Mais un samedi, tout va être remis en question...Ce dont il rêvait va devenir vrai dans un jeu de domino qui bouscule tout...Tout cela au milieu d'exhibitions plus troublantes les unes que les autres...
Proposée le 13/05/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
CAMERAS DE SURVEILLANCE
Partie 2
Mon attention était déjà attirée ailleurs. Et pas par quelque chose de sexuel, cette fois. Au fil du temps, j'avais acquis des réflexes, devenus instinctifs, qui me faisaient capturer les détails suspects. Là, je venais de voir, sur le parking du petit supermarché de la ville, une voiture se garer, deux jeunes en descendre. L'un d'entre eux venait de sortir une arme de poing qu'il avait posée sur le capot de la voiture. Envisageait-il un braquage? Un règlement de comptes? J'ai vite appelé la gendarmerie. On travaillait la main dans la main.
L'un des jeunes a glissé l'arme sous son blouson. Ils ont posé un passe-montagne sur leur visage et ont commencé à avancer vers le magasin. Le véhicule de gendarmerie est arrivé quelques secondes plus tard, leur barrant le passage. Les deux gendarmes sont sortis du véhicule l'arme au poing, tout en restant à l'abri de la carrosserie. Mais les jeunes n'ont rien tenté, celui qui était armé a balancé son flingue sur l'asphalte du parking.
C'était moins une...Et l'évidence, une fois encore, d'une triste réalité chez nous : cette criminalité amenée par la grande ville à côté.
Les minutes qui ont suivi ont été plus calmes, heureusement.
L'entrée d'une petite rue. Une petite brune, souple et fine, toute jeune. Un caleçon très moulant, un top sous un blouson de cuir et des bottes de cuir noir à talons aiguille. Sa longue chevelure noire brillait et captait les rayons du soleil. Elle s'est posée là et a allumé une cigarette. Elle attendait quelque chose me semblait-il, dans cette rue peu passante, et je n'ai pas tardé à comprendre quoi. Un homme est apparu. La trentaine. Il lui a tendu une enveloppe. Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre ce qu'elle contenait. Elle l'a glissée dans une poche de son blouson, avant de tendre la main vers son pantalon, et d'en sortir une verge semi-érigée qu'elle s'est mise à masturber doucement. Il n'y avait nulle contrainte pourtant dans cette caresse. Au contraire, si son visage était jusqu'alors neutre, un grand sourire s'est affiché dessus. Sans doute qu'elle trouvait une vraie dimension dans un moment comme celui-ci, avec une verge dans la main, et puis bientôt dans la bouche.
Deux autres gars sont arrivés, un plus jeune, l'autre plus âgé. Ils ont tendu une enveloppe. Elle a sorti leurs queues, et elle a évolué, à partir de ce moment, entre eux trois, comme un funambule sur un fil. Avec une habileté qui tenait sans doute pour partie à l'instinct et pour partie à l'expérience. Elle s'occupait des trois queues sans en négliger aucune. En caressant une de la bouche et de la langue, et en masturbant les deux autres. Surtout, et ça disait clairement son expérience, elle savait parfaitement voir quand une queue était proche de la jouissance. Ca m'a énormément troublé de la voir ouvrir la bouche devant la première queue enfin mure, de faire un aller retour dessus, et d'accueillir le sperme dans sa bouche et sur son visage. Un exercice dont j'ai bien profité, puisque d'autres hommes sont arrivés. Quand l'un d'entre eux avait joui, il s'éclipsait, laissant la place à d'autres. Au total, il y a eu douze hommes, qui lui ont donné de l'argent en échange de ses faveurs sexuelles. Quand le dernier est parti, elle s'était remplie de sperme, mais elle avait aussi le visage maculé. Elle a sorti de son petit sac à main un grand pan de tissu qui lui a permis de s'essuyer, avant de se redresser et de s'éloigner, ses fesses bien rondes dansant sous mon regard, nues ou quasi nues sous le tissu de son caleçon.
C'étaient de tels moments qui donnaient une grande partie de son sens à ma veille, en dehors de ma mission, et aussi du plaisir. Je n'aurais quitté mon poste pour rien au monde.
Il s'est passé encore une heure avant qu'elle ne rentre dans l'objectif de la caméra. Une belle blonde dans la quarantaine. Cette journée de printemps, bien qu'encore un peu fraîche, était douce. Elle avait une veste noire sur une robe rouge courte et moulante, et des cuissardes qui laissaient voir que ses jambes étaient gainées du nylon de bas stay-up. Une crinière blonde, un visage bien dessiné, elle avait vraiment tout pour elle.
Il y avait huit parcs, de taille plus ou moins variable, dans notre ville toute en longueur et elle a été se camper sur le banc du plus petit d'entre eux, vide à cette heure.
Il y avait deux caméras pile en face, et je pouvais la regarder à mon aise. Elle était belle, mais aussi troublante.
