Au petit déjeuner. Moi en nuisette (mon nouveau pyjama), Christine, mon épouse, avec un de mes boxers. Nous respectons ainsi les désirs de ma tante.
Proposée le 30/05/2025 par vstorm
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Christine me fait part des nouvelles consignes de cette dernière.
1) piercing anneau au frein de prépuce pour moi
2) médicament pour qu'elle produise du lait (prescription jointe)
3) mardi en huit, elle reçoit quelques amies de son âge (75 ans), je suis prié de faire le service en tenue de soubrette et Christine est l'invitée d'honneur.
4) ne pas oublier de continuer tout les 2 notre traitement d’épilation au laser, ainsi que les pumping. (pour Christine, pumping des grandes lèvres).
M'enculer régulièrement avec le gode ceinture afin de préparer mon anus pour la soirée
Si toutes ces conditions sont respectées : moins 1000€ sur la dette. Je prends donc rendez-vous. J'aurai une semaine pour cicatriser.
La semaine se déroule. L'opération bien que douloureuse se passe bien.
Christine agrémente ma tante de vidéos de moi, faisant le ménage en soubrette, avec gros plan sur les rosebud de plus en plus gros que je porte quasi en permanence. Ainsi que des séquences de mon pénis énorme dans le tube en plastique du pumping.
Je vis en bas et porte-jarretelles. Souvent avec l'engin en plastique pour augmenter la taille de mon pénis.
Je reçois un sms de ma tante ; 'merci d’accueillir ma vieille amie chaleureusement. Crédit 500€ .Son truc c'est le voyeurisme.
Elle arrive à 14h. Pour toi, juste un soutien, pour Christine du cuir. PS : elle aime boire du sperme dans un verre. Ci joint une photo'.
Comment refuser ? On se prépare donc. Mes seins sont très présentables dans un balconnet C, j'en suis même fier.
A l'heure dite arrive la vieille amie, c'est le bon adjectif. Christine l'invite à entrer. Sexy par son 120 F (juste énorme ses seins), mais c'est tout. 80 ans à première vue.
Elle se présente courtoisement : je m’appelle Madeleine, mon amie m'a dit que vous étiez mon cadeau d'anniversaire...
Courtoisement, elle a apporté une bouteille de champagne.
'Vous êtes la bienvenue, que désirez que je fasse ? ' Répond ma femme en lui servant une coupe . 'Commencez donc par fouetter cet homme nu qui porte un soutien gorge qui lui va à ravir'.
Christine a un fouet à sa ceinture (du cuir très souple qi ne fait pas vraiment mal, d'ailleurs j'en ai vu d'autres). Je me mets à 4 pattes, elle se met à l'ouvrage.
Madeleine s'assied, remonte sa jupe et commence à s'enfoncer des doigts dans une chatte parfaitement rasée et rebondie, dont sort un énorme clito.
A la demande de ma tante, notre salon ressemble à un sex shop. Étagères exposant des godes de toutes formes, lubrifiants divers sur la table basse, agrandissements photos de nous deux dans des situations sexuelles les plus diverses, croix de saint jean et divers fouets accrochés aux murs.
Le cadre central est un gros plan de la chatte de ma tante, que Madeleine reconnaît d'ailleurs.
Elle se lève, récupère un vibro de bonne taille sur une étagère et demande de lui faire une démonstration de pumping.
Christine commence par équiper mon pénis, puis équipe ses tétons et sa vulve. Elle s'approche de notre invitée qui teste le vibro et place un tube de 5 cm sur son clito. Bonne estimation, pas succion, le tube se remplit de 4 cm de clito, même ma tante n'a pas cela.
'Votre tante m'a dit qu'il fallait préparer votre anus pour sa sauterie (le mot convient bien). Chère Madame, acquittez vous de la tâche' dit Madeleine , en choisissant le plus gros gode ceinture de l'étagère.
Je me mis à quatre pattes, Christine lubrifie bien son engin et mon petit trou. Elle me pénètre en douceur, nous prenons du plaisir aussi à voir Sylvie s'enfoncer cet énorme vibro dans son vagin, surmonté d'un clito de 4 cm.
