Il se trouve que j'ai un petit pénis. Mais en érection il est pafaitement conve n able. Loin d'être un problème, cela m'a permis de connaître des plaisirs et des jouissances inespérés.
Proposée le 5/05/2025 par Sacha
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Thème: Homme dominé
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
La taille du pénis n'a jamais été pour moi un problème, même si bien des hommes se flattent volontiers d'en avoir un très grand. Ils précisent même le nombre de centimètres.
Le mien n'est pas très grand, il est même assez petit, même si en érection il prend des proportions respectables, qui n'en demeurent pas moins modestes.
Cela aurait pu constituer dans ma vie sexuelle un défaut rédhibitoire, mais j'ai assez vite compris qu'il n'en était rien, et que cela pouvait même être un atout.
Et voilà pourquoi:
Une compagne qui ne se plaignait guère de mes prestations a un jour cherché à m'humilier, et cela devenait récurrent, chaque fois après l'amour, en me disant que sa chatte serait mieux comblée par une queue plus imposante, bref, par une plus grosse bite.
Au lieu de mal le prendre, de me laisser détruire par ce petit jeu, j'ai adopté le parti contraire, et je lui ai dit un jour: chiche ! Je lui ai dit que je ne comprenais pas trop ses insinuations, et que si elle trouvait à redire quelque chose à la vigueur de mes attributs, il lui fallait me le montrer plus crûment.
C'était que l'humiliation, loin de me déranger le moins du monde, était pour moi, bien au contraire, un ressort de la vie érotique. Je me suis donc laissé prendre à son jeu, ou plutôt elle au mien. Je lui ai dit qu'elle avait la voie libre pour se prendre par de plus grosses queues que la mienne.
Mais cela était encore insuffissnt pour satisfaire son désir d'humiliation. Elle me voulait témoin.
Elle me déclara donc un soir que, le lendemain soir, elle avait invité chez nous l'un de ses collèges, qu'elle supposait bien membré et sur lequel elle fantasmait depuis un certain temps, en ajoutant, et j'ai apprécié cette honnêteté: "Il se passera ce qu'il se passer, mais en ta présence". En insistant sur: mais en ta présence.
Le lendemain soir eut lieu le dîner. Elle m'avait prévenu qu'elle ne porterait pas de sous-vêtement aucun, ni string ni soutien-gorge, et c'est ainsi qu'elle parut au dîner, offrant, de ses beaux seins, un spectacle assez affolant auquel notre convive sembla ne pas rester indifférent. Il faut dire qu'elle avait de très beaux seins, et que je la trouvais ravissante à souhait, et excitante dans la mesure où je la savais sans culotte, la chatte accessible sous sa mini-jupe.
Cela n'était pas pour me déplaire, car mon excitation l'emportait largement sur ma jalousie.
Elle en profita pour déclarer à Alexis, ainsi s'appelait-il, en parlant de moi: "Il a beaucoup de qualités, quel dommage qu'il ait un si petit sexe ! Il n'a pas l'air de se douter qu'il en faut plus pour combler une femme". Elle savait y faire, pour m'exciter.
Après quelques coupes de champagne et quelques verres de vin, les choses se sont précisées.
Ils ont pris place sur le canapé, et moi sur ma chaise, pitoyable en apparence. Puis ils se sont embrassés sur la bouche tandis qu'il lui caressait les seins.
C'est alors qu'elle me dit: "Viens dans la chambre avec nous, et enfin tu vas comprendre, demi-portion. Mais comnence d'abord par fermer les volets."
Je me suis donc acquitté de la tâche qui m'était prescrite, fermer les volets, et je ne voulais pas les déranger dans ce que je supposais être leurs ébats torrides.
C'est alors qu'elle m'appelle et qu'il me fallut bien me rendre dans la chambre, dont les rideaux étaient fermés Ils étaient tous deux, Alexis et elle, allongés nus sur le lit, l'un contre l'autre, ses seins et sa chatte à elle visiblement ravis.
Mais quand je suis entré dans la chambre, ma chambre mais alors leur chambre, elle m'a demandé de me mettre toutnu, afin de pouvoir jouer au petit jeu des comparaisons. J'ai vu alors à quel point il n'y avait pas photo, comme on dit, entre la queue d'Alexis et la mienne.
Il faut dire qu'Alexis, bien pourvu, bandait ferme, tandis que moi, je n'avais qu'un début d'érection. Elle prit sa queue à lui sans sa main, puis soupesa la mienne en me disant: "Tu vois la différence, tu comprends, maintenant, petite bite?".
Oui, je voyais bien la différence, et je comprenais. Elle m'ordonna alors, et après tout elle était ma maîtresse, de prendre en bouche le sexe d"Alexis et de lui faire une fellation, avant qu'elle n'ouvre pour lui sa vulve. Je me suis exécuté.
Puis, alors que j'y prenais goût, elle a mis fin à ce prélude, prétextant qu'elle avait la chatte toute mouillée dans l'attente d'Alexis et de ce que je n'avais jamais su lui donner.
Elle s'est alors mise en levrette, offrant sa chatte gourmande à l'homme que je venais de sucer, pour qu'elle soit encore mieux servie par ce monsieur. Ils copulaient, c'était plutôt excitant à voir, tout en entendant leurs soupirs, leurs râles et gémissements de plaisir. Ils ont joui, et Alexis est parti.
J'aurais bien joui moi aussi en elle, quitte à mêler mon sperme avec celui de son précédent partenaire, qui d'ailleurs s'écoulait lentement de sa vulve, mêlé à sa propre cyprine. Elle a préféré rester dans sa nuit et ses rêves sur un meilleur souvenir, me disant qu'elle ne saurait être mieux comblée qu'elle venait de l'être et que, en comparaison, mon petit zizi n'avait plus grand intérêt pour elle, mais que, pour me remercier d'avoir si bien sucé son mec de la soirée, elle me fairait une petite gâterie, tout en esperant bien que le lui en serais vivement reconnaissant.
Elle me branla comme elle savait faire, en experte, tout en me doigtant le cul de l'autre. Puis elle tapota mes couilles, de plus en plus fort, tout en continuant à me branler, en me disant, et c'était un ordre: "Jouis, petite bite, jouis, mon cocu !".
Alors j'ai joui comme jamais. Puis elle m'a dit qu'il faudrait bien que j'en prenne mon parti, que seuls d'autres mecs, mieux membrés, pouvaient la faire jouir et la combler. Et je me suis endormi, content.
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