Histoire Erotique

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Rencontre chez la psy

Vincent est irritable ces derniers temps. Il va chez une psychologue pour trouver une solution à ses problèmes de sommeil. Après trois ans sans relation, il va faire une rencontre inattendue avec une jeune femme au comportement très ambiguë.

Proposée le 13/06/2025 par Vincent20100

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Fatigue au boulot, mauvaise humeur qui dure depuis un moment. Le manque de sommeil n’arrange rien. Je suis en milieu de trentaine, mais plutôt en forme, qu’est-ce qu’il m’arrive ?

Rencontre chez la psy Finalement, sur les conseils d’un ami, je me décide à consulter une psychologue. J’en trouve une à deux pas de mon boulot. Rendez-vous pris en fin de semaine, un vendredi.

J’arrive. Il y a une personne dans la salle d’attente. Une fille en milieu de vingtaine, blonde, cheveux mi-court légèrement ondulés et des yeux verts. Elle lit un magazine comme ceux que l’on voit dans les salles d’attente des professions libérales.

Je l’observe rapidement. Elle est d’une taille moyenne, ni grande ni petite, ce qui lui donne une silhouette équilibrée. Son corps légèrement charnu lui confère une allure chaleureuse, avec des formes naturelles qui adoucissent l’ensemble de sa stature.
Ses pommettes saillantes lui donnent un visage expressif, où chaque émotion semble se dessiner avec clarté. Ses cheveux blonds mi-longs, encadrent son visage avec élégance. Son visage me fait penser à Claire Keim jeune, son corps à Virginie Efira ou Salma Hayek à la vingtaine.

La salle d’attente est silencieuse. L’horloge au mur enchaine avec régularité le petit tac de la trotteuse. Assis là, je sens un mélange de nervosité et d’appréhension. Première séance à venir. Comment ce sera ?

La psy apparaît dans l’encadrement. Elle dit au revoir à un homme plutôt âgé et salue la jeune femme d’un sourire, comme on le ferait à une habituée. Elle l’informe qu’elle sera prête dans quelques minutes, ce à quoi la demoiselle répond qu’elle est en avance. Puis, la psy me fait un signe de tête, marquant qu’elle m’a vu.

Alors que la porte se referme, je sens qu’un regard se porte sur moi. C’est la jeune de milieu de vingtaine. Sans bouger la tête, j’oriente mes yeux vers elle. Nos regards se croisent. Ses yeux verts captent l’attention, brillants, vibrants, presque envoûtants. Ils ont cette intensité propre aux personnes qui vivent tout pleinement, un éclat qui oscille entre la malice et la profondeur.

Un éclat de compréhension passe entre nous, presque imperceptible, mais bien là. Comme si, sans un mot, elle savait. Elle a l’air de comprendre que je suis là pour la première fois. Elle sourit pour marquer son empathie et se penche à nouveau sur son magazine.

Elle porte un jean moulant, simple mais parfaitement ajusté, épousant naturellement les courbes de ses hanches sans chercher à trop en montrer. Il n’y a rien de provocant, juste une tenue qui lui va bien, qui la met en valeur sans effort.
Son chemisier clair, légèrement entrouvert en V, ajoute une touche de nonchalance maîtrisée. Pas trop strict, pas trop négligé, juste ce qu’il faut pour montrer qu’elle s’habille correctement sans y réfléchir trop. Je ne peux m’empêcher de remarquer que l’on voit la naissance de ses seins, deux gros pamplemousses collés l’un contre l’autre par un soutien-gorge discret qui les maintient ensemble.

Elle a une posture détendue, jambes croisées de façon très féminine, qui dégage un certain charme. Tout semble naturel, et pourtant, il y a cette impression qu’elle veut, sans le vouloir consciemment, être vue.

Curieux, je lui demande :
- Excusez-moi mademoiselle, vous êtes déjà venu ? Elle est bien cette dame ?
La jolie blondinette lève ses yeux vers moi. Elle sourit à nouveau, son visage s’illumine, elle semble contente que je lui demande son avis.
- Oui, oui, vous inquiétez pas, elle est gentille… Même si elle peut paraître un peu rude par moments.
Je la remercie et secoue la tête comme pour approuver ce qu’elle dit.

Elle referme doucement son magazine et me regarde avec un mélange d’intérêt et de bienveillance qui me surprend.
- Vous êtes là pour la première fois, non ?
Je hoche la tête.
- Oui… Ça se voit tant que ça ?
Elle sourit, et cette fois, je remarque le petit pli au coin de ses lèvres, celui d’une malice ténue.
- Un peu. Moi, j’ai l’habitude.
Je l’observe sans trop savoir quoi dire. Elle a un ton léger, mais je sens qu’il y a autre chose derrière. Une envie de parler, peut-être de partager quelque chose qu’elle n’avouerait pas dans un autre contexte.

Elle s’appuie contre le dossier de sa chaise.
- C’est bizarre, mais je trouve que parler ici, dans cette salle d’attente, c’est plus simple que dans le cabinet.
- Ah oui ? Pourquoi ?
La blondinette joue avec le bord de son magazine avant de répondre.
- Parce que là, il n’y a pas de pression sur ce qu’on doit dire ou ressentir. On parle, juste comme ça… Et puis les gens ne me jugent pas ici.