Un moment donné, n'y tenant plus, je relâche la succion de mon pumping et j'éjacule dans le tube. Christine jouit en mm temps.
Ensuite, j'apporte le tube à Madeleine qui se délecte, c'était le but de sa visite.
Christine porte ses suceurs de tétons depuis plus d'une heure. En les enlevant elle se rend compte que chaque tube contient quelques gouttes de lait. Elle nous en offre un à chacun pour que nous gouttions. Merveilleux médicament prescrit par ma tante.
Je suis le plus heureux des hommes. J'aurai toujours du lait frais pour mon café le matin...
Madeleine retire son tube, le clito reste à 4 cm. 'J'ai toujours rêvé de me faire faire une pipe par un homme, pour changer'.
Elle prend un pied extraordinaire, puis s'en va en disant : à mardi les tourtereaux.
Les jours suivants la production de lait augmente. Christine a la bonne idée de conserver au frigo un petit stock pour la sauterie.
Le dimanche je reçois un SMS de ma belle mère, un peu perdue de vue depuis que je me suis disputé avec mon père.
« Bonjour mon chéri. Ta tante m'a appris que tu travaillais pour elle. Veux tu bien travailler chez moi? D'ailleurs tu n'as pas le choix, c'est un ordre de Sylvie. Rdv à13h. Ton père est à la chasse, il rentrera tard, tu n'auras pas à le rencontrer. »
Je répond : 'merci de ces nouvelles, je viendrai. Bises'.
J'ai toujours eu un faible pour Monique, beaucoup plus jeune que mon père qu'elle aguiche en permanence par des tenues osées, même en ma présence à l'époque. Splendide poitrine par ailleurs. Je lui suppose des tendances SM, du coup je met mon pantalon en cuir et un tee-shirt sans manche, en cuir également.
A l'heure dite je sonne au portail de la propriété de mon père. Elle déclenche l'ouverture à distance et me reçoit sur le perron, elle porte une petite robe moulante un rien transparente. Juste assez pour deviner qu'elle n'a rien en dessous. Elle m'embrasse chaleureusement, en appuyant ses gros seins sur ma poitrine. Nous nous installons au living, elle m'apporte une bière. Elle me demande de lui expliquer toutes les perversités de Sylvie. Je ne manque aucun détail. Au fur et à mesure je vois grossir ses tétons sous le mince tissu. A l'évocation de l'uro, elle m'apporte une autre bière.
'Et t'aimes ça ?' Oui, assez, et avec les extras, cela me fait un deuxième salaire.
Elle se lève, 'on ne va forcer, tu fais juste les salles de bains. Fait ça nu afin que j'admire tes piercings. '
'A ton service Monique.' Pas de ça entre nous dit elle en enlevant sa robe. 'Et comme cela on est à égalité'.
Elle adore mes seins.
Elle m'invite à monter et me montre d'abord son bureau. 'Ton père ne rentre jamais ici, cette pièce est toujours fermée à clé.. Tu devines pourquoi ?'. En effet, des photos sur les murs montrent ma demi sœur à tout âges mais toujours nue, et souvent dans des poses équivoques. 'C'est un secret entre nous mon chéri'. Sur ce, nous allons à la salle de bain et elle se fait couler un bain. Pendant ce temps là, je nettoie le sol, à la serpillière à quatre pattes, m'arrangeant toujours à ce qu'elle ai une belle vue, comme me l'a appris ma tante. Elle me sert encore une bière, 'pour que cela dure longtemps', il y a de l'uro dans l'air. Et en effet, elle s'assied sur le bidet. 'Je veux le début dans mon vagin, ensuite je veux te boire.
Pas facile de pisser en bandant, mais je la satisfait. Elle boit toute la fin, en avalant. Cela la ravi.
Ensuite elle plonge dans bain. Je continue à nettoyer.
Elle me convie à la rejoindre, s'assied sur le bord. Je me mets à quatre pattes et lui lèche la chatte.
Chatte parfaire, rebondie. Si longuement qu'elle jouit trois fois dans ma bouche.
J'ignorai qu'elle était à ce point une femme fontaine.
