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Plaisirs indécents

Découverte de plaisirs indécents avec mon amant d'un jour qui repousse chacune de mes limites

Proposée le 19/07/2016 par Syl13Chris

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Chapitre 1

Mon amant d'un jour

Je m’appelle Elise, je viens tout juste de souffler mes 50 bougies. Je travaille depuis longtemps pour un grand groupe industriel. Au bureau, j’ai la chance de vivre en très bonne harmonie avec mes collègues de travail. Le rythme est assez soutenu, mais les pauses du midi nous permettent de tous nous retrouver dans la salle commune où nous pouvons déjeuner ensemble. Malheureusement, Josy, une des filles de notre équipe a présenté sa démission il y a un peu moins de deux mois, elle termine son préavis et doit nous quitter à la fin de la semaine prochaine. Notre directeur a eu quelques difficultés pour trouver une remplaçante qui pourrait convenir pour le poste, mais de ce que l’on sait, c’est chose faite et il doit nous la présenter en début de semaine prochaine à sa prise de poste.

Le weekend étant passé, lundi matin au café, les discussions étaient ciblés autour de cette fille qui s’apprêtait à nous rejoindre, nous étions tous impatients de la découvrir. Je vous laisse imaginer nos interrogations lorsque notre directeur est arrivé à notre étage accompagné d’un charmant jeune homme.

— S’il vous plaît, je vous demande votre attention ! Je vous présente Eric, il va passer une semaine en double avec Josy pour pouvoir ensuite la remplacer. Je compte sur vous pour que vous lui fassiez le meilleur accueil.

Nous sommes tous restés sans mot, très certainement surpris de voir que contrairement à ce que nous avions imaginé, c’était un garçon qui venait rejoindre notre équipe.

Rapidement, au cours des jours qui ont suivis sa prise de poste, en plus de traiter correctement les tâches qui lui étaient confiées, Eric s’était très bien intégré au groupe. Pour ma part, j’ai la chance que son bureau soit installé juste derrière le panneau vitré qui se trouve sur ma droite, ce qui me permet de pouvoir profiter de ce beau physique à chaque fois que j’en ai l’occasion. D’apparence assez jeune, au physique sportif, il entretient régulièrement une barbe de quelques jours. Il a également l’habitude de porter des hauts moulants qui font ressortir le volume de ses pectoraux. Les manches de ses tee-shirts laissent apparaitre le début d’un tatouage sur son biceps droit. Les filles, je pense que vous saurez de quoi je parle si je vous dis qu’il ressemble plus au plombier de nos fantasmes qui vient réparer notre fuite d’eau, qu’au collègue de bureau que l’on a l’habitude de côtoyer au quotidien.

Son ouverture d’esprit nous a permis de le découvrir dans son intimité lors de discussions à la pause du déjeuner. Nous avons alors appris qu’il était célibataire depuis peu, sa dernière compagne âgée de dix ans de moins que lui avait préféré se diriger vers un compagnon de son âge pour pouvoir envisager de fonder une famille, contrairement au souhait d'Eric.

Après quelques semaines, un soir en quittant le bureau, alors que je m’apprêtai à monter dans ma voiture pour rentrer chez moi, Eric s’est approché pour me proposer de prendre un verre avec lui au pub du coin. Cette invitation m’a tellement surprise que je n’ai pu accepter en prétextant devoir récupérer mes enfants qui m’attendaient chez la nounou. Ce soir-là, sur la route du retour, je n’ai cessé de penser à cette proposition. Des questions sans réponses fusaient dans mon esprit :

- Était-ce une invitation sans arrière-pensée, en toute camaraderie ? Pourquoi voulait-il passer encore du temps avec moi après le boulot ? Il n’oserait tout de même pas imaginer quoi que ce soit, il sait que je suis mariée ! Avait-il remarqué mes regards répétés vers lui lorsqu’il travaillait ? Quelle idiote, pourquoi n’ai-je pas accepté cette invitation alors que j’en avais envie ? Il n’allait tout de même pas me manger !