Un silence. Je comprends ce qu’elle veut dire. Moi aussi, je ressens moins de poids maintenant, depuis qu’elle a commencé à me parler. Elle me jette un regard curieux.
- Et vous ? Pourquoi vous êtes là ?
Je pourrais répondre vaguement, esquiver. Mais il y a quelque chose dans son regard, une sincérité qui m’invite à me dévoiler un peu.
- Moi, c’est Vincent. J’sais pas trop par où commencer, mais… Disons que ça fait un moment que je traîne une fatigue qui ne passe pas. Le boulot, le manque de sommeil. Un ami m’a conseillé de venir, alors voilà…

Elle m’écoute, les yeux pétillants de curiosité. Son sourire ne s’efface pas, au contraire, il s’élargit un peu.
- Eh ben, bienvenue dans le club des âmes fatiguées. Moi, c’est Maeva.

Elle marque une pause, comme si elle hésitait à dire plus, puis finalement, avec une franchise presque joyeuse :
- Je suis bipolaire.
Je ne sais pas quoi répondre tout de suite, mais elle ne me laisse pas le temps de chercher une réaction.
- Là, ça va. Même super bien, en fait. J’ai de l’énergie, trop même. C’est toujours comme ça… Jusqu’à ce que ça redescende et que ce soit l’enfer.

Son ton est léger, mais son regard, lui, dit autre chose. Quelque chose de plus profond, plus lourd. Il y a autre chose derrière son problème de bipolarité. Mais c’est quelque chose qu’elle ne veut pas dévoiler. Étrangement, son regard trahi le fait qu’elle dissimule une information qu’elle n’est pas prête à révéler. Du moins, pas encore…
Elle observe ma réaction, cherche à voir si je vais reculer. C’est étrange, mais au lieu de me mettre mal à l’aise, ça me donne envie d’en savoir plus.

- Et alors, Vincent, toi, qu’est-ce que tu cherches ici ?
- Franchement, si je pouvais juste dormir une nuit complète… Ce serait déjà énorme. Et puis… être moins irritable. J’ai l’impression d’être à fleur de peau tout le temps.

Maeva hoche la tête, son regard toujours pétillant d’une énergie que je ne comprends pas complètement.
- Dès que tu dormiras mieux, ça passera. C’est fou comme le sommeil joue sur tout. Moi aussi, j’ai des phases où ça devient compliqué… Là, ça va mieux, j’ai l’impression que ma bipolarité s’atténue.

Elle s’interrompt un instant, comme si une pensée la traversait, plus profonde. Son sourire faiblit légèrement, mais son regard reste franc.
- Il manque juste quelque chose. Quelque chose pour vraiment stabiliser tout ça.

Je l’observe, intrigué. Elle veut dire plus, il y a une pièce manquante à son équilibre, mais elle laisse flotter cette idée sans l’expliquer tout de suite.
- Et c’est quoi, ce truc qui manque ?
Maeva plie le bord de son magazine, celui avec le quelle elle jouait tout à l’heure, son sourire revient, plus léger.
- C’est… Peut-être que je te le dirais... Je sais pas encore si je peux te le dire comme ça…

Puis, cherchant à fuir la conversation pour ne pas révéler ce qu’elle semble cacher, elle se remet en lecture du magazine. Ne souhaitant pas l’effrayer ou la mettre mal à l’aise, je respecte un temps de silence et jette un coup d’œil par la fenêtre. Il y a quelques passants, des arbres dont les feuilles bougent légèrement et une ou deux voitures qui traversent la zone.

Maeva tourne machinalement une page de son magazine, puis une autre. Cette fois, elle ne lit pas vraiment. Son regard se perd un instant, elle relève les yeux vers moi avec cette curiosité qui ne la quitte pas. Elle veut continuer à parler et à se dévoiler. Elle surmonte une dernière hésitation.

- Tu es célibataire, non ?
Je suis un peu surpris par sa franchise soudaine.
- Oui.
- Moi aussi… Enfin, pas par choix, vraiment.
Elle referme le magazine, le pose sur ses genoux et croise les bras.
- La psy pense que je devrais faire une pause, être célibataire un moment, le temps de stabiliser ma bipolarité. Mais j’ai horreur de ça. J’ai besoin d’avoir quelqu’un, de sentir qu’il y a quelqu’un près de moi.

Son ton est plus sérieux maintenant, son sourire s’est estompé légèrement, comme si cette conversation touchait à quelque chose de plus profond qu’elle ne voulait pas encore dévoiler.

Je l’écoute, attentif. Comprenant ce besoin. Peut-être pas pour les mêmes raisons, mais je sais ce que c’est que de vouloir une présence.
- Pourquoi ? Tu n’arrives pas à garder quelqu’un ?

Maeva secoue la tête doucement, un léger rire sans joie.
- Parce que je suis trop. Trop intense, trop instable. Au début, les mecs trouvent ça fascinant, je suis pleine d’énergie, tout paraît incroyable. Et puis vient le moment où ça bascule… et là, ils ne restent pas.

Elle joue de nouveau avec le bord de son magazine, comme si elle voulait détourner la tension de ce qu’elle vient d’avouer.
- Et toi, alors ? Pourquoi tu es seul ?
- Ben, ma dernière copine a mis fin à la relation il y a trois ans. Et aujourd’hui, j’imagine que ma fatigue se voit trop. Les gens doivent sentir que je suis épuisé avant même que je dise un mot. Ça ne donne pas envie.

Maeva lève les yeux vers moi, son regard toujours aussi vif.
- Ah… C’est dommage… T’es mignon…
S’apercevant de ce qu’elle vient de dire, Maeva baisse les yeux. Un silence s’installe. Ni gênant ni inconfortable. Elle relève les yeux, sourit et la discussion se poursuit avec des banalités : les gouts de chacun en musique, cinéma, littérature…

Maeva glousse et finit par dire :
- C’est cool de se parler comme ça. La psy me laisserait pas me connecter à toi si elle était là.

