Histoire d'Abi

J'ai publié ici l'Histoire de Julie. C'est la même histoire vue du point de vue d'Abi. Lisez les deux ! En pleine vague de chaleur, Abi et Julie se rencontrent chez Julie pour finir un projet. Cette rencontre hors du bureau va provoquer de nombreuses aventures et découvertes...

Proposée le 4/07/2025 par Chris2004

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Abi se rend chez une collègue souffrante pour terminer un dossier…
Cette rencontre va réserver quelques belles surprises…


Scène 1 : Abi et Julie


Moi c’est Abi, 26 ans, cheffe de projet dans une multinationale. Oui, cheffe de projet à mon âge, c’est rare… Je vous assure que je n’ai pas couché ! Bachelière très jeune, j’ai terminé mon école de gestion à même pas 22 ans…

Je suis de taille moyenne, un bon mètre soixante-dix, plutôt bien faite, j’aime bien mes seins « pamplemousse » et mes fesses bien rondes sans que ça me fasse un gros cul, j’ai un beau petit nez et une bouche un peu petite à mon goût !

Je dois passer chez Julie, cheffe de projet comme moi dans la même boîte et des départements très proches, on a un dossier commun à terminer.

Malheureusement, elle est souffrante, un air de grippe en plein mois de juin alors qu’il fait beau et chaud, mais elle m’a précisé qu’elle allait mieux et que je pouvais passer chez elle sans problème.

Julie m’intrigue, elle est mignonne, plus grande que moi, un peu plus âgée sans doute, mince, vraiment à mon goût : j’en ferai bien mon quatre heures comme on dit.
Mais elle est en couple et à priori je ne pense pas que les filles la fasse mouiller !

Comme moi, les mecs au boulot la matent et plus d’un se la ferait s’il pouvait, mais pas question de ça au bureau : si on se fait un mec, il va se prendre pour le roi du monde et s’en vanter partout !
Au boulot, on est donc BCBG, tailleur pantalon noir et chemisier blanc le plus souvent, lingerie discrète…

Toutes les deux cheffes de projet à nos âges, il faut dire que ça excite les machos !

Julie me plaît, il fait chaud, je me met en mode avion de chasse : crop-top lycra blanc moulant à souhait, braless bien sûr, tétons visibles même par un aveugle, micro-string rouge feu et petit short bleu foncé, coupé bien échancré comme un tanga et qui moule parfaitement mes fesses…

On verra bien, j’aurai peut-être une bonne surprise !

Je sonne… Je sais qu’elle est seule chez elle, son copain est en séminaire je crois.

Julie m’ouvre. Pas difficile de voir que ma tenue la surprend, ça dure une demi-seconde et elle redevient naturelle ! Sacrée comédienne !…
Elle était étonnée, c’est sûr, mais troublée ou bien choquée, j’avoue que je n’en sais rien !

On se fait la bise comme au taf mais je laisse quand même traîner ma main dans son dos un peu plus longtemps et un peu plus bas qu’au boulot. Elle l’a senti et on voit bien qu’elle se pose quelques questions !

Elle monte se changer, elle redescend en tee-shirt large et pantacourt de pyjama plutôt mignon.
Je suis sûre que ma tenue lui plait et qu’elle me mate. Ça m’excite et mes seins pointent dur maintenant ! Very-very hard nipples, réaction naturelle et incontrôlable !

On se met sur notre projet, c’est quand même pour ça qu’on est là, officiellement au moins.
Une bonne heure pour se mettre au point sur le dossier et boire un coca, il fait chaud ! Je suis sûre qu’elle aurait aimé que je le renverse sur mon top, comme pour un concours de tee-shirts mouillés ! Morte de rire intérieurement…

C’est le moment de partir, on se refait la bise… Je lui fais un baiser un peu plus long près du lobe de l’oreille, mais cette fois-ci c’est elle qui laisse quasiment traîner sa main sur mes fesses !…

Je lui fais des petits bisous sur les lèvres, elle répond, ouvre la bouche et glisse sa langue… qui trouve sa jumelle qui ne demandait que ça !

