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Les vampires ont le sang chaud 4

Léo voit sa vie prend un tournant des plus heureux. Il va pouvoir se marier avec l'amour de sa vie. Les vampires qui entour sa promise, ne sont plus que secondaire dans son idylle, seul l'amour compte vraiment.

Proposée le 7/11/2023 par cerisemoche

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Merci à trav37 corrige mon histoire pour vous la rendre plus agréable à lire, les commentaires sont motivants, bonne lecture.


Après qu'on ait roulé dans le foin de la bergerie, j'avais invité Mandana à rentrer dans la maison de mes parents. J'avais eu peur que mon père, George, chasseur invétéré, arrive à percer à jour sa nature, comme je l'avais fait. Mandana avait prévu le coup en s'affublant de lunettes de vue, cela atténuait grandement son regard de prédatrice en lui donnant un air un peu coquin. Elle se présenta comme la cousine de Taraneh, je ne savais pas quel mensonge elle allait inventer pour expliquer sa visite improvisée à quasi vingt-deux heures du soir. Mandana dit la vérité, elle avait été mandatée par sa famille pour faire la connaissance de la mienne, et si les deux parties étaient d'accord, d'organiser prochainement l'union de leurs enfants.

À la fin des vacances, je quittais mon Cantal natal plus heureux de jamais, ce que j'attendais depuis des mois allait se concrétiser. Mes parents et Mandana avaient discuté jusqu'à tard dans la nuit. Catherine, ma mère, avait émis des réserves, tant pour mon âge que pour mon manque de moyens. Mon père vint à mon secours : dans le pire des cas, je pourrais toujours revenir ici avec ma femme, ce n'était pas le travail qui manquait.

Taraneh m’attendait à la gare de Toulouse Matabiau. Au milieu des allées et venues des voyageurs, elle me fit un grand sourire. Puis comme dans les films à l'eau de rose, on se rejoignit en courant pour s’étreindre en pleurant de joie. Pour nos cœurs, les quinze jours de séparation avaient été des années. À la nouvelle de nos fiançailles, les amis de Taraneh me firent la fête. Je commençais à apprécier ces Toulousains aisés, qui ne se formalisaient pas de mon statut de campagnard. Il en alla tout autrement de mes camarades d'université. La belle et le clochard, le surnom dont on avait affublé notre couple, n'était qu'un prémices à la haine qu'ils me vouaient. Je voulais bien croire que d'autres hommes soient aussi tombés amoureux de Taraneh, que la nouvelle de nos fiançailles ai brisé leur espoir, mais de là à me menacer de mort...

Ce fut d'abord dans les toilettes de l'université que je découvrais des graffitis menaçants et injurieux. Puis des appels anonymes à pas d'heure suivirent, je filtrais ce ou ces harceleurs. Un matin, je trouvais un tag sur la porte de mon studio : "tu vas crever". Côtoyer des vampires rendait ces menaces risibles, par contre ça me faisait chier de nettoyer leurs conneries. N’ayant jamais été victime de harcèlement, je fis le dos rond, me disant que la tempête allait finir par passer, je me trompais lourdement.



À l'approche des partiels, ne pouvant plus réviser avec Taraneh tant nos pulsions étaient fortes, je me contentais en fin de journée de la raccompagner chez elle. Après un fugace baiser, je prenais le chemin de mon studio. Dans une rue peu fréquentée et mal éclairée qui donnait sur mon immeuble, je vis un mouvement à la périphérie de ma vision avant qu'une terrible douleur irradia ma cuisse droite. Je m’écroulais sur le trottoir en hurlant. Me retournant sur le dos, je vis un maghrébin d'une vingtaine d'année me menaçant d'un deuxième coup de matraque télescopique. Par pur reflex, de ma jambe indemne je lui donnais un coup dans le tibia, ce qui le fit reculer en crachant une insulte. Il était plutôt costaux et enrobé, je ne l'avais jamais vu de ma vie. Je me relevais avec les mains en défense. Allant pour demander des explications, il ne me laissa pas en placer une. La matraque frôla mon cuir chevelu. Perdant l'équilibre, je tombais sur les fesses. Ma douleur à la jambe était telle que je me demandais si elle n'était pas cassée. Sous la menace, je rampais entre deux voitures stationnées avant de me relever pour le garder à distance de mes poings. À des bruits de pas, mon agresseur tourna son regard sur sa droite. Je croyais que des passants couraient à ma rescousse, je vis un autre maghrébin et un noir arriver. Je frémis en découvrant que le deuxième maghrébin, un jeune homme vêtu d'un survête Adidas, était armé d'un couteau. Il sourit à ma réaction d’effroi.


— Je vais t'arranger le portrait. Attrapez ce fils de pute !