Dès qu'elle a été sur le banc, elle a commencé à se caresser. Amenant une jambe sur l'autre, elle a posé sa main sur le cuir noir et lisse de la cuissarde, et elle l'a fait glisser dessus, jusqu'au sommet de la cuissarde, frôlant aussi le nylon du bas stay-up, avant de revenir esquisser la même caresse, puis d'inverser ses jambes, sans me laisser le temps de voir son entrejambes.
Elle s'est caressée ainsi longuement, avant de venir sur son torse.
Elle n'avait pas de soutien-gorge, et la veste était simplement posée sur ses épaules. Elle a descendu les fines bretelles de sa robe, sortant un sein, puis un autre, les caressant, venant pincer les tétons pour les faire durcir, même s'ils étaient déjà un peu durs.
Elle en a remonté un puis l'autre, pour en mordiller les tétons.
Il y avait quelque chose d'hyper-sensuel dans ce moment. Ce que j'avais vu avant, à côté, c'était du pipi de chat.
Lentement, très lentement, elle a décroisé les jambes et ouvert les cuisses. Elle ne portait aucun sous-vêtement et j'ai pu voir très nettement son sexe. Une toison blonde qui disait qu'elle ne se teignait pas les cheveux, et une fente qui déchirait sa chair, dont sortaient deux bouts de lèvre.
Elle a, comme pas mal de filles qui se caressaient, engagé un mouvement circulaire sur ses lèvres. Elle a fermé les yeux, basculé la tête en arrière. Son expression disait son contentement. L'état de son sexe aussi, qui s'est ouvert. Ses lèvres se sont gonflées, et un premier jet de mouille a coulé en bas de son sexe, ruisselant sur son aine, venant se perdre sur le banc, suivi par plusieurs autres, à mesure que son sexe s'ouvrait. Elle est remontée plus haut, au-delà de ses lèvres, et elle a tourné jusqu'à ce que son gland clitoridien se décalotte et pointe son museau. Un bout de chair sur lequel elle a continué de tourner et qui a pris du volume aussi bien que de la longueur. Son sexe s'est ouvert, tendant vers la béance, et elle s'est mise, après les premiers filets, à littéralement ruisseler, un flux continu, aussi imposant de ses lèvres, épaisses et longues, ou ce gland clitoridien qui pointait, d'une taille comme on en voyait rarement.
Elle s'est masturbée un long moment. Son sexe le disait, mais son visage aussi, elle éprouvait du plaisir, et ce plaisir tenait autant à ses caresses qu'au fait que clairement, elle savait qu'il y avait des caméras, et elle s'exhibait.
Et puis elle s'est levée, elle a avancé vers l'entrée principale du parc, avant de disparaître.
J'aurais pu la suivre avec les caméras de la rue, mais c'était inutile. Je savais précisément où elle allait.
Il a fallu deux ou trois minutes, je n'ai pas compté, avant que je n'entende ses talons cogner contre l'escalier aux marches en bois. Dans le bâtiment désert cet après-midi, ce ne pouvait être qu'elle.
Elle a ouvert la porte et a glissé à l'intérieur. Deux secondes plus tard, elle se positionnait au dessus de moi. Je pensais qu'elle allait me faire glisser dans son vagin béant. Au lieu de ça, elle a posé mon gland dilaté contre sa muqueuse anale et elle s'est empalée, sans que j'aie à faire quoi que ce soit. Elle m'a absorbé totalement. Elle avait laissé ses seins à nu, et je suis venu les envelopper de mes mains, en même temps que je subissais sa caresse qui m'a donné infiniment de plaisir, mais lui en a aussi procuré. Elle s'est faite monter et descendre sur ma queue. Je lui ai bouffé les tétons en même temps que je sentais sa main glisser entre nos ventres. Elle s'est remise à se masturber, cette fois en insinuant deux doigts en elle et en les faisant aller et venir. Elle m'a arrosée de ses jus intimes. Un moment de plaisir très fort.
Cela faisait deux ans maintenant que Priscilla s'exhibait ainsi à travers la ville. Un jeu, et elle aimait les jeux. Elle connaissait l'emplacement de chaque caméra, et j'avais été très surpris quand, pour la première fois, je l'avais vue s'exhiber face à une caméra, prenant des risques, parce que j'étais convaincu qu'il y avait toujours quelqu'un qui verrait. Elle s'était posée sur un banc, avait descendu son caleçon, son slip et s'était fouillée avec un gode, avant de me rejoindre. Ca m'avait terriblement excité, elle aussi, et on avait eu un plaisir encore plus fort.
Depuis, de manière irrégulière, elle me rejoignait.
Elle m'a dit:
— Je suis entrain de jouir...