Piqué par la curiosité, je m’apprête à lui demander pourquoi. Nos regards se croisent un instant juste au moment où j’allais ouvrir la bouche pour répondre. Ses yeux brillent et me « parlent » une fraction de seconde : « parce que j’ai envie de sexe ». Je ressens un frisson. L’instant n’a pas duré longtemps. Nous sommes interrompus par la porte qui s’ouvre dans un léger bruit de gonds qui grincent et ont besoin d’une goutte d’huile.

Maeva, habituée à cet endroit, se lève sans hésitation, avec aisance, son sac à main à l’épaule. Juste avant de franchir la porte, elle tourne légèrement la tête vers moi. Son regard accroche le mien une fraction de seconde, et dans cet échange silencieux, je capte quelque chose. Un message muet qui dit : « À tout à l’heure… J’ai aimé cette discussion. »
Un sourire léger, frais, angélique, accompagne son geste alors qu’elle lève la main dans un salut chaleureux, avant de disparaître derrière la porte.

Je reste seul dans cette salle d’attente. Visiblement, je suis le dernier rendez vous de la journée. Je regarde l’heure. Il est 17h. Je me demande si la psy n’est pas en retard. En pianotant mon téléphone, je remarque que mon rendez vous est à 18h… En fait j’étais très en avance… Ce qui n’est pas si mal après tout, puisque j’ai fait une rencontre sympathique. Je commence à regarder de nouveau la fenêtre.

Après quelques secondes, je repense à la conversation avec Maeva. Tout était fluide. Et ce regard ? Le dernier regard qu’elle m’a lancé avant l’ouverture de la porte me perturbe. Est-ce que je l’ai bien compris, bien interprété ?
C’est la fatigue qui me joue des tours ? Elle ne pensait pas au sexe… Je prends mes désirs pour des réalités.

Je fixe de nouveau la fenêtre sans vraiment voir ce qu’il y a dehors. Quelque chose en moi s’agite, une impression persistante qui refuse de disparaître.
« Elle voulait une connexion plus forte. Elle ne voulait pas seulement parler, elle voulait plus ». C’est mon instinct qui me parle. Il me répète ce que je veux peut-être entendre, ce que je veux croire. Mais mon esprit refuse de céder à cette voix intérieure.

« Non. C’est trop beau pour être vrai. Ce n’était qu’un échange poli, une conversation agréable entre deux inconnus dans une salle d’attente ».
Je soupire et me redresse un peu dans mon siège, comme si un changement de posture pouvait chasser ce dilemme ridicule.

Tout ce que j’ai vécu ces dernières semaines me pousse à mal interpréter les choses. Mon moral est bancal, mon jugement affaibli. Ce n’est pas la première fois que mon esprit me joue des tours, que je lis trop dans un simple regard ou un sourire.

Pourtant, il y avait quelque chose, non ? Une fraction de seconde où ses yeux ont brillé autrement. Un moment puissant et trop chargé pour être anodin. Ses yeux m’ont clairement dit « J’ai envie de sexe ».
Je me parle à moi-même intérieurement et me secoue la tête doucement : « Non ». Je dois me ressaisir. C’est juste la fatigue qui embrouille mon esprit. Une illusion, un mirage causé par mon épuisement. Rien d’autre.

Je regarde le plafond pour chercher une autre explication. Je baisse la tête vers la table et m’empare d’un magazine. Dans un article je lis : les femmes ont une manière de communiquer sans mots.
C’est une pensée qui me traverse l’esprit alors que je rejoue encore ce moment dans ma tête. Maeva n’a rien dit explicitement. Pas une seule phrase laissant entendre quoi que ce soit. Et pourtant, elle m’a parlé.
Ce regard, ce sourire, ce geste léger de la main… Tout semblait calculé, naturel mais chargé d’une intention que je n’ai pas voulu voir tout de suite.

Je rationalise. Encore et encore. Peut-être que c’était juste de la politesse. Peut-être qu’elle est simplement sociable et qu’elle agit comme ça avec tout le monde. Mais une autre partie de moi refuse d’effacer cette idée.
« Non… Il y avait quelque chose ». Son regard contenait une nuance, un message silencieux. Et si je me trompais ? Et si, derrière ces gestes anodins, il y avait une invitation déguisée ? Cette pensée commence à m’obséder. J’attrape mon téléphone, le range. Je regarde la fenêtre, puis mes mains, puis l’horloge au mur.

Je tourne en rond, comme si bouger pouvait chasser cette idée de mon esprit. Mais elle est là. Et je sais que, quoi qu’il arrive, je chercherai ce regard encore une fois. Je me rassois et repense à ce regard brillant, intense. « J’ai envie de sexe ». Est-ce que son problème caché ne serait pas ce besoin d’activité sexuelle qui transparaît dans son regard ?

Quand elle s’est levée, j’ai vu que sa taille est légèrement plus étroite que ses hanches, accentuant cette harmonie instinctive qui attire le regard sans qu’on sache vraiment pourquoi. Ses fesses sont rondes. Ses seins sont légèrement proéminents. Ils ne sont pas imposants, mais on ne peut pas rater ces courbes féminines. De profil, on remarque le fessier et les seins qui donnent un relief très cambré et féminin à cette jolie fille. Mes instincts primitifs appellent mon pieu à se mettre au garde à vous, rien qu’en repensant au moment où elle s’est levée de sa chaise.

