Histoire Erotique

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Amoureuse du voyeur d'en face

Mon voisin d'en face est un voyeur et il m'espionne lorsque je me donne du plaisir. Mais moi je me trouve moche et grosse, pourquoi aime-t-il me regarder ? Autant lui demander, non ?

Proposée le 9/03/2024 par goelan

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Je me trouve moche. Voilà, c'est dit. Je suis nulle et très maladroite.

A 23 ans je suis célibataire, j'ai un boulot de merde et je vis dans un 2 pièce qui en a vu d'autres. J'ai du mal à joindre les deux bouts et je n'arrive pas à me faire de vrais amis. Vous savez comme dans les films et séries, pas des piques assiettes ou des mecs qui en ont qu'après mon cul.

Parlons-en de celui-là ! Je suis à poil devant le miroir de ma chambre et j'ai beau serrer les fesses et rentrer mon ventre, je suis moche ! J'ai deux gros seins d'un blanc laiteux avec des auréoles aussi large que des soucoupes. J'ai des bourrelets d'amour, enfin plutôt de la graisse quoi, et une paire de fesses qui m'empêche de mettre du 38/40. Enfin, même le reste m'en empêche. Je tape plutôt dans le 42 voire même du 44 si la marque est trop petite. C'est à pleurer.

Je suis en manque d'amour, d'attention et de câlins. J'ai le droit d'en avoir comme tout le monde, non ? 

Je pousse mes mains sur mon ventre, mais non, ça veut pas rentrer. Je souffle. J'écarte mes jambes et fixe ma toison rousse dans le miroir, va falloir passer la tondeuse encore une fois. J'ai une putain de toison qui pousse comme l'herbe au printemps. Je devrais tenter l'épilation définitive mais j'ai peur de me foutre à poil devant une inconnue qui me fera sûrement mal avec son laser.

Et mes cheveux ? S'ils sont d'un joli roux, ils sont frisés comme pas possible. Alors pour les coiffer c'est la misère ! Et ce visage rond, un petit nez taquin et deux yeux bleus derrière mes lunettes. Banale à en mourir ! Ma mère me dit toujours que je suis mignonne et qu'elle ne comprend pas pourquoi je n'ai toujours pas de petit copain.

Mais enfin maman, tu ne comprends pas ? Tout ce qu'ils veulent c'est me baiser ! Moi, je veux le grand amour, le prince charmant, le mec qui me fera fondre dès qu'il me regardera dans les yeux. Pas le mec du dessous qui me mate dès qu'on se croise dans les escaliers avec un sourire goguenard et des yeux brillants de... Argh, non merci !
Et le sexe alors ? Je suis en manque ! Et oui, ça vous surprendra peut-être après mes jérémiades mais je ne suis peut-être moche, seule, mal dans ma peau, mais je ne suis pas non plus une vierge effarouchée !

Bon, j'en tremble d'avance là, cela fait un petit moment que je n'ai pas pris un temps pour moi, enfin un temps intime. Je me retourne une dernière fois matant mes fesses et mes seins dignes d'un bon porno amateur, puis j'ouvre ma table de chevet pour en sortir mon ami "nono".

C'est qui lui ? Et bien c'est juste un god en plastique, c'est mon amant pour les journées comme celles-ci. Pour les moments où je me sens tellement seule qu'il m'apaise suffisamment pour me remettre en selle.

Il fait près de 30 centimètres de long pour 4 de diamètre. Il est simple, avec un faux gland et quelques nervures, en plus il a une ventouse, idéal pour le coller comme sur mon miroir !

Nono, c'est mon ami intime depuis hum... 5 ans maintenant. J'y prends soin, je le nettoie, et lubrifie aussi, pas question de me mettre un truc sale là-dedans.
Je passe mes doigts sur sa tige et je l'imagine déjà frémir d'avance. Dommage qu'il ne soit pas chaud et tendre comme une vraie bite, mais on fait avec ce qu'on a. 

Je me retourne vers le miroir et je le ventouse dessus à bonne hauteur. Attention, il ne faut pas y aller franco comme ça. Mon lit est juste en face, donc je m'allonge dessus, ajoute quelques coussins et oreillers sous ma tête et mon dos, écarte les jambes et fixe mon reflet. Oui je suis grosse, je le vois et cela me révulse. Mais bon passons, j'irai encore transpirer à la salle de sport en fin de journée, pour le moment, profitons.
Mes mains glissent sur ma peau, au moins elle est lisse, c'est toujours ça pour moi. J'arrive rapidement, après avoir trituré mes seins et mes tétons, vers mon bas-ventre et j'attaque directement mon intimité.

Mon sexe est d'un rose fuchsia, de grosses lèvres et un épais clitoris et il est très sensible ! Je le frotte à peine que je ressens des frissons remonter dans tout mon corps. Tout en feulant discrètement, car les murs sont minces, je me masturbe donc tout en me regardant. C'est à la fois excitant et honteux, je vois et je sens mes doigts triturer mon bouton puis mes lèvres intimes, pour finir, j'en glisse un puis deux en moi. Je suis déjà trempée !

Je ne veux pas me faire jouir, je me lève donc puis me retourne mon cul vers le miroir, je passe la main sous moi et positionne Nono comme il faut. Depuis le temps, je sais à quelle hauteur il faut le mettre. Je sens son gland glisser entre mes lèvres puis je recule, s'empalant sur lui ! Je serre les dents et gémit. Je pose mes mains sur le lit en face de moi et commence à aller et venir sur mon ami intime. J'y vais doucement car la porte miroir de mon armoire est un peu branlante, mais sentir ce membre, même en plastique, me remplir me fait un bien fou. Mes gros seins pendouillent sous moi, ils feraient bander même un âne j'en suis certaine, je commence à me peloter tout en me baisant toute seule. J'ouvre la bouche, ferme les yeux puis j'accélère, le plaisir monte, il grimpe et nono glisse et tombe à terre.

Zut de zut ! J'étais sur le point de jouir. Je le reprends, l'essuie puis me rallonge avec. Autant y aller avec la main. Il n'a aucun mal à me remplir à nouveau et là je peux me baiser rapidement et profondément. Mon lit grince mais je m'en fou, je me baise toute seule tout en gémissant de plaisir. Je finis par me arquer en lançant un râle de plaisir, je m'affale lâchant non qui ne quitte pas mon intimité.

J'ai le souffle court. Je repense à cet achat quelques années plus tôt. J'étais encore plus timide que maintenant et pleine de boutons, encore un truc pour ne pas plaire aux hommes. Je me sentais tellement seule. Me masturber ne suffisait plus. Et le porno, parlons-en, à force d'en regarder, j'étais encore plus excitée et rien pour palier à mes désirs. Une publicité pop-in a alors attiré mon attention. Je me suis laissé prendre et j'ai fini sur un site de sextoys.

Nono est arrivé dans un colis discret quelques jours après, avec d'autres goodies, gel intime et brochure pour d'autres objets coquins.

Et ensuite alors ? J'avais tellement honte de l'avoir acheté, que je l'ai rangé dans un tiroir pendant presque plus d'un an. J'y pensais quelque fois puis de plus en plus souvent. Enfin, je l'ai ouvert et découvert et lui aussi m'a découverte. 

J'avais 19 ans alors et j'étais toujours vierge. Vous avez compris ? Nono est mon premier, c'est mon amant, mon confident, il me comprend et répond à tous mes désirs. J'ai beaucoup joué avec lui avant de... Je l'ai sucé, je me suis frotté dessus, je l'ai fait glisser entre mes lèvres, imaginant le faire entrer en moi pour voir ce que cela faisait. J'ai même taquiné mon anus avec. A chaque fois je jouissais avant de passer à l'acte. J'avais trop honte de me dépuceler avec un jouet sexuel ! Et si j'avais un copain, qu'est-ce que je pourrais lui dire s'il me demandait "avec qui tu as eu ta première fois" ? Et bien euh, avec Nono.... C'est qui celui-là ? Et il se mettrait à rire en constatant que j'étais si nulle en amour que j'avais eu besoin d'un bout de plastique pour avoir du sexe.

Oui mais à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler ! Cette fois-là, je l'avais mis sous moi, sur un miroir, oui j'aime me regarder faire des trucs, je suis visuelle, ça m'excite. J'étais donc accroupi au-dessus de lui et tout en me branlant, je taquinait l'entrée de mon vagin gluant de cyprine avec nono.

Je fixais donc mon sexe et le gland en plastique qui glissais entre mes lèvres, taquinait mon hymen et glissait même entre mes fesses. Je faisais semblant, je me donnais du plaisir comme à mon habitude. J'en avais mal aux cuisses à force de faire ses mouvements de bas en haut, pour une séance de sport, cela en était une ! Je n'étais surtout pas habitué à un tel traitement surtout que par précaution, je ne descendais pas très loin sur l'engin, au cas où !

Le plaisir était à son paroxysme et je pense que c'est cela qui m'a fait perdre mes moyens. Dans un mouvement plus ample que les autres j'ai senti une brûlure puis Nono me pénétrer ! J'ai joui en même temps...

Je suis resté là, soufflant, fixant le miroir pour m'assurer que ce que je sentais était réel !  Une goutte de sang tomba sur le miroir, je ne voyais plus le haut de sexe en plastique et pour m'en assurer je passais mes doigts entre mes jambes. Il était en moi, je venais de me dépuceler toute seule. J'eu les larmes aux yeux et ne bougeais plus de peur de faire pire que mieux. Je n'osais ni l'enlever ni bouger.

Finalement la douleur dans mes cuisses et la cuisante sensation dans mon intimité eurent raison de moi. Je me soulevais doucement en grimaçant et Nono sorti victorieux de mon vagin.

