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Carine, rousse adultère (1ère partie)

Carine a la trentaine. Elle est rousse. Elle est mariée. Mais depuis un moment, la flamme s'est éteinte entre elle et son mari. Privilégiant son travail et négligeant Carine, ça a fait que la jeune femme s'est petit à petit sentie oubliée, délaisseé. Elle a décidé de rencontrer un autre homme...

Proposée le 20/11/2023 par Mysteriotic

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


Cette jolie femme rousse, elle s'appelle Carine. On en mangerait... Je la regarde dans les yeux, je lui caresse les cheveux. Ses yeux bleus m'hypnotisent et ils sont clairs comme l'eau des lagons de l'Océan Pacifique. S'ils étaient liquides, je m'y noierais. Carine a le sourire. Ses yeux bleu océan brillent. Bon d'accord... Nous venons de coucher ensemble et elle a trompé son mari. Elle me dit que si nous sommes dans cette chambre d'hôtel, que si nous avons décidé d'organiser ce rencard, ce que nous en avions envie, aussi bien elle que moi. La chambre sent à présent la transpiration et le sexe. Le sexe a été... bon, avec Carine. J'ai un faible pour les rousses. C'est simple : je suis incapable de leur résister. J'aime faire l'amour avec elles.





Carine et moi, nous nous sommes rencontrés sur Internet. C'était sur un site de rencontres libertines. Frustrée par son mariage et insatisfaite en matière de sexe, elle a décidé de se créer un jardin secret et de donner naissance à des fantasmes. Ça a été ainsi qu'elle a commencé à se mettre à l'écoute de ses envies les plus délicieuses et de ses désirs les plus inavouables. Son mari étant focalisé sur sa vie professionnelle et ayant tendance à négliger son épouse... Leurs rapports sexuels en pâtissent et sont sporadiques, avec le temps. Ils manquent d'originalité et ça laisse Carine sur sa faim. Missionnaire, fellation, en quelques minutes... Affamée de sexe et de plaisir, elle a commencé à songer à se trouver un amant, que ce soit pour un one-shot ou bien pour une relation suivie... et discrète. Cependant, elle a longtemps réprimé cet écart de conduite car même si son mari ne comble pas son appétit sexuel, elle l'aime. Le désir trop intense et la libido en ébullition, Carine a fini par céder à la tentation... et elle vient de sauter le pas avec moi ce soir.





Carine m'émeut. Elle m'a parlé de son mari qui est obnubilé par son travail et qui est fatigué. Il ne la touche plus. Les larmes aux yeux, elle m'a confié que la chaleur ainsi que la présence d'un homme lui manquaient. Ça a été ainsi qu'elle a cédé à la tentation et qu'elle a fini par mouler ses lèvres sur les miennes, lorsque nous sommes entrés dans la chambre d'hôtel.

Cette jolie rousse, on en mangerait... La parole l'a libérée et ça a été ainsi qu'elle s'est donnée et même abandonnée à moi, Carine.







En arrivant dans la chambre d'hôtel qui nous a été attribuée, Carine m'a demandé si elle pouvait se rendre dans la salle de bain. Bien sûr qu'elle le pouvait ! Je voulais qu'elle se sente le mieux possible. Je me doutais que ce n'était pas facile du tout pour elle. Mariée mais délaissée, voilà qu'elle était à présent en compagnie d'un inconnu dans une chambre d'hôtel et qu'elle s'engageait sur une pente savonneuse. Tout devait bien se passer, entre nous. Il fallait que ce soit un agréable moment, pour elle.

Pendant que Carine prenait du temps pour elle, j'ai laissé mes yeux parcourir cette chambre d'hôtel. Je voulais m'y sentir bien, le temps de cette aventure. Pour le moment, tout se passait dans le meilleur des mondes. Carine était belle. Carine me plaisait. C'était le saut de l'ange qu'elle s'apprêtait de réaliser. J'étais administratif de son courage d'aller jusqu'au bout de sa démarche. Il fallait mettre Carine dans des conditions optimales. Il fallait la mettre en confiance.

Je n'ai pas eu de temps pour tergiverser. Carine est sortie de la salle de bain. Ses longs cheveux roux qu'elle a laissé lâchés... Ses jolis yeux bleus... Elle portait une robe de chambre rouge, nouée et qui dévoilait rien de son corps. Elle s'est approchée du lit, sur la pointe des pieds. Elle m'a timidement souri.

J'ai tapoté un petit peu sur la couette, pour l'inviter à me rejoindre. En guise de réponse, Carine a passé l'une de ses mains dans ses cheveux et elle s'est mise à ramper telle une féline jusqu'à moi. J'avais une érection prononcée. Mieux! Je l'ai sentie devenir de plus en plus raide, avec le temps qui s'écoulait. Elle se gorgeait de sang, tant Carine me faisait de l'effet. C'était elle qui me mettait dans cet état. Carine. Pas une autre mais Carine. Je voulais qu'elle le voit, cet état dans lequel j'étais. Qu'elle se rende compte qu'elle était en train de faire bander un autre homme que son mari. Ni une, ni deux, je le lui ai montrée. La vue l'a fascinée. Un peu comme quand on salive devant une alléchante viennoiserie dans une boulangerie/pâtisserie, Carine n'a pas quitté mon sexe des yeux. Je lui ai souri et j'ai pris mon membre bien en main. J'ai effectué un mouvement de va-et-vient, avec.







