Valérie et l’inconnu de histoire-erotique.org  . 3

Valérie continue avec Phillipe sous le regard de son mari qui met aussi la main à la pâte. Elle aime la sodomie mais avec cet amant infatigable, il faut beaucoup de courage.

Proposée le 4/07/2025 par mlkjhg39

Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Valérie et l’inconnu de : histoire-erotique.org . 3

Je le remercie et reconnais que j’ai rarement eu des amants aussi performants, sinon jamais. Il est assez fier de sa prestation, m’embrasse sur la bouche au goût de sperme et me donne une tape sur les fesses. Nous nous retrouvons autour de la table pour nous restaurer. J’interroge Philippe :
-Ça t’arrives souvent de rencontrer tes fans comme nous ?
-Quelques fois, des couples ou des femmes seules, chez moi ou chez eux. Si je le voulais, je pourrais faire le tour de France sans jamais avoir à réserver un hôtel. De la Suisse au Canada, et même de l’inde ou d’Afrique, on me contacte.
-Mais comment fais-tu pour avoir un chibre pareil, et surtout bander aussi dur et aussi longtemps ?

Suite :
-Je le dois à ma mère, avoue Philippe, une drôle de femme… Dès la puberté, elle m’a obligé à porter un cokring, toujours plus petit que ce qu’il m’aurait fallu. J’ai passé un nombre incalculable de nuits, réveillé en plein sommeil par une érection incontrôlée qui me sciait la bite. Comme un élastique que l’on tend plus que de raison et qui ne revient jamais à sa forme initiale, les corps caverneux de ma verge ont pris une souplesse qui leur permet de se dilater beaucoup plus que le commun des mortels. Il faut dire que la nature a bien fait les choses aussi de ce côté-là. Quand elle s’apercevait que l’anneau devenait trop petit, elle m’en faisait changer comme pour mes chaussures, prenant la taille supérieure, millimètre par millimètre.
Une fois, une femme m’a accusé d’avoir abusé d’elle, je l’ai confondue devant la juge qui m’y avait autorisé ainsi que les avocates curieuses du procédé en lui présentant trois petites vidéos avec des hommes ayant des sexes de différentes tailles, moins de 12 cm,15 cm, et plus de 20 cm, massives comme la mienne, (que vous pouvez visionner en tapant « contribution amateur, bite hors normes » sur votre clavier. Elle a choisi la deuxième vidéo représentant plus de 95% des hommes), les 5% restant se partageant le reste. C’est comme ça que je l’ai confondue car elle avait rejeté catégoriquement les deux extrêmes.

Il est resté dénudé, sans aucune gêne, quand je regarde son sexe, le serpent est lové autour de ses couilles et touche pratiquement l’assise de la chaise. Il surprend mon regard, je suis prise sur le fait de ma lubricité et fantasmant sur la suite annoncée. Mais il voit mon hésitation et sourit en me montrant l’effet que ça provoque sur sa verge qui se déroule et grossit à vue d’œil.
-Valérie, on dirait que tu as encore envie de moi, et tu constates l’effet que ça me fait. On va bientôt remettre le couvert « sans utiliser ceux sur la table »…

On se lève et je viens me coller contre lui, redressant sa teub pour la placer entre nos ventres. Vu la différence de taille entre nous, son gland qui dépasse largement au-dessus de son nombril vient pratiquement s’insinuer entre mes seins. Si ma petite minette a eu du mal à loger tout ça, mon cul devrait y arriver, mais vu sa grosseur, je vais dérouiller dur.
– Tu as déjà eu une bite dans ton cul ?
– Oui, mais rarement, et jamais d’un tel calibre.
– Ton mari ne t’encule jamais ?
– Si, ça lui arrive, heureusement que j’ai un bon gel lubrifiant.
– Et bien, tu vas avoir mon défonce-cul dans le fion, mais avant, utilise ta salive pour le lubrifier.
-M’autorises-tu à lui donner un coup de mains, si je puis dire ? Le supplie mon mari. Si j’ai autorisé Valérie à te rencontrer, c’était pour voir en 3D une fois dans ma vie un homme comme toi, monté comme un étalon. Je fais petit garçon à côté de toi. Tu me fais penser à mon talent de bricoleur. Comme on dit, une mauvaise photo vaut mieux que toutes les notices. Mais quand on peut profiter des deux avec celui qui a écrit la notice et posté la photo et qui vous démontre par A + B comment faire rentrer une grosse cheville dans une petite mortaise sans coup férir, quel pied ! Comme beaucoup, je t’ai pris pour un mytho en lisant tes histoires mais tes vidéos m’ont édifié. Tu n’as rien à envier à tes héros.
-Je n’y vois aucun inconvénient, si ta femme est d’accord. Annonce Philippe, ne tenant pas compte de tous ces compliments.
-C’est bon pour moi, j’acquiesce, je lui dois bien ça.