Je sautais aussitôt sur mon lit pour me mettre en boule et pleurer.... Après un certain temps, alors que j'accusais à tort ce bout de plastique, je me suis remis en question. OK, j'avais dérapé et largement ! OK, je n'étais plus vierge. Ok si un mec un jour me demandait qui était mon premier, et bien... je lui répondrai "nono", un mec de passage, pas de souvenir vivace... 

Avec beaucoup d'hésitation car je ne voulais plus voir ce gode en plastique, je pris sur moi pour l'arracher du miroir et failli le jeter. Finalement après un nettoyage en règle, je le fourrais dans son tiroir.

Vous connaissez la suite, depuis de manière complètement hasardeuse, je me baise avec lui. Si la seconde fois j'eu très honte, au fur et à mesure de son emploi, cela me devint plus familier.

J'étais donc là, suante et soufflante, le plaisir redescendant puis mon regard passa par la fenêtre pour regarder au-dehors. Et là je le vis ! Je sautais comme un ressort et fermais les rideaux dans un geste brusque.  Un mec, en face, me regardait, et non seulement il me regardait, mais j'avais bien vu et pas qu'un peu, qu'il se branlait à la fenêtre ! Putain de merde, il n'avait rien loupé de mes ébats, de mon corps et de tout ce que j'avais fait avec nono. Etait-ce un hasard ? Etait-ce la première fois ? Merde, tremblante, j'agrippais mon amant de plastique, l'essuyais avec une lingette et le rangeais. Je ne savais même pas qui c'était. Et si je le croisais dans la rue ? Et si je le connaissais ? Et pire, et s'il bossait dans ma boite à deux rues de là ? Putain de merde, quelle honte !

Le mec se branlait pendant que moi je me baisais. C'était d'une ironie et d'un mauvais goût ! Lui aussi était-il seul ? OU alors il prenait du bon temps en matant les nanas depuis ses fenêtres ? 

Je filais sous la douche pour me laver et n'en sortais qu'un bon moment plus tard. Je n'osais pas regarder par la fenêtre ni ouvrir les rideaux. Et s'il me matait toujours ? Et s'il se branlait à nouveau à sa fenêtre ? Et si je voyais son sexe tendu ?

Malgré mes craintes, et la honte d'avoir montré toute mon intimité dans toute sa splendeur, un petit quelque chose en moi s'échauffa. Ce mec n'était pas mieux que moi, il avait autant voyeur d'exhibitionnisme. Mais dans l'affolement, je n'avais même pas fait attention à lui. Etait-il jeune ou vieux ? Beau ? Et son sexe ? 

Non, je ne devais pas penser à ce genre de choses. C'était déjà un drame qu'il ai pu me voir à poil en train de me baiser avec nono. Mais qu'avait-il vu au juste ? Je me plaçais devant ma fenêtre, rideau toujours fermé, c'était des rideaux de nuit, donc il ne pouvait pas me voir. Et j'imaginais ce qu'il pouvait voir depuis la rue d'en face et à partir du petit cadre de ma fenêtre donnant sur ma chambre. Mon armoire n'était pas dans le champ de vision, donc il n'avait pas pu voir que... Mais par contre mon lit... J'eu tout de suite le rouge aux joues et je le traitais de salopard de vicieux voyeur. Non seulement il avait pu me voir à poil, mais bien les jambes écartées faisant aller et venir nono en moi ! Et depuis quand m'épiait il ainsi ?. 

Je rongeais l'ongle de mon pouce avec inquiétude. Je me posais 1001 questions et je brûlais d'envie de regarder par le côté du rideau pour voir si...   Mais bon, il avait vu que je l'avais vu, il ne devait plus m'espionner. Il devait aussi avoir honte, non ? Et puis, réellement, s'il s'était branlé en me regardant, depuis, il avait dû éjaculer ? Merde ! Il s'était branlé en me regardant, mon corps, moi moche, pas belle, mais qu'avais-je de plaisant ? Et puis il avait éjaculé sûrement en pensant à moi... L'idée me terrifia et me plut en même temps. Dans ce monde pourri j'avais fait jouir quelqu'un, à distance et contre ma volonté certes, mais quand même !

J'eu alors une idée, je changeais de pièce et depuis ma cuisine/salle à manger/salon (oui enfin mon autre pièce quoi), je me mis sur le côté et regardais en face. Si le malotru espionnait ma chambre, il ne penserait pas à regarder une autre fenêtre, si ?

Pas de chance pour moi, personne en face. Je soupirai à la fois de soulagement mais aussi de déception. Mais que m'arrivait-il ? je devrais plutôt être en colère ou avoir une peur bleue de ce qui vient de se passer, non ? En fait, tout ça se mélangeait en moi en plus d'une autre sensation, et j'eu soudain très peur, mais pour autre chose, cette situation me réchauffait le ventre !

Je n'ouvris plus les rideaux de ma chambre pendant plusieurs jours. Lorsque je sortais, je devenais parano et imaginais que n'importe quel homme que je croisais était le voyeur. En fin de compte, rien d'inhabituel ne se passa.

Quelque peu rassérénée, j'ose à nouveau ouvrir mon rideau car ma chambre était trop sombre sinon. Je faisais comme si de rien n'était mais je voyais personne en face, ce n'était pas pour autant que je m'adonne aux plaisirs solitaires.

Deux nouveaux jours passèrent avec un ennui mortel, ma vie de merde de tous les jours en somme. J'eu ma mère au téléphone qui me raconta tous ses malheurs sans prendre le temps d'écouter les miens. J'étais son psy gratuit depuis des années et cela ne m'aidait pas à me sentir bien.

Ce samedi matin là, je fus dérangé dans ma douche par mon téléphone qui sonnait. Sûrement encore ma mère, et si je ne répondais pas, elle me ferait la gueule pendant un mois. Je m'enroule dans ma serviette et cherche après mon smartphone, et merde je l'avais laissé dans ma chambre. Je courais donc jusqu'à mon lit et le trouve hurlant comme un demeuré. Je devrai vraiment changer cette sonnerie de merde. Pas de bol pour moi, c'était un démarchage téléphonique que je coupais court car mon ventre ne fit qu'un tour en voyant pas la fenêtre le voyeur....

Je ne pouvais pas le louper et lui ne ratait rien de ma tenue. N'importe qui d'autre pouvait aussi le voir, mais en fait comme partout, tout le monde s'en foutait des autres. Le gars, vu la distance je ne saurais trop dire son âge, mais plutôt jeune entre 25 et trente ans, était nu une nouvelle fois et se masturbait en me regardant.

Sa main allait et venait sur son sexe tendu, comme j'en avais pu voir des centaines sur le Net. Il semblait bien de sa personne, ni gros ni maigre voire même un peu musclé. En tout cas, ce n'était pas un gros mec bedonnant qui s'excitait sur tout ce qui bougeait. 
Tout en faisant aller et venir sa main doucement sur son sexe, ce qui m'hypnotisa, il fit un geste de son autre main mimant quelque chose que je ne compris pas tout de suite. Ahhhh, putain merde ! Il voulait que je retire mon drap de bain !

Putain, pas question, espèce d'obsédé sexuel, d'exhibitionniste à la noix. Jamais je ne me montrerai nue... Euh en fait je l'avais déjà fait, et peut-être à plusieurs reprises à mon insu. Mais là c'était différent, il voulait que je me montre de manière intentionnelle.
Il voyait que je le regardait, il savait que cette fois-ci ce n'était pas un accident, il ne pouvait que supposer que je devais aimer le voir faire puisque je n'avais pas fermé les rideaux ni enfui en courant. En fait, j'étais incapable de le quitter des yeux. Il recommença son geste et contre toute attente, le coeur battant la chamade, la tête me tournant presque, je laissais tomber mon drap à terre.

Il me fit un signe du pouce et se branla plus rapidement, la simple vue de mon corps nu l'excitait assez pour qu'il... Je le vis se contracter et éjaculer sur sa fenêtre. Il me sourit et me fis à nouveau un signe du pouce. J'en fut tellement surprise et honteuse que je quittais ma chambre en courant. 

Après coup j'eu encore plus honte car quelqu'un d'autre en face aurait pu me voir, tout comme n'importe qui de mon côté aurait pu voir ce malade mental et se serait demandé "mais avec qui joue-t-il à touche pipi à distance ?"

J'évitais donc ma chambre de la journée et passais celle-ci dehors à faire des courses, traîner dans les rues commerçantes et même dîner, seule comme toujours, dans un petit restaurant avant de me faire un cinéma. Si le malotru pensait me revoir, il n'aurait au que fenêtre vide en retour. 

J'étais déçue de ma journée shopping. J'avais sans cesse pensé à ce qui s'était passé au matin, seul le film m'avait tout de même changé les idées. Je revenais avec mes sacs jusqu'à mon immeuble puis remontais jusqu'à mon petit appartement tout en haut de celui-ci. Fourbue, car l'ascenseur était encore en panne, au moins cela me faisait du sport, je me retrouvais à nouveau seule dans mon deux pièces minable. J'eu soudain un gros coup de blues.

Sans trop savoir pourquoi, je me rendis dans ma chambre espérant voir "l'autre" à la fenêtre. Même si c'était malsain, c'était la seule personne qui s'intéressait à moi. La pièce était allumée, la mienne non. Il ne pouvait donc pas me voir mais moi je ne pouvais pas la rater. Il était assis proches de la fenêtre en train de lire ou de m'attendre ? Je ne saurais le dire. Mais cela me rendit à la fois triste et augmenta mon blues. Ma vie était si trépidante que j'espérai avec envie qu'un voyeur pervers s'intéresse à moi !
J'allumais donc la lumière de ma chambre, l'autre s'en rendit compte presque immédiatement et se mit debout devant sa fenêtre à me fixer. A quel jeu horrible étais-je en train de jouer ?

