Avec elle, tout allait pour le mieux. Au point qu'un jour elle m'a proposé un jeu de rôle dans lequel elle m'appelait son cocu. J'ai joué le jeu. Puis le jeu a fini par refléter la réalité.
Proposée le 5/05/2025 par Sacha
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Conchita, c'est ainsi que se prénommait ma compagne d'alors, dans une relation tendre, affectueuse et fidèle depuis des années.
Conchita ma bien-aimée, mais aussi la bien nommée, vu que, d'origine espagnole, elle m'apprit que son prénom était le diminutif de concha, qui, entre autres sens, désigne en espagnol la chatte.
Conchita, ma petite chatte.
Il faut dire qu'elle était folle de son corps, ma Conchita, et particulièrement de sa foufoune, épilée quand elle changeait de mec, sinon avec une belle toison pubiennne.
Elle adorait, en guise de prélude, sentir sa chatte caressée et léchée. La première fois qu'elle m'a demandé un cunni, et c'est arrivé très vite, elle m'a dit, d'une voix tentatrice et suppliante: "J'adore être léchée". Il n'en fallait pas davantage pour m'exciter au plus haut point. Elle évoquait ainsi les moments délicieux et voluptueux d'elle déjà familiers, quand d'autres l'avaient léchée. À mon tour, me faisait-elle comprendre. Délicieuse attention. Et sa chatte méritait en effet tous les égards, passés, présents ou à venir.
On l'aura compris, ma vie érotique avec Conchita était très hot, ou comme elle disait, muy caliente. Elle n'hésitait pas à se décrire, à se mettre en scène assez crûment telle qu'elle avait pu jouir avec d'autres partenaires, en leur accordant ses faveurs.
Et cela ne manquait jamais de réveiller mes penchants candaulistes. Un jour elle me sussura à l'oreille que, de manière générale, elle mouillait rien qu'à embrasser sur la bouche. Les lèvres de sa vulve réagissaient immédiatement aux baisers sur celles de sa bouche. Et que quand le petit jeu allait plus loin, elle n'était plus mouillée mais trempée.
Bref, je l'aimais, et en même temps ça m'excitait follement de l'imaginer baisant avec un autre.
On l'aura compris, ma vie sexuelle avec elle atteignait ses sommets. C'était un régal, les mille et une nuits. Mais j'étais alors encore loin d'imaginer qu'elle en connaissait aussi, des sommets, encore plus culminants. C'est que ma compagne était aussi dominatrice, et les bagues qu'elle portait au pouce et à l'index me le signalaient assez.
Elle me demanda un soir, sur l'oreiller, et mine rien, juste une question comme ça, si cela m'excitait de la savoir désirée par d'autres. On imagine ma réponse. Puis elle insista en me demandant si cela me dérangerait qu'elle m'appelle son cocu, "su cornudo" en espagnol, autrement dit celui à qui elle a mis les cornes en s'offrant à un autre. J'avoue avoir été très sensible à sa proposition. Ça me plaisait bien qu'elle m'appelle son cocu. Ça me faisait bander.
Elle me proposa alors un jeu de rôle au cours duquel elle serait libre de ses relations sexuelles, et moi cocu. Elle s'attribuait donc le rôle de celle qui parfois s'envoie en l'air avec d'autres, et moi celui de cocu, devant s'estimer heureux qu'elle accepte aussi d'ouvrir les cuisses pour moi, très épris d'elle. J'ai joué le jeu.
Lorsqu'elle poussait le jeu ou l'humiliation jusqu'à me dire que mon petit sexe, parfois pas assez dur à son goût, trop mou, ne répondait pas à ses attentes de femelle en chaleur, que je ne la comblais pas, qu'elle avais connu mieux et pourrait connaître mieux , que je pouvais quand même comprendre qu'elle ait envie de se faire sauter par un autre mec, je ne pouvais qu'acquiescer à ses dires. Je ne la méritais pas. Elle était parfaitement en droit d'aller voir ailleurs. Il me fallait bien l'admettre.
Ce n'était certes qu'un jeu, mais qui parfois semblait flotter entre fiction et réalité. Et elle savait m'amadouer, ma petite salope adorée, en m'appelant tendrement son cocu. Au point que j'ai fini par endosser ce rôle, et ce statut.
Mais en même temps, ma chère dominatrice à fixé les règles: je n'avais pas à savoir quand ni avec qui elle coucherait, ni dans quelle position, même si elle m'a dit avoir un faible pour la levrette, le cul à l'air en même temps que la vulve offerte, et bien humide, lèvres gonflées.
Sa vie privée, comme elle disait, n'était donc pas mon affaire. Elle baiserait (ou baisait ?) avec qui elle voulait. Si elle allait en boîte de 10 heures du soir à 4 heures du matin, elle estimait n'avoir aucun compte à me rendre. Sans avoir à m'en aviser, elle me signala un code.
Il lui arrivait de me chevaucher, seins à l'air que j'aimais alors caresser, peloter et embrasser, jouissant du spectacle. Mais un jour devait venir où, même dans cette position, il me serait interdit de lui toucher ou embrasser les seins, ceux-ci ayant été cajolés par un autre. C'était ça, le code secret.
Et ce jour arriva. Elle avait épilé sa belle toison pubienbe. Elle me chevauchait, mais en m'interdisant de lui embrasser ou caresser ses seins, en me demandant même de les imaginer récemment caressés, embrassés et palpés par d'autres. Elle préférait en rester à ce bon souvenir, et se caressait elle-même les seins, me disant que de cette façon ils avaient été fort bien caressés et pétris par un autre. Elle me demandait alors de l'imaginer les seins caressés par un autre.
Ses seins, magnifiques, me semblaient d'autant plus désirables qu'intouchables, tandis qu'elle a vite réussi à me faire éjaculer, après avoir été visitée par un autre, en m'appelant tendrement et passionnément son cocu.
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