On se roule des patins d’enfer, je lui vire son tee-shirt et son soutif, lui titille les tétons, visiblement je peux y aller !

Elle vire mon top et pince mes nipples, bien fort, sans hésiter… Je mouille comme une malade, on se lèche et mordille les mamelons, les siens comme les miens sont durs comme l’acier !

Sûr que je ne regrette pas la tenue de salope que j’avais choisie !

Je descend mon short et son bas de pyjama, on est toutes les deux en string, elle est subjuguée par le mien, rouge pétant, je suis sûre qu’elle n’en n’a jamais vu d’aussi petit ! C’est juste un T derrière, elle ne l’a pas vu mais sa main le lui a dit, et il est tellement étroit devant qu’il est rentré dans la fente !

Je me mouille les doigts pour attaquer son clito, elle fait pareil ! Elle doit dégager mon string des grandes lèvres pour faire ce dont on a envie toutes les deux, pour moi c’est plus simple, son string n’est pas étroit comme le mien !

Nos corps réagissent, ondulent, se cabrent, nos mains cherchent nos points G, massent les seins, les siens en forme de poire semblent chercher le ciel !

J’en profite pour lui donner une petite fessée, moaning d’encouragement, elle aime ! On se sucent et mordillent le tétons…

Elle m’entraîne dans sa chambre, on est nues, on a perdu nos strings dans la bagarre ! Je l’allonge sur le lit pour un bon 69 avec nos langues qui sucent le bouton du plaisir et nos doigts bien profonds qui font des aller-retour. Elle me supplie d’aller plus loin et plus fort, j’ai pourtant presque la main entière dans son sexe, je joue du poignet pour la baiser plus hard. Elle jouit la première, elle hurle comme une folle, elle tremble de partout...

Deux secondes pour récupérer et c’est elle qui passe au-dessus, je ne vais pas tenir longtemps, j’explose, ma mouille est abondante, elle l’aspire, la lèche… Finalement, c’est une vraie salope sous ses airs de fille macquée et rangée ! Elle trouve mon point G et là je meurs de plaisir… Je mouille encore plus qu’elle, ses doigts sont trempés, je les lèche avidement.

Elle va pouvoir changer les draps, avec la transpiration et tout ce qui a coulé de nos sexes !

Mais je dois partir, je vais me mettre en retard, je retrouve mon short, mon top et mon dossier…

On se roule un long et tendre french-kiss en guise d’au revoir.

D’un seul coup, elle retourne dans le salon et revient avec mon string :
- tu oublies ça !

Je le prend et lui met dans la bouche !
- c’est cadeau !

Elle le retire de sa bouche, cherche le bon sens, ce qui n’est pas évident, et l’enfile !

Un tour sur elle-même en se dandinant puis elle me tourne le dos et se cabre comme une roulure qui veut se faire prendre en doggy !

Elle passe une main dans mon entrejambe et ouvre la porte, quasiment nue. Un voisin est dans le couloir mais il ne remarque rien !

Je reste quand même convaincue qu’elle n’avait jamais baisé avec une fille, c’est une découverte et une révélation pour elle.


Scène 2 : Abi et un inconnu


Je prend le métro pour rentrer. Un type, plutôt beau gosse, me mate, pas discret du tout. Il faut dire qu’on voit bien que mon short est mouillé et moule mon sexe, on devine tout ! Visiblement il bande…

Il s’approche et passe direct sa main entre mes cuisses. Je fais mine d’approuver pour saisir sa queue à pleine main, la serrer et la tordre un bon coup. Ça lui dû lui faire sacrément mal, je pense qu’il en a pour plusieurs jours au moins, il se barre et me laisse tranquille.

Rien ne dispense du consentement !… Rien !


