disant:
— Profite bien des minutes qui vont suivre.
Et effectivement, il ne devait pas être déçu dans les minutes qui suivaient. Il y avait dans ce moment tout ce qu'une femme peut mettre de séduction.
A commencer par un strip-tease.
Il n'avait pas été conscient, jusqu'à ce moment, de la valeur que pouvait avoir un strip-tease. A quel point ce pouvait être troublant. Pour lui, c'était quelque chose du passé, inefficace.
Elle se pencha légèrement pour attraper l'ourlet de sa robe, et elle fit remonter celle-ci très lentement le long de son corps.
A cet instant, non seulement il avait la queue raide de désir, mais en plus il n'existait plus que pour ce spectacle. Rien n'aurait pu l'en détourner.
Doriana était vraiment belle, à la fois longue et bien galbée. Des jambes interminables, en plus gainées de nylon. Le nylon de bas stay-up.
Il se dit qu'elle allait le rendre fou à se dévoiler si lentement. En même temps, ça n'aurait eu aucun impact si elle s'était dépoilée en deux secondes. Ca créait une tension, un désir.
Son sexe apparut. Une toison fournie, une fente dont sortaient ses lèvres. Même dans une vidéo prise par drone, il voyait bien qu'elle mouillait, ça faisait sa chair luisante, et que ses lèvres gonflaient.
Elle continua de remonter. Dévoilant son ventre, marqué par l'empreinte de son nombril...Une belle peau, un ventre légèrement bombé...Jusqu'à une paire de seins qui avait marqué le premier acte, dont une partie apparut, avant qu'elle ne les laisse jaillir de sous le tissu, toujours pleins, charnus, lourds mais tellement fermes, dressés comme pour une offrande...Oui, elle avait vraiment des seins magnifiques. Mais le reste n'était pas mal non plus.
La robe fut enfin à hauteur de ses épaules. Elle la fit passer au-delà. Elle se retrouva quasi nue, toujours sous l'oeil du drone, la robe basculée derrière elle sur le lit, et elle se retourna pour lui montrer son côté pile et ses fesses, qui à elles seules, valaient le coup d'oeil.
La première partie valait son pesant d'or. La seconde partie arriva très vite. Elle fit prendre de la hauteur au drone, mais pas trop, pour le positionner en une contre plongée, mais pas trop haut pour qu'il voie vraiment bien. Et effectivement, il pouvait vraiment bien voir.
Elle se laissa partir en arrière sur la couche. S'abandonnant totalement. Et elle commença à se masturber. Jambes ouvertes, son sexe ouvert. Elle zooma, dézoomant à certains moments, sur son sexe. Sa main tournant, dans un mouvement régulier, garantie de plaisir, son plaisir évident, vu la manière dont son sexe évoluait, plaisir, il le comprenait bien, en grande partie du, aussi, au fait de se filmer avec un drone. Ce qu'elle lui offrait, c'était un spectacle aussi troublant qu'intime. Un privilège, sans aucun doute, car qu'une fille se caresse devant et pour un homme, c'était quelque chose de très rare.
Son sexe était devenu visqueux très vite, un liquide gras et luisant coulait d'elle, qui trempait sa chair, ses mains, elle en avait partout.
Elle tendit la main, la glissant sous l'oreiller et est revint avec un gode rose du plus mauvais goût, un objet oblong, mais qui sans aucun doute, allait être parfait pour lui donner du plaisir. Fasciné, il la vit commencer par appuyer le pénis de plastique contre ses lèvres, puis frotter celles-ci, toutes gonflées, avant de le faire rentrer en elle. Ce fut un spectacle des plus excitants, dans la manière qu'elle eut de gérer la chose. Elle ne l'enfonça pas d'un seul bloc, au contraire, elle le fit rentrer très lentement, et la vision de l'objet qui disparaissait, et qu'il imaginait planté au plus profond d'elle-même le mettait dans tous ses états. Elle l'avala aux trois-quarts avant de le faire bouger en elle. Zooma en arrière, pour lui présenter les réactions d'une femme se donnant du plaisir. Transportée, transfigurée, elle en avait sans doute encore plus du fait de se filmer ainsi, de s'offrir à la caméra, et à celui qui recevrait la vidéo.
Son sexe était tout congestionné, gland clitoridien décalotté et dressé comme une mini-bite, lèvres épaisses d'être gorgées de sang...
Elle commença à crier quelques secondes avant d'avoir arraché le gode planté dans son ventre. Il y a eu des jaillissements d'un liquide crémeux, tout blanc, dans les airs, quatre, qui ont taché le dessus de lit, et sans doute au-delà. De toute façon, il avait la vidéo, il pourrait se la repasser autant qu'il le voudrait.
Elle finit par rattraper la télécommande. Le gode était toujours fiché en elle, aux trois-quarts, vision ultra-excitante. Elle resserra sur son visage, sur lequel se lisait encore l'extase, et elle dit:
— Je voudrais remplacer le gode par ta queue...Si tu es intéressé, appelle-moi, tu as mon numéro.
Il était temps qu'il sache. Dans un sens comme dans l'autre. Il attrapa son portable. Son numéro était toujours dans le répertoire. Il le composa.
— Doriana ? C'est Jean-Charles...Excuse-moi...Je te dérange sans doute, mais je voulais te demander quelque chose...Je reçois depuis quelques jours...Euh...Des documents, des photos et des vidéos...Disons intimes de toi...Et je me pose des questions...Est-ce que c'est toi qui les envoie, et est-ce que tu me les envoies à moi? Je suis convaincu que c'est une erreur, que tu veux les envoyer à quelqu'un d'autre.
— Non, non, c'est bien pour toi...
— Mais...Pourquoi moi?
— Hé bien, parce que tu me plais...Enfin, tu n'as pas vraiment l'air de t'en rendre compte...C'est pour ça que j'ai décidé de frapper fort...Tu es convaincue par mes charmes?
— Difficile de ne pas être convaincu...A vrai dire, je me suis toujours auto-censuré...On travaille ensemble.
--On saura être discret. Si tu venais me rejoindre ? Tu connais mon adresse ? Je t'attends.
Il récupéra ses papiers, les clefs de sa voiture, et il partit la rejoindre.

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