Cerné entre les deux voitures, je donnais coups de poing et coups de pieds aux deux qui cherchaient à me déloger. Je reçus un coup de matraque sur l'avant-bras, mais cette fois sous l'effet de l'adrénaline, je sentais à peine la douleur, je lui rendais la pareille en lui écrasant mon poing sur son nez. C'est à ce moment que le noir dans mon dos réussi à me prendre le cou. À moitié étranglé, je me débattais comme un fou furieux en donnant des coups de pied à celui armé de la matraque. Le visage en sang, il finit par lâcher son arme pour me ceinturer les jambes, soulevé je fut extirpé de mon refuge et ramené sur le trottoir.


— Arrête de gigoter ! Me hurla le noir.

— Ce fils de pute m'a cassé une dent, éructa celui qui me tenait les jambes.

— J'ai la pince, répondit le maghrébin armé du couteau. Tu t'occuperas de ses dents.


Je hurlais en me débattant avec l’énergie de désespoir. Ils allaient me mettre en charpie, je le sentais. On fut tous surpris par des applaudissements. Je découvrais Viyanah assise sur le toit d'une des voitures qui m'avait abrité. Des six vampires, c'est elle qui était le plus proche de mon âge. Avec ses modestes formes et son visage angélique dégagé par deux tresses qui courait sur les côtés du crâne pour s'unir derrière la nuque, Viyanah ressemblait à une poupée de porcelaine. À cela près, qu'elle avait la peau mat foncé, ses yeux marron n'en sortaient que plus intense. Elle était vêtue d'une courte robe à col montant et à manches longues couvertes de sequins argentés. Chaussée de bottines à lacets, elle les balançait contre la vitre passagère.


— Continuez, nous dit-elle avec un grand sourire. J'adore regarder des petites merdes se regrouper pour attaquer un homme par surprise.


Celui au couteau, la mine mauvaise, fit les trois pas qui le séparait de la vampire.


— Qu'est-ce que tu veux salope ?! Qu'on te fasse tourner dans une cave, hein !?!


De sa main libre, il agrippa la robe au niveau du ventre en vue de faire tomber Viyanah de son perchoir, un hurlement strident suivit. J'avais les yeux grands ouverts, pourtant comme deux images à la suite quasi-identique, seul le bras du maghrébin avait changer d'angle, à 45° à l’envers. Il bondit comme un beau diable en hurlant de plus belle, ses deux copains me lâchèrent, ils restaient hébétés par la scène. Des fenêtres s'ouvrirent, des habitants sortaient le bout de leurs nez, un bon samaritain gueula pour demander s'il fallait appeler une ambulance.


— Viens, ne restons pas là, me dit Viyanah.


Ne se préoccupant pas des deux autres agresseurs qui restaient sur la défensive en percevant un danger sans pouvoir y mettre un nom, Viyanah m'aida à retourner clopin-clopant à mon studio.
Allongé sur mon lit, j'avais mal partout, ma cuisse m'irradiait de douleur.

— Je devrais aller à l'hôpital, dis-je à Viyanah.

— Tu n'as rien de grave.

— Je crois que j'ai la jambe cassée.

— Le fémur est l'os le plus solide du corps humain, on ne le casse pas si facilement.

— J'ai vraiment trop mal, il faut que je passe une radio.



Viyanah tira mon jean à mes chevilles malgré mes grimaces et mes mains qui tentaient de l'en empêcher. Ma cuisse avait pris du volume. Tuméfiée, je pouvais voir la marque de la matraque. Ce fils de pute ne m'avait pas loupé, j'étais sûr que l'os était touché. Je pensais que Viyanah voulait m’ausculter, mais elle plaqua une main sur ma bouche et l'autre sur mon muscle meurtri. Je croyais avoir atteint le pique de douleur. À ses petits doigts qui s'enfoncèrent à la limite de déchirer ma peau, j'eus le cerveau vrillé par une douleur encore jamais atteinte.


— Léo, ne mets jamais en doute notre parole, me dit-elle d'une voix pleine de fureur. Ne va jamais en à l'encontre de nos décisions. Jamais !


Haletant en me tortillant dans mon lit, à un cheveu de l’évanouissement, la vision troublée par mes larmes, je suffoquais sous une pression implacable. Une fois libéré de ce qui avait dû duré moins d'une minute, je me tournais sur le flanc pour me recroqueviller sur ma fulgurante douleur. Mes trois agresseurs m'avaient fait peur, Viyanah malgré son apparence était bien pire.


— Tu as compris ?

— J'ai compris, j'ai compris, soufflais-je.

— Tu dois toujours nous informer de tout problème, de toute anomalie ou de tout fait étrange que tu rencontres. Comme par exemple les menaces que tu reçois depuis ton retour de vacances. Tu croyais que les mots ne sont que du vent ? Visiblement, celui qui te les as écrit n'est pas de cet avis.

— C'est lui qui est derrière mon agression ?

