Histoire Erotique

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Pour l'amour de son prochain 5

Les trois couples parti en Afrique faire de l'humanitaire pour une tribu première, se retrouvent embarqué dans une cérémonie assez étrange. Pour être considéré comme des femmes, les autochtones doivent éprouver des hommes. La tribu demande l'aide des trois Européens pour jouer ce rôle.

Proposée le 12/10/2023 par cerisemoche

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Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


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Sous les multiples cris de la faune diurne qui à l'aurore reprenaient la main mise sur la jungle gabonaise, je suivais Jacques vers le camp. Après tout ce que j'avais fait, j'aurais préféré me cacher dans un trou plutôt que de croiser Françoise et Katharina. J'avais beau me dire que je réagissais comme tous ces mecs intolérants, ceux qui ne voyaient qu'une forme de relation sexuelle, ça ne changeait rien à la honte qui me submergeait. J'avais sucé un homme, avalé son foutre, je me sentais vraiment sale. Heureusement, Jacques restait égal à lui-même, taciturne. Seul son regard avait quelque peu changé, plus amical.
À côté de la grande hutte et du petit cabinet médical, des femmes de la tribu s'activaient autour de la naissance d'un feu. D'autres cuisinaient les restes de la chasse de la veille. Rien ne se perdait, la nourriture était quasi sacrée pour des hommes des bois. Sur la berge, des mères lavaient leurs enfants, les blocs de savons de Marseille que mes amis et moi avions rapporté de France étaient ce qui avait le plus plu aux femmes. De l'eau à mi-cuisses, Anna et Maria étaient parmi elles, s’occupant de laver un petit garçon et une petite fille. Je les saluais de la main sans oser m'approcher pour leur faire la bise, Françoise avait-elle gardé le secret de notre nuit ? Je ne tenais pas à le savoir. Pierre et Jean arrivèrent au camp peu après. J'en avais gros sur la patate, mes deux meilleurs amis m'avaient cachés tant de choses depuis notre arrivée. On était pourtant comme des frères: quand l'un avait un problème, il en parlait toujours aux autres. À de nombreux carnavals, on s'était déguisé en mousquetaires, bien que ce soit des promesses d'enfants, je croyais toujours en notre devise: Un pour tous, tous pour un. D'un autre côté, je ne pouvais pas leur en vouloir, comment avouer qu'on s'était soumis à une jeune fille de la tribu, qu'on avait demandé à être dressé comme un animal et tout cela devant ses petites amies respectives. Moi-même, je m'étais soumis entièrement à Katharina, j'étais allé jusqu'à supplier Françoise de sucer Jacques, plus jamais on ne m'y reprendrait. Jean, aussi grand que myope, avait troqué ses lentilles de contact, trop délicates dans cette jungle, pour de grosses lunettes que je ne lui avais plus vu depuis le début du lycée. Quand j'évoquais l'épreuve de la tribu, même altéré par les verres, je lus dans ses yeux une terrible gêne. Pierre, lui, regardait dans le lointain en rougissant jusqu'aux oreilles. Il était temps de percer l'abcès.  

On marchait tous les trois un moment le long de la berge d'un bras du fleuve Congo, puis trouvant une souche à moitié immergée, on s'assit dessus. Pierre qui le premier avait accepté de se faire dresser pour devenir un momocou avoua toute la vérité. Comme Françoise avec moi, Anna avait testé sa fidélité, Pierre était malheureusement tombé dans le piège. Sans rentrer dans les détails Pierre me raconta qu'Anna l'avait surprise avec Liazou en très mauvaise posture. À cet instant, il ne savait pas quoi faire pour sauver son couple, Liazou avait proposé à Anna de le dresser, d'en faire un chien fidèle. Pierre ne pouvait qu'accepter son châtiment. Au son de sa voix, je devinais que le châtiment, comme lui-même avait nommé son dressage, ne lui était pas insupportable, bien au contraire. Depuis, quelques nuits par semaine, Liazou toujours accompagnée d'Anna, venait lui donner des leçons.

À son tour Jean nous raconta tout. Lui n'était pas tombé dans le piège tendu par Bantanda. C'est Maria qui un jour lui avait parlé longuement des problèmes des jeunes filles. La guerre avait emporté les garçons de leur génération, sans eux, elles ne pouvaient pas jouer leur rôle lors de la cérémonie initiatique qui ferait d'elles des femmes à part entière. Un jour ou l'autre, elles risquaient en cas de disette d'être chassées de la tribu. Jean, la main sur le cœur, avait donc accepté de jouer le rôle du garçon qui veut devenir un homme. Néanmoins, il ne voulait pas être dressé. Maria usa alors d'une arme que je ne lui connaissais pas, la tentation. Jean ajouta non sans maints détours, que Maria, malgré son apparence de fille sage, lui proposa de la regarder prendre et donner du plaisir avec Bantanda. De fil en aiguille après plusieurs nuits Jean avait fini par craquer, pour pouvoir participer, il avait dû implorer Bantanda de le dresser pour devenir un bon momocou.