Il faut que j’arrête d’y penser pour ne pas bander pendant le rendez-vous. Je soupire et m’appuie sur mon siège. Une heure à tuer avant mon rendez-vous. Je prends mon téléphone, le déverrouille, ouvre une appli, fais défiler machinalement. Rien d’intéressant.

Au bout d’un long moment, la porte du cabinet s’ouvre doucement, et Maeva en sort, son énergie intacte, son sac à l’épaule. Elle ne semble pas vraiment affectée par sa séance, du moins en apparence. La psy me jette un coup d’œil en souriant.
- Vous pouvez patienter encore quelques minutes ? Je termine mes notes.
J’acquiesce et me rassieds.
Maeva, elle, ne s’éloigne pas tout de suite. Elle tourne légèrement vers moi, son regard pétillant d’une lueur indéfinissable.
- Alors, prêt à affronter la bête ?
Dit-elle avec amusement, désignant d’un geste la porte derrière elle. J’esquisse un sourire.

- Prêt, oui… Si je dois y aller, faut y aller… Dommage que je puisses pas te dire ce que j’ai pensé de la séance.

Semblant analyser mes mots, elle mordille doucement l’intérieur de sa joue, réfléchissant à quelque chose. Puis, comme si l’idée venait de germer, elle reprend d’un ton faussement léger :
- Tu… Tu veux qu’on se débriefe après ?
Je la regarde, un brin surpris.
- Euh… Oui, pourquoi pas ? Où ça ?
- Le café du coin, juste en bas de la rue. Je peux t’attendre.

Ses mains serrent nerveusement la bretelle de son sac à main au niveau de son épaule. Elle semble mordiller sa lèvre inférieure, comme si elle avait peur de ce qu’elle vient de proposer. Pourtant, son ton est détaché, naturel, comme si c’était une simple suggestion sans conséquence. Et ses yeux racontent autre chose : elle veut prolonger cette conversation. Elle ne veut pas rentrer directement chez elle.

Je réfléchis une seconde, puis réponds sans trop hésiter :
- D’accord.
Un sourire illumine ses lèvres, rapide, furtif, avant qu’elle ne fasse un pas en arrière.
- Bon, je vais y aller. À tout à l’heure alors.

Elle tourne les talons et s’éloigne, mais je reste figé, encore sous l’écho de cette proposition inattendue. Je vois une dernière fois sa silhouette quand elle quitte la salle d’attente. De dos, ses cheveux dorés ondulés couvrent tout juste sa nuque. Son corps légèrement visible grâce aux rayons du soleil qui crée comme l’ombre de son corps dans le chemisier, forme un sablier élégant avec sa taille un peu plus fine que ses hanches incurvées et ses fesses bombées qui sont mises en valeur par son jean, créant une harmonie visuelle naturelle.

Intérieurement, je me dis qu’elle est magnifique et que j’aimerais beaucoup assouvir ses besoins charnels. Si jamais je ne me suis pas fait de films…

Je commence à m’imaginer qu’elle serait en sous-vêtements rouges, un regard de chatte affamé, la bouche entrouverte, les lèvres luisantes et me disant : « j’ai très envie de sexe Vincent… Tu veux bien m’aider ? ». Et elle poserait son index sur ses lèvres en prenant un air niais mais lubrique.

La porte s’ouvre à nouveau. J’entre finalement dans le cabinet et m’installe face à la psy. Elle ajuste ses lunettes, me regarde avec attention, puis pose la question sans doute habituelle : « Alors, qu’est-ce qui vous amène ? » La discussion débute, fluide, mécanique. Je raconte ce qui me pèse, ce qui me bloque, et la psy écoute, analyse, pose des questions.

Mais mon esprit divague. Je pense à Maeva. À son énergie. À la façon dont elle a parlé de ses propres troubles, sans filtre, sans hésitation. À ce regard avant que la porte ne s’ouvre.
Je réponds machinalement aux questions de la psy, mais une partie de moi est ailleurs.

Une heure plus tard, je sors du cabinet. Je marche rapidement dans le couloir, mon pas plus vif que d’habitude.
Et soudain, le doute me frappe. Est-ce qu’elle est encore là ?

Une heure, c’est long. Elle a peut-être changé d’avis, décidé de rentrer chez elle. Je ralentis en approchant du café, mon regard cherchant instinctivement à la terrasse. Et puis, je la vois.

Elle est là, assise au soleil, son jean moulant et son chemisier entrouvert comme tout à l’heure. Elle joue distraitement avec une cuillère sur sa langue. Elle semble sucer cet objet de façon innocente. Pourtant, je me dis que dans un autre contexte, si c’était ma queue qu’elle avait en bouche, elle ne s’y prendrait pas autrement : elle lèche lentement, engloutit, aspire en prenant son temps, suce avec délice cette cuillère comme si c’était une sucette... Ses joues se creusent et Maeva avale le contenu d’un air délicat mais chargé de sous-entendus.

Est-ce qu’elle pense à la même chose que moi à ce moment ? Je bande, mais je me reprends pour ne pas dire de conneries devant elle malgré ce préliminaire visuel. Elle repose sa cuillère, lève les yeux, et me repère.

Un sourire éclaire son visage, spontané, presque soulagé. Tous mes doutes s’effacent. Je m’approche, m’installe en face d’elle, tandis qu’un serveur s’arrête près de nous, je demande :
- Un café espresso, s’il vous plaît.