Le lendemain matin, à l’embauche, alors que nous étions tous devant la machine à café, Eric m’a demandé si je pouvais lui accorder cinq minutes pour lui monter une subtilité qu’il ne maîtrise toujours pas sur notre logiciel de gestion. Une fois la manip informatique acquise, Eric a profité de ce que nous soyons seuls et à l’écart pour me relancer :

— Et le midi, tu es libre ? Nous pourrions aller manger un morceau ensemble à l’extérieur.

— Toi ça ne te pose pas de problème, tu t’absentes souvent le midi pour aller faire du sport, mais moi, ça fait des années que je mange avec eux, que vont-ils penser ?

— Si réellement ta retenue n’est autre que ton absence vis-à-vis des collègues, tu n’as qu’à leur prétexter un rendez-vous important.

Je ne voulus pas une nouvelle fois regretter d’avoir refusé une telle proposition.

— Bon, ok pour ce midi, je prétexterai une course importante à faire.

— Très bien, on se retrouve au snack au bout de l’avenue ?

— Ok.

Durant la matinée, je me découvrais assez excitée à l’idée de me retrouver en tête à tête avec Eric, de nombreuses questions envahissaient mon esprit mais je savais que j’allais obtenir des réponses dans une poignée d’heures.

Installés à table devant nos salades, contrairement à moi, Eric était très décontracté, il me posait beaucoup de questions comme si il voulait tout savoir de moi au-delà de ce qu’il avait déjà appris lors de nos pauses du midi en salle commune. J’étais de plus en plus détendue, son attitude me mettait à l’aise, mais je restais par ailleurs très troublée par son physique de beau gosse qui aurait pu jouer dans une pub pour coca. Petit à petit et de façon très subtile, ses questions se sont faites plus personnelles, plus intimes, à la limite de l’indiscrétion, mais je me prenais au jeu et lui répondais volontiers. Nous avons passé un moment très agréable, et contrairement à ce que j’avais pu imaginer, même si ces discussions étaient parfois ‘border line’ c’est avec une petite pointe de regret que j’ai constaté qu’il ne m’avait fait aucune avance. Ce n’est pas que j’aurais accepté sa proposition, loin de moi cette idée, mais j’en aurais été tout de même flattée.

C’est une semaine plus tard, alors que nous étions isolés devant la machine à café qu'Eric m’a proposé un autre repas ensemble pour la pause déjeuner. Cette fois, c’est sans aucune hésitation que j’ai accepté que l’on se retrouve au snack le midi. Tout comme la fois précédente, il s’intéressait beaucoup à ma vie intime, et de mon côté, je le laissais franchir toutes les barrières.

— Tu ne m’as pas clairement répondu la dernière fois, tu as eu beaucoup d’hommes dans ta vie ?

— Eh bien si tu veux tout savoir, je n’en ai connu qu’un seul,... mon mari.

— Ah, ok, c’est pour ça que tu ne me répondais pas franchement !

— Non pas du tout, je n’ai aucune honte vis-à-vis de ça, c’est simplement que ta question est très personnelle.

— Tu n’es pas frustrée ?

— Non, je suis comblée, j’ai ce qu’il me faut à la maison.

— Oui, je veux bien te croire, mais tu n’as pas de petits fantasmes érotiques qui te traversent l’esprit de temps en temps ?

— Bien sûr, ça m’arrive, comme pour toutes les nanas, mais je sais en rester là, nous ne sommes pas comme vous les mecs, à vouloir attraper tout ce qui bouge !

— Tu sais, avant de me mettre sérieusement en couple avec ma dernière partenaire, j’ai connu des filles qui savaient se faire plaisir.

— Certainement, mais moi, je ne fais pas partie de ces filles-là.

— Tu es sûre ?

— Oui, bien sûr que j’en suis sûre !

— Et si je te proposais une petite aventure, uniquement pour le plaisir, tu refuserais ?