J'ai fait attention à ne pas quitter Carine des yeux. Elle était émoustillée par ce qu'il se passait. Ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. Mais dans le même temps, à travers son langage corporel, à travers son comportement, je voyais qu'elle se posait des questions. Elle avait le cul entre deux chaises, si on pouvait dire les choses comme telles. Elle aimait son mari. Mais, elle se sentait délaissée. Oui, elle était amoureuse de lui comme au premier jour. Mais non, sa sécheresse sexuelle était telle qu'elle avait pris la décision de partir à la recherche d'un amant. Le moins que je puisse dire, c'est que cette impression s'est révélée juste lorsque Carine a posé sa main pour la première fois sur mon sexe. Je l'ai laissée faire. C'était son libre-arbitre qui s'exprimait. J'ai regardé Carine. Carine m'a regardé. L'expression de ses yeux m'a une nouvelle fois ému. J'ai compris que ce qu'il se passait entre nous, c'était fort. Elle ne prenait pas ça du tout à la légère. Elle a bien eu, même, un éclair de lucidité qui lui a brièvement fait reprendre conscience qu'elle touchait une autre queue que celle de son homme. Ça a été un bref moment où elle a retiré sa poigne de mon érection. Elle m'a regardé. Je l'ai regardée. Carine a fini cependant par redéposer ses yeux sur mon pénis.







Carine me touchait. Sa candeur la mettait à nu. Une belle femme comme elle, on en mangerait... De sa propre initiative, elle a posé de nouveau sa main sur ma verge et elle s'est remise à l'empoigner. La voilà qui effectuait un mouvement de va-et-vient. Soudain, elle a de nouveau relâché l'étreinte de son poing. Elle a légèrement reculé sur le lit, comme si elle s'éloignait de moi. Je me suis remis à empoigner mon sexe et je me suis un petit peu masturbé tout en contemplant Carine. J'avais les yeux plongés dans les siens. Carine a remué les lèvres. Elle a dit que c'était impossible, qu'elle ne pouvait pas faire ça. Si son éducation et sa morale maintenaient ses chaînes, son corps et l'appel de la chair disaient quelque chose qui en était à des années-lumière.







Les yeux dans les yeux, Carine a pourtant repris mon sexe dans sa main. La voix muée par l'émotion, elle a approché son visage et elle a entrouvert les lèvres. De là, elle a tiré la langue et elle a commencé à lécher timidement mon membre. Cette femme, on en mangerait... J'avais envie d'elle.

Je me noyais dans son regard si bleu. J'écoutais ce qu'elle me disait. Elle se confiait. Elle me disait que son homme ne la touchait plus, que c'était quelque chose qui lui manquait. Elle me disait que le travail de son mari occupait une bonne grosse partie de son temps et qu'il ne pensait qu'à ça.

J'ai regardé Carine mais je ne disais rien. Ce qu'elle me confiait m'émouvait. Mais d'un autre côté, ça me faisait mal. Cette femme, on en mangerait... D'une voix douce, limite inaudible, elle m'a dit qu'elle ne devait pas, que ce n'était pas bien. Elle a fini par dire qu'elle mourait d'envie qu'un homme la touche. Elle brûlait d'envie qu'un homme lui dise et lui montre qu'elle était et restait désirable. Elle crevait d'envie qu'un homme lui fasse l'amour.







Carine s'est mise à de nouveau baisser la tête et déposer un petit plus de salive sur mon gland décalotté. L'instant d'après, elle a empoigné mon érection et l'a branlée. Le Rubicon était franchi, la glace était rompue. Carine se dévergondait. Carine se libérait.

Carine prenait confiance. J'avais les yeux rivés sur elle. Ma partenaire avait les yeux rivés sur moi. Sa main se branlait, et c'était... bon. Dire que ce n'était que sa main... C'était beaucoup, déjà. Je dirais même qu'elle y prenait goût, petit à petit. Cette belle rousse, on en mangerait... Elle a déposé encore un peu de salive sur ma queue. Elle s'est remise à me branler. Je lui ai souri. Je lui ai parlé. Je l'ai encouragée.







Carine m'a regardé, comme si elle recherchait mon approbation. J'ai hoché la tête. J'ai continué de lui sourire. Je voulais la laisser me montrer ce qu'elle savait faire, avec un homme. Je voulais voir ce que ça lui faisait, comme effet, d'être avec moi dans cette chambre d'hôtel. En ce qui m'a concerné, elle m'a fait de l'effet, Carine. C'était certain. La clarté particulière ses yeux bleus m'a troublé autant qu'elle m'a hypnotisé. Lorsque nous ne nous parlions pas, les regards qu'on a échangé étaient tout aussi expressifs. C'était troublant. Mais voilà. J'ai aimé ces moments. Et je voulais continuer de faire en sorte que Carine se lâche en ma compagnie.

Cette jolie femme, on en mangerait... Sa main ne lâchait plus mon érection, désormais. Mieux! Carine se libérait et voilà que sa bouche me donnait du plaisir, elle aussi. Carine me parlait. Elle me disait qu'elle se sentait désirée, quand je la regardais faire. Ça l'a particulièrement touchée que je ne la quitte pas des yeux. Elle me disait que dans le même temps, ce n'était pas approprié, comme moment, étant donné qu'elle est mariée. Rencontrer un inconnu et accepter un rendez-vous avec lui dans un hôtel, ça a été plus fort que la raison pour elle. Carine a arrête momentanément de masturber et de lécher mon pénis. Elle a eu un mouvement de recul. Elle s'est éloignée légèrement de moi. Pas pour longtemps du tout...





Elle a dénoué la ceinture de sa robe de chambre. Ce que j'ai vu alors a fait que j'ai été sur le cul...

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