Maeva, elle, demande un cocktail fruité au rhum. Elle joue mollement avec ses cheveux, de cette façon qu’ont les filles de faire pour montrer leur chevelure aux garçons qu’elles aiment bien. Une ébauche de séduction inconsciente.
- J’ai fini ma glace juste avant que tu arrives.
Dit-elle en agitant énergiquement, devant mes yeux, le récipient vide.

Je jette un coup d’œil à la coupe vide. Je repense à sa façon friponne de finir sa glace… Et elle enchaine :
- J’aime la texture, le côté rafraîchissant… Et puis, il y a quelque chose de subtil dans une glace, tu trouves pas ?
Une caresse fraîche qui titille la langue avant de se coller doucement contre le palais. Cette sensation d’être envahie en bouche. Quand la cuillère passe les lèvres, qu’elle est enveloppée entre la langue et le palais, même les joues, c’est là qu’on ressent l’intensité de la bonne glace… Surtout quand elle est crémeuse, ça contraste avec la dureté de la cuillère… Il y a toujours une dernière note sucrée qui reste en bouche. Ça persiste souvent encore quelques secondes… Ça fait plaisir !

Je hoche la tête avec une autre image en tête, et en me sentant à l’étroit dans mon caleçon. « Ouais, je vois ce que tu veux dire. »

Le serveur revient avec nos commandes, et Maeva s’empare de son verre, fait tourner doucement la paille en carton, ce qui secoue et fait tinter les glaçons contre les parois. Elle avale rapidement une gorgée, l’air de vouloir se donner du courage.

Puis, après une seconde de silence, elle me regarde avec un petit air amusé.
- Bon alors… T’as survécu à la psy ?
- À peu près. Je crois qu’elle veut que je revoie tout mon mode de vie. Dormir mieux, faire plus de sport, essayer de moins cogiter. Rien de révolutionnaire, mais bon, c’est pas si simple. »
Maeva hoche la tête.
- Ouais, ça semble toujours facile sur le papier. Moi, elle m’a encore parlé de célibat temporaire, comme si c’était la clé de tout. Elle pense que j’ai besoin de me stabiliser seule avant d’avoir quelqu’un.
Elle laisse échapper un léger rire sans joie, son doigt glissant sur le bord de son verre.
- Le problème, c’est que j’ai jamais aimé être seule…
Son ton se fait un peu plus grave. Je l’observe, ressentant cette fragilité qu’elle dissimule derrière ses sourires.

Elle pince sa paille entre son pouce et son index. Avec une innocence quasi infantile, elle l’effleure puis la caresse entre ses deux doigts, dans un mouvement vertical de va-et-vient.

Je m’interroge : est-ce que c’est une métaphore érotique astucieuse et raffinée ? Ou la marque de sa déception ?

Je déglutis et relance la conversation en regardant son mouvement aphrodisiaque du coin de l’œil.
- Tu penses que ça te ferait du bien ?... Je veux dire… le célibat prolongé ?
Voyant le trouble qu’elle opère sur moi, elle sourit en coin. J’ai l’impression qu’elle le fait exprès… Puis, elle soupire, et tourne à nouveau les yeux vers moi.
- Peut-être. Mais j’ai pas envie de tester le célibat prolongé.

Puis, d’un geste léger, Maeva boit une gorgée de son cocktail et esquisse un sourire. Puis, elle recommence son geste avec ses deux doigts, dans un mouvement vertical de va-et-vient. Elle me lance un rapide regard, bizarrement neutre. Et elle boit une gorgée à la paille en laissant ses deux doigts, creusant ses joues sur la tige rigide en carton, aspirant et tétant de façon lente et longue avec ses lèvres en cul de poule. Elle le fait non pas du bout de la paille comme tout le monde, mais en engloutissant presque un tiers de la longueur de la paille, comme elle le ferait avec une colonne de chair…

Mon cerveau est agité. Je me dis que, soit c’est une très bonne comédienne, soit je me fais trop de films à force de fatigue accumulée et de mes trois ans sans sexe.

Relevant de quelques centimètres sa tête, sans lâcher la paille de ses deux doigts, elle effleure la tige à nouveau en allers-retours. Elle relance en même temps la conversation en me fixant. Son regard brillant et pétillant de malice, sa voix minaudante :
- Et toi ? Tu penses que ça te ferait du bien ?

Elle parle de suivre les conseils de la psy ou de son geste avec la paille ? J’inspire profondément, soupire, j’essaie d’aérer mon cerveau et me dit que je me fais trop de films. Mais non… Enfin oui, c’est une véritable allumeuse, non ? C’est sa bipolarité, ou… ? J’en sais rien, je ne sais plus quoi penser… On s’est rencontrés chez une psychologue… Donc je ne dois pas tirer de conclusions rapidement… Même si elle me donne très très envie… Si seulement elle pouvait être aussi salope qu’elle en a l’air…

Brisant le silence qui s’installe entre nous, elle laisse échapper un soupir : « Franchement… Je déteste les conseils de la psy. »
Sous l'effet du rhum, ses barrières s'abaissent, elle s'exprime sans retenue.
Je lève un sourcil.
- Ah oui ? Pourquoi ?
- Parce que tout ce qu’elle dit... C’est comme si la solution était simple, comme si tout se résolvait avec du recul et quelques décisions sages.
Je ne dis rien, la laisse parler.
- Tu crois vraiment qu’on peut changer juste en décidant de le faire ? Moi, je crois pas. Les gens aiment dire qu’il suffit de vouloir.
Elle boit une nouvelle gorgée, encore plus lente mais sans la paille cette fois, puis pose son verre avec un petit bruit sec sur la table.
- J’ai pas envie d’être seule… Pas envie de prendre ce temps qu’elle me conseille… J’ai envie maintenant, pas d’attendre…
Ses yeux croisent les miens. A nouveau je ressens ce regard pétillant et intense qui me parle : « j’ai envie de sexe ».