— Oui, c'est certain, à moins que tu nous ais caché autre chose.

— Non, bien sûr que non. Je ne connaissais aucun des trois mecs. Vous m'espionnez ?

— Ta porte d'entrée empeste le white-spirit et, bien qu'effacé, le message reste lisible à nos yeux.



Quand la douleur reflua assez, je me redressais pour m’asseoir sur le bord du lit. Après avoir fermé les volets, Viyanah se posa devant moi, elle me faisait peur mais, comme celui qui avait essayé de la faire tomber, il était difficile de ne pas y voir une frêle jeune fille à peine sortie de l'adolescence. Je n'avais pas du tout apprécié sa punition, je n'étais pas un enfant et quand bien même. Au prix d'un immense effort, je me remettais sur mes jambes pour la dominer d'une tête et de trente kilos de plus.


— Viyanah, puis-je au moins prendre de l'arnica gel dans la salle d'eau, ou faut-il que j'en réfère d'abord au conseil des vampires ?!


Je frissonnais à ses mains qui se posèrent sur mon torse par-dessus mon pull en laine naturel. Viyanah leva ses yeux perçants, sa mine sévère ne me dit rien qui vaille.


— Tu penses que j'ai été injuste avec toi ? Tu ne peux même pas imaginer ce que je t'aurais infligé si Taraneh avait été impliquée. Tes agresseurs auraient très bien pu vous attraper tous les deux sur le chemin qui longe la Garonne. Qu'auraient-ils fait à Taraneh après t'avoir fait mordre la poussière ?


D'un geste sec, Viyanah déchira mon pull, tee-shirt et boxer. Nu, le cœur au bord des lèvres, je me figeais à ses mains qui retrouvèrent mon torse. Elle lut ma réponse sur mon visage, je ne pouvais pas imaginer pire chose pour une femme. Viyanah reprit d'une voix plus douce.


— Il faut que tu comprennes Léo que désormais tous tes choix vont impacter ma famille, notre famille. N'hésite jamais à nous demander de l'aide, nous serons toujours là pour toi.


Se levant sur la pointes des pieds, Viyanah glissa ses bras derrière mon cou. Malgré le mal qu'elle m'avait fait, je ne résistais pas rejoindre ses lèvres entre-ouvertes. Je posais mes mains sur sa taille en rejoignant sa langue. J'étais perclus de douleur, le plaisir s'y mêla comme un serpent. Serrant ce corps chaud et tonique contre moi, tant pour me soutenir que pour le plaisir, j'embrassais Viyanah avec une passion dévorante.

J'avais remarqué que la peur me rendait plus sensible à l'amour. Après mes vives émotions, je ne voulais qu'exulter. Sa robe à sequins argentée était de trop, je la soulevais. Viyanah leva les bras avant de les recroiser dans mon cou et de retrouver mes lèvres. Couverte d'un body blanc qui, à la taille, partait en pétales brodés jusqu'aux seins, je m'emparais avec rudesse de ses petites fesses rebondies. Elle expira son bonheur en appuyant ostensiblement son bas-ventre contre ma queue dressée. Très vite, je passais sous le tissu, Viyanah leva la croupe pour me laisser glisser une main contre sa chatte. Je ne sais pas si c'est la douleur qu'elle m'avait infligé, mais elle était déjà en feu. Poisseuse de cyprine, je n'eus aucune difficulté à lui enfoncer deux doigts. Rompant le baiser, cette vampire redevenait une femme à combler, toujours pendu à mon cou, elle étouffa ses gémissements sur mon torse.


— Léo, va un peu moins vite, voilà, c'est bon, continue, tu me fais du bien.


Sa petite voix, teintée d'accent, me guidait. Je sentis sous mes doigts plusieurs contractions vaginales. N'y tenant plus, je l'agrippais par les fesses pour d'un mouvement la basculer dans mon lit. En missionnaire, je trouvais sa bouche, sa langue. Je fis tomber ses bretelles avant de tirer sans douceur sur son body, Viyanah m'y aida en levant les fesses. Nus, l'un sur l'autre, elle prit soin de me fermer ses cuisses, je poussais une expiration d’agacement. Elle vint alors m'empoigner ma queue, je poussais une expiration d'encouragement. On resta un moment à se donner du plaisir, ma cuisse me lançait tout comme mon avant-bras, mais ce n'était pas cher payé. Sentir Viyanah sous mon corps se dodeliner en soupirant, était un vrai baume. Il m'arrivait d'avoir peur de l'écraser de mon poids, avant de me rappeler que l'habit ne fait pas le moine. Je le constatais très, vite. D'un mouvement de corps, Viyanah me retourna sous elle, passant à cheval, elle se redressa avec un sourire extatique aux lèvres.


— Viyanah, vous voulez bien me sucer la bite ?

