Après avoir donné une récompense à Inès et commencé à programmer le prochain week end, Bruno rend une visite à Cindy. Va-t-elle accepter de participer au week end en trio ?
Proposée le 16/05/2025 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Ce mardi soir, Bruno est en route pour rejoindre l'appartement de Cindy. Faire écrire à Inès ses activités sexuelles et lui faire dire comment elle va le sucer demain l’ont émoustillé. Sans compter, que depuis que Bruno a quitté le bureau, Cindy lui a envoyé plusieurs messages : A quelle heure il arrive ? Comment il est habillé ? Tu as été si bon avec moi la dernière fois, je veux te rendre la pareille.
Bruno qui est au pied de l’immeuble, répond : J'arrive dans 5 minutes, je pense déjà à toutes les choses que je vais te faire ce soir ????
La réponse de Cindy ne se fait pas attendre : Ta langue partout sur mon corps, j’en veux encore.
Bruno monte les escaliers de l’immeuble : Je ne pense qu’à être à l'intérieur de toi.
Il arrive devant la porte quand un nouveau message arrive : Si tu étais près de moi, tu serais déjà en moi :D
Le patron sourit. Deux nanas chaudes comme la braise à disposition. Et si Cindy n’y voit pas d’objection, ils feront ménage à trois ce weekend… En imaginant les deux langues de ces deux salopes sur sa queue, l’excitation monte encore plus en lui.
Il frappe vigoureusement à la porte. Quelques secondes à peine et Cindy ouvre déjà. Elle est en serviette qu’elle a noué au-dessus de ses gros seins comme un paréo. Le bas de la serviette lui arrive à peine sous ses fesses rebondies. En voyant Bruno, elle l’embrasse sauvagement.
- Je ne pensais pas que tu arriverais si tôt, je n’ai même pas eu le temps de m’habiller…
Bruno ricane.
- Vu le programme de ce soir, tu peux rester dans cette tenue.
Cindy sourit, le laisse entrer, puis ferme la porte et le regarde du coin de l’œil.
- T’es vraiment un pervers…
Alors qu’elle va vers sa chambre pour s’habiller, Bruno la retient par le bras.
- Je suis sérieux, reste comme ça.
Cindy se mord la lèvre inférieure. Elle est un peu gênée. C’est vrai que dans quelques minutes ils seront tous les deux à poil, mais la belle antillaise à la peau caramel n’a jamais reçu l’un de ses quelques amants dans cette tenue. Malgré son expérience sexuelle, les déguisements, les perversions de ses amants, elle n’a curieusement jamais reçu quelqu’un en serviette de salle de bain. C’est une première. Elle hoche la tête en souriant.
Comme à sa première visite, l’appartement est petit mais bien décoré, avec des touches personnelles de Cindy. Des photos encadrées montrant des moments heureux partagés avec ses proches, des plantes en pot et des livres soigneusement rangés sur des étagères. Un tapis moelleux en laine beige couvre le sol du salon, apportant une sensation de confort et de chaleur. Une grande baie vitrée laisse entrer la lumière naturelle, éclairant la pièce d'une douce lueur.
La besta d’Inès s’installe sur le canapé avec une grâce naturelle. Elle plie les jambes, s'agenouille doucement sur l’assise moelleuse. Ses genoux sont posés sur le canapé, et elle s'assoit délicatement sur ses talons, ses pieds repliés sous elle. Son torse est à la verticale, réhaussant sa poitrine qui se dresse sous sa serviette qu’elle doit retenir d’une main pour ne pas la laisser tomber. Cette posture, à la fois confortable et élégante, lui permet de rester près de Bruno tout en étant décontractée.
Bruno, assis à côté d'elle, remarque sa posture détendue et son sourire accueillant. Il souhaite que sa serviette tombe au plus vite. Au pire, pense-t-il, il l’enlèvera lui-même.