Scène 3 : Abi et Stéphanie


Je rentre chez moi. Zut, Stéphanie est là ! C’est plus ou moins ma régulière, plus petite et plus ronde que moi, elle ressemble un peu à une latina. On ne vit pas ensemble mais à un moment je lui avais donné un jeu de clés qu’elle a toujours. Elle s’en sert de temps en temps, à l’improviste.

- Je suis passée, je t’emmène au cinéma !
C’est là qu’elle est chiante, toujours des films intello, Marguerite Duras et consœurs. Heureusement quand c’est vraiment chiant, on se galoche et on se doigte !… En silence même si parfois on voit qu’on nous a vus, ce qui n’est pas pour nous déplaire !…

Aujourd’hui, mon problème, c’est que je n’ai plus de culotte… Tant pis, on verra bien !

Pas grand monde dans la salle, un film vénézuélien sans queue ni tête, sans queue surtout. J’ai envie de partir, elle le sent et se met à me titiller les tétons qui sont encore sensibles. Sa main descend dans mon short…

- mais tu n’as pas de culotte ?
- un mec m’a maté dans le métro, elle était mouillée…
- un mec ?
- oui un mec mais je l’ai mis dans un drôle d’état !

Finalement, je n’ai pas eu besoin de mentir. OK, je suis quand même un peu perverse sur ce coup là mais je n’ai dit que des choses vraies !

On rentre, je la baise sauvagement dès qu’on est dans l’ascenseur, je lui attache les mains dans le dos, je la fiste un peu vite, sans ménagement, je la suce et lui mord le clito…
Elle aime ça et explose !

On chuchote :
- c’était bien, ça fait longtemps que ça n’avait pas été aussi bien !
- c’est ma rencontre cet aprem qui m’a donnée des idées…
- n’hésite pas à reprendre le métro ! Et elle est où ta culotte ?
- au linge sale, c’est un nouveau string…
- je pourrai le voir ?
- bien sûr, c’est un petit string qui te plaira, tu le verras quand je l’aurai lavé !
- après la séance, il faut que je rentre, demain je bosse
- OK, un petit baiser ?

Elle m’embrasse passionnément et se sauve dès la fin du film.

Direction l’appart : douche et dodo, je suis vannée !


Scène 4 : Abi et Julie


Deux jours plus tard, Julie est de retour au bureau :

- bonjour, tu vas mieux, tu es remise ?
- oui, j’ai bien transpiré avant-hier, ça fait du bien !
- c’est sûr, une bonne douche après et on est transformée…
- à qui le dis-tu !

Ça a été comme ça ensuite, deux collègues select que certains doivent croire mal-baisées !

Jusqu’au jour où on doit clore un dossier et on a prévu de le faire en début de soirée.
- à cinq heures dans mon bureau ?
- comme prévu, c’est OK
- cool.

Je n’avais pas fait attention en arrivant ce matin mais aujourd’hui elle a une jupe noire juste au-dessus du genou, un collant (ou des bas ?) anthracite. J’ai aussi mis une jupe, quasiment identique à la sienne, des bas très fins avec une belle bande de dentelle, porte-jarretelles assorti, un string noir plutôt grand. Hé oui, s’il y a des mini-strings, c’est qu’il y en a des grands !

Elle arrive à l’heure, le dossier est compliqué et on bosse au moins jusqu’à huit heures.

Je prend l’initiative :
- on a bien bossé, on a droit à un petit réconfort !

Ses yeux pétillent, j’y vais ! Je remonte ma jupe, enlève ma culotte et met mes jambes sur les bras du fauteuil, offerte.