— Je ne conçois pas qu'un homme me domine de la sorte, tu ne veux pas plutôt me lécher la chatte ?

— Non, moi non plus je ne conçois pas d'une vampire me domine de la sorte, répondis-je agacé.

— Vraiment ?


Avec de l'amusement dans le regard, Viyanah avança doucement sur moi. Calant ses genoux entre ma tête, j'avais une vue imprenable de sa vulve glabre. Les grandes lèvres sombres s'ouvraient sur les petites qui viraient au rose chair vers l'intérieur. Luisante de cyprine, son odeur ajouta encore de me troubler. Une boule de chaleur me compressa le torse, j'avais une envie folle de dresser le cou pour passer ma langue contre cette fente qui secouait toute les particules de mon corps. Sans me quitter des yeux Viyanah, se caressa les seins en ondulant, ne voulant pas céder, j'empoignais ma queue. Je reçus pour la peine une tape assez forte pour ne plus recommencer. Je reportais ma frustration sur son corps, elle me laissa lui caresser les fesses, remonter sur ses flancs pour venir chasser ses mains. Sous mes paumes, je sentis ses éminences dures, je les énervais des pouces en malaxant les seins. Viyanah soupira avec régularité en me couvant d'un ardent regard.

Je ne pus résister bien longtemps à cette fleur luisante de nectar, levant la tête, je passais ma langue contre la fente aussi douce que brûlante.


— C'est bon Léo, continue.


J'emplis ma bouche de nectar en passant et repassant la langue contre la vulve, fermant les yeux Viyanah donna de la voix. Ses mains rejoignirent les miennes sur sa poitrine, j'oubliais peu à peu ma frustration pour me concentrer sur son plaisir. S'arquant, elle n'était jamais aussi belle qu'en exsudant. Amorçant, un mouvant de bassin je n'eus qu'à laisser ma langue sur ma lèvre inférieure, Viyanah s'y frotta avec fureur.


— Ne bouge pas, me dit-elle me serrant les mains. Tu vas me faire jouir, oh oui, c'est bon Léo, c'est bon.


Poussant un énième soupir Viyanah se figea pour laisser l'orgasme la traverser. Rouvrant les paupières, je lus dans ses yeux une autre envie tout aussi implacable.


— Viyanah, avant de vous abreuver de mon sang, vous ne voulez pas me faire la même chose ?


En un battement de cils, elle s'était agenouillée entre mes jambes. Me levant sur les coudes en grimaçant sous la douleur que ça éveillait, j’espérais avoir été assez clair. Je lui lançais un regard suppliant, elle me répondit d'un sourire malicieux. Courant ses mains sur mon ventre, elle se pencha sur mon sexe tendu à l'extrême. Je retenais mon souffle à ses lèvres qui se pressèrent sur le manche. Remontant lentement sur mon gland sans me lâcher des yeux Viyanah darda sa langue sur la jointure.


— S'il vous plaît, soufflais-je.


Me redressant la queue à la vertical, Viyanah ouvrir sa bouche sur mon gland, sa langue roula dessous. Malgré tout mes efforts, je me sentais déjà à la frontière de la jouissance. Ne pouvant passer à côté des spasmes qui secouait ma queue, Viyanah posa une main sur ma cuisse meurtrie. Je poussais un cri à la douleur qui vint comme s'équilibrer avec le plaisir. M'accrochant aux draps tant je voulais que Viyanah continue, je ne quittais pas ses yeux envoûtants. Sous sa douce succion, je poussais de petites plaintes à chaque expiration. J'étais trempé de sueur, je m'enfonçais toujours un peu plus dans le plaisir mêlé à la douleur. Puis sans crier gare, mon gland toujours dans sa bouche, Viyanah enfonça ses canines dans mon manche. Je retombais sur le dos. L'apaisement psychique qui en découla était aussi physique, les multiples douleurs s’estompèrent. Fermant les yeux, je laissais Viyanah me sucer dans tous les sens du terme, le plaisir surnaturel grandit à chaque nouvelle gorgée.


— Continuez Viyanah, prenez moi plus de sang.


Je ne m'appartenais plus, dans un état second, faisant fi du danger, du lendemain. Je voulais me donner corps et âme à cette vampire. Viyanah recommença à rouler sa langue sous mon gland, cela eut raison de moi. Poussant un énième râle, une terrible lame de fond monta en moi. Atteignant le point de non-retour, elle s'écrasa en inondant de bonheur chaque particule de mon corps. Ma queue palpita violemment, Viyanah avala chaque jet de sperme en me dévorant des yeux.

Je me remis sur les coudes pour la remercier d'un grand sourire, avant de retomber exsangue. Elle vint se blottir contre moi, je ne savais pas si les vampires pouvaient dormir la nuit. Rassuré par cette présence, moi, c'est ce que je fis.

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