C'est sous la douche d'un grand sauna qu'on s'est connus. Connus, ou apprivoisés, avant de conclure en cabine. Ce fut un moment de délices, inoubliable.
Proposée le 13/06/2025 par Sacha
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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Il faut de tout pour faire un monde. Des hétéros, bien sûr, mais pas que. Il y a aussi ce qu'on appelle au Japon la Voie des garçons. Dont les temples bouddhistes semblent avoir été le haut lieu, et initiatique.
On peut rêver d'un tel univers, exclusivement masculin, mais aussi, plus modestement, fréquenter les saunas gay, ce qui est mon cas.
On se trouve et on se retrouve alors tous tout nus, entre hommes, ce qui est déjà assez émoustillant. On n'y va pas pour jouer les saintes-nitouches ou les mijaurées. On y va pour trouver un partenaire éphémère, et goûter aux joies du sexe entre hommes. On joue franc jeu, quand on bande entre mecs
La dernière fois que je me suis rendu dans un sauna gay, j'ai donc commencé, après m'être déshabillé au vestiaire, par prendre une douche. C'est obligatoire, et c'est bien plaisant. En plus, les douches se situaient dans une pièce circulaire, sorte de rotonde vouée au culte du phallus, pas en enfilade.
Sur le seuil, deux hommes de mon âge, la cinquantaine, papotaient. Bites à l'air, ils exhibaient fièrement leurs attributs déjà en début d'érection. Et la turgescence de ma queue, à la vue de tous ces hommes nus, ne leur avait pas échappé. Ni non plus mes fesses rebondies, qui plaisaient beaucoup aux hommes.
L'un deux me souhaita la bienvenue en me disant: "Dans les douches, les mecs attendent une petite lopette comme toi pour bien la baiser". Ce qui n'était pas pour me déplaire.
Je me suis donc enhardi à entrer dans ce sanctuaire pour prendre une douche. Sous le jet de l'eau chaude j'ai savonné mes aisselles, mon torse, mes parties intimes, quand j'ai senti que pour le dos et les fesses, d'autres mains déjà s'en chargeaient. Et il faut dire qu'il savait s'y prendre.
Il me savonna le dos, puis les fesses, s'attardant sur ma raie. C'était délicieux, j'étais aux anges. Pour lui montrer à quel point j'étais sensible à ses delicates attentions, j'ai commencé à tortiller du cul. C'est qu'il me flattait la croupe, me pelotait les fesses, que j'écartais, ou qui plutôt d'elles-mêmes s'écartèrent, à ressentir tant de plaisir.
Les deux larrons qui m'avaient accueilli sur le seuil se sourirent d'un air entendu, en voyant que mon affaire semblait prendre bonne tournure.
Mon partenaire faisait le bonheur de mes fesses et passait sa main dans ma raie en me tâtant la rondelle, qui se dilatait de plaisir. Alors j'ai eu fortement envie de lui. De sentir son sexe en moi.
Il sentait bien, le bougre, à quel point il m'excitait, et c'est juste pour s'en assurer que soudain il empoigna ma queue bien raide, qui bandait au ciel. C'était sa manière à elle de lui dire merci.
Tout cela encore au vu et au su des deux voyeurs de l'entrée, qui semblaient se régaler du spectacle. Mais la suite échappa à leur vue.
Mon partenaire me proposa qu'on se finisse dans ces appartements privés qu'on appelle des cabines, réservées aux ébats torrides entre mâles. Rien que pour baiser entre hommes.
Après quelques délicieux moments de frottage durant lesquels nos queues sympathisèrent, véritable fête pour nos queues folâtres et éprises l'une de l'autre, amoureuses, mon partenaire m'ordonna de me mettre en levrette sur la couche en simili-cuir de couleur rouge.
Je me suis exécuté, par crainte de lui déplaire ou de ne pas recevoir de lui les plaisirs que j'en attendais. Lopette que j'étais, je me suis entièrement offerte à lui, et soumise. Mes coudes reposant sur le simili-cuir, j'offrais mon cul, entièrement offert à sa vue. Il me demanda de "bien écarter" pour jouir encore mieux du spectacle offert à sa vue et bientôt à sa queue, tout en lubrifiant mon anus qui se contractait et se dilatait au rythme de ses caresses.
C'est que, avec les années, j'ai surmonté la honte d'offrir mon cul à un homme, quand il a envie de l'honorer en me sodomisant. C'est que j'aime bien être pris, ou prise. Et les hommes aiment bien ma chatte.
Pour me détendre ou faire diversion, il m'infligea quelques claques bien senties sur les fesses, comme pour accroître le contraste acec la délicieuse douceur de son gland qui, après la fessée, et en guise de consolation, vint bientôt épouser ma rondelle.
J'adore sentir un gland bien gonflé et décalotté épouser ma ventouse. Il est alors trop tard pour reculer, quand il vous colle au cul, mais jamais trop tard pour se faire enculer comme une reine.
Et avec le lubrifiant, ça entrait comme dans du beurre. Ses mains puissantes empoignaient mes flancs, ne me permettant guère de bouger en levrette que j'étais, sinon en accompagnant avec mon cul le va-et--vient de son coït. C'est quand il m'a pris en main et branlé, tout en me me pénétrant, que la jouissance de l'éjaculation est venue.
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