Il me fit un signe de la main, comme pour me dire bonjour. Il attendit, puis je fis de même rouge de honte. Et là, il fit un signe d'invitation ou inversement.
Merde ! Il voulait venir chez moi ? Je fus tellement secouée par cette demande que je filais éteindre la lumière de ma chambre. J'étais assise sur le sol de mon couloir, tremblante. Putain de merde, je faisais quoi là ? Je pensais quoi ? Discuter tout simplement avec un pervers par signe ? Il s'était branlé devant moi, et deux fois, espèce de débile mentale, qu'avais-je cru penser, tout ce qu'il voulait c'était me baiser !

Je me trainais jusqu'à ma cuisine et me fit à manger dans le noir. Je me trouvais pitoyable et l'autre devait me prendre pour tel. Je fixais mon assiette de crudités, des légumes pour maigrir, pas de gras, pas de graisse, des trucs immondes diététiques pour que je perde mes bourrelets d'amour. J'eu soudain un excès de colère, je pris mon assiette et je la jetais dans l'évier en hurlant. Je ne me supportais plus, essuyant mes larmes, je revins dans ma chambre et regardais la fenêtre en face, il n'était plus là.
J'éteignis et ralluma plusieurs fois la lumière, cela l'attira et il me refit un geste de la main, comme si mon refus de toute à l'heure ne l'avait pas secoué plus que cela.
Je refis le même signe que lui tout à l'heure, un arc de cercle de moi vers lui. Puis j'attendis. Il sembla réfléchir, puis fit un signe de pouce, partit puis revint avec un carton où un numéro était indiqué dessus "415".

OK, fis-je à mon tour. Quatrième étage, appartement 15. Je ne voulais pas réfléchir, je filais aux toilettes me vider, mis du parfum, j'évitais de me regarder dans le miroir, puis pris mon manteau avant de quitter mon appartement pourri. J'étais en robe, basket et blouson jean. Rien n'allait ensemble, mais je m'en fichais.

Le trajet jusqu'à l'immeuble d'en face ne me prend que 3 minutes. Si je réfléchissais, si j'hésitais, si je me remettais en question, j'étais sur et certaine de faire demi-tour.
 Notre rue datait du siècle dernier, nos immeubles n'étaient donc pas des HTM comme des barres. Les lieux étaient donc plutôt soft, même si le loyer était exorbitant, même au dernier étage !

Je trouvais sa sonnette et appuyais dessus. Pas de réponse mais le clic de la porte d'entrée vitrée. Par l'habitude, j'évitais l'ascenseur et j'arrivais au quatrième essoufflée
Je devais ressembler à une Marie toutouille, en sueur, les yeux cernés, le visage rouge, le coeur battant. Je fermais les yeux, inspirais un grand coup puis.je débouchais sur le palier.

Pas de doute à avoir sur l'appartement à trouver, il y en avait un avec la porte ouverte et si je n'étais pas conne, il donnait sur ma rue et donc en face de mon immeuble.
Plantée devant la porte, je me trouvais devant un couloir propre, quelques affaires accrochées au mur et un paillasson. Je toquais si doucement que je pensais qu'il ne m'avait pas entendu.

- Entre ! Entendis-je, Et ferme derrière toi.

La voix de l'homme était mature, stable, sans accent et presque rassurante. 

Tremblante, j'avançais et fermais la porte derrière moi. C'était une poignée, donc facile à ouvrir si je devais partir en courant.

L'appartement était plus grand que le mien est surtout plus joli et bien tenu. J'avançais et entrais dans la pièce de vie, salon / salle à manger, c'était de là que provenait la voix.

- A vous voilà !

Un homme la trentaine, enfin une petite trentaine, je ne m'étais pas trompé, m'attendait debout en train de mettre la table. Il était pas vilain du tout en fait, à part son côté pervers, je l'aurais pris pour quelqu'un d'honnête. Grand, bien sur lui, habillé d'un t-shirt ample et d'un jean. Il avait les cheveux courts et coiffés en arrière. Son visage semblait franc, une mâchoire carrée et un nez volontaire.

- Oui, répondis-je d'une petite voix

- N'ayez pas peur, je ne vais pas vous manger, d'ailleurs, j'allais dîner, vous vous joignez à moi ?

Moi qui pensais qu'il allait se jeter sur moi et me baiser puis me foutre dehors, j'en fut tellement abasourdi que j'ouvris la bouche sans répondre.

- Si vous avez autre chose que... des légumes ! Dis-je comme une conne

- Ne vous inquiétez pas, j'ai mis une pizza au four, cela vous va ?

- Oui, oui, répondis-je sans bouger

Je ne savais pas quoi lui dire, trop étonnée par la situation.

- Hum, commença-t-il, ne me prenez pas pour un drôle, je n'avais pas l'intention de vous faire peur. Disons que j'ai eu l'impression que nous nous, hum, avions des... activités semblables

Il avait soudain l'air aussi mal à l'aise que moi. Des activités semblables ? Attends, il pensait que je me masturbais en laissant les rideaux ouverts exprès ? Mon visage passa au rouge tout à coup. Merde, si je n'avais pas répondu à ses messages par la fenêtre, je ne serai pas là maintenant.

Tout à coup un "ding" se fit entendre

- C'est le four !

Comme si je ne l'avais pas deviné

- Mettez-vous à l'aise, je vais chercher la pizza

Au passage il me regarda de la tête aux pieds avec un oeil à la fois appréciateur et un peu de gène ? 

A mon tour je fixais son dos et ses fesses, oui il n'était pas mal du tout; Je jetais ma veste sur le bras du canapé et regardais un peu la déco en attendant qu'il revienne. Alors comme ça il était exhibitionniste et pensait que moi aussi je l'étais, et voyeur aussi et inversement. Etrangement, je n'avais pas réellement peur de lui, il semblait bien sous tout rapport, même si je connaissais un de ses petits secrets.

Je m'approchais de la fenêtre et fixais mon immeuble en face, était-ce celle-ci ? Oui, sûrement, elle donnait droit sur ma chambre et je reconnaissais la chaise sur laquelle il s'était assis pour m'attendre. Je m'approchais encore à la recherche de traces... de traces de sperme !

Soudain, je sentis quelqu'un dans mon dos et deux mains me toucher les épaules, je frémis et réprimais un petit cri

- C'est cette fenêtre ? Réussis je à articuler raide comme un piquet et coeur palpitant
Il se colla à moi et je sentis sa respiration dans son cou mais aussi une bosse contre mon dos, putain il bandait !

- Et la vôtre est face

- La pizza est prête ? Demandais-je d'une petite voix pour changer de sujet

- Elle est un peu chaude, chuchotta-t-il à mon oreille

Ses mains remontèrent sur mes épaules et je sentis un baiser dans mon cou, je frémis puis tremblais. Il ne dit rien, moi non plus, je pouvais voir notre reflet sur la vitre, mon appartement en face et la vie dans la rue en bas.

Lorsqu'il tira sur la fermeture éclair de ma robe, je me mis à glapir, il m'embrassait le cou en même temps. Mon ventre devint chaud et je pouvais entendre mon coeur battre si fort qu'il devait résonner dans toute la pièce.

Ma robe glissa à terre, je pouvais me voir en sous-vêtements synthétique à fleur dans mon reflet  J'aurai du être en face, dans ma chambre, en train de lire, regarder un film, me désespérer d'être seule ou d'écouter les jérémiades de ma mère. Au lieu de cela, j'étais avec un parfait inconnu, voyeur et exhibitionniste qui me déshabillais.

- Penches-toi, me souffla-t-il

Hein ? Pourquoi ? Mais j'obéis, je plaquais mes mains contre la vitre tendant ma croupe contre lui. Ses mains me caressaient le dos, elles étaient chaudes et douces. J'eu honte lorsque ses doigts glissèrent sur mes bourrelets. Il attrapa ma culotte et la baissa doucement. Je respirais si fortement que de la buée commençait à apparaître contre la vitre.

J'entendis un bruit de ceinture puis le zip d'une braguette .J'ouvris la bouche pour crier, pour l'avertir qu'il était le premier que... Impossible, il m'avait vu avec nono, comment lui avouer que si je n'étais plus vierge, je n'avais jamais connu d'homme !

Je sentis quelque chose de chaud glisser contre ma cuisse puis s'aventurer entre mes jambes. Il me pénétra doucement et entièrement. Je me plaquais contre la vitre, elle était froide, rassurante, dure,  Et dedans, c'était chaud, vivant et long. Me prenant par les hanches, il se mit à aller et venir en moi. Je faisais l'amour avec un homme,  on me baisait enfin, moi la grosse, l'inutile, celle qui ne servait à rien, celle qui servait de cinquième roue au carrosse lors des rares sorties. Putain, je me faisais baiser et c'était putain de bon !

Je gémis presque aussitôt, pourquoi avais-je attendu si longtemps pour me donner ? Nono à côté c'était de la pisse ce chat, Désolé mon cher ami de plastique, mais tu ne fais pas le poids.

Il me dégrafa le soutien-gorge et libéra mes gros seins qu'il attrapa aussitôt.

- Tu es si belle, gémit-il en faisant glisser son sexe dans ma chatte trempée. 

- Non, je suis grosse et moche, gémis-je en retour

- Tu te trompes, depuis la première fois que je t'ai vu, je n'ai cessé de te faire l'amour
Que répondre à cela, n'importe qui en face pouvait voir qu'il était arrivé à ses fins. Et même si ce n'était qu'un coup du soir, je n'étais plus seule et surtout je connaissais enfin le sexe !

Il se gavait de moi, me caressait de partout, moi je criais, je gémissais, je m'écrasais sur la vitre en espérant qu'elle ne cède pas. Aux infos "un couple a été retrouvé mort sur le trottoir alors qu'ils baisaient contre la vitre de leur appartement !" il y a pire mort que cela, non ? Mais c'était du double vitrage et cela paraissait être solide. N'importe quoi, pourquoi je regardais ça moi ?