Elle se retourne, 'Pisse dans mon anus, puis rempli mon vagin de foutre'. Je bande depuis deux heures, c'est assez rapide. Elle sort du bain, s'essuie un peu et mets une culotte. 'ce soir ton père va goûter à ton sperme, marrant non ? '
Au passage, elle me montre un miroir en faux teint qui permet à mon père de la mater lorsqu'elle se fait mettre par un ou plusieurs de ses amants.
Ensuite, dans son bureau, elle me fait visionner une vidéo torride d'elle et sa fille.
Je rebande immédiatement, elle me suce. Avale tout. 'J'aurai ton sperme dans tout mes orifices pour ton père ce soir.'
Elle me tend 300 €, je refuse poliment. Elle insiste : 'je ne paie jamais mes amants, toi tu es mon fils, je sais que tu en as besoin. Tu a trouvé ta voie. T'es engagé mon chéri, et je te propose même une nouvelle cliente : ma mère. Je serai sans doute présente, elle est lesbienne. D'ailleurs c'est elle a initié ma fille lors de vacances où nous n'étions pas présent. Il faudra t'habiller en femme. Mais tu en as l'habitude à présent'.
Comment refuser ?
De retour à la maison, Christine, ma femme, me demande tous les détails. Cet inceste intergénérationnel l'excite beaucoup.
'J’espère que tu ne t'ai pas lavé, je veux goûter son jus'. Elle me fout à poil et me pompe divinement.
Ensuite, elle se met à quatre pattes. 'Par le petit trou mon chéri stp'. Je parviens à éjaculer encore, en pensant à la grand-mère et à la fille de Monique.
Elle est repue, s'étant masturbée toute l'après midi en imaginant les scénarios les plus hard.
Elle a reçu un SMS de ma tante : 'Bonjour à toutes. Pour mardi, dress-code : seins à l'air. Bisous mouillés'.
Je consulte mon téléphone, autre SMS de ma tante : 'soyez là une heure à l'avance, il faudra dresser le buffet'.
Mardi, 19h nous nous présentons. Christine en robe courte à balconnet, les seins par dessus. Moi, nu sous mon imper, porte jarretelles, bas et hauts talons.
Ma tante, en robe du soir, ses gros seins débordent du décolleté. Elles s'embrassent fougueusement. La table est déjà dressée pour 8 personnes.
Elle me fait couché sur la table de service, entraîne ma femme à la cuisine et reviennent les bras chargé de victuaille, et avec la très jeune bonne de ma tante. Elle ne porte qu'un mini tablier blanc, seins à l'air. Tu seras le plat de service, Jennie. Et de sortir un plan de dressage, qui indique la place des plats sur mon corps. Elle commence par enfoncer une carotte huilée dans mon anus. Ensuite elle me couvre le sexe avec de la carotte rappée. 'Il faudra faire attention avec les fourchettes' plaisante Christine. 'Mais on n'est pas obligé d'utiliser des couverts' répond ma tante. Deux petits navets cuit sont placés sous mon sexe. Ensuite, tranches de différents jambons sur les bras . Crevettes à sauce cocktail sur les seins, saumon fumé sur le ventre entre une ligne de rondelles de saucisson etc. Des olives sont disposées entre mes jambes. Des brins de persil ornent mes orteils
Les invitées arrivent presque toute en même temps. Je reconnais Kat et sa fille, Madeleine, Monique accompagnée d'une vieille dame qui s'avère être sa mère, et d'ailleurs elle se ressemble beaucoup.
Une autre octa vient compléter le tableau. Toutes respectent le dress-code. Ca papotent et ça se tripotent autour du buffet, une flûte de champagne à la main. De temps en temps, une convive se sert.
Elles s'amusent à faire tomber les carottes râpées en me faisant bander à la vue de leurs attouchements mutuels.
La fille de Kat fait pipi dans un verre, en boit une gorgée et vient coller sa bouche contre la mienne. C'est mieux que rien, je commence à avoir très soif.
D'autres l'imite.
'Les carottes manquent de sauce, qui se dévoue ?' déclare ma tante. La mère de Monique commence une pipe, elle est douée. Elle passe le relais, c'est une belle métaphore, à la petite bonne (Aline) qui me suce puis me termine à la main, en veillant bien à ce que mon sperme tombe autour de mon pénis.