— Évidemment, je suis fidèle.

— Dommage !

Sur ces paroles, j’ai perçu une chaleur incontrôlable envahir mes joues, j’ai regardé ma montre dans l’espoir qu’il soit l’heure de devoir retourner au bureau, mais une dizaine de minutes nous séparaient de ce gong qui pouvait me libérer de cette emprise.

— Hé Elise..., je te taquine, je plaisante !

Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais à cet instant je n’ai pu contrôler ma réponse :

— Ah, tu plaisantes ? Tant pis pour moi alors !

Un court silence est venu s’installer avant qu'Eric me réponde tout souriant :

— Vraiment, tu aimerais ?

— Je suis confuse, oui, j’aimerais mais il ne faut pas, ce ne serait pas raisonnable.

— Moi, j’en ai vraiment envie, et puis nous pouvons être très discrets.

— Soyons fous, pourquoi pas !

— On peut se voir ce vendredi après-midi, on irait chez moi si tu veux, le boss ne devrait pas refuser notre absence, le vendredi après-midi c’est toujours très calme.

— Ok, je pose un RTT pour ce vendredi après-midi.

Durant les trois jours qui nous séparaient de ce fameux vendredi après-midi, j’ai eu d’énormes difficultés de concentration, mon esprit tournait en boucle autour de ce que je m’apprêtais à vivre.

Ce midi-là, afin de n’éveiller aucun soupçon, nous sommes partis séparément, j’ai rejoint Eric qui m’attentait dans sa voiture devant le snack pour que nous puissions nous suivre jusque chez lui. Arrivée dans son appartement, je ne pouvais maitriser ce petit tremblement d’angoisse mélangé à l’excitation qui m’envahissait le corps. Eric m’a pris la main pour m’attirer contre lui.

Debout collée à lui, j’ai senti sa deuxième main glisser dans mon dos pour terminer sa course sur le haut de mes fesses. Nous nous sommes embrassés langoureusement de longues minutes avant qu’il me dirige vers sa chambre toujours en me tenant par la main. Devant son lit, il s’est placé derrière moi, au travers de nos habits, je devinais son sexe bandé bien écrasé contre mes fesses. Il a dégagé mes cheveux de mon cou avant d’attraper mes seins dans ses mains. Tout en malaxant mes globes, il baladait ses lèvres légèrement humides sur ma nuque, puis il a laissé glisser sa langue sur le contour de mon oreille. Un frisson de plaisir a traversé mon corps lorsque j’ai senti la pression de ses dents sur mon lobe accompagné de son souffle chaud propulsé dans le creux de mon oreille. Il m’a libérée un instant pour que nous puissions nous dévêtir. Il avait un corps de rêve, un corps musclé, imberbe et tatoué. Ses tatouages agressifs laissaient deviner le mâle viril qu’il doit être lors d’une relation sexuelle. J’étais impatiente de me faire prendre pour découvrir ce plaisir interdit. Son sexe semblait beaucoup plus large et long que celui que je connaissais.

Une fois entièrement nue, je me suis allongée sur le dos sur son lit, jambes écartées. Il était debout devant moi, le sexe raide prêt à m’enfourcher. Il m’a regardée et c’est accompagné de son sourire charmeur qu’il me dit :

— Non pas comme ça, mets-toi plutôt à genoux, sur le lit,

Je me suis exécutée, il s’est approché de moi, tout en restant debout contre le lit. Sa main est venue parcourir mon dos en partant de ma nuque jusque sur mes fesses, la caresse était douce, sensuelle. Un de ses doigts est venu glisser le long de ma raie bien ouverte par la position imposée. J’ai senti une légère pression de son majeur sur mon anneau, à cet instant je craignis qu’il ait l’intention de me sodomiser. Sans insister, ce même doigt est venu se noyer entre mes lèvres intimes avant de s’enfoncer entièrement dans mon conduit vaginal.