Cindy tourne la tête vers la table basse où attend du thé glacé. Bruno sert deux verres et en tend un à Cindy.
Ils trinquent.
- A ta serviette ! Je remercie le fabriquant qu’elle soit si courte, et je remercierais la gravité si elle pouvait la faire tomber rapidement !
Cindy pouffe et proteste mollement.
- Quel pervers tu fais Bruno… ça ne m’étonne pas qu’Inès perde la tête… D’ailleurs, comment ça se passe avec Inès ? Demande Cindy en prenant une gorgée de son verre. Elle m’a écrit qu'elle a enfin rompu avec son ex.
- Oui… Enfin, c’est plutôt moi qui ai rompu pour elle. C'était difficile pour elle, mais maintenant c’est fait.
- Je suis vraiment contente pour elle, ajoute Cindy. Elle mérite d'être heureuse et de se sentir libre. Et je sais qu’avec toi elle se sent beaucoup mieux.
- Absolument. Elle est tellement plus détendue.
Ils continuent de discuter, Cindy partageant des anecdotes et des souvenirs sur Inès.
Puis Bruno raconte comment s’est passé la rupture.
Cindy éclate de rire.
- Non ! Tu rigoles ? Dit-elle avant de se couvrir la bouche et le nez de sa main libre, tandis que l’autre tente de déposer le verre sur la table basse.
Bruno sourit en la voyant réagir si vivement.
- Non, je te jure, c'est vraiment ce qui s'est passé, répond-il, amusé.
Cindy reprend son souffle entrecoupé de rire, les yeux encore pétillants. Elle arrive enfin à déposer son verre. Bruno ne l’aide pas, il l’observe qui tente désespérément de maintenir sa serviette en place.
- Eh ben… S’étonne encore Cindy. Entre la signature du contrat et la rupture… Toi tu y vas à fond ! S’écrie-t-elle en riant aux éclats. Puis elle ajoute : et tu ne lui as pas remis un petit coup avant de partir ?
- Non, mais elle a eu droit un cunni bien mérité.
Cindy l’interroge du regard, ses sourcils légèrement froncés. Elle incline la tête sur le côté et fait un geste de la main, paume ouverte vers le haut, comme pour l'encourager à expliquer davantage. Bruno lui raconte alors le coup du cahier d’écolière.
La belle au teint caramel éclate à nouveau de rire.
- Quoi ? Inès ? Mon Inès a écrit dans un cahier d’écolière ses activités ? Ajoute Cindy, surprise, et n’arrivant pas à croire ce qu’elle entend.
Bruno la regarde droit dans les yeux et hoche doucement la tête. Cindy se couvre la bouche et le nez de sa main, essayant de maîtriser son rire. Elle s’imagine Inès écrire toutes les cochonneries qu’elle a faites avec son patron.
- C'est tellement cochon pour elle… Mais adorable, continue-t-elle en riant. Je ne peux pas croire qu'elle ait fait ça.
Bruno se joint à son rire, appréciant la réaction de Cindy.
- Oui, c'était un moment mémorable. Mais tu sais, ça montre à quel point elle est prête à s'investir.
Cindy retrouve peu à peu son calme, essuyant une larme de rire au coin de son œil.
- Eh bien, je suis contente qu'elle ait trouvé un moyen de s'organiser, avec un cahier d’écolière. Cela montre combien elle prend son rôle au sérieux… Même si normalement, c’est à toi de « l’investir » !
Ils partagent un sourire complice, savourant ce moment de légèreté et éclatent de rire.
- Bruno, je ne sais pas comment tu as fait, mais ça m’a l’air marrant.
- Tu n’as pas un carnet ?
Le sourire de Cindy s’efface légèrement. Elle plisse légèrement les yeux en se rappelant de leur conversation.
- Tu vas me faire faire un cahier d’écolière aussi ?
