Fétichiste, elle a la volupté de porter bottes et cuissardes, d'être admirée avec, mais aussi, dans ses voyages, de les faire entretenir par des cireurs compétents...Ca lui donne du plaisir et ça débouche aussi très vite sur du sexe avec des cireurs qui ont envie d'elle...Et ils ont tous envie...
Proposée le 13/05/2025 par jerome james b
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
SHOE SHINER
Partie 1
Je l'avais repéré la veille, en sortant de l'hôtel. Ca faisait deux jours seulement que j'étais à Darwai, et je savais pertinemment qu'il y avait ici comme partout ailleurs des cireurs de chaussures. Il suffisait de chercher. Pas la peine d'aller bien loin d'ailleurs. En sortant de l'hôtel, on avait le choix entre trois avenues, j'avais pris la troisième, convaincue d'ailleurs que si j'avais pris la première ou la deuxième, j'aurais aussi trouvé quelqu'un.
Il avait une bonne cinquantaine d'années, il était asiatique, cheveu court, souriant, pas très grand. Et il avait tout un appareillage, comme ses confrères du monde entier. Un siège bien sûr, avec un reposoir pour les pieds, et un assemblage de tiroirs divers, étalés autour de lui, qui renfermaient une tonne de produits. On était pour ainsi dire masqués des gens qui passaient par une longue bande de tissu sur laquelle était imprimé son nom, sa profession, un logo...Mark...Shoe shiner...Et ce logo sympa qui rassemblait divers types de chaussures rassemblées...
Moi, ma passion, c'étaient les bottes...Été comme hiver, je ne portais quasiment que cela. De belles bottes, à talon aiguille, de toutes matières et de toutes formes, courtes, ou montantes, type cuissardes. C'était quelque chose qui me correspondait, et qui, je l'estimais, me rendait plus belle. Me cambrait, redessinait ma silhouette, pour le meilleur. Et puis il y avait une sensualité intrinsèque à porter ainsi des bottes, à les sentir contre soi...
Et un jour j'avais découvert un autre plaisir...Celui des cireurs...
Ce matin-là j'avais de belles cuissardes, marron, à talons aiguille. J'étais ici pour une semaine, et j'avais une paire différente pour chaque jour. J'avais pris des bottes portées, mais qui avaient besoin de soins. Il allait leur en donner.
J'admirais le talent de ces hommes qui avaient choisi ce métier. Ils l'avaient choisi par passion, évidemment, parce que ce n'était pas l'argent que ça leur rapportait...J'en avais vu pas mal, sur tous les continents, tous avaient l'habileté, la foi...Je n'étais jamais ressortie d'une séance en étant déçue...
Je me suis calée devant lui. Il inspectait ses produits. Il a relevé les yeux. M'a vue.
— Vous êtes ravissante, et vous avez une paire de bottes magnifiques.
— Vous êtes prêt à vous en occuper?
— C'est mon métier. Je vais leur redonner une seconde vie.
Cireur, il n'en restait pas moins un homme, et il a été sensible à mes charmes. C'était que j'étais plutôt jolie fille, et je le savais bien.
C'est toujours difficile de se décrire. Si je devais parler de moi, je dirais que je suis plutôt grande, brune, avec de belles formes, que je plais aux hommes, et que je sais me mettre en valeur.
Je me suis calée sur le siège. Mes bottes offertes. Mais pas que.
Je me disais souvent qu'un cireur,s'il avait du boulot normalement, devait en voir passer, dans une journée, des paires de chaussures...Masculines, féminines...De tout poil...Ceux à qui j'avais offert mes plus beaux achats ne semblaient en tout cas jamais blasés. Ils attaquaient une nouvelle paire avec toute leur énergie.
Ils devaient voir aussi des profils très différents.
Et parfois, même s'ils regardaient les chaussures, ils avaient aussi une vision périphérique, être troublés par les corps qui étaient dans leur ligne de mire.
Soit ils étaient totalement indifférents, soit ils ne l'étaient pas.