Lorsqu'il augmenta la cadence, faisant claquer sa peau contre la mienne, je me mis à chanter de plaisir. Lui aussi haletait, il me complimentait encore et encore. Il me tourna de biais toujours enfoncé en moi et sa bouche chercha la mienne. Nos langues se trouvèrent et on s'embrassa fougueusement. 

Soudain, il se retira et éjacula sur mes fesses. J'en fus surprise et je jouis en même temps, excitée par l'acte et la scène.

- Je ne savais pas si tu prenais la pilule, me dit-il en guise d'excuse.

- Merci, et non, avouais-je en me dressant

Je sentais le sperme couler dans mon dos. J'avais mal aux jambes et ma joue était glacée alors que le reste de mon corps était en feu. J'étais nue, la culotte aux chevilles. Lui avait retiré son t-shirt entre temps et son pantalon faisait des plis à ses mollets. Il était vaguement musclé, ils s'entretenait sans non plus être super musclé, pas ou peu de ventre, quelques poils sans  non plus être une toison et plus bas, un sexe encore à moitié tendu. Et pour ce que j'avais vu sur le Net, il était de taille un peu grand que la moyenne.

- Ca coule, gémis-je 

Il se débarrassa de son pantalon et me conduisit à la salle de bain.

C'était une douche à l'italienne. Il fit aller l'eau et me poussa dedans lui à ma suite. 
- Je vais te laver, me dit-il en m'embrassant

Ce qu'il fit, avec douceur, me savonnant de partout, passant ses mains sur mes gros seins qui l'omnibulaient. Il bandait à nouveau, se frottant à moi. Je n'étais pas en reste et je m'occupais de lui autant que lui de moi. Pour la première fois de ma vie, je touchais une vraie bite. Je la savonnais, je le branlais doucement, on s'embrassait tout en explorant nos corps respectifs. Comme ou couple d'amoureux, sauf que ce n'était que pour la baise. Mais ça, je ne voulais pas y penser.

- Alors comme ça je t'excitais ? Espèce de voyeur

- Tu n'y allais pas de main morte non plus

- Et si je te disais que ce n'était même pas fait exprès

Il parut surpris

- Tu veux dire que tu ne savais pas que je te regardais ?

Je fis non de la tête

- Enfin jusqu'à ce que je te surprenne

- Mais alors... Pourquoi es-tu venue me voir ? Je pensais que c'était une sorte de jeu entre-nous, une connivence, une...

- Chut ! Dis-je en posant mon doigt contre sa bouche. Je suis seule, toi aussi semblerait-il, et j'ai besoin de ça, dis-je en attrapant son sexe, et toi de ça, continuais-je en l'attirant vers mon entre-jambe. Le reste, on s'en fou !

Il me sourit, m'embrassa et me poussa contre le carrelage, il me souleva une de mes grosses cuisses et me pénétra à nouveau. Je gémis aussitôt.

- Pas dedans, lui rappelais-je

Il se jeta sur ma bouche et me baisa pour la seconde fois de la soirée.
Nus tous deux à table, et là j'avais plus de honte de me montrer ainsi que pendant nos ébats, il me proposa de la pizza réchauffée.

- Tu es vraiment magnifique

- Je suis loin d'être la femme idéale, dis-je en montrant mes bourrelets d'amour

- Justement, j'aime les vrais femmes, pas les mannequins anorexiques ou qui sont obsédés par leur poids. 

- C'est vrai ce mensonge, demandais-je pour me rassurer, ou alors c'est juste un jeu et maintenant que tu...

- Je t'ai montré autant que tu m'as montré, me rappela-t-il

- Ce n'est pas une raison valable

- Tu te dénigres toujours autant ?

Je soupirais, mangeais ma part, en fait j'avais très faim et je passais à la suivante en à peine quelques bouchées. Il se mit à sourire.

- Quoi ? Demandais-je la bouche pleine

Il se leva et vint m'essuyer une tâche de sauce tomate sur la joue, je m'aperçus qu'il bandait à nouveau

- Encore ?  Dis-je étonnée

- Lorsque je te dis que tu m'excites

- Et... il n'y a pas de demoiselle dans ton lit, d'habitude ?

Petite question histoire de s'assurer que...

- Je suis célibataire, comme toi si j'ai bien compris, sauf si on prend en compte tes jouets

Je rougis aussitôt

- Je ne sais même pas ce que je fais ici, avouais-je en regardant le fond de mon assiette

- C'est toujours mieux que d'être toute seule en face, non ?

Il me tira à lui pour me relever

- J'ai encore faim, me plaignis-je, pour une fois que je me permettais de la pizza
Il me fixa dans les yeux, me caressa encore, puis se mit à genoux, que voulait-il me faire ? Lorsque sa langue s'attaqua à mon sexe, je faillis cracher le reste de pizza dans ma bouche. Je l'avalais aussitôt pour lui attraper la tête et me mettre à chanter une nouvelle fois.

Sa langue était divine, je n'avais jamais connu cela, normal, nono n'avait pas de langue ! En à peine quelques poignées de secondes, il me fit jouir debout, tremblante, contre la table.

Se relevant, il m'embrassa sa bouche pleine de ma mouille, je me sentais toute molle.

- Tu te sens moins seule ? Me chuchota-t-il

- Oui, gémis-je entre ses bras

- Alors viens

Je croyais qu'il voulait encore baiser, mais en fait il nous installa dans son canapé moelleux, avec un plaid, le plateau de pizza sur la table basse et il mit un film romantique sur son écran géant.

Je me suis endormie sous le plaid avant la fin du film. Il n'y avait plus de pizza et pour la première fois de ma vie, je couchais chez un homme.

Je ne m'étais pas du tout attendue à cette fin de soirée, c'était ce genre de chose que j'avais toujours rêvée de faire. Je ne le connaissais même pas, j'avais fait l'amour avec lui, mais je me sentais bien.

Je me réveillais en pleine nuit me demandant où j'étais. J'étais allongée dans son canapé sous le plaid, un coussin sous la tête. Et lui, ou était-il ? Je me levais, c'était si bizarre ! J'aurai pu reprendre mes affaires et repartir chez moi, là en face, dans ces deux pièces misérables. Au lieu de cela, le plaid autour de moi, j'ai bu un verre d'eau puis cherchai sa sa chambre. La porte était fermée contre, lui dormait dos face à moi. Sans savoir pourquoi, j'eu à la fois un pincement au cœur et une envie terrible de le rejoindre.
Lorsque je me glissais sous les draps, je le réveillais, il se retourna, le regarda à moitié endormi. Il me sourit, me caressa la joue, se blottit contre moi, sa bite se mit aussitôt à grossir, puis il se rendormit aussitôt, moi de même.

Au petit matin, je fus réveillé par une odeur de café. Le lit, plus grand que le mien et avec des draps lisses, était vide et froid à côté de moi. Tout ce qui s'était passé la veille me revint à l'esprit. J'avais couché pour la première fois avec un homme et en même temps un pervers et un inconnu !

Je cherchais mes habits du regard et ne les trouvant pas, j'ai repris le plaid pour me couvrir. Sans un bruit, entendant un bruit de musique et de vaisselle dans la cuisine, une vraie cuisine, pas comme mon coin kitchenette, je passais rapidement dans la salle de bain pour faire mes petites affaires du matin.  

Je me posais 1001 questions, qu'allait-il arrivé ensuite ? Avais-je fait une connerie ? Comment allait-il réagir à la lumière du soleil face à mes bourrelets d'amour et mon gros cul ? Même si ma mère me disait tout le temps que je n'étais pas "grosse". Il y avait une marge entre "enrobée" et "obèse", et c'est vrai que j'étais plutôt dans la première catégorie, mais dans ma tête, j'étais plutôt dans l'autre... Il faut dire que constamment j'étais mise de côté, ignorée, voire même rabaissée à mon travail, ce qui n'arrangeait pas l'image que j'avais de moi.

Timidement, j'entrais dans la cuisine, le plaid autour de moi. Mon Don Juan était toujours aussi nu que la veille. Surprise et peut-être un peu inquiète en même temps, je me raclais la gorge, même s'il n'avait pas pu faire sans entendre la chasse d'eau.

- Bonjour, me dit-il en touillant des œufs dans une poêle, tu as faim ?

- Un peu, oui... répondis-je avec une certaine réserve

- Tu as froid ? Me demanda-t-il en me montrant le plaid avec le bout de sa cuillère en bois

- Je... n'ai pas l'habitude de me balader toute nue chez moi

- Ah ! Fit-il en regardant son bas-ventre, je n'y ai pas pensé

- Tu es chez toi, fais comme tu veux... On peut... parler ?

Il arrêta de touiller les oeufs, me fixa d'un coin de l'oeil puis nous servit. Cela sentait bon et oui j'avais faim. Il ajouta un bol de café et des toasts.

- Que veux-tu savoir jolie demoiselle ?

Je rougis avant de demander avec quelques précautions

- Tu es bien célibataire ?

- Oui et toi ?

- Aussi, même si tu dois le savoir vu que tu me mattes... et depuis quand ?

L'autre ne fut pas gêner plus que cela, mais il fit un effort pour afficher une certaine gêne

- Quelques semaines, je me suis installé ici depuis pas longtemps et... Pour être honnête, j'ai flashé sur toi !

Je le fixais pour savoir si ce qu'il me racontait était plutôt du boudin ou une certaine vérité.

- Et c'est quoi ton prénom voire nom de famille ? demandais-je d'un ton anodin comme si ce n'était pas important

- Yann Lenoir et je suis expert comptable et toi ? 

- Houaaaaaaaaa, mais ça gagne un max ça, pourquoi tu es seul et tu vis ici ?

- Tu n'as pas répondu

- Désolé, je m'apelle Chloé Du Bochet et je suis qu'une simple employée de merde dans une boite de merde pour un salaire de misère...

- Tu te rabaisse toujours comme ça ? 