Je leur avouais à mon tour mettre soumis à Katharina, mais moi par amour. Pierre en rit, Jean toussota. On se sentit soulagés d'avoir enfin pu tout se dire comme avant, on était les meilleurs amis du monde et on le resterait. Après les rires, Pierre passa aux larmes, des semaines à nous cacher la vérité de peur d'être jugé l'avaient éprouvé. Bien qu'aucun de nous n'avait évoqué les hommes de la tribu, on avait tous deviné qu'ils faisaient partie intégrante de notre dressage. On avait beau être très à gauche, pour la tolérance, pour l'ouverture aux autres, pour le multiculturalisme, pour le féminisme et tant d'autres choses qui font la beauté de l'humanité. On avait quand même gardé quelques résidus du modèle patriarcal qui voyait les hommes seulement hétéros. On parla ensuite de la cérémonie initiatique de la tribu. On comprenait parfaitement que l'aspirant à devenir un homme devait le démontrer en restant dans un cercle. C'était bien une épreuve de volonté comme me l'avait dit Françoise. Pour la tribu, un homme devait résister à ses pulsions, ce qui pour nos sociétés modernes pouvait être la définition de ce qu'était un adulte. Une fois l'épreuve initiatique réussie, prendre femme et fonder une famille étaient là encore universels. Jean compara cela avec la bar-mitzvah du peuple juif. Ce qu'on avait plus de mal à comprendre, c'est le rôle donné à l'aspirant qui échouait. On avait tous eu des versions similaires de la part de nos dresseuses. Ça semblait s'axer sur la loi de la tribu qui limitait à un le nombre d'enfant par couple. Les momocous servaient en quelque sorte de moyen de contraception. Ni Jean, ni Pierre, ni moi n'avions besoin d'un dessin pour comprendre ce rôle avec les hommes de la tribu. On avait beau avoir milité pour faire venir une association LGBT dans notre lycée pour sensibiliser les hétéros sur les problèmes rencontrés par les homos. Encore une fois, au fond de nous restait des résidus du modèle patriarcal qui nous empêchait de se pencher sur ce moyen naturel pour limiter la natalité. Heureusement, rien n'était obligatoire, un momocou pouvait refuser toutes les avances des hommes. Je l'avais moi-même constaté avec Jacques, j'eus des sueurs froides rien que d'y repenser. Attaché à sa merci, je n'aurais pas été en mesure de le repousser. Par contre nous ne comprenions pas le rôle du momocou avec les femmes de la tribu. Surtout qu'un momocou, nous apprit Pierre, restait jour et nuit avec les femmes. Dans ces conditions, nous ne voyions pas comment il pouvait servir d'exutoire aux pulsions féminines sans risquer de les engrosser. Pierre et Jean spéculèrent que la tribu avait dû fouiller dans nos affaires: on avait ramené un nombre conséquent de préservatifs. Depuis, nous avions été informé des lois très restrictives en matière de rapport sexuel, et plus étonnant encore est que la tribu ne connaissait pas les maladies vénériennes. En plein milieu de l'Afrique, c'était un miracle, d'un autre côté, la tribu n'avait quasi aucun contact avec les peuples sédentaires qui bordaient la jungle congolaise. Pierre ne cachait pas son envie de devenir un momocou, il nous raconta avoir déjà fait jouir trois femmes de la tribu, Anna l'encourageait à chaque fois. Même si Pierre regrettait de ne pas pouvoir baiser, il se rattraperait une fois revenu en France. C'était une expérience à vivre une fois dans sa vie, avait-il conclu avec un grand sourire.

On rit un moment avant de reprendre notre conversation sur le rite initiatique. Jean et moi étions plus sérieux que Pierre, la cérémonie était sacrée pour la tribu, le rôle de momocou aussi. Nous ne voulions en aucun cas passer pour des blancs arrogants qui passeraient l'épreuve rien que pour pouvoir tripoter toutes les femmes de la tribu. Cet ignoble comportement de conquérant n'avait que trop meurtri l'Afrique. En tant que citoyen d'un ancien pays colonial, on se devait de montrer tout notre respect à ce peuple et à ses coutumes. Pierre nous rassura en nous promettant de faire tout son possible pour réussir l'épreuve, motivé en cela qu'il pourrait de nouveau baiser Anna. Les jours suivants aucun de nous ne reçu de visite nocturne. Pierre s'en plaignait, Jean était déçu et moi, j'en étais malade. Voir chaque jour Katharina sans pouvoir ne serait-ce que lui tenir la main m'était insupportable. D'autant plus insupportable qu'on était à la moitié des vacances, j'avais déjà le cœur lourd de devoir la quitter. Pour ajouter à notre frustration Françoise, Anna et Maria ne nous donnaient plus que des baisers fugaces avant de nous envoyer à nos tâches quotidiennes.

Améliorer le niveau de vie de la tribu nous était toujours aussi plaisant et nous faisait oublier nos petits nombrils. Jean, à force d’essais, avait réussi à construire un piège à poissons et à crustacés qui résistait au courant du fleuve. Lestée d'une pierre, sa caisse avait capturé un gros poisson à la dentition impressionnante. Quand la clarté de l'eau le permettait, les hommes péchaient avec des harpons maisons, une méthode qui demandait une patience infinie et beaucoup d'adresse. Avec la méthode de Pierre, la tribu pourrait immerger les caisses le matin, vaquer à leur occupation toute la journée et le soir venu sortir les caisses de l'eau. J'immortalisais l'événement d'une photo, Jean tenant le poisson fièrement au-dessus de sa tête, toutes les femmes de la tribu l'entourant. Seins nus avec leurs bandes de tissus de couleurs chaudes cintrées aux hanches, elles étaient euphoriques. La nourriture, à leurs yeux, brillait comme de l'or et Jean venait de trouver une pépite d'une dizaine de kilos.

Pierre continuait à instruire la tribu sur les dangers possibles pendant la migration vers l'Europe. Il me fit part qu'aucun des membres ne semblait vraiment vouloir partir. On avait rejoint l'ONG de Katharina en partie pour empêcher des drames, que ce soit en Méditerranée ou dans les pays instables. Katharina nous expliqua que les hommes ne migraient qu'en cas de disette, que cela arrivait tout les cinq ou dix ans. Ils se souviendraient des conseils de Pierre et les transmettraient à leurs enfants. De mon côté, j'avais fini de remplir mon carnet étanche de croquis et d'instructions, chaque mort évitable qui avait touché la tribu ces dernières années avait maintenant une contre-mesure. Quand Anna donnait ses cours de Français aux enfants, je donnais des cours de secourisme aux mamans. Françoise et Maria m'assistant de temps en temps. À ces occasions, je pouvais souffler à Françoise mon envie de la voir, une nuit prochaine. Elle ne disait ni oui ni non pour me laisser chaque nuit dans l'incertitude.

Un matin comme les autres, quand la chaleur commençait à se faire sentir, tout comme les insectes suceurs de sang, que des milliers d'oiseaux chantaient, que des singes leur répondaient, que les derniers hommes de la tribu se soient enfoncés dans la jungle pour chasser et cueillir, Liazou, une autochtone qui compensait sa petite taille par une autorité de tyran, me fit signe de la rejoindre. De toutes, c'est bien celle que je ne pouvais pas blairer. Liazou était entourée de toute sa bande de jeunes filles à la coiffure militaire identique, signe distinctif de leur disposition à trouver un homme et fonder une famille. Il y avait aussi Maria, Anna, Françoise et Katharina. Jean et Pierre furent aussi appelés, on se retrouva un peu plus d'une quinzaine près de fleuve à deux cents mètres du camp. Elles formaient un demi-arc de cercle autour de nous trois, je remarquais que noires et blanches étaient mélangées. Je savais que Françoise s'était faite des amies, mais à la voir souffler quelques mots à l'oreille d'une dénommée Amirou qui poussa un gloussement, je compris qu'une vraie complicité les liait. Je pris aussi conscience que, de notre côté, Pierre, Jean et moi en plus d'un mois dans la tribu, nous n'avions jamais vraiment sympathisé avec les hommes. Il est vrai qu'eux, pendant une bonne partie de la journée, chassaient et cueillaient dans la jungle. Néanmoins à leur retour, sans être froids, ils avaient toujours gardé une réserve. Nous avaient-ils vus dès notre arrivée comme des momocous ? Justement, Liazou qui parlait dans sa langue aux autres jeunes filles utilisa le terme plus d'une fois.

— Liazou, l’interpellais-je. Si tu nous as fait venir pour un jeu débile, on s'en va.
— Eric, ta maîtresse, ne t'a pas encore appris à ne pas parler sans permission ?
— Si tu me cherches, tu vas me trouver.

Katharina se détacha du demi-cercle. Sous son chapeau de brousse, ses longs cheveux de feux ondulaient librement. Une partie contournait sa généreuse poitrine emprisonnée dans une chemise blanche passée dans un short de la même couleur. Elle sentait la crème solaire indispensable à toute rousse sous les tropiques, ses yeux verts croisèrent les miens.

— Eric, tu es toujours d'accord pour que je fasse de toi un bon momocou ?

À la lumière du jour, devant mes amis et toutes les jeunes filles, je rougis jusqu'aux oreilles. Tout le monde savait de quoi il retournait, j'en fus mortifié. Katharina passa une main sur ma joue pour me redresser la tête. Le contact de cette femme que je désirais autant que Françoise me rempli de joie.

— Puis-je encore t’appeler mon garçon ?
— Oui, soufflais-je. Oui, madame.
— Tant que tu n'as pas passé le rituel de la tribu, tu devras toujours demander la permission de parler à une femme. Maintenant, excuse toi auprès de Liazou.

J'allais sur mes dix neuf ans, mais je me sentais retourné en enfance. Je me tournais vers Liazou qui ne cachait pas sa satisfaction, debout au centre du demi-cercle, mains sur ses hanches, sa frêle poitrine exposée fièrement. Je l'aurais bien baffée.

— Je m'excuse de t'avoir parlé sans permission.

Liazou recommença à discuter dans sa langue, Katharina répondit en souriant. Elles parlaient de moi, j'en aurais mis ma main à couper. Liazou repassa au Français.

— Écoutez-moi bien tous les trois, désormais, nous n'accepterons plus vos écarts comme l'a fait Eric à l'instant. Vous allez devoir vous comporter comme des garçons qui ont accepté d'être dressé pour devenir de bons momocous.

Pierre et Jean sur ma droite, je les regardais en espérant une indignation. Liazou avait quand même employé le terme dressé avec une telle morgue. Mise à part Jean qui ajusta ses lunettes, ni l'un ni l'autre ne bronchait. Liazou passa dans sa langue, quelques jeunes filles lui répondirent en cœur puis elle revint sur nous trois.

— On veut vous voir nu, Pierre montre l'exemple.
— Mais enfin...
— Mon petit chien à peur que ses copains découvrent à quel point je t'ai déjà bien dressé ?
— Ne lui parle pas comme ça, intervins-je.
— C'est bon Eric, ce n'est pas méchant. Liazou ne sait même pas ce qu'est un chien, puis c'est leur tradition.

Je restais stupéfait que Pierre la défende, encore plus de le voir passer son tee-shirt par-dessus tête. Batanda donna le même ordre à Jean et Katharina à moi. Encore une fois, j'attendais une réaction de mes amis, Pierre fit tomber son short, Jean déboutonna sa chemise. En quelques minutes, ils étaient tout deux nus, se cachant les parties face aux regards de jeunes filles turbulentes. Françoise détaillait Jean sans la moindre pudeur, je me retins de lui faire une remarque. Il ne restait que moi, hésitant à partir, à rester, à me plaindre. Ça n'avait beau être que des jeunes filles, je sentais une pression s'exercer, il émanait d'elles une menace que je ne m'expliquais pas. Ne tenant pas à en avoir le cœur net, je passais mon tee-shirt par-dessus tête en me disant que ce n'était pas la peur, mais leurs coutumes qui me faisaient obtempérer. Sous de nombreux commentaires qui m'échappaient, je finis par faire tomber mon caleçon, pour être à mon tour nu.
— Met toi à genoux, dit Liazou à Pierre. Mains derrière le dos.

Bantanda et Katharina nous donnèrent le même ordre à Jean et moi. Du coin de l’œil, je fus décontenancé de découvrir que Pierre bandait comme un âne et que Jean avait déjà une demi-molle. Moi, j'étais trop énervé par l’attitude de Liazou, elle devait peser quarante kilos toute mouillée. J'avais une furieusement envie de lui faire perdre son sourire suffisant. Je m'agenouillais seulement pour faire plaisir à Katharina. Je voulais, j'espérais qu'elle me demande à un moment ou un autre de la suivre dans un endroit isolé. La crique par exemple.

Liazou tournait autour de nous en discutant, certaines jeunes filles lui répondaient, d'autres riaient et gloussaient. Moi, je restais sur les beaux yeux verts, Katharina avait beau avoir une dizaine d'années de plus que les jeunes filles, elle n'en demeura pas moins joueuse. Elle rit aux mots que Farra lui glissait à l'oreille, puis me fit un clin d’œil. Je ne comprenais pas la langue, mais je devinais que ça ne devait pas être bien éloigné des discussions entre mecs sur les filles. Jean, Pierre et moi fûment attachés les mains dans le dos. Là, il n'y avait plus de marche arrière possible, ce sont mes deux amis si dociles qui m'avaient entraîné à tendre mes mains à Katharina. Beaucoup de jeunes filles nous touchèrent les cheveux en piaffant leurs joies de nous voir à leur merci. Liazou se mit bien en face de moi, elle avait un visage commun, ni belle, ni moche. Un nez épaté plutôt long, des lèvres épaisses dont l’intérieur virait au rose. Ses yeux noirs, qui n'étaient pas sans rappeler ceux de Jacques, durs et froids, me détaillaient. Je ne savais pas pourquoi Liazou m'avait prise en grippe, mais c'