Une telle offre ne se refuse pas, elle se met à genoux et commence à me lécher la chatte. Elle prend son temps, minaude, me caresse les seins, me fait des petits baisers dans le cou…

On est seules au bureau maintenant, elle se dessape, se retrouve seulement « vêtue » d’un petit string qui ne cache pas grand-chose, voire rien du tout, et de bas fix-up…

C’est maintenant elle qui domine, elle me présente un sein que je dois sucer, guide ma main vers l’autre pour se faire titiller le téton, m’invite à lécher son sexe bien ouvert, jambes écartées…

Je monte en pression et elle me sort son plus beau sourire ingénu quand elle voit que je ne tiens plus et mouille comme une pétasse…
Elle en profite pour fourailler dans mon vagin, je suis bien décidée à me faire squirter hard sans attendre…
J’aurais aimé tenir plus longtemps mais c’est impossible : le plaisir est là, intense et violent ! Je me cabre, je tremble : elle me sourit les yeux dans les yeux, me fait lécher ses doigts pleins de ma coule, c’est bon !

Je me ressaisis, à moi de m’occuper d’elle. Je suis sûre quelle a acheté son micro-string pour moi. Elle se place jambes bien ouvertes, penchée, les coudes sur le bureau, offerte à la luxure. Elle est bien mouillée…

Je lui susurre à l’oreille :
- allons-y doucement, laisse moi faire sans bouger !
- oui, oui, doucement, faisons durer…
- c’est pas ce que tu as fait avec moi…
- souvent femme varie !
- sens mes mains sur tes seins, mes doigts dans ta chatte, mon sexe qui se frotte sur ta cuisse, ma langue entre tes fesses…
- mmmmm…
- interdiction de gémir mademoiselle, on est au bureau !

Elle se penche encore plus, ses seins s’écrasent sur le bureau. Elle se met à trembler de façon incontrôlée, part en femme fontaine … en silence !

- c’est bien mademoiselle, je vous félicite
- c’est parce qu’au travail vous êtes très concentrée sur ce que vous faites ça se sent…

On a recommencé deux ou trois fois, à chaque fois que le taf exigeait qu’on termine tard toutes deux !
Une fois elle m’a même fait la surprise de passer la journée sans culotte pour moi !


Scène 5 : Abi et Stéphanie


Vous avez compris qu’on n’est fidèles ni l’une ni l’autre…

On en parle quelquefois :
- tu as une nouvelle copine ?
- au bureau de temps en temps, il y a une fille que j’aime bien !
- et ?
- et rien, elle est macquée !
- ça ne te gène pas !
- bien sûr, tu le sais ! Mais tu sais aussi que je peux pas me passer de ton cul…
- elle s’appelle comment ?
- Julie, et lui, c’est Alain, je ne l’ai jamais vu
- mais tu as retenu son nom !
- ils m’ont invitée samedi prochain…
- un plan à trois FFM, je sais que tu aimes ça ?
- on verra bien !

Je sens que cette perspective ne lui plaît pas trop quand même. N’est pas complètement libérée qui veut…
Je m’occupe d’elle très tendrement pour faire passer la pilule… Elle se laisse faire et prend soin de toutes mes parties sensibles, y compris la raie des fesses il n’y a qu’elle qui a le droit de lécher mon trou du cul...

La pression monte doucement mais très haut, on jouit fort, presque en même temps...


Scène 6 : Abi, Julie et Alain


Il fait chaud, je ne sais pas trop comment m’habiller. Je n’y avais pas pensé au départ mais, même si ça ne l’emballe pas, l’idée de Stéphanie et de son plan à trois me plaît…

Crop-top moulant noir, quasi transparent et très décolleté qui rend mes seins plus visibles et les met plus en valeur que si j’étais topless !
Il ne faut pas que je bouge trop si je veux que mes seins ne se dégagent pas d’eux-mêmes du top !

Jupe noire aussi, au ras des fesses et même plutôt deux ou trois centimètres au-dessus !
String perle rouge si vous voyez ce que c’est !

Je sonne. C’est Alain qui ouvre, il me voit, me reluque et se fige : incapable de bouger et de parler…

Je viens à son secours :

- Bonjour, tu dois être Alain, moi c’est Abi
- heu oui, bonjour, oui c’est bien Alain
- on se fait la bise et tu me fais entrer peut-être ?
- heu oui, bien sûr…

Comme il est grand, je me colle fort à lui pour lui faire un baiser sur les joues, mon ventre en profite pour frotter sa queue qui voudrait bien sortir du bermuda !