- Et pourquoi pas ? Je vois dans ton regard que tu en as envie…
Cindy se mord l’index, elle est déconcertée. Elle se demande si elle doit faire la même chose que sa besta. C’est inattendu, mais terriblement excitant…
- Mais… Commence-t-elle. Mais tu ne te moqueras pas ?
Bruno sourit, l’observant avec malice.
- Jamais, Cindy. Promis. Dit-il doucement. Je pense que cela pourrait être amusant pour toi aussi.
Cindy hésite un instant, puis sourit à son tour.
- D'accord, je vais essayer. Mais tu m'aides, hein ?
- Bien sûr, je serai là pour t'aider à chaque étape, répond Bruno avec un clin d'œil. Ce clin d’œil signifie bien qu’ils ne se contenteront pas d’écrire, mais qu’il y aura des interactions physiques également.
Ils se regardent, partagent un rire complice, puis Cindy acquiesce.
Elle se lève et se dirige vers un meuble en face du canapé pour chercher dans les tiroirs de quoi écrire. Elle cherche d’une main, l’autre cherchant à retenir sa serviette. Bruno, observateur, toujours avec son sourire taquin, se lève également et s'approche d'elle.
- Alors, tu trouves quelque chose ? demande-t-il en feignant l'impatience.
Cindy, concentrée sur sa recherche, laisse échapper un rire amusé.
- Patience, Bruno. Ce n'est pas si facile de trouver un carnet dans ce fouillis.
Bruno se penche un peu et jette un coup d'œil par-dessus son épaule.
- Tu es sûre que tu n'as pas besoin d'aide ? Je peux tenir ta serviette pendant que tu cherches ? Insiste-t-il avec un sourire malicieux.
Cindy lui lance un regard amusé avant de retourner à sa recherche. Après quelques instants, elle sort finalement un petit carnet et un stylo du tiroir.
- Voilà, j'ai trouvé ! s'exclame-t-elle triomphalement.
- Parfait, maintenant on peut commencer, dit-il en revenant s'asseoir sur le canapé.
Cindy s'installe à nouveau à ses côtés, son carnet et son stylo en main.
- Très bien, allons-y, dit-elle en ouvrant le carnet, prête à suivre les conseils de Bruno.
Elle commence à écrire quelques lignes, notant ses débuts et activités avec Bruno. Celui-ci observe attentivement, puis lui donne quelques suggestions.
- Essaie de donner plus de détails sur tes activités, Cindy. Par exemple, tu étais à poil sur le parking, décris-le un peu plus en « profondeur ». Parle de ta détermination à absorber ma banane. De ton excitation à te faire lécher, ce que tu as ressentie… Et n’oublie pas de décrire comment tu imagines mon pieu en toi.
Cindy acquiesce, prenant en compte les conseils de Bruno. Elle ajoute des détails à ses notes, décrivant ses tâches et ses réflexions avec plus de précision.
- Et n'hésite pas à noter tes idées pour ce weekend, continue Bruno. Cela t'aidera à rester organisée et à suivre tes progrès.
Cindy sourit, reconnaissante pour les conseils de Bruno. Elle continue d'écrire, prenant soin de suivre ses suggestions et d'ajouter des éléments plus détaillés à son carnet. Elle s’interrompt alors qu’elle écrit un nouveau paragraphe avec en titre « weekend ».
- Euh… On avait parlé d’un programme pour ce weekend ? Demande d’un air perplexe l’écrivaine caramel.
- Pas encore. Je voulais savoir si tu avais des idées, quelque chose que tu voudrais qu’on fasse.
- Mais je sais pas, tu me prends au dépourvu…
- Pas qu’au dépourvu, je te prends de toutes les façons.
Cindy éclate de rire avant de reprendre.
- J’ai compris que tu veux que je te propose un fantasme à réaliser… Mais je n’ai pas d’idée… T’as qu’à écrire toi !
- Ok Cindy, mais si c’est moi qui écris ton programme, tu devras le faire !