— Recule un peu jusqu’au bord du lit dans cette position, je meurs d’envie de te goûter.

Je me suis une nouvelle fois exécutée. Il a installé deux coussins au sol au pied du lit, il a posé ses genoux dessus, son visage était désormais à la hauteur de mon sexe. Il a posé ses mains sur mes fesses pour bien me figer puis sa langue est venue parcourir mes lèvres intimes dans ses moindres recoins. Sous cette caresse que j’adore, mon plaisir montait en intensité, je devais me maîtriser pour ne pas aboutir trop rapidement. Devinant ma jouissance proche, il a abandonné mon sexe pour faire glisser sa langue vers le haut jusque sur mon petit trou, sur lequel il a multiplié les rotations et pressions humides.

Je sentis mon anneau se détendre sous cette caresse agréable. Pour cette première relation, il semblait n’avoir aucune retenue, aucune gêne. J’ai mis tellement longtemps avant de découvrir ces plaisirs qualifiés de « cochons » avec mon conjoint que je n’avais pas imaginer possible de se faire lécher de la sorte lors d’une première relation sexuelle avec un homme.

Ma respiration s’intensifiait, mon bas-ventre bouillonnait de plaisir, je pense que ces caresses sur mon anus auraient pu me faire jouir dans les secondes qui ont suivi s’il ne s’était pas arrêté. Il s’est redressé, il s’est positionné debout contre le lit, cette fois c’est son sexe qui était à la hauteur du mien. L’intensité de mon humidité vaginale a permis à son bâton de me transpercer d’un seul mouvement. Il est resté figé ainsi au fond de mon ventre sans bouger, sans parler, avant qu’une de ses mains glisse le long de mon dos jusque sur ma nuque. Il a attrapé mes cheveux pour tirer dessus de façon à faire basculer ma tête en arrière. Toujours sans mouvement de son bassin, son autre main est venu claquer à plusieurs reprises sur mes fesses, d’abord gentiment, puis de plus en plus énergiquement.

Pour la première fois de ma vie, je recevais des fessés pendant l’acte sexuel. Il a rapidement entamé une série de va-et-vient de sa queue dans mon conduit, j’étais à la fois très surprise mais aussi très excitée d’être prise de la sorte. Il alternait fessées et caresses sur mes fesses tout en accentuant ses mouvements de hanches pour me pénétrer au plus profond à chaque butée. Son endurance était stupéfiante, ses allers-retours étaient très énergiques et je vous laisse imaginer ma stupeur lorsque entre deux essoufflements je l’entends me dire :

— Tu aimes ca hein ? Ma petite salope ! Ça te plaît de te faire baiser comme une garce ! Tu vas voir ce que tu vas prendre !

Je n’aurais jamais pu accepter de telles paroles de la part de mon conjoint, mais là, je ne saurais expliquer pour quelle raison ces mots ne m’ont pas choquée, bien au contraire, ils ont eu pour effet l’amplification de mon excitation. Eric me faisait bien comprendre que nous étions là uniquement pour le sexe, les sentiments n’avaient pas leur place ici. En temps normal, je n’aurais jamais pu imaginer entrer dans ce genre de jeu et sans pouvoir réellement me contrôler, des mots qui n’ont jamais été à mon image se sont échappés :

— Oui, vas-y, baise-moi fort !

— Mets tes deux mains dans ton dos !

Avec une de ses mains il a maintenu mes poignets croisés dans mon dos au-dessus de mes reins. Il a libéré son sexe de mon vagin pour positionner son gland devant mon petit trou. Lorsque j’ai ressenti la pression de son sexe sur mon petit anneau, je me suis manifestée :

— Non pas par-là !

— Chut, laisse-toi faire !

J’étais en mauvaise posture pour pouvoir me libérer, en moins de temps qu’il le faut pour le dire, son gland a forcé le passage.

— Aïe, ça fait mal !

— Ça y est, je suis dedans, le passage est fait.