Julie arrive, me voit, me reluque, et voit Alain dont le trouble m’a bien excité, mes tétons ne demandent qu’à percer le lycra !

On commence l’apéro, je m’installe sur un fauteuil, cuisses légèrement écartées, j’ai Alain en face de moi. Pour se remettre il prend un bon whisky tandis que nous, les filles, on est au champagne.

La conversation roule, boulot, ciné et séries, vacances…

Julie va à la cuisine préparer l’entrée.

C’est mon heure, je n’ai que quelques minutes pour agir.

Je me mets à genoux à ses pieds, ouvre son bermuda et avale son engin qui est pas mal du tout et déjà bien raide (tu m’étonnes!), ma main droite lui masse les couilles et la gauche le sexe qui rentre et sort de ma bouche.

Deux minutes chrono, je sens son sperme gicler dans ma bouche et j’avale en pompant bien toutes les gouttes.
J’y ai mis tout mon savoir-faire avec les queues ! Mission accomplie !

Julie nous demande de nous installer à table. Tout rouge et complètement out, Alain se lève pour aller chercher le vin.

Sa chérie arrive avec le plat, elle en a profité pour se changer, il faut dire qu’il fait chaud ! Elle a mis une petite robe jaune très sex et courte, hyper-moulante ! Je la félicite, elle se tourne pour se montrer… Wahouuuu ! Visiblement elle est toute nue dessous : une petite robe jaune, sinon rien !

Elle regarde Alain rouge comme une carotte (comme son engin je pense) et m’interroge du regard. Je met un doigt dans ma bouche, fais des va-et-vient et enfin semblant d’avaler !

Elle me sourit, petit clin d’œil complice, et prend un air contrit, un peu ennuyé.

J’hausse les épaules et prend à mon tour un air confus et honteux !

Comme tous les hommes, Alain ne voit rien de notre échange, il faut dire qu’il est un peu out, en une bonne heure, il en a déjà trop vu le pauvre ! LOL.

En mangeant il se remet un peu et nous raconte comment au boulot sa secrétaire le drague grave.

C’est pas des trucs à me dire, j’attaque :

- elle est bien roulée ta secrétaire ?
- oui, plutôt…
- on veut des détails, gros cul et gros seins ?
- non, pas vraiment
- pas vraiment ! C’est un non qui veut dire oui ! C’est combien en haut et en bas ? 105, 110 ?
- ???
- oui ses mensurations quoi, moi c’est 93-63-95, c’est poitrine, taille, hanches ! C’est pas mon 06, ceci dit, si tu le veux mon 06…

Je reçois un coup de pied sous la table…
- si tu veux mon 06, Julie te le donneras !

Ça m’émoustille de le passer au gril !

- elle s’appelle comment ?
- Belgrange
- non son petit nom, quoique elle a peut-être une belle grande grange… Son petit nom ?
- Vanessa
- j’en étais sûre, un nom d’escort ! Elle met des string ou des slips ?
- des strings je crois…
- des strings, tu crois ou tu en es sûr ?
- oui des strings
- tu vois que tu la mates ! Ne nous raconte pas d’histoire ! Tu devrais plutôt regarder ton ordi !
- ça se voit qu’elle met des strings, c’est pas de ma faute !
- pas de ma faute, pas de ma faute, à voir ! Elle balance du cul quand elle marche devant toi ?
- comment ça ?