Cindy le regarde, incertaine mais curieuse.
- D'accord, je te fais confiance, dit-elle en hochant la tête. Alors, quel programme as-tu en tête ?
Bruno prend le carnet et commence à écrire. Il écrit qu’elle doit porter une tenue d’étudiante coquine, soit : une mini-jupe, des bas, un chemisier au décolleté plongeant et au choix entre des lunettes ou des couettes. Il ajoute qu’elle sera en apprentissage avec Inès et devra lui apprendre à sucer à deux langues, et devront se faire toutes les deux mutuellement plaisir. Le reste en fonction de l’envie du moment.
- Voilà, dit-il en lui tendant le carnet. Ça te plaît ?
Cindy lit les propositions, un sourire se dessinant sur ses lèvres.
- Oh Putain ! Salaud… C’est chaud… Tu sais, j’ai déjà embrassé Inès mais là…
- Elle a un gage, elle n’a pas le choix… Et de son côté, elle n’a pas oublié votre baiser… Tu n’as jamais eu de copine avec qui tu as essayé des trucs ?
- Si une fois... Mais avec Inès ?
- Elle a confiance en toi. Et franchement, me faire sucer par deux meilleures copines m’excite à fond.
Les yeux de Cindy brillent, pétillent. Elle remue un peu les fesses d’excitation, sa serviette perd de sa discipline et se détache légèrement. Mais Cindy n’y prend plus attention, prise par la stimulation du projet de weekend.
- Tu sais Bruno, j’ai jamais fait un truc à trois avec une fille. Je n’ai fait qu’avec des mecs… J’avoue que ça me tente…
- Ben voilà, c’est réglé. Ça vous rassure toutes les deux de vous connaitre…
Cindy sourit, se penche vers Bruno pour l’embrasser.
- Ok, professeur pervers, je suis prête à suivre ce programme.
Ils échangent un sourire complice, satisfaits de leurs plans pour le weekend. Tout en s’embrassant, la serviette de Cindy tombe enfin. La réaction de Cindy ressemble à s’y méprendre à celle d’Inès ce matin : faussement surprise, ses yeux écarquillés pétillants de naïveté factice, la bouche grande ouverte devant laquelle elle met sa main comme pour souligner son artificiel étonnement.
- Oh ! Dit-elle. Mince alors… Tu vas vouloir me baiser maintenant… Vous les hommes vous êtes tellement des pervers…
- Oui, les hommes. Ce n’est pas toi qui m’as dit qu’il faudra te faire un bon ramonage ?
- Ben c’est-à-dire que le conduit n’a pas été utilisé depuis un petit moment… Dit-elle d’un air naïf, presque candide.
C’est ce même air mi innocent mi salope que lui lance parfois Inès… Est-ce que c’est cette salope de compétition qui a appris ça à Inès ?
- Je suis justement expert en ramonage… Allonges-toi !
Il glisse sa main derrière les fesses à l’air de la fausse prude et commence à les caresser. Puis, il penche Cindy pour qu’elle s’allonge sur le canapé, sur le dos. Malgré l’ordre qu’il lui avait donné, elle est plutôt surprise mais amusée.
Alors qu’il l’embrasse, elle entend le bruit métallique d'une ceinture qu'on enlève. D’une voix rauque, Bruno lui affirme « J'ai vraiment trop envie salope, tu m’excites trop ».
D’une main, il palpe un sein. L'autre s'attaque à sa chatte humide. Son vagin est clairement humide et de la cyprine commence à dégouliner sur le canapé. Il va falloir tout laver...
Tandis qu’il la caresse avec deux doigts, un cri s'échappe de la beauté caramel et elle colle ses mains sur sa bouche pour se retenir, de peur que les voisins n’entendent. Contrairement à hier, ce soir ils sont là. Surtout le vieux qui la reluque lorsqu’elle le croise et auquel elle se force à sourire.