- Personne ne m'aime alors...

D'un air boudeur, je touillais mes œufs puis nous commencions à manger dans un silence pesant.

- Pour répondre à ta question, j'ai 31 ans et ne suis expert comptable que depuis 4 ans. J'ai eu des dettes pour mes études et je ne mets pas toutes mes économies dans un logement. Disons que j'ai certaines passions.

- Comme mater les jeunes filles à leur fenêtre ?

Merde j'y avais été un peu fort là, et puis 31 ans, sacré différence d'âge !

- Ouch ! Fit-il en se tenant la poitrine, tu viens de me tuer là...

- Si je te disais que moi, je ne savais pas que quelqu'un me regardait, euh... tu vois quoi, dis-je en rougissant

Il se rapprocha de moi et me resservir du café, je vis qu'il bandait. Je ne pouvais regarder ailleurs, il me caressa l'épaule puis défit le plaid qui entourait ma poitrine, et le reste de mon corps au passage. Il glissa sur mes gros seins, je le vis se pencher et commencer à me les lécher.

Je le repoussai doucement à la fois mal à l'aise et avec un petit échauffement en bas du ventre. Mes tétons se dressèrent.

- On n'a pas fini de discuter cher monsieur, dis-je dans un souffle alors qu'il posait ses lèvres sur les miennes.

Après un baiser accompagné de caresses, il ajouta :

- Et que veux-tu savoir d'autres ?

- Et après ?

- Après quoi ? demanda-t-il en me bécotant

Je le repoussais encore

- Suis-je juste un fantasme ? 

Il se recula plus sérieux, la bite toujours tendue, ce qui ne m'aida pas à rester neutre
- Tu veux savoir si une fois que tu seras partie, on en restera là ? C'est ça ?
- Je n'ai pas pour habitude de venir... dans l'appartement d'un inconnu pour... Enfin tu comprends ? En fait, je ne l'ai jamais fait !

En même temps je lui avouais que je n'avais jamais baisé avec un mec, mais il ne le comprendrait pas ainsi

Il ma caressa la cuisse tout en l'écartant et ajouta

- Alors pourquoi es-tu venu ?

Il s'approcha de mon entre-jambe qui s'ouvrait de plus en plus

- Je... Je me sentais seule. Je pleurais dans mon couloir en ne sachant quoi faire. Passer ma soirée avec un... pervers ou rester seule devant la télé et...

Il était bien placé entre mes jambes maintenant, il me fixait yeux dans les yeux et je sentis qu'il cherchait l'entrée de mon vagin avec son sexe.

- Si tu veux... Ce soir on dort chez toi ?

Cela répondait à ma question du "après" et je poussais un gémissement lorsque sa queue glissa en moi, j'étais déjà chaude comme de la braise.

Punaise, ce que c'était bon de sentir son machin en moi, j'écartais plus les jambes et il poussa d'avantage sa queue en moi et il se mit à me baiser. Nos bouches se trouvèrent et le tabouret haut grinça sous ses coups de buttoir. Il s'attaqua ensuite à mes gros seins comme si c'était les seules choses au monde à sanctifier.

Je me mis à gémir en le caressant en retour, donc ce soir il veut dormir chez moi ? Il ne sera pas déçu et... Mince je n'avais pas fait le ménage et il verrait que... Je me mis à crier en évitant de penser à ce genre de conneries.

Il se retira et me fit descendre du tabouret pour me retourner et me pencher sur le plan de travail. 

- Attention, lui rappelais-je, je ne prends pas la pillule

- Pourquoi ? Me demanda-t-il

- Je n'ai personne en ce moment et... il parait que ça fait grossir 

- j'aime te courbes, me flatta-t-il en me caressant, reste comme ça, je vais chercher de quoi me protéger

Je n'attendis pas longtemps, à moitié plié, la tête sur les bras, le cul offert. Il rapidement et me caressa le dos, les fesses, les cuisses et mes gros seins sous moi. Je sentais sa bite contre ma cuisse ou mes fesses, j'avais déjà envie de la sentir en moi, je respirais fortement et fermais les yeux dans l'attente.

Au lieu de sa queue, ce fut sa langue qui s'attaqua à mon entre-jambe. J'en fus surprise et conquise, tout de suite, j'approuvais avec de petits gémissements les attentions qu'il me protait à cette endroit-là. Qu'il vient dormir ce soir chez moi, je lui ouvrirait la porte sans problème et mes voisins en auront pour leur argent, à l'inverse de d'habitude !

Je senais sa langue de la pointe de mon clitoris jusqu'à mon anus. Je trouvais cela sale qu'il s'attaque à cet endroit, mais l'ensemble de attention me laissaient tellement bien que je le laissais faire. Après, pas question qu'il m'embrasse alors qu'il m'avait léché le cul ! Et là, vous demandeiez-vous ? Est-ce que non y était déjà passé comme par devant ? Si je m'étais dépucelée toute seule comme une grande, alors pourquoi pas là aussi ? Et bien pour faire court, outre un doigt de temps à autre, nono n'y avait été qu'une seule fois. Ce soir là, encore te toujours toute seule, dégoulinate de mouille à regarder du porno tout en me masturbant, j'étais tombé sur une scène de sodomie entre deux lesbiennes. Oui bon je regarde ce que je veux non ? Et l'un d'elle avait fourré son joli god dans les entrailles de sa copine qui criait tout son plaisir comme seule les actrices pornos, amatrices ou pas, savent la faire.

Je baladais donc le gland de plastique entre mes lèvres, attendant le moment opportun pour le faire entrer en moi, lorsqu'il glissa plus bas et rencontra mon petit trou. Me trouvant juste devant la scène où l'autre se faisait prendre là, je me m'étais dit "et pourquoi pas, au point où j'en suis". Je suçais donc abondement mon ami de plastique, tout en me branlant, je jouais même avec mon petit trou de l'index, l'assouplissant avec de la mouille. Enfin, je le poussais en moi, mais pour la première fois, dans mon cul. Et je dois dire que ce fut la dernière fois ! Je n'ai jamais compris le plaisir qu'on pouvait avoir à se faire enculer, car une fois que j'avais enfin réussi à faire entre nono entre mes fesses, la gêne et la douleur que j'en éprouvé me fire le retirer aussitôt. Pourtant, à vor le plaisir que les deux folles avaient en le faisant glisser allègrement dans le fondement, je me disais que je m'y prenais mal.

Je me masturbais alors comme une folle, autant deux doigts devant qu'un derrière, jusqu'à le faire aller et venir en moi facilement. Puis, nono en main bien humide, je suis allé plus doucement que la première fois. je réussis enfin à m'enculer avec. Mais après une poignets de seconde à le faire aller et venir dans mon anus, j'eu soudain une forte envie d'aller chier. Je ne pu y résister longtemps pour aller me vider ensuite. Et nono, n'en parlons pas, il était vraiment sale. Ce qui ne m'engagea aucunement à recommencer. Donc depuis, mon petit trou avait eu la paix. Rien d'autre que les choses naturelles n'étaient sorties par là. Encore moins entré !

Mais ce matin là, mon Don Juan avait une idée assez précise de ses envies et s'était mis en tête de les partager. Je n'avais pas remarqué qu'outre des préservatifs, il avait posé sur le comptoir, de l'autre côté de ma cête couché sur le côté, du gel intime.

Alors une fois qu'il eu terminé de me faire crier, frissonner et même jouir en me salivant dessus se la raie des fesses jusqu'à mon petit bouton, il se remit debout, enfila la capote, oui, au point où il en était, même pour derrière, et ajouta une bonne dose de gel à tout ça;

Lorsque je sentis un corps gras glisser dans ma raie, je ne réagis pas tout de suite, mais lorsqu'il poussa sur mon anus déjà bien luisant de salive, je récriais

- Non, pas là !

- J'irais doucement, me répondit-il en me caressant, si cela ne va pas, tu pourras toujours me le dire

Son argument tenait la route et quelque chose en moi, peut-être ma partie soumise après toutes ses années à me faire rabaissée par les autres, surtout mon chef au boulot, ne l'empêcha pas d'aller au bout de ses idées.

Il joua un petit moment à l'entrée de mon petit trou, à pousser dedans, attendre, se retirer, pousser. Il n'entra pas tout de suite, loin de là, mais il était patient et peu à peu mon anus s'élargit, peu à peu, il écartait ma rosette, ressortait, poussait son gland et soudain, celui-ci entra en moi !

Je m'écriais de surprise. Il ne bougea plus et contrairement avec nono, sa patience avait réussi où ma précipitation m'avait fait mal. Ses mains explorèrent alors mon corps, ma caressant le fos, les hanches, mes grosses fesses, puis se penchant, il m'embrassa le cou tout en attrapant mes seins sous moi.  

- Ca ira ? Me demanda-t-il

- Vas-y doucement, répondis-je me donnant à lui

Et il y alla doucement. Avec la même patience qu'au début, il investi mon cul millimètre après millimètre, faisant aller sa queue d'avant en arrière pas de petits mouvements de bassins.

- Tu as déjà eu une mauvaise expérience là ?

- On peut dire ça comme ça, répondis-je en respirant fortement

Et c'est ainsi que mon presque inconnu, puisque je connaissais au moins son prénom, après m'avoir baisé devant la fenêtre, se mit à m'enculer de bon matin sur le comptoir.
Avec nono, je m'y étais vraiment mal prise, je préférais nettement me faire baiser, mais finalement ce n'était pas si désagréable ni si terrible. 

- Ahhhhhh ! fis-je surprise lorsqu'il s'enfonça bien plus brutalement dans mon cul, me faisant presque décollé du comptoir

- On va passer à la vitesse supérieure maintenant

Il se retira de mon cul, le laissant vide puis, je le sentis replonger en moi. Alors avant, c'était quoi ? Juste des préliminaires anales ?  Je fus sodomisé comme je l'avais vu dans mes vidéos pornos, à grands coups dans mon rectum faisant trembler les bols sur le comptoir.