Machinalement, bêtement, je me sens obligé de dire quelque chose. Je peux pas dire « moi aussi j’ai envie ». Parce que si ça se trouve j’interprète. Alors, comme un idiot je dis « j’ai faim ».

Maeva rit. Peut-être que j’ai bien interprété son regard et qu’elle a compris que j’ai faim d’elle ?
Elle se lève, sa bretelle de sac sur son épaule, son cocktail à moitié terminé encore en main.
- Bon, on va où ?
Demande-t-elle avec une spontanéité joviale. Je réponds :
- Il y a un resto sympa à deux rues d’ici. Bonne ambiance, pas trop bruyant.
Elle hoche la tête sans hésiter. Elle avale d’un trait le reste de son cocktail et prétexte avoir bu trop vite son rhum aux fruits pour m’agripper par le bras. Un de ses seins touche mon bras. Je ressens une impression de densité, une rondeur ferme qui promet une chair généreuse à l’intérieur. Il est légèrement lourd, oscille entre souplesse et fermeté. Je me mets immédiatement à bander.

Lorsque nous arrivons devant le restaurant, je pousse la porte et la laisse entrer la première. On dine rapidement, pressés par le monde autour de nous, la salle est bruyante et nous voulons tous les deux pouvoir s’entendre. Généralement, je viens le midi. Je constate que le vendredi soir, il y a bien plus de monde qu’à mon habitude.
A peine le diner finit, je fais signe au serveur, règle l’addition, et on se lève. La nuit dehors est calme, contrastant avec l’agitation du restaurant.

Maeva avance à côté de moi, son sac sur l’épaule. Elle me tient le bras et laisse de temps à autre son nibard, un de ses pamplemousses, ferme, doux et rond, frôler mon bras, sans chercher à s’éloigner. J’ai l’impression qu’elle ouvert un bouton de plus à son chemisier et tiré un peu son soutif vers le bas pour remonter un peu ses seins parce que je vois le haut de ses aréoles qui commencent à dépasser du tissu. On est plus très loin des tétons…

Quand nous arrivons devant son immeuble, elle s’arrête, fouille dans son sac pour retrouver ses clés.
Je reste là, debout à côté d’elle. Elle ouvre, se retourne face à moi. Nous sommes tout près, son souffle est chaud contre ma peau. Et puis, naturellement, sans brusquerie, nos visages se rapprochent. Mes mains sont de chaque côté de sa taille, nous nous embrassons avec énergie. Repensant à son regard de la salle d’attente « j’ai envie de sexe », à sa façon de jouer avec sa paille au café, je laisse mes mains glisser le long de l’arrondi de ses hanches. Elle interrompt notre baiser, sourit « ououh Vincent… ça devient intéressant… ».

Conforté par sa réaction, je mets mes mains sur ses fesses et commence à les pétrir. Elle sourit sans décoller ses lèvres des miennes et cherche ma langue de la sienne, pour me la caresser.

Je n’avais pas rêvé, son regard m’a bien parlé et je l’ai correctement interprété. Le rhum aux fruits a délié sa langue et elle a exprimé ce qu’elle voulait en jouant avec sa paille... Quelle chaudasse…
Un début de fougue s’empare d’elle. On dirait qu’elle veut voir nos bouches fusionner. Mes caresses sur ses fesses se font d’autant plus fermes et intenses.

Elle ralentit, attrape entre ses lèvres ma lèvre inférieure avant de la mordiller comme une petite chatte déterminée. J’en profite pour lui dire :
- Heureusement que la psy nous voit pas…
Maeva s’interrompt, sourit et me répond liquoreuse :
- Ha ! Ha ! Elle ne serait pas contente, vu ce que j’ai…

Elle plonge son regard dans le mien pour attirer mon attention. Et elle me lâche :
- Je suis pas juste bi-polaire… Je suis aussi nympho…
Je suis très étonné par cette révélation. Ce qui doit se voir dans mes yeux, parce qu’elle sourit, se rapproche de mon visage, et m’embrasse la joue. Ensuite, tout en me mordillant le lobe de l’oreille elle ajoute.
- Tu as bien entendu chéri... Je suis nymphomane… J’ai besoin de sexe… Tous les jours… Tu veux rester planté là devant la porte ?

Je fais « non » de la tête, elle ouvre la porte. On entre, on referme la porte et je plonge ma tête dans son décolleté. Pendant que j’embrasse la naissance de ses seins en déboutonnant son chemisier, Maeva jubile. « Oh la psy serait pas contente… Vraiment pas… Mais moi je le suis vraiment beaucoup… »

A ce moment je me dis que j’ai tiré le gros lot. Après 3 ans sans relation avec une femme, sans sexe, voilà que je tombe sur une nympho qui l’avoue ouvertement et prête à baiser le premier soir…
A peine déboutonnée, elle retire d’elle-même le chemisier. Pendant qu’elle le jette derrière elle, je lui demande :
- ça fait longtemps que tu n’as pas ?...
- ça fait presque 3 mois… Et la psy me dit que c’est bien… Mais j’ai besoin elle comprend pas… Les jouets ça va cinq minutes…
A peine finit ces mots, elle attrape mon entre-jambe, tâte et sourit en déboutonnant mon jean. Je sens qu’elle veut passer rapidement à l’action et pour m’empêcher de parler, elle sait ce qu’il faut faire. Je m’empresse de l’aider à me retirer mon jean et mon caleçon, je ne garde que ma chemise.