Elle a sorti ses doigts de son intimité, pour venir masturber son gland clitoridien dilaté. La première éjaculation a suivi quelques secondes plus tard, laissant la place à plusieurs autres par la suite, comme c'était souvent le cas. Moi, j'ai joui après. Quand mon sperme est venu cogner, jet après jet, contre ses muqueuses intimes, elle a joui à nouveau, chaque orgasme en accompagnant un autre.
Elle s'est dégagée. Ma queue était encore toute raide. Son anus s'est refermé, mais quelques secondes après, une coulée de sperme est venue marquer sa raie. Elle m'avait confié qu'elle adorait se faire sodomiser, pour elle c'était un plaisir très fort, mais ce qu'elle aimait aussi, c'était que le sperme, contrairement à ce qui se passait dans un vagin, ne ressortait pas tout de suite, et pouvait couler très longtemps, lui rappelant, à chaque coulure, le plaisir qu'elle avait eu et lui donnant envie de se masturber, ce qu'elle faisait si elle était seule.
Elle s'est rajustée.
— C'est mon cadeau d'adieu. Tu ne me trouveras pas à la maison ce soir.
Je me suis demandé si j'avais bien entendu.
— On ne s'entend plus toi et moi. J'ai déménagé mes affaires ce matin. Je vais vivre seule, dans la métropole. C'était bien toi et moi. Au début.
Elle s'est glissée hors de la pièce. Ca avait été expéditif. Je me suis demandé si ce n'était pas une plaisanterie. Mais son visage, et le sentiment que j'avais ces derniers temps, qu'on s'entendait de moins en moins, disaient clairement que non.
Il s'est passé encore une heure, j'étais groggy, avant que je n'aie un appel auquel je ne m'attendais pas.
Felicidad.
— Mon mec m'a largué. Je suis rentré il y a une demi-heure. Il avait préparé sa valise et déménagé des affaires avant. Il m'a dit qu'il me quittait. Il y a une blonde qui est venue le chercher.
J'ai compris tout de suite. L'un des deux avait du découvrir que Felicidad et moi on était plus que collègues. Il avait prévenu l'autre. Quelque chose s'était noué entre nous mais aussi entre eux.
Bizarrement, je n'avais pas de regret. Au contraire, je m'en rendais bien compte, le plus dur pour moi, ça aurait été de perdre Felicidad.
— Je pense que la blonde c'est ma femme.
Il y a eu un lourd silence, avant qu'elle ne me dise:
— Je vais sans doute te choquer, mais c'est bien comme ça. Il n'y a plus d'obstacles entre nous. C'est toi que je voulais et que je veux. Plus que lui.
Et je pouvais en dire tout autant. Il y avait une entente entre Felicidad et moi que j'avais cru connaître, mais qu'au final je n'avais jamais connue avec ma compagne. Même si on avait eu des moments très forts.
— Tu passeras me voir quand tu auras fini, elle m'a demandé, presque timidement.
— Je viendrai.
— Je t'attends.
La fin de journée a été plus calme. J'étais quand même perturbé par cette séparation à laquelle je ne m'attendais pas. Terminée sur un happening que je ne risquais pas d'oublier.
Marc est arrivé tôt comme d'habitude, mais moins que moi quand j'avais démarré mon tour de garde. Il était vrai que j'attendais qu'il arrive pour profiter de Felicidad.
J'ai été récupérer mon véhicule et je suis parti pour chez elle. Elle habitait à la sortie de la ville, dans une maison blanche et neuve. Je savais qu'elle était seule à la payer. C'était une bonne chose que la maison soit à elle.
J'ai sonné. Entendu sa voix:
— Rentre.
Je me suis glissé dans le living.
Elle m'attendait, à quatre pattes sur le divan, son pantalon de survêtement et son string descendus à ses chevilles, son cul offert.
— Il n'y a plus rien qui s'y oppose maintenant.
— Non, tu as raison. Et j'en ai très envie.
Elle m'a fait un immense sourire. Je me suis gainé d'un préservatif et je me suis approché d'elle. Je me suis rendu compte que, si elle en avait envie depuis longtemps, c'était aussi mon cas. Même si je ne me l'étais jamais avoué. Son sexe était dilaté d'excitation, il coulait sur ses chairs et son intérieur rose était bien visible, dans sa béance. J'ai glissé en elle, Aussitôt entouré par la douceur et la chaleur de sa vulve. Il y avait un accomplissement, pour elle, qui avait longtemps rêvé de ça, mais pour moi aussi. Je l'ai caressée longtemps avec ma queue, dans un moment de plaisir qui était bien plus que cela. Il était aussi le symbole d'un rapprochement entre nous, deux personnes sans doute plus faites pour être ensemble que nous ne l'avions été avec ceux qui nous avaient tenu compagnie pendant quelques années. Nous nous étions trouvés, et quand nous avons joui, sans aucun doute, nous espérions l'un comme l'autre que notre relation ne serait pas éphémère, mais, bien au contraire qu'elle tiendrait au fil du temps, pour profiter de moments tels que celui-ci, et bien plus...
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