Nous nous retrouvons donc les deux à branler et sucer son obélisque, je constate que même les mains de mon mari peinent à en faire le tour et que ses deux mains l’une sur l’autre ne suffisent pas pour couvrir la totalité de cette formidable colonne de chair.
-Je n’en reviens pas de sa rigidité, vu sa taille, avoue mon époux, quelle bite !!! Surtout après s’être vidé les burnes déjà deux fois, un Rocco Siffredi bis. Un vrai couteau suisse !
-Allez Valérie, je vais te sodomiser en douceur, je suis sûr que tu vas adorer et ton mari apprécier, annonce Philippe en nous repoussant.

La tige pharaonique graissée par nos salives mélangées et le fion largement arrosé de gel lubrifiant, Philippe appuie sur ma rondelle qui se creuse sous l’effort avant de céder sous son gland, sa colonne est si puissante qu’elle ne plie qu’à peine sous l’effort. Je me raidis, souffrant en silence mais mon envie d’être prise par un tel bélier est la plus forte. Sa poutre pénètre lentement, je suis surprise de sentir la grosse queue s’insinuer aussi facilement dans mon fondement malgré son diamètre inusité, quelle sensation voluptueuse/ mais douloureuse.
Il stoppe au bout de quelques centimètres puis se remet en mouvement, me faisant hurler mon bonheur. Heureusement que mon anus s’assouplit très vite, s’habituant à l’intrus surdimensionné. Sa teub pénètre peu à peu ma rondelle plus accueillante. Mon anneau musclé a rendu les armes et se détend. Ses mains me tiennent fermement par les hanches. Je pousse en arrière mes fesses dès que je sens mon anus qui se distend pour abréger le merveilleux supplice. Sa verge entre, prenant sa place en pays conquis, glisse de plus en plus loin dans mon conduit anal. Je suis enculée, sur les genoux et les coudes, la joue droite aplatie sur le sol, nue. Philippe grogne : ¬
-Empale-toi encore plus, empale ton beau petit cul sur ma queue jusqu’à ce que tu sentes mes couilles, s’écraser sur ta minette …
- Que c’est boooooonnnnnn, mais putain que t’es gros, hoooooo ouiiiiiiiiiiiiiii je vais juoiiiiiiiirrrr du cul !

Les contractions de mon vagin ne trompent pas et mon jus inonde ses couilles, jamais je n’ai joui aussi fort et aussi longtemps avec un homme. Je suis dilatée à outrance, ayant perdu toutes notions de la réalité. Il me lime et je suis ballotée par la puissance de ses coups de boutoir ininterrompus, les seins secoués, le corps en sueur, mes orgasmes se succèdent à un rythme infernal. Je tends mon cul. Son mandrin me perfore, défonce mon intimité… Brutalement une sensation nouvelle me surprend. Il est fiché au plus profond de mon cul et ses couilles frappent sur ma vulve. Le plaisir est tel que j’explose à nouveau. Je crie mon plaisir et le supplie de me prendre à fond sans aucune retenue, de me défoncer comme la chienne que je suis, de me pourfendre de son sabre. Je me conduis comme la dernière des traînées sous le regard de mon mari qui branle sa nouille, complètement envouté par le spectacle que je lui donne.

Je suis pratiquement inconsciente lorsque Philippe décharge dans mon boyau et se retire rapidement en grognant comme un fauve pour zébrer mon dos d’une ligne pointillée de mes fesses à mes cheveux sous les encouragements de mon mari qui voit la grosse veine sous la hampe se gonfler et expulser la troisième dose de sperme de cet étalon exceptionnel, ses paroles me sortent de ma torpeur.
Nous restons un grand moment amorphe. Sa queue perd du volume très lentement, toujours compressée par ce foutu anneau et se vide du surplus de sperme.
S’il me demandait, là, de partir avec lui, sans un moment de honte et de regret pour mon mari, je dirais oui…

Mon mari prend la place de Philippe et sa langue s’anime pour me nettoyer le corps puis vient placer sa tête entre mes cuisses largement écartées et me comble d’un magnifique cunni, passant d’un trou à l’autre, dégustant ma cyprine et le sperme de Philippe mélangés, épicés d’une autre odeur, irritant mon clitoris avec sa barbe. J’ai un nouvel orgasme qui me fait lâcher prise et me fait presque m’évanouir. Quand je reprends conscience, ils sont là, me câlinant comme une petite fille.
C’est à ce moment que je remarque des traces rouges qui zèbrent le dos de Philippe, il faut dire que j’ai des ongles assez longs et pointus.
-Oh pardon Philippe, je ne me suis même pas rendu compte que je te griffais, ni quand d’ailleurs.
-Ne t’inquiète-pas Valérie, je cicatrise vite, blessure de guerre. Ton cul est bien lubrifié, va à la douche le temps de te remettre et à ton retour, tu me diras si ça te suffit ou si tu es partante pour un round supplémentaire…

Mais c’est qui ce mec ??????????

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