Plus je me faisais labourer le cul, plus je sentais comme une chaleur l'envahir, les images des cette lesbienne qui criait comme une folle pendant que sa copine l'empaler avec un god revint à mon esprit et suite à de grands coups puissants je me relevais à moitié et laissais échapper un cri de jouissance !

- Arrêtes, gémis-je dans un souffle, c'est trop ! 

Il était aussi essouflé que moi, il se retira de mon anus meurtri qui n'avait jamais eu autant de faveur et doucement, il glissa plus bas pour envahir mon vagin. 

Je criais à nouveau lorsqu'il me baisa aussi rapidement que par derrière, mais je n'eu pas le temps de jouir, car je sentis sa queue se contracter et il éjacula dans le préservatif.
C'était le petit déjeuner le plus torride que je n'eu jamais testé. A vrai dire, c'était aussi la première fois qu'on me faisait l'amour dans une cuisine au petit matin.

Essoufflés tout les deux, nous restâmes enlacés un petit moment avant que  mon Don Juan pervers et voyeur aille se faire une petite toilette. Je ne me reconnaissais pas, la veille encore j'étais triste, seule et célibataire et ce matin, j'entamais une sorte de prémices de relation à tout au moins purement sexuelle ! Soudain, je remarquais que j'avais encore faim. Je m'assis sur le tabouret et me rendit compte que j'avais le cul gluant de gel, je remarquais alors les préservatifs et le tub sur le comptoir. Pour le glamour, repassez monsieur.

A cet instant mon anus se rappela à moi, il se contractait avide d'en avoir encore ? J'avais toujours l'impression de l'avoir dans mon cul. Jamais je n'avais pensé que me faire enculer me ferait jouir. Je fus alors parcourue d'une prise de conscience malsaine. Yann avait eu tout ce qu'il voulait de moi, à part ma bouche, mais je ne doutais pas que cela allait venir sous peu. Et ensuite ? Je replongeais dans les méandres de ma nullité, ma mochitude et tout en touillant le reste de mes oeufs, le plaid sur mes épaules, mon hôte revint me trouver.

- Cela ne va pas ? Demanda-t-il me voyant avec une tête de droopie

- Je ne sais pas où j'en suis. J'ai peur que... J'ai peur de tout en fait, je suis nulle, mon boulot est nul, ma vie est nulle...

Il m'entoura de ses bras et colla sa tête  la mienne.

- Tu as un énorme potentiel, mais personne ne t'a aidé à le montrer.

- Faudrait déjà que l'intéresse des gens

- Tu m'intéresse moi !

- Et une fois que tu en auras marre de me baiser ? Lançais-je avec un peu trop de méchanceté

- Et bien... Je te baiserai encore !

- Pourquoi moi ? Il y a plein de jolies filles partout

Il me fit pivoter pour me mettre face à lui et me pris les mains dans les siennes..

- Je n'ai pas toujours été heureux en amour tu sais, j'ai eu mes périodes de bonheurs mais aussi beaucoup d'erreurs... Mais une chose est sûre, tu es mon type de nana et...

- Et ?

- J'aime bien te voir toute nue

Je le repoussai

- Sale pervers et sale voyeur, et exhibitionniste en plus, je ne vais pas passer ma vie à poil dans ton appartement

- Et si on sortait ?

- Hein ? 

- J'ai bien l'impression qu'il faille te changer les idées, mais aussi t'habiller, sinon...

- Sinon quoi ? Demandais-je en le fixant dans les yeux

Il s'approcha de moi et m'embrassa, je sentis son sexe grossir contre ma cuisse

- Tu es infatigable !

- Je suis en manque

- Ah bon ? Et c'était quand ta dernière fois ?

- Il y a pas mal de mois... Et toi ?

- Je ne compte même plus, dis-je évasivement

Il se lova encore plus entre mes cuisses

- Je dois rentrer chez moi, gémis-je

- Pourquoi ?

- Pour ma changer...

- Cela peut encore attendre, il n'est pas très tard

Il me fit descendre du tabouret, mon cul glissa avec un petit bruit visqueux, j'eu soudain très honte et je rougis

Je terminai allongée sur le lit, Yann dans mon dos qui venait de me pénétrer. La sensation était différente et sentir son poids et sa chaleur sur moi était à la fois rassurant et intime. Contrairement à tout à l'heure, ses mouvements furent plus lents, ce qui était tout aussi bien. Il en profita pour me bécoter le cou et les oreilles, je fus parcouru de frisson, j'étais bien et je me mis rapidement à exprimer mon plaisir.

- Et mince, j'ai oublié les préservatifs à la cuisine

Maintenant que j'y pensais, je le sentais en effet bien en chair au fond de mon vagin.

- Fais attention s'il te plait alors...

- Peut-être que ça ira encore, dit-il

- De quoi ?

Il se retira et je le sentis se relever sur une main, de l'autre il retira son membre de mon vagin et le glissa plus haut, entre mes fesses

- Encore ? Gémis-je à la fois surprise et apeurée, je n'avais pas envie d'avoir mal

- Tu n'en as pas envie ? Me demanda-t-il le gland frétillant déjà sur ma corolle encore gluante

- Je... je n'ai pas l'habitude là. Je ne l'avais fait qu'une fois

- Tu as eu mal tout à l'heure ?

- Un peu au début, on peut faire autrement ? Demandais-je en sentant mon cul s'ouvrir sous la pression

Mon cul fut rempli pas son engin et sûrement à regret pour lui, il se retira laissant mon rectum en paix, avec peut-être un léger sentiment de regret, surtout de ne pas lui plaire. Mais d'un autre côté, j'appréciais énormément qu'il m'écoute.

- Tu veux encore faire des choses ? 

Je réfléchis rapidement

- Pousses toi et... merci !

- De quoi ?

- De me respecter

Il ma caressa pendant que je relevais pour me mettre à genoux. Je pris son sexe dans ma main et me mit à le branler doucement

- Et si... on se donnait chacun du plaisir ?

Ses yeux brillèrent

- Tu penses à quoi ?

- Un 69 ? Proposais-je. 

Je ne l'avais jamais fait, mais j'avais une envie soudaine de mettre cette bite chaude, dure et douce entre mes lèvres.
On se mit tête-bêche, j'avais son membre en gros plan devant mes yeux. Je pouvais le détailler en détail. C'était bien autre-chose que nono, même si je devais le remercier pour ses services. Etre pucelle lors de mon premier rapport aurais-pu rendre les choses difficiles. Alors que là, je faisais comme si j'avais quand même un peu d'expérience. Ses premiers coups de langue me firent frémir, ses doigts commençaient déjà à fureter partout lorsqu'enfin je me décidai à l'engloutir.

La sensation n'était pas désagréable, hormis l'arrière gout de sexe et de gel. Merde, je le suçais alors qu'il venait de me la fourrer dans le cul. Mais sur le moment, je n'en eu cure et comme je l'avais déjà fait avec nono pour "l'éduquer", je fis mon possible pour lui donner un maximum de plaisir. Et ce fut un travail à la fois. Je le suçais, le lapais, lui titillais le gland, le méat, je le branlais vite, puis doucement, je le pompais et entendant ses gémissements et la tension de son corps, je relâchais mes attentions trop excitantes pour titiller la tige du bout de ma langue.

C'était ma première fellation mais j'eu le coup de foudre ! Je crois que j'allais adorer la prendre en bouche, la sentir contre ma langue, la faire glisser entre mes lèvres et, haaaaaaaaaaaaa.

Il venait de m'enfiler deux doigts dans le vagin et tout en aspirant mon bouton qu'il taquinait du bout de la langue, il me baisait facilement tellement je mouillais. Et hoooo..... le petit saligot ! Il n'avait pas oublier sa première intention et investi mon cul avec deux doigts rdirectement. Il me branla ainsi les deux orifices à vive allure, m'empêchant de me concentrer sur la petite gâterie que je lui prodiguais. En échange, je me mis à la branler frénétiquement.

Je n'en pouvais plus, Je me mis à gémir tout en me tendant lorsque la jouissance arriva, je serrai les cuisses, emprisonnant sa main dont 4 de ses doigts étaient encore en moi. Mais je réussi tout de même à le branler encore, je ne sais pas pourquoi je fis cela, mais sentant son plaisir montrer dans son sexe, je l'engloutit aussitôt. Je reçu sa semence directement au fond de la gorge. J'aurai pu faire ma mijoret ou faire semblant d'aimer, mais sentir la puissance du jet, le plaisir que je lui donnais, ce nouveau pouvoir que j'avais entre les mains mais aussi dans ma bouche firent que je refusais pas cette offrande.

Bon, j'avoue, ce n'étais pas le truc le plus super que je fis passer dans mon gosier. Je le retirais enfin de ma bouche pour m'affaler sur le côté, soufflante comme un boeuf.

- J'adore ta bite, souflais-je sincèrement

Il retira ses doigts et vint m'embrasser, juste sur les lèvres, il n'osa pas mettre sa langue dans ma bouche. Mais je l'attrapai aussitôt par la nuque et il fut bien obligé de partager le reste de sa semence avec moi.

- Tu es divine

Je lui souris

- Tiens, si je n'avais jamais fait attention que tu te branlais en me regardant par la fenêtre, tu aurais fait quoi ?

- J'aurai été malheureux, frustré et peut-être que je t'aurai dit bonjour dans la rue qui sait

- Cela n'aurait pas été aussi torride je pense

- Tu penses bien

Je le fixais gravement dans les yeux

- On sort ensemble alors ? Pas que pour le sexe ?

Sa réponse ne se fit pas attendre, il m'embrassa à nouveau et me répondit avec un "oui" tout aussi sincère que mes compliments sur sa bite.