Julie reprend la main, si on peut dire :
- attend, je te montre…

Elle se lève en se déhanchant et se cabrant, plus bandante que ça, tu meurs ! Sa robe ultra courte et ultra serrée remonte sur ses fesses…

- ça lui arrive de se pencher pour ramasser un papier ? Attend, je te montre encore une fois, tu pourras dire si c’est bien comme ça !…

Elle fait tomber sa serviette, nous tourne le dos et se penche pour la ramasser. Déjà que sa robe était bien remontée, son cul est complètement à l’air maintenant…

- un peu comme ça, mais elle est habillée quand même…
- moi aussi je suis habillée, Abi aussi est habillée ! Je suis sûre que t’aimerais qu’on soit toutes nues toutes les deux !
- non c’est pas vrai…
- ton nez est en train de s’allonger mon chou !

Je renchéris :
- méfie toi Julie, Alain mate tous les gros culs qui de dandinent !

Il ne sait plus où se mettre, il faut dire que sous la table, j’ai un pied qui le branle. Julie l’a bien vu… Alain est bien raide et gonflé, proche de prendre son pied…

- il y en a qui l’ont essayée au bureau, elle bouge bien quand elle baise ? C’est sympa un gros cul et des gros seins mais si elle fait l’étoile de mer… c’est pas top pour le mec. Moi par exemple, on m’a toujours dit que je bougeais bien même si, tu le vois bien, je n’ai ni son cul ni ses nichons !

En fait au milieu on a quand même mangé le plat, je me suis concentrée sur autre chose et je suis incapable de vous dire ce qu’Alain nous avait préparé !

Julie demande à Alain d’aller préparer le dessert…
- tu en as pour combien de temps
- un quart d’heure environ, il y a de la chantilly à monter !


Scène 7 : Abi et Julie


On est en tête à tête…
- moi, il ne me faut pas un quart d’heure pour faire monter de la chantilly…
- Abi !…
- Ben quoi, c’est vrai, si tu veux je te montre ?…

On s’installe sur le divan. Julie enlève mon top, elle en profite pour me caresser les seins, puis elle enlève ma jupe et en profite pour me masser l’arrière train…

Il me reste mon string et comme je lui ai enlevé sa robe, elle est à poil !

Au tour de Julie de faire monter la mayonnaise en trois minutes ! Je jouis…
- ne fais rien Abi, regarde moi me caresser. Ton string, avec les perles qui rentrent dans la fente me titille le clito à distance !…
C’est vrai que la soirée n’est pas finie, on n’a même pas eu le dessert !


Scène 8 : Abi, Julie et Alain


Alain revient avec sa tarte tiède à la chantilly et nous demande de repasser à table. Tout juste s’il a remarqué qu’on était toutes nues comme le bébé qui vient de naître, à 100 % pour Julie et 99,999 % pour moi !
Ce soir, plus rien ne l’étonne !

Julie nous dit qu’elle ne va quand même pas manger le dessert en tenue d’Eve, part se changer et revient, elle ne porte qu’un string. Un tout petit string rouge qui doit être un cadeau sans doute, je l’ai reconnu !… Rouge combat !

Alain est en train de manger le dessert avec deux canons, sans nous vanter on est quand même canon, toutes les deux en mini-strings rouges !

Je fais tomber un peu de crème sur un sein et je demande à Julie de la lécher. Elle ne se fait pas prier et en profite pour me mignoter la chatte ! Je serre les cuisses bien fort…

- tu es prisonnière, il faut que tu me lèches les pamplemousses mieux que ça !

C’est peu dire qu’elle s’exécute ! De plus, le pouce de sa main prisonnière s’agite sur mon berlingot maintenant bien gonflé…

On voit toutes les deux la tête d’Alain, il faut qu’on fasse quelque chose ! On le met à l’aise, c’est à dire qu’il se retrouve nu comme un ver ! On l’allonge sur le tapis.

Je lui commence une pipe d’enfer tandis que Julie lui roule une pelle en lui pinçant un téton…
Puis je m’empale sur lui tandis que Julie lui fait un face-sitting. Je bouge doucement, pas question qu’il nous lâche trop vite, je contrôle…

Face à face, les yeux dans les yeux, Julie et moi, on s’embrassent, se caressent les roberts et le clito !