Elle s’agenouille face à moi en jetant ses cheveux blonds légèrement ondulés en arrière. Sous la lumière tamisée, deux petites boucles d’oreilles apparaissent, captant un éclat délicat qui contraste avec la douceur de son visage. Cette touche inattendue lui donne un air à la fois mignon et irrésistiblement séduisant. Cette touche d’innocence renforce l’excitation que j’ai pour elle.

Maeva empoigne rapidement sans hésitation mon pieu et l’oriente vers son visage : « bonjour toi ! Oooh… on est déjà bien dur ! ». Sa bouche s’ouvre à moitié, sa langue effleure sa lèvre inférieure, elle lève les yeux vers mon visage en me lançant un regard coquin. Je souris et elle ouvre grand la bouche pour m’engloutir directement sans autre préliminaires… Sa langue, douce et ferme, colle ma queue contre son palais. Elle suce avec délice, comme elle le faisait au café avec la glace sur sa cuillère. Elle continue avec des aller-retours énergiques, que c’est bon… Un peu trop. Je risque d’exploser dans son gosier à tout moment. Elle s’interrompt pourtant rapidement. Son regard me fixe, ses yeux sont pétillants : « tu me lèches ? »

Je secoue la tête pour dire oui. Elle a eu raison d’arrêter et d’inverser les rôles, je n’en peux déjà plus et il faut que je me calme un peu. Maeva m’entraine dans la chambre, on se met complètement à poil et elle s’allonge sur le dos, dans le lit, en pliant les jambes collées l’une contre l’autre, comme pour faire une barrière entre nous…
Elle semble crispée, mais attend que je fasse quelque chose. Je comprends que c’est un jeu.

Je me place devant ses jambes, et les caresse. Maeva se détend lentement sous ses airs de fausse timide. Ses jambes commencent à s’écarter légèrement m’indiquant subtilement que la voie est en fait ouverte. Je les ouvre doucement mais fermement.

Je m’installe et commence à lécher ce mont de Vénus et cette vulve où chaque courbe trouve sa place. Tandis que ma langue s’engouffre petit à petit en elle, écartant au passage ces parois entre lesquelles je vais surement m’introduire tout à l’heure, la respiration de Maeva est plus forte et régulière. Elle savoure ce moment.
« Il n’y a pas beaucoup de… mecs qui… desc…endent sur ma chatte… Aaah…. Je crois qu’on va… bien… s’en… tendre… Vin… cent… »

Tout en continuant à bouffer la chatte de ma première nympho, je me dis à moi-même que j’ai vraiment tiré le gros lot. Mes 3 ans sans sexe vont vite être compensés avec un intense rattrapage…

Ma langue s’engouffre de plus en plus en elle. La cyprine coule à flots. Maeva soupire fort, régulièrement. Elle savoure « ah… ah oui… Oui, oui, oui… putain… ». Une de ses mains me caresse la tête pour m’encourager à continuer mais je ne peux pas aller plus loin avec ma langue. Je me redresse et vais me rapprocher d’elle pour lui sucer les seins. J’essaie de faire durer pour que ma queue ne soit pas trop vite stimulée et ne pas partir trop vite. Tandis que je tète ses tétons, elle glousse et me dis tout à coup : « attend ! Attend ! ».

Je ne comprends pas. Elle me repousse, m’appuie sur mes épaules pour que je m’allonge sur le dos. Elle sourit en gardant la bouche fermée, comme pour dissimuler ses intentions. Son regard pétille. Elle m’enjambe et se met accroupit au-dessus de moi. J’ai compris…

Ses pieds sont posés délicatement sur le matelas autour de mon torse. Comme une grenouille, ses jambes sont pliées et prêtes comme des ressorts à se déployer. Son dos est exagérément dressé, soulignant sa cambrure, mais son visage est penché vers moi. Ses fesses et sa chatte sont au-dessus de mon pieu. Son regard me fixe intensément et elle garde sa posture d’attente en ricanant.

Elle glousse les yeux grands ouverts, étincelants, et la bouche fermée qui atténue son rire. Elle descend légèrement, la peau de sa vulve effleure mon mat tendu. Elle rit un peu plus fort. Elle veut jouer. Ses muscles se contractent de façon à peine perceptible et ses grandes lèvres de sa vulve humidifiées par la cyprine commencent à caresser mon pieu. Elle descend pour l’appuyer contre mon ventre et fait de petits mouvements d’avant en arrière pour commencer à le caresser. Ses rires se font plus pressés et marquent sa propre impatience qu’elle a du mal à contenir. Puis, après quelque vas et viens, d’un mouvement lent, elle relève son bassin, en bougeant ses cuisses mais en bougeant à peine ses jambes et ses pieds. Ma queue se dresse en accompagnant le mouvement de Maeva.

Elle glousse, cherche à toucher mon gland avec sa chatte mais n’y arrive pas, c’est un peu maladroit, soit elle ne me touche pas, soit ses fesses touchent. Une de ses mains s’agite enfin sous elle, s’empare de mon pieu légèrement humide à cause de la cyprine et le dresse comme un mât. La paume de sa main se recouvre du liquide qui glisse immédiatement sur la peau, enveloppant rapidement ses doigts d’une douceur liquide mais fluide. Les yeux de Maeva s’écarquillent et son sourire est toujours là.