A table !, le vin blanc est servi par Aline pendant que les convives viennent se servir par deux ou trois à la fois. Christine, toujours attentionnée me donne le sein. Je déguste son lait, toujours immobile sur ma table.
Lorsque je suis presque 'nu', ma tante ordonne : 'Jennie ! Allez prendre un douche et équipez vous. Pendant ce temps la petite et moi servirons le plat. A votre retour, retournez sur la table pour le buffet de desserts.'
A la salle de bain, je trouve l'équipement. Deux poids pour les piercing de seins, une chaînette avec mousqueton pour mon anneau de prépuce et un double plug anal, le côté avec une boule est pour moi, afin qu'il reste fixé. Il y a de double pénétration dans l'air.
Après une douche bien savonnée, je retourne à la salle à manger, les convives sont servies et Aline peur s'occuper du dressage du buffet dessert. Mon corps est couverts de fruits rouges divers, de tartelettes et mon sexe reçoit le contenu d'un saladier de riz au lait. Le tout avec de la crème fraîche maison, en 'petits points' .
Les invitées qui ont fini de manger viennent prendre des photos avec leur smartphone, elles sont émerveillées.
Au café, Christine fait circuler la petite bouteille contenant son propre lait. Beaucoup de ces vieilles veulent gouter à la source et elle se transforme en vache à lait pour la table entière. La fille de kat demande le nom de ce médicament, elle voudrait pouvoir en faire autant pour sa mère.
Maîtresse lui donne une prescription, libre de nom. Elle en a plusieurs, les deux octas qui s'entendent bien en veulent aussi pour leurs prochains ébats.
Ensuite, c'est la ruée sur les desserts, quel bonheur de se faire tripoter par huit femmes. Bien vite ma queue émerge du riz au lait et chacune désire lécher le sommet du mat. Certaines le redresse à l'aide de la chaînette. Ma femme me nourrit au sein.
Bientôt, sept langues lèchent les petits points de chantilly. Et dire que je suis payé pour subir cela.
Aline me verse sur les parties libres du chocolat liquide tiède,, c'est délicieux, aussitôt les guindes se précipitent pour lécher. Elle en verse aussi dans la raie des fesses de ma tante, les convives lui font honneur, par paire. Même les petits tabourets étaient prévus. Aline, accroupie, offre un cunnilingus aux spectatrices. Bientôt rejointe par la fille de Kat qui aime les très vieille chattes. Je mate le clito de Madeleine, ma femme prend une photo.
Aline se précipite dessus et lui fait une pipe.
Maîtresse m'envoie à la salle de bain, j'y trouve un litre de thé vert. Avec un petit mot, 'Aline en a déjà bu deux. Faiy couler un bain'. J'ai compris elle veut beaucoup de pisse.
Je reprend une douche. Pendant ce temps là, ma tante a formé deux groupes pour se laver dans son immense baignoire. Elle s'est réservé Kat, sa fille et Christine. Pendant que le bain coule, je vais discrètement manger un petit bout à la cuisine avec Aline occupée à ranger. 'Je suis très bien payée pour cette soirée, mais je le ferais volontiers pour rien tant j'aime mater ces vieilles lesbiennes en chaleur'. Sans doute sur ordre, elle porte désormais un gode ceinture. 'priorité au petit personnel', elle prend un peu de beurre en guise de lubrifiant et m'encule.
La revanche du prolétariat, c'est la bonne qui me fait éjaculer pour la deuxième fois. J'ai eu le temps d'attraper un verre et de récolter ma semence.
J'efface les traces avec des lingettes et retourne à la salle à manger annonçant : le bain de ses dames est prêt.
A vous dit ma tante en désignant Madeleine qui saisi ma chaînette et m’entraîne, suivis par les trois autres. Elle m'installe dans la douche. Nous allons prendre un douche d'abord, nous sommes plein de sucre. Jennie va nous rincer. Je donne mon verre de sperme à Madeleine pour cette bonne idée. Elle se délecte.
J'arrose ensuite, à tour de rôle, les chattes de ces dames. Certaines goûtent.
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