Ce jour-là, je portais une jupe en cuir qui m'arrivait à mi-cuisse, avec une paire de bas stay-up, et pas de slip.
De sorte mon intimité était offerte, et il ne pouvait pas, dans la position où je me trouvais, la louper.
Je crois bien qu'au tout début, il n'a même pas fait attention. Vraiment concentré sur mes bottes. Et puis son regard a glissé un peu plus haut.
Il était plutôt bon, parce qu'il n'a rien laissé voir. Un vrai professionnel. Comme ses confrères.
Il portait une chemise et un pantalon de survêtement. Avec ce type de pantalon, les détails on les voit bien, et j'ai très vite remarqué qu'une bosse qui avait valeur d'érection déformait le survêt.
Il s'est mis au travail.
Chaque cireur avait ses rituels, sa manière de faire, ses techniques et ses produits, mais les phases étaient toujours les mêmes.
Dans un premier temps, ils commençaient toujours par bien nettoyer la chaussure. Pour travailler sur un terrain propre et net ensuite. Un coup de brosse, un coup de chiffon souvent les deux.
Et c'était pour moi le début du plaisir. Un plaisir qui avait de multiples facettes. D'abord, simplement, celui de me laisser fasciner par la danse des mains, si habiles...Un plaisir hypnotique. Je regardais, non, je dévorais des yeux, prise par cela. Je ne voulais pas en perdre une miette.
L'autre plaisir, était plus subtil. Qu'il passe avec chiffon, brosse ou main, le cireur caressait mes bottes, et celles-ci me transmettaient la caresse. Et c'était hyper bon. Pieds, chevilles....Hyper sensible...J'étais même convaincue que si je m'étais faite caresser mains contre peau, ça n'aurait pas été aussi bon.
L'homme était en plein travail. Je sentais son regard sur mon sexe, dans la périphérie, même s'il était concentré sur mes bottes. Un coup de chiffon d'abord, de brosse ensuite, et ensuite, avec un pinceau l'application de ce que je pensais être un produit nettoyant, mousseux mais aussi pénétrant.
Je sentais, à chaque fois, irrésistiblement, mon sexe s'ouvrir et commencer à couler. Les deux allaient de pair.
Les bottes étaient prêtes pour être enfin cirées. Il a sorti une petite brosse, a été chercher le cirage de la teinte adéquate dans une petite boite, et il a commencé à appliquer de petites touches de cirage sur mes bottes.
Je vivais, à chaque fois aussi, une double progression. Mes bottes revivaient, retrouvaient une nouvelle vie, et j'avais une envie de plus en plus pressante, de sexe, sous quelque forme que ce soit.
Ce moment me mettait dans tous mes états. Il aurait été bien impossible que je le traverse dans la froideur, et en restant neutre.
Toujours avec sa petite brosse, il a étalé le cirage de manière uniforme. Le cuir retrouvait sa plénitude. Il a laissé le cirage pénétrer avant de passer sur une autre brosse qui a bien fait pénétrer le cirage dans le cuir et l'a fait briller. Ce moment je l'aimais toujours, parce qu'il me semblait spécifique de son métier, un mouvement rapide et circulaire. Il évoquait pour moi un autre type de pénétration. C'était le moment où je commençais vraiment à avoir envie que quelque chose vienne en moi. Doigt, langue, queue...
Je me sentais ouverte, et mes liquides intimes coulaient d'abondance, descendant le long de mes cuisses. Je m'étais déjà regardée avec une glace, et je savais comment j'étais dans de tels moments: on voyait l'intérieur de mon sexe, mes lèvres étaient gonflées, comme mon gland clitoridien. Et surtout ma cyprine jaillissait, abondante. Ça, c'était le signe absolu de mon excitation.
Il continuait de cirer mes chaussures, imperturbable. Très concentré. Il y avait-il aussi d'autres filles qui s'exhibaient ainsi, parce que ça les troublait, pour le provoquer?...Une bonne question... De ma part il n'y avait nulle provocation...Juste la volonté de profiter d'un moment divin.