« Oh putain, je me suis foutu la mouille que j’ai mis sur ta bite sur mes doigts… ». Une chaleur douce avec pourtant la fraicheur de la mouille à l’air libre accompagne subtilement le contact de sa main sur ma queue. Elle commence à l’empoigner, serre fort et fait deux ou trois va et vient pour s’assurer de ma rigidité. Je sens la pression de ses doigts et le bien qu’elle me fait en me branlant, même si c’est juste quelques allers-retours de « test ». Elle me regarde de ses yeux affamés : « On dirait un bâton de bois avec les nervures mais lubrifié… ». Elle est lumineuse, son visage est heureux.

Maeva positionne ma queue et se frotte les lèvres de sa vulve avec mon gland. Encore une fois ce sont deux ou trois allers et venues. Elle arrête son mouvement à l’endroit qu’elle a choisit et commence à plier les genoux et descendre ses cuisses, son bassin. Mon gland entre dans un tunnel moelleux, chaud, humide. Maeva soupire bruyamment. Elle marque une satisfaction. Puis elle descend complètement sur ma queue, l’enveloppant de ce cocon douillet et ferme. Un long soupir de satisfaction de ma blondinette accompagne la pénétration de mon pieu en elle.

Elle pose ses mains sur mon ventre en tendant les bras et inspire. Maeva commence mécaniquement à me chevaucher, ses cuisses se déploient en une fraction de seconde, d’un mouvement brusque mais parfaitement contrôlé. Son bassin suit naturellement l’action, s’inclinant légèrement pour accompagner le mouvement. Ma bite se retrouve en partie à l’air libre, seul mon gland reste à l’intérieur… À la descente, le bassin s’abaisse et engloutit de nouveau mon gourdin. La posture de ma petite nympho est incroyablement fluide, rapide et l’efficace.

Chaque mouvement est animé avec une précision instinctive, elle est rapide, agile et déterminée. Elle monte et remonte son bassin, avec régularité, comme une machine. J’ai presque l’impression de voir une actrice porno tellement ça me parait improbable. Elle accompagne ses mouvements de bassin de commentaires : « ah c’est mieux qu’un gode… Ah c’est beaucoup mieux… Merci Vincent… aaah… ». J’ai l’impression d’être une poupée sexuelle masculine sur laquelle s’agite une petite timide qui a besoin d’assouvir et soulager ses envies charnelles. Ce qui fait un peu faiblir mon excitation, heureusement, sinon je ne vais pas durer longtemps.

Elle ralentit, s’allonge sur moi, et continue en faisant des mouvements d’avant en arrière, ses seins, ses tétons frottant mon torse. Je sens qu’elle fatigue. Je me dis que c’est à mon tour de me servir d’elle comme poupée sexuelle. Je lui mets une claque sur le cul et lui dit de se mettre en levrette. Elle glousse et obéit tout de suite. Elle se relève et me demande « t’aime ça la levrette mon chéri ? ».

Pour toute réponse, je lui mets une autre claque au cul. Elle se met à quatre pattes et se penche finalement en avant, reposant la tête sur le matelas et montant son fessier. A mon tour de ricaner. Je m’introduis rapidement et enchaine les vas et vient en la pistonnant à fond, mes cuisses claquant contre ses fesses. Elle soupire et m’encourage « ah oui ! Oui ! J’aime bien que tu tapes dans le fond ! Continues ! ». Je poursuis donc en la pistonnant profondément et mettant quelques claques sur le cul de temps à autre. Elle gémit et couine à chaque fois que ma main fesse son derrière.

J’inspire pour me retenir le plus longtemps possible. Je veux tenir pour qu’elle jouisse, comme ça après je juterais sur sa petite gueule de nympho salope. Elle m’a tellement excité depuis tout à l’heure, surtout au café, que je veux tartiner sa frimousse de mon jus de pine pour lui apprendre. Je n’ai jamais fait ça à une fille mais Maeva me donne envie de lui faire. C’est comme pour la punir ou imposer ma domination sur elle. Sur cette nympho salope qui a complètement maîtrisé mon envie de sexe. Mais je n’aurais pas ce plaisir. Tout à coup, son vagin se contracte plusieurs fois sur ma queue et me traie la bite. Je jouis intensément en elle…

Maeva inspire et soupire. Elle a pris son pied elle aussi. Elle tourne la tête vers moi, un sourire de satisfaction et un regard brillant. On finit par s’allonger l’un près de l’autre, elle se colle à moi et prend mon bras pour s’enrouler dedans. On s’est endormis comme ça.


Le lendemain, on est un samedi, je me prépare à partir quand Maeva me demande :
- Chéri ? Tu travailles loin d’ici ?
- Euh non. Pas loin.
Je dis ça en finissant de boutonner ma chemise. Maeva, toujours nue, sourit et passe ses cheveux derrière ses oreilles. Ses petites boucles d’oreilles sont dévoilées, elle a dû dormir avec.
- Donc tu n’as pas d’excuses pour ne pas revenir me voir alors ?
J’acquiesce et elle me déboutonne la chemise. Je suis surpris de son geste mais pas vraiment contre.

- On est samedi, tu ne veux pas rester ?
- Euh… Si, bien sûr.
- Ha ! Ha ! Ben oui ! Quand même ! Tu as trois ans de sexe à récupérer mon chéri. Et moi je te laisserais pas en manque de sexe. Ah ça non !

Ensuite elle glousse, prend ma main pour la poser sur un de ses seins, m’embrasse et on retourne sur le lit. Ce weekend de rattrapage a été super et j’ai enfin super bien dormi. Que va penser la psy de nous ?

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Ça me rappelle une copine de fac
Posté le 13/06/2025


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