- Au fait, juste une condition

- Ah bon ? Fit-il d'un ton plaintif

- J'ai bien l'impression que tu aimes la sodomie

- C'est hum... un de mes pêchés mignons

Il avait l'air mal à l'aise

- Pas trop souvent alors ? Même avec autre chose que ça, dis-je suppliante en lui flattant son sexe

Il parut déçu mais accepta.

- Mais pas ton calimero, je t'ai déjà tout donné en même pas 24h00

- Tu as raison, avoua-t-il, j'étais trop en manque de tout, de sexe, de relation, d'avoir quelqu'un dans mon lit, de donner et de recevoir...

- Peut-être qu'avec le temps je changerai d'idée

- Je serai un bon professeur

- Je vais prendre une douche, puis me changer, on se retrouve d'ici 1h00 ?

- Je viendrais te chercher chez toi

- Appartement 403

- Je le note

Il m'embrassa encore, puis je partis en quête de mes affaires pour me rhabiller et me préparer chez moi.

****************
J'avais mis une jolie robe, en fait la seule qui me mettait tant soit peu en valeur pour mon premier vrai rendez-vous.

Yann m'attendait devant ma porte au moment où je l'ouvrai pour sortir. Il fut gentleman pour ne pas vouloir entrer dans mon deux pièces miteux.

- Houaaa, tu es aussi jolie toute nue qu'avec cette robe !

Je rougis

- Chut ! Les voisins pourraient entendre ?

- Tu as honte ?

Je réfléchie à peine quelques secondes puis je l'embrassais sur le pas de ma porte. Ce qui me plu tout de suite, c'est qu'il me prit la main ! C'était encore plus intime pour moi que baiser avec lui. Je la lui serrai fortement et il répondit à mon étreinte.

- J'ai encore envie de toi, me murmura-t-il en passant sa main sur mes fesses

- Ah non, pas ici, m'écriais-je un peu trop vivement

- Pas "ici" ou pas "ici", ajouta-t-il en appuyant sur la raie à travers la robe

- Les deux enfin !

J'étais sur un petit nuage ! Mon coeur battait la chamade au fait de ne plus être seule, de tenir la main de quelqu'un, de partager des moments avec lui. C'étaient les soldes, et donc les magasins, même ce dimanche matin, étaient pour beaucoup ouverts. Nous flannions donc sans rien acheter, pour ma part je ne pouvais pas, j'avais déjà du mal à finir les fins de mois. Yann voulu m'offrir un truc, je refusais expliquant que je voulais pas dépendre de lui. A défaut il m'offrit le restaurant. Nous étions en couple, putain de bordel de merde, en couple !!!!

Ses regards appuyés sur mes seins qui tendaient ma robe me mettaient mal à l'aise, j'en avait l'habitude, ce n'était pas le premier, mais je savais à quoi lui pensait, au sexe ! Cela me fit peur, n'étais-je qu'un objet sexuel pour lui ? Seul le temps pourrait le dire. Mais j'avais aussi peur de croire qu'il y aurait un avenir entre-nous. C'était si soudain, si torride ! N'allions-nous pas nous cramer rapidement telle une allumette ?

Nous bavardâmes beaucoup aussi, c'était l'occasion. Je n'osai pas lui poser de questions sur son passif de couple, de peur que lui me demande aussi la liste de mes petits amis. J'en avais eu, juste quelques baisers, mais c'était mon premier au lit. Devais-je lui avouer ?

- Il y a quelque chose qui me turlupine, dis-je alors que nous flânions dans un magasin de chocolats, et là je ne refusais pas un petit cadeau gourmand

- Dis toujours

- Pourquoi es-tu toujours... hum, à poil chez toi ? Ce n'est pas très pratique, si quelque sonne par exemple

- Je ne suis pas toujours "comme ça", nota-t-il pour éviter les mots crus avec le monde qui nous entourai

- C'est l'image que tu m'as montré de toi

- En fait, c'est devenu une habitude le soir où lorsque je suis certain d'être seul. En fait... j'ai pris ce tic suite à... une de mes premières expériences qui, après coup, était un peu malsaine

Je n'osai pas lui demander plus de détails, même si j'en crevais d'envie

- Tu ne veux pas savoir ?

- C'est ta vie privée

Il me sourit en me montrant le panier déjà bien remplit, je hochais la tête et sans m'en rendre compte, car sa remarque me turlupinait, j'ajoutais encore deux articles

- T'inquiètes, je paie, c'est aussi pour cela que je ne dépense pas tout mon salaire en jolie maison

Je rougis, j'aimais le chocolat, peut-être un peu trop

- Je te raconterai une fois dehors

Installés sur un banc dans un petit square pas loin il m'offrit des billes de chocolat divinement bons. Il avait aussi acheter des boissons au Starbuck du coin pour faire passer le tout.

- Tu as du remarquer que je ne suis pas très... classique

- Tu as pourtant tout bien comme il faut

- Non, je parlais au niveau sexe. Oui j'aime regarder, j'aime aussi me montrer, bon bien que de ce côté là, cela dépend des situations.

- J'aurai pu porter plainte tu sais ? 

- Je n'y avais même pas songé en fait, et lorsque tu as répondu à ma proposition de déshabillage, j'étais comme fou !

- J'ai cru voir, répondis-je en me rappelant les jets de spermes sur sa fenêtre

- Lorsque j'étais étudiant en compta, j'ai fait un stage longue durée dans un cabinet de compta. J'ai vit tapé dans l'oeil d'une directrice. Une femme stricte d'une cinquantaine d'année, toujours en tailleur et qui faisait peur à tout le monde. C'était une experte comptable, mais d'un niveau d'excellence comme j'ai rarement vu. J'ai beaucoup appris d'elle, mais pas que pour le boulot.

Je gardais silence.et il reprit.

- Tu sais ce qu'est une maîtresse ?

- Euh, je doute que tu parles d'école... et donc... plutôt SM ?

- Voilà, tu viens de résumer la situation. Je te passe les détails, mais je suis tombé dans ses filets et de fil en aiguille, j'ai fini par coucher avec elle. Enfin plutôt, elle m'a un peu forcé à le faire.

- Tu t'es fait violé ? M'exclamais-je un peu trop fort

- Oui et non, elle s'entrainait vachement, elle avait un beau corps et ses dessous aurait fait craquer un moine. Son petit jeu de menaces et de rentre-dedans ont fait que j'ai finit sous elle alors qu'elle me chevauchait.

- Ah ! Dis-je le rouge aux joues en l'imaginant
 
- Elle savait diviser le travail et le plaisir, ce qui était dur pour un étudiant dont les hormones étaient bien contentes de pouvoir s'épanouir avec une femme d'expérience.

- Tu n'avais pas de petite-amie de ton âge ?

- Je sortais d'une rupture, cela me changeait les idées et je savais bien qu'il n'y avait pas d'avenir avec la dame.

- OK

- Et elle commença alors à ajouter du piment à nos ébats, menottes, cravaches, et quelques autres trucs bénins. Au début j'ai du utiliser cet attirail sur elle, puis ce fut mon tour.

- Aïe ! Fis-je ne pensant à la cravache

- Comme tu dis. Et j'étais au cabinet pour 8 mois, et elle avait un grand appétit sexuel !

- Tu as du souffrir.

- J'ai aussi appris beaucoup de choses pour faire jouir une femme.

Je rougis encore

- J'ai cru voir ça, et c'est là que tu as pris goût au... petit trou ?

- Cela ne t'a pas échappé. C'était une fan de sodomie, donc je devais souvent la contenter elle... puis ses amies.

- Quoi ? Tu as fait ça à plusieurs ?

- Elle formait un petit club avec ses copines de son âge, mais je t'avoue que c'était la plus belle. Je te passe les détails des séances qui sont devenus de plus en SM, avec des chaines, de la cire de bougies et tout ce que tu peux voir dans ce genre de vidéos. Ils n'inventent rien.

- Je n'ose même pas imaginer. Et hum... Je, je ne suis pas adepte de ce genre de trucs, juste pour le dire quoi.

- T'inquiète, j'ai aussi appris à respecter ma partenaire

- Oui j'ai vu ce matin, merci encore, même si, tu n'as pas su résister longtemps

- Cela n'explique pas pourquoi tu te balades toujours à poil

- C'était une de ses règles lorsque j'étais chez elle. Sans compter les tenues dégradantes après coup. 

- Hein ?

- Je ne sais pas si tu veux vraiment tout savoir. Et en effet, autant que tu ne connaisse pas ce monde, j'ai réussi à en sortir, mais j'ai gardé quelques mauvaises pratiques.

- Tu n'as pas de cravache j'espère

- Si, et des menottes aussi !

- Je n'ai rien dit, oublie, j'ai déjà mal rien que d'y penser !

- Et je te passe les autres détails. Ajouta-t-il sans savoir s'il blaguait ou s'il était sérieux.
Soudain je repensais à une vidéo assez extrême que j'avais vu une fois, le mec était attaché à un chevalet et la dîte maîtresse s'était attaché un phallus d'homme et... le mec en avait fait les frais et avec un certain plaisir en plus. Je fixais soudainement Yann, il n'avait pas subit ça quand même ? Je ne pouvais pas lui demander et si je le savais, comment je le verrais ensuite ? Mais après tout, chacun avait son passé, moi je m'étais bien dépucelé toute seule avec un god....

- Une fois elle m'a invité à passer les vacances avec elle, j'ai accepté complètement sous sa coupe. Et nous avons attéri dans un camp de nudistes.

- Hein ? Dis-je, mais elle était malade cette femme

Il se mit à rire

- Ne t'en va pas croire que ce genre de lieux est remplis de nymphettes aux gros seins suppliant de se faire prendre. Si c'était interdit aux moins de 16 ans, il y en avait de tous les âges, des adolescentes presque femmes jusqu'aux vieilles aux seins pendant, idem chez les hommes.