Bruno jette son pantalon et son caleçon à terre. N’arrivant pas à la pénétrer confortablement dans cette position, il ordonne à sa nouvelle élève de se mettre à quatre pattes.
Sans avoir le temps d'y réfléchir, Cindy s’exécute, trop pressée d’avoir autre chose qu’un gode s’agiter entre ses cuisses. A peine est-elle en position, tête baissée, dos creux et fesses relevées, qu’elle sent les lèvres de sa chatte s'écarter brutalement. Immédiatement après, son vagin est rempli du sexe de son nouveau professeur. Elle est tellement mouillée que le gourdin a pu s’y glisser tout seul.
Il la pénètre sauvagement, brutalement, avec un rythme soutenu. Il empoigne les hanches, s’agite en avant et arrière, ses cuisses cognant contre les fesses de cette salope hors concours.
- Ah ! Ah ! Les.. voi…sins… sont… là… Dit-elle entre chaque coup de boutoir.
Son amant répond par des râles et des grognements d’animal en rut. Ce comportement augmente le plaisir de Cindy, elle aime sa façon de la prendre...
- Ah ! Ah ! Tu… as… en…ten…du… ?
- T'inquiète pas, je te baise dans les règles de l'art. Répond enfin Bruno.
Il s’arrête et sort de son conduit chaud et moelleux. Il met une claque sur le derrière de sa nymphe de ce soir et mime une inspection visuelle comme le ferait un ramoneur.
Il introduit son index et son majeur et frotte vigoureusement les parois internes. Il introduit et ressort ses deux doigts à plusieurs reprises, couvrant toute la longueur du vagin.
Une fois le frottage terminé, le « ramoneur » colle sa bouche contre la vulve et « nettoie » soigneusement cette zone. Puis, il mime une nouvelle inspection visuelle. Cindy jubile, sa vulve, son ventre et son canapé sont inondés de cyprine. Cindy soupire, glousse.
- Ha ! Ha ! Tu possèdes bien ton rôle de ramoneur toi !
- C'est toi que je possède, salope !
A peine a-t-il prononcé ces mots qu’il l'enfourche jusqu'à la garde en l'écrasant contre le coussin du canapé. Elle essaie de se redresser, mais il pose sa main sans ménagement sur sa tête et la force à rester penchée en avant. Tandis qu’elle râle au rythme de ses coups de piston, Bruno lui claque régulièrement le cul, d’une main, tout en lui tenant une hanche, puis de l’autre en inversant ainsi les rôles de chaque main.
Malgré l’aspect sauvage, Cindy se dit qu’elle n’a jamais rien vécu d'aussi bon. Elle n'arrive plus à retenir ses gémissements, Bruno martèle et pilonne. Cette petite cochonne était déjà toute trempée quand il s’est introduit. Et maintenant, elle couine sous ses coups de queue. Elle est très excitante avec son visage candide, ses faux airs de gamine et ses gémissements aigus.
Il la maintient fermement tout en la limant avec régularité et détermination. Elle se sent complètement dominée et possédée. De plaisir, elle commence à voir des étoiles.
L'orgasme attendu vient enfin, sa chatte tremble et son vagin comprime par spasmes le poteau de son « ramoneur ». Malgré le rythme qui ralenti et les claques sur le cul qui se poursuivent, elle apprécie toujours autant ce qui est en train de se passer. Cindy a toujours eu des orgasmes facilement et elle est donc complètement accro. Elle aime sentir ses parois se serrer contre le sexe qui la pénètre.
Elle revient à elle et se rend compte qu’elle a dû gémir un peu fort, le voisin cochon a surement tout entendu !
Les râles de bête de Bruno se font moins intenses. Et il se retire de ce conduit, ramoné, mais souillé.
- Oh mon dieu ! Oh putain… C'était vraiment... Dit enfin Cindy, haletante de plaisir, les lèvres dégoulinantes de cyprine… C'était très bon. Conclue-t-elle.
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