On échange nos places, le cunni d’Alain est efficace, je suis la première à céder, puis c’est Alain, qui fourre sa chérie bien profond et enfin Julie qui s’est penchée en arrière et dont l’explosion en femme-fontaine arrive à me gicler dessus !…

Je propose une pause-café. Julie trouve que c’est une bonne idée !

- mon trésor, tu nous ferais pas un café ?
- oui mais…
- c’est vrai, il faut peut-être qu’on te libère !

On étaient toujours assises dessus !


Scène 9 : Abi et Julie


Elle se met à quatre pattes. Je me place derrière elle, lui prend un pied et me branle sur son talon tandis que de mon autre main, je m’occupe de sa chatte et la pénètre avec deux doigts : majeur et annuaire…
Visiblement, on ne veut, ni l’une ni l’autre, rien perdre de la soirée !


Scène 10 : Abi, Julie et Alain


Alain revient avec les cafés et profite du spectacle. On a toujours nos strings mais lui est nu et rebande déjà un peu ! La soirée, sans doute une nouveauté pour ce petit couple, lui plaît ainsi qu’à Julie, cela va sans dire !

Je m’assied sur le canapé, cuisses ouvertes, et Julie s’assied sur un de mes genoux et s’y frotte lentement, il ne faut pas se brûler en renversant le café !

Café bu, je me place pour être enfilée en levrette par Alain tandis que Julie s’installe pour que je lui fasse un bon cunni…

Après ce qu’on vient de vivre, on est maintenant beaucoup plus dans la tendresse et la douceur…

Le plaisir monte, ma langue emmène Julie à l’orgasme, puis la queue d’Alain me fait jouir à mon tour et mes tremblement déclenchent le cumshot d’Alain…

On s’allonge ensuite tous les trois sur le tapis, Alain au milieu, une tête sur chaque épaule, la main de Julie sur son phallus, la mienne lui massant doucement les bourses…


Scène 11 : Abi et Stéphanie


Je rentre chez moi, douche rapide et je rejoins mon lit. J’y trouve Stéphanie qui ne me paraît pas très contente… Je lui avais pourtant bien dit que je sortais !

- c’était bien ? Il est tard…
- c’était bien et tu le sais puisqu’il est tard ! Il faut que je dorme…
- pas question, madame fait un trio et moi j’ai droit à quoi ?
- si t’es jalouse et que tu veux qu’on baise, vas-y mais je ne vaux pas mieux qu’une étoile de mer…

Elle est bien décidée à prendre son dû, elle sait y faire et je ne reste pas longtemps inactive.

Elle est déchaînée, dominante : cette nuit, je suis soumise… Elle sort un gode ceinture bien gros et me prend violemment en missionnaire… Elle sait se servir d’un gode, j’explose encore, j’enlève la ceinture et la fiste, c’est facile, il faut dire qu’elle était déjà bien ouverte et mouillée.

A mon tour donc de la dominer, elle explose littéralement, se cabre, il n’y a que les pieds et les épaules qui touchent le lit. Je continue bien profond tordant ses seins avec ma main libre : bingo, elle jouit une deuxième fois.

Je lui redonne la ceinture, elle me reprend en levrette et pour la première fois de toute ma vie, je jouis en femme-fontaine…

On s’endort l’une sur l’autre, l’une dans l’autre si on peut dire, épuisées et repues…

Le lendemain matin, elle me confie qu’elle aussi avait fait un trio hier soir, avec Vanessa et Christine.
- tu sais, moi, mes trios, c’est avec des filles, je ne baise qu’avec des filles, moi !

Parlons d’autre chose !

- Vanessa, ce ne serait pas une secrétaire bi avec des gros seins et un gros cul ? Chez P...&R… ?
- oui, comment tu le sais ? Tu la connais ?
- une amie d’ami(e)… Elle baise bien, elle bouge bien ?
- elle est plutôt passive mais quel postérieur !
- je m’en doutais

Quand même, le monde est petit !

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