- C'est là que tu as appris à vivre nu ?

- Oui. Si au début c'était terrible, entre honte, envie devant le corps de certaines femmes, jusqu'à en bander, ils comprenaient. Mais ensuite, sentir le vent sur son corps, le soleil sur sa peau, le regard des autres comme si on était habillé, mon point de vue à changé. Certes, il y avait de jolies femmes, et ma maîtresse était l'une d'elle. Mais j'avoue que certaines jeunes femmes ne me laissaient pas indifférents. Mais j'ai du vite apprendre à ne pas les mater ouvertement ni à bander suite à mon voyeurisme poussé.

- Brrrr, ce n'est pas du tout mon genre de truc ça, j'aime dé)à pas mon corps, alors le montrer à tout le monde

- Moi j'adore tes formes

- J'ai cru le comprendre, répondis-je, et ensuite ?

- J'ai continué à coucher avec cette femme si rigide en apparence, si sure d'elle mais qui cachait en fait un coeur meurtri

- Et c'est tout ?

- Hum... Disons que si je matais tout de même les autres femmes mais j'avais appris à être discret, l'inverse c'est produit aussi et j'ai fini par coucher avec une jeune fille de 17 ans qui était loin d'être une sainte.

- Punaise, m'écirais-je, tu as tapé dans tous les râteliers ! C'est presque la maternelle ça ! Dis-je en riant, car lors de son stage, il était moins vieux que maintenant.
Il sourit

- C'était du passé. Cela m'a permis de comprendre aussi que le monde ne tournait pas seulement autour de ma maîtresse.

- Et alors, elle l'a su ?

- Pas tout de suite, mais elle était loin d'être conne, à notre retour ,elle m'a puni comme jamais avec ses copines. Ensuite petit à petit, fatiguée de moi, elle a cessé de me convoiter et de toutes manières mon stage touchait à sa fin.

- Mon pauvre, j'espère que tu n'as pas eu trop mal...

Yann regarda dans le vide, il hésita, se frotta les mains puis déclara.

- Je ne te conseille pas de tenter de fréquenter ce petit monde. Une fois dedans, on aime et on déteste en même temps. On jouit dans le douleur et la honte. On prend sa revanche de manière bestiale et c'est seulement une fois dehors qu'on se rend compte que les gens "normaux" ne font pas tout ça.

- J'ai... déjà regardé quelques vidéos comme ça sur le Net, c'est assez troublant, il y avait des chaînes, ces cages, des instruments, ...

- Et c'est généralement loin de la vérité, mais c'est du passé. Cette période de ma vie a façonné ma perception du sexe. Même si j'ai essayé, j'aurai du mal à vivre une sexualité simple et normale maintenant.

- Tu me fais peur là.

Les images des quelques vidéos que j'avais vu par curiosité revenaient en force à mon esprit, et je mettais Yann à la place des victimes. Je n'avais pas besoin de lui demander pour comprendre qu'il avait vraiment du subir tout ça aussi. Mais je m'abstenais de lui demander.

- Ne t'inquiète pas, contrairement à elles, je ne te forcerai pas à faire ce que tu ne veux pas. Même si ton petit cul est vraiment appétissant.

- Mon gros cul tu veux dire et... J'ai bien compris à quoi tu penses, pervers !

Je me lovais contre lui et il me rendit le câlin. Je le sentais loin de moi à ce moment-là. J'eu une subite réaction, je lui tournais la tête et l'embrassais. Surpris, il répondit au baiser et on resta là sans mot dire un petit moment.

- Pour que je sache à quoi me tenir, à part le voyeurisme, l'exhibitionnisme, le naturisme, quels sont donc ces fameux attraits que tu tentes de retenir ? 

- Je pense que tu as déjà vu beaucoup de mes fantasmes, je n'ai pas retouché au SM depuis cette période, ni à l'amour à plusieurs et encore moins au caudulisme....

Il s'arrêta là mais je sentait qu'il y avait encore autre chose

- Le quoi ? 

- Le fait de tromper sa partenaire

- Cela me rassure, je ne suis pas ce genre de nana non plus

- Et toi, as-tu eu beaucoup de petits amis ?

- Pour être franche... je n'ai jamais eu quelque chose de sérieux. On voulait juste me baiser c'est tout, donc je mettais rapidement les holà.  Mais cela n'a jamais été très loin. Je sais, que pour le moment on a aussi fait que baiser, mais je sais pas, je sent quelque chose de différent... pas toi ?

Je me tournais vers lui espérant quelque chose, quelque chose qui ne me détruirait pas le coeur surtout.

- J'ai plein de défauts tu sais, faudra faire avec car j'ai bien l'impression qu'on sort ensemble, non ?  Ce n'est pas ce qu'on avait dit ?

Je lui souri, une chaleur emplissant mon coeur, puis je l'embrassais.

- Ce n'est pas ce que j'appellerai une approche romantique et prince charmant, mais j'avoue que tu as réussi à me faire crier de bonheur.

- Je te retourne le compliment

A force de vivre avec Yann, il m'inculqua d'avoir confiance en moi, il m'emmena chez un ami coiffeur puis, malgré mes réticences, m'acheta de nouveaux habits et petit à petit, je me transformais comme un papillon sortant de sa chrysalide. J'eu une pleine conscience de mon boulot de merde et je démissionnais avec en prime une plainte pour harcèlement qui alla jusqu'aux prudhomme.

Trois semaines plus tard, nous vivions ensemble. C'était toujours aussi chaud, torride même, j'avais toujours peur de me bruler. Mais tant pis. Yann pouvait être à la fois une bête de sexe et je savais lui en donner autant, qu'un compagnon tendre. Afin de ne pas le frustrer mais aussi pour partager les plaisirs, je lui offrais aussi mon anus une fois par mois. Il ne se priva pas de prendre son temps pour me ramoner jusqu'à asperger mes intestins de son sperme. J'avoue que petits à petits je trouvais cela pas désagréable. Mais ce n'était pas pour autant que j'allais me faire enculer tous les jours.

Il me trouva aussi un autre travail avec ses relations, quelque chose de plus épanouissant. Je voulu faire un régime aussi, mais sans plus grand résultat qu'avant. Mon corps était ainsi fait, j'avais des formes et c'était ainsi. Je m'assumais de plus en plus, même si parfois j'avais toujours un peu de blues qu'on m'ai si souvent rejetés.
Deux mois plus tard, je fini par lui raconter toute ma vie sexuelle, c'est à dire qu'il était bien le premier homme à me faire l'amour. Il ne trouva rien à redire sur le fait que je m'étais dépucelée toute seule, ce n'était pas pire qu'une première fois douloureuse et maladroite avec un autre puceau. Mais quelque part, il était content d'être mon premier.
J'en su aussi plus sur ses conquêtes. Avant sa chef, il avait eu une petite amie durant 2 ans puis la rupture douloureuse qui l'avait conduit entre les mains de cette "maîtresse".

Et ce que j'avais imaginé c'était bien déroulé, plus d'une fois il avait joué le rôle de la "femme", en tablier de soubrette, à obéir à leurs ordres les plus sadiques. J'avais bien compris, sans rentrer dans les détails, qu'elles l'avait sodomisé aussi lors de leur séance de SM. Après cette discussion, je ne revins plus jamais sur le sujet et lui non plus.
Ensuite, outre la lycéenne au camping naturiste, il était resté un bon moment seul à s'en remettre. Et jusqu'à me rencontré, il avait eu quelques relations sans grand avenir.
J'ai appris à vivre à moitié nue avec lui. Par curiosité, presque deux ans après notre rencontre, on a même tenté un camp de naturiste un été. Il était bon professeur et même si au début j'eu du mal à me montrer, au final j'appris à vivre ainsi, toute nue et sans honte parmi les autres. Cette expérience m'appris aussi à m'accepter complètement comme je l'étais, et j'en aimais encore plus mon amoureux.

Bien entendu, il n'était pas le seul homme à apprécier les gros seins et un petit côté de mon esprit coquin fut ravi de voir quelques bites se dresser lorsqu'on m'espionnait à la dérobée.. Cela flattait mon égo et je me traitais de conne de m'être ainsi autant dévaloriser les années précédentes. Finalement, on se pacsa un an plus tard.

Et nono dans toute cette histoire ? Ne vous inquiétez pas, je ne l'ai pas trop longtemps laissé dans son tiroir. Il se pourrait qu'à certains moments de nos ébats, j'entourais les hanches de Yann avec un tablier et que je passe derrière lui... Que voulez-vous, il m'a appris tellement de choses, qu'un jour j'ai voulu tester. Et c'est assez excitant de le voir gémir à son tour alors que d'une main je le branle vigoureusement pendant que de l'autre, nono y va gaiement dans son cul.

Les années passées nous ont appris à ne plus et pas avoir de secrets l'un pour l'autre et nous explorons nos envies avec passion et excitation. Et si on n'aime pas, ce qui est vraiment rare, je n'ai pas aimé la cravache par exemple et on n'ira pas plus loin dans cette voie, et bien on teste autre chose. Nous sommes encore jeune, surtout moi, c'est le moment d'en profiter avant que l'envie d'un bébé n'arrive. Car je sais qu'un jour, je finirais pas y penser.

Aujourd'hui, cela fera 5 ans que je suis passé de mon appartement au sien. Contre toutes attentes, nous restons fidèles, l'idée de l'échangisme nous a traversé l'esprit, mais d'un commun accord, on a trop peur que cela ruine notre relation et notre complicité. Et puis nono à de nouveaux amis qui s'accumulent dans un tiroir secret. Cela nous suffit pour varier les plaisirs.

De plus, contrairement au début, le sexe n'a plus une place aussi prédominante dans notre couple. On se fait vieux comme dirait l'autre et c'est tout aussi bien, surtout que cela fait 2 semaines que j'aurai du avoir mes règles...

FIN

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