On arrivait vers la fin. Il a attrapé un chiffon pour bien lustrer une botte, puis l'autre, avant de faire ce que faisaient beaucoup de cireurs, je l'avais remarqué, Ils rajoutaient une huile, souvent de leur composition, qui permettait à la fois de donner un éclat supplémentaire et de renforcer la protection de la chaussure.
Tous, ils avaient tous du talent.
J'ai sorti deux billets de mon sac. Il y avait plus que la somme demandée, mais je donnais toujours plus. Pour le plaisir qu'ils me donnaient.
— Ne me rendez pas la monnaie. Mes bottes sont magnifiques.
Il était debout.
— Venez près de moi. Je ne peux pas vous laisser comme ça toute la journée, avec une queue en pleine érection, douloureuse de désir.
Il a compris où je voulais en venir. Il n'a pas reculé, quand j'ai baissé son pantalon de survêtement. Sa queue était énorme. Il y en avait quelques centimètres qui dépassaient de son caleçon, dont un gland surdimensionné qui suintait. Ce n'était pas cette vision qui allait me calmer.
Je l'avais déjà remarqué, quand on était ainsi calé, à se faire cirer les chaussures, on était invisible. Et notre position nous rendait encore plus invisible. Suffisamment pour un de ces moments de sexe volés au lieu, au temps...Et pour beaucoup de plaisir. J'ai baissé son caleçon et sa queue est apparue. La voir m'a fait cracher un grand jet de mouille. J'avais les cuisses trempées.
Dans ces conditions, malgré tout, impossible d'envisager une pénétration. Mais on pouvait quand même avoir du plaisir. J'ai encerclé sa queue de ma main. Elle était tellement épaisse que ma petite main de fille n'en faisait pas totalement le tour. Penser que je pourrais l'avoir en moi... Un nouveau torrent de mouille est sorti.
Une main sur lui...L'autre, je l'ai amenée sur moi. Je me suis caressée en frottant mon gland clitoridien. Quand je voulais jouir vite et bien...Les orgasmes montaient par là avec une facilité déconcertante, en s’enchaînant. Je le masturbais, sentant sa queue vibrer au cœur de ma paume. Sensation enivrante, d'avoir une queue au cœur de sa main et de savoir qu'on va provoquer la jouissance d'un homme.
J'ai commencé à jouir, mais lui aussi était proche de la jouissance. Son excitation était montée en parallèle de la mienne...Et puis, je branlais bien...Je savais caresser la queue d'un homme, et l'amener à la jouissance.
Quand j'ai senti qu'il allait jouir, j'ai mis ma main en coupe contre son gland. La semence, brûlante, est venue cogner contre ma paume. Les jets successifs m'ont rendue folle. J'ai frotté mon gland clitoridien encore plus fort, et joui pour la septième ou huitième fois, jambes dégoulinantes de cyprine.
J'ai gardé ma main, paume remplie de sperme, collée contre sa queue, qui restait dure.
J'ai eu une pensée absurde, digne de l'obsédée sexuelle que j'étais. Je me suis dit que son foutre ou le mien seraient parfaits pour ensuite mes bottes et leur donner une brillance supplémentaire. Peut-être même mieux que le produit qu'il utilisait. Ça vaudrait le coup d'essayer.
— Ca vous arrive de vous déplacer. J'aimerais que vous veniez à ma chambre d'hôtel pour cirer une autre paire demain ?
— Je peux me déplacer si nécessaire.
Je lui ai donné le numéro de la chambre. On a pris rendez-vous pour le début de matinée. 9 heures du matin.
J'ai repris la route de ma chambre. Je voulais revivre ce moment seule. Une main frôlant les bottes, l'autre frottant mon sexe, je suis donnée du plaisir, d'orgasme en orgasme, jusqu'à l'épuisement. Je suis descendue manger au restaurant de l'hôtel avant de sortir tout l'après-midi.
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