Je craignis qu’il entamât immédiatement des va-et-vient énergiques, mais à l’inverse, il est resté un instant immobile en moi.

— Il est vraiment très étroit ton petit cul !

— Je n’ai pas l’habitude !

Après trois petits allers-retours d’une courte pénétration, Eric a libéré un cri de délivrance et j’ai pu percevoir son liquide chaud s’échapper dans mon conduit.

— Ah oui, quel pied, j’ai rarement croisé un trou du cul aussi serré !

Sur ces mots, il a lâché mes poignets et il s’est retiré de mon postérieur. Son sperme s’est immédiatement évacué pour venir s’écouler sur mes lèvres intimes.

— Je crois que tu en as besoin d’un bon nettoyage, les sanitaires sont juste en sortant sur ta droite.

Lorsque je suis retournée dans la chambre, Eric s’était déjà habillé, j’en ai fait de même.

— Alors ma petite Elise, tu as apprécié ?

— Je ne m’attendais pas du tout à un tel comportement de ta part mais, mais je dois l’avouer, j’ai bien aimé

— Ton homme ne te baise pas comme ça ?

— Non, jamais, nos relations sexuelles ont toujours été tendres et respectueuses.

— Ouai..., il te fait l’amour comme un bon mari, papa de tes enfants !

— Voilà, c’est exactement ça.

— Tu as déjà fantasmé sur une relation à trois ?

À cette question, une bouffé de chaleur est venue instantanément colorer mes joues.

— Non jamais.

— Tu es sûre ? insista-t-il en rigolant.

— Peut-être une fois ou deux, je me suis imaginée dans une telle situation.

— Si tu veux, je peux t’organiser ça la prochaine fois.

— Non surtout pas ! Je préfère que ça reste de l’ordre du fantasme.

Avant de retrouver mon cocon familial, durant le reste du temps libre dédié à cette après-midi, nous avons discuté de sujets variés mais tous ayant un lien avec la sexualité.

Ce soir-là, dans le lit conjugal, je n’ai pas sollicité mon conjoint pour faire l’amour, mon esprit restait concentré sur cette après-midi qui me laissera certainement un souvenir mémorable quoi qu’il arrive par la suite. J’étais troublée, jusqu’ici je ne savais pas que je pouvais prendre autant de plaisir dans une relation sexuelle comme celle que je venais de vivre. J’essayais de me convaincre qu’il ne serait pas raisonnable de convenir d’un nouveau rendez-vous charnel avec Eric.




Chapitre 2

Eric repousse mes limites

Depuis ce fameux après-midi ou nous avons batifolé ensemble, rien n’a changé, rien ne laisse paraître à nos collègues de travail que Eric et moi avons eu une aventure. Il faut dire que nous sommes très attentifs à nos attitudes l’un envers l’autre de façon à n’éveiller aucun soupçon. Cela fait déjà trois semaines que j’ai commis l’irréparable, et je peux vous dire qu’après autant d’années de fidélité, il n’est pas facile de vivre avec cette culpabilité sur la conscience.

Avant ce jour-là, il aurait été inconcevable pour moi de vivre une relation sexuelle de soumission irrespectueuse comme celle qu'Eric m’a fait vivre. Si j’avais dû savoir ce qui allait se passer avant que cela ne m’arrive, je n’aurais jamais accepté. Ce qui me trouble le plus, c’est que depuis cette relation, je ne suis pas outrée, je ne lui en veux pas de m’avoir traitée de la sorte et, bien au contraire, je n’ai aucun regret car il m’a été très agréable de profiter de ce moment charnel.

Cela fait deux fois qu'Eric me relance, mais sans succès car je ne tiens pas à entretenir une relation extraconjugale ; je ne fais pas partie des femmes qui peuvent avoir un amant régulier et qui rentrent chez elles le soir pour vivre leur vie de famille au côté de leur conjoint comme si de rien n’était. Je préfère considérer cet écart comme une prise de plaisir sans lendemain, comme la réalisation d’un fantasme tant imaginé jusqu’ici.

Nous parlons toujours beaucoup, mon mari et moi ; aucun sujet n’est tabou, mais il m’est impossible de lui avouer mon écart. Bizarrement, malgré tout l’amour que j’ai pour lui, depuis cet adultère je prends beaucoup moins de plaisir lors de nos ébats ; mon esprit reste constamment figé sur ce que m’a fait vivre Eric, et cela malgré le fait que ce jour-là je n’ai pas atteint l’orgasme que j’avais imaginé dans mes fantasmes les plus fous. J’étais consciente que face aux nouvelles avances de mon amant d’un jour, ma résistance était fragile ; je craignais que le désir de renouveler cette expérience au moins une fois dans ma vie soit plus fort que ma raison.

Dans les jours qui ont suivi, un matin, devant notre machine à café qui est le point de rendez-vous quotidien de notre équipe à l’embauche, Eric a trouvé l’occasion de me relancer discrètement une nouvelle fois lorsque nous étions seuls.

— Alors, ma belle, tu ne te laisserais pas tenter une seconde fois par un petit moment tendre et câlin ?

Maintenant que je savais de quoi il était capable dans l’intimité d’une relation, je savais que son discours charmeur n’était qu’un moyen de m’attendrir et que le moment câlin proposé serait plutôt de l’ordre de la vulgarité et la domination. Mais, pour être honnête, je m’interrogeais : me retrouver dans une telle situation, finalement, n’était-ce pas ce que j’avais le plus apprécié ?

— Je ne sais pas, je ne suis pas sûre.

— Qu’est-ce qui te retient ?

— Je ne souhaite pas entretenir une relation extraconjugale ; j’ai apprécié notre moment, mais je considère qu’il ne serait pas raisonnable de le renouveler.

— Rassure-toi, je ne souhaite pas une relation suivie, tu le sais bien. Je te propose uniquement de prendre du plaisir.

— Je ne sais pas ; je ne préfère pas.

— À moins que tu n’aies pas apprécié la dernière fois et que tu n’oses pas me le dire ?

— Non, ce n’est pas ça du tout ; j’ai un petit peu honte de l’avouer, mais c’était bien.

— Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. C’est pour cela que je te relance : je voudrais revivre ce moment.

— Bien, mais cette fois-ci, si quelque chose ne me convient pas et que je te dis non, il faudra m’écouter !

— Bien sûr, si c’est ce que tu souhaites. Tu pourrais te rendre disponible une nuit entière ?

— Ça me paraît difficile : en plus de mentir par omission à mon mari comme je le fais actuellement, il faudrait que je lui invente une excuse. Tu sais, je n’ai jamais découché.

— Pour ton mari, tu pourrais par exemple devoir suivre une formation de deux jours sur Nice, ou...

— Tu penses vraiment à tout pour arriver à tes fins… Tu vas même jusqu’à imaginer le mensonge que je peux balancer à mon conjoint !

— Je cherche à t’aider.

— Admettons. Et que proposes-tu pour cette nuit ?

— Je te propose de te servir le petit déjeuner au lit le lendemain matin après une nuit érotique et sensuelle.

— Je vais y réfléchir.

Sur ces mots, nous avons rejoint chacun notre poste de travail. Je savais que j’étais sur le point de ne plus pouvoir lui résister. Le soir, à la débauche, Eric s’est arrangé pour me suivre jusqu’à mon véhicule.

— Alors, tu as réfléchi ?

— OK, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour m’organiser. On programme ça pour la nuit de lundi prochain, ça te va ?

— Bien sûr que ça me va.

J’ai passé les jours suivants et le week-end à ne penser qu’à cette future nouvelle rencontre. Seul mon corps était présent lorsque je faisais l’amour à mon cher et tendre, mon esprit était hanté par la nuit à venir.

Ce lundi soir, ayant prétexté un déplacement imprévu le mardi nécessitant mon départ la veille, mon conjoint m’a accompagnée à la gare vers 18 heures ; j’étais censée prendre le train une demi-heure plus tard. Après m’être assurée qu’il était bien reparti, comme convenu j’ai envoyé un texto à Eric qui s’est empressé de venir me récupérer.

Son accueil chez lui a été cette fois plus agréable ; il a pris le temps de me mettre à l’aise, sans aucun contact corporel. Il m’a proposé un apéritif avant de me suggérer un petit plat que j’ai accepté volontiers. Nous nous sommes ensuite installés confortablement sur son canapé, l’un contre l’autre pour nous embrasser langoureusement ; ses mains se baladaient sur mes seins encore vêtus.

— On va dans ma chambre ? On sera plus à l’aise.

— OK.

Arrivés dans sa chambre, nous nous sommes déshabillés en nous observant. Mon cœur commençait à battre rapidement, mes sens s’éveillaient ; à cet instant, mon sexe laissait déjà s’écouler mon désir entre mes lèvres intimes. Sans oser en faire la remarque, mon attention s’est portée sur les petites cordelettes qui entouraient chaque pied de son lit. Sans avoir eu le temps d’analyser précisément l’intérêt de ce que je venais d’apercevoir, Eric m’a attrapée par la main pour me guider vers son lit où il m’a fait m’asseoir sur un coin du matelas. Il s’est installé debout devant moi, entre mes jambes, son sexe raide face à mon menton.

— Tu me branles un peu ?

J’ai posé ma main gauche sur sa jambe. De ma main droite j’ai entamé un massage sensuel de son bâton rigide ; à chaque décalottage de son gland, je pouvais apprécier sa forte odeur. Je prenais soin de bien serrer mes doigts autour de cette tige pour lui infliger un maximum de sensations à chaque va-et-vient. C’est accompagné de petits soupirs bruyants qu’il a attrapé ma tête pour diriger mes lèvres sur son sexe. Son attente était évidente : il voulait se mettre au chaud au fond de ma gorge.

J’ai pris sa tige en bouche dans l’intention de le sucer sensuellement comme j’ai l’habitude de pratiquer cette caresse, mais j’ai immédiatement compris que ce n’était pas ce qu’il attendait lorsqu’il a maintenu fermement ma tête avec ses mains de façon à la rendre immobile. Il alors agité son bassin comme s’il prenait une chatte : il me baisait la bouche. Il a imposé un rythme rapide à ses mouvements ; son sexe venait frapper mes amygdales à chaque butée. Le ton de la soirée était donné, notamment lorsqu’il a lâché tout son sperme au fond de ma gorge en prenant soin de bien accentuer la pression de ses mains sur ma tête pour se maintenir au plus profond.

— Ah, ça fait du bien de se vider dans la bouche d’une salope !

Bien évidemment, je m’attendais à entendre un tel langage de sa part ; je n’étais pas choquée, et encore une fois, sans pouvoir l’expliquer, je ressentis une certaine excitation à être traitée de la sorte.

— Allonge-toi sur le lit, sur le dos. Je vais te baiser.

Tout en terminant de déglutir pour finir d’avaler sa semence, je me suis exécutée, jambes écartées, prête à le recevoir.

— Je t’ai réservé une petite surprise ; je vais te faire découvrir un plaisir que tu n’as encore jamais connu.

Inquiète et excitée à la fois, je l’ai immédiatement questionné pour savoir ce qu’il avait en tête :

— Quel type de surprise ?

— Je vais lier tes poignets avec cette petite corde que je vais ensuite attacher aux pieds du lit. Tu vas voir : les filles qui aiment se faire dominer adorent, ça multiplie leur plaisirs.

— Je ne suis pas sûre de vouloir essayer…

— Tu es venue ici pour prendre du plaisir, n’est-ce pas ? Il me semble que tu n’as rien regretté de notre première rencontre ?

— Oui, c’est vrai.

— Alors fais-moi confiance, laisse-moi faire.

En moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, mes poignets étaient ligotés, chacun à partir d’un pied de lit. Je comprenais désormais à quoi étaient destinés ces liens que j’avais aperçus un peu plus tôt. Les bras ouverts – les liens étant assez courts –, mes mains ne pouvaient se déplacer au-delà de chaque bord du lit. Eric s’est installé sur moi, il a posé son sexe à l’entrée de mon vagin avant de le pénétrer sans ménagement. Il m’a baisée énergiquement de longues minutes ; son endurance était toujours aussi exceptionnelle. Lorsqu’il a deviné mon orgasme proche, il s’est retiré de mon conduit. J’étais frustrée : pourquoi agissait-il ainsi ?

— Ne bouge pas, je reviens, dit-il ironiquement.

Comment pouvais-je bouger ? Il est sorti de la chambre. Son absence me paraissait interminable. Que pouvait-il faire ? J’ai entendu du bruit ; je vous laisse imaginer ma stupeur lorsque Eric est réapparu dans la chambre accompagné d’un jeune homme.

— Eric, s’il te plaît, détache-moi, je t’en prie !

— Je te rappelle que tu es venue ce soir pour te faire baiser comme une salope. Samy est ici pour me donner un coup de main à accomplir cette tâche. C’est bien toi qui m’as dit que tu fantasmes d’avoir deux hommes dans ton lit ? Eh bien, on va te faire ce petit plaisir, ma chérie !

Telle une prisonnière, je ne pouvais m’échapper. J’ai pensé un instant à crier au secours aussi fort que je le pouvais, mais je ne saurais expliquer pourquoi je ne l’ai pas fait ; je suis restée sans voix. Peut-être que mon inconscient me l’interdisait, peut-être qu’au fond de moi je souhaitais être prise telle une salope par les deux beaux gosses qui se proposaient de réaliser mon fantasme.

À tour de rôle ils se sont allongés sur moi. Ils m’ont prise avec déchaînement ; j’étais abondamment souillée par leurs spermes qui se sont mélangés à plusieurs reprises dans mon bas-ventre. Plus tard dans la nuit, ils m’ont détachée. Eric s’est allongé sur le lit et m’a demandé de venir m’empaler sur son sexe ; Samy s’est installé derrière moi pour étaler du gel sur mon petit trou avant de venir le dilater avec sa tige raide. Pour la première fois de ma vie je découvrais que le plaisir que l’on ressent lors d’une double pénétration est bien plus puissant que ce qu’un fantasme pouvait me laisser imaginer. Samy, qui jusqu’ici était resté assez silencieux, a trouvé bon d’exprimer son plaisir en s’adressant à Eric :

— Ah oui, en effet, tu avais raison : il est vraiment étroit, son trou du cul ! Je vais devoir y aller tout doux.

— Je te l’avais dit : son dépucelage anal est tout récent.

Ces deux queues se sont mises en mouvement dans mes conduits, d’abord lentement, puis beaucoup plus frénétiquement. Samy a joui assez rapidement et il s’est retiré le premier de mon corps, laissant s’écouler son sperme chaud jusque sur le sexe d'Eric qui poursuivait ses mouvements dans mon vagin.

Nous avons multiplié les actes sexuels une bonne partie de la nuit ; Samy nous a quittés au petit matin. Pour ma part, j’ai été réveillée par l’odeur du café qu'Eric m’a gentiment apporté au lit en fin de matinée. Nous avions tous les deux posé un congé pour cette journée du mardi. L’après-midi, Eric en a profité pour me faire découvrir certains de ses jouets érotiques en attendant de me raccompagner à la gare où mon mari devait venir me récupérer en début de soirée.

Encore une fois, si j’avais dû savoir ce qui allait se passer cette nuit-là avant que cela se produise, je ne l’aurais jamais accepté ; mais maintenant que je l’ai vécu, je dois me rendre à l’évidence et être honnête : j’y ai pris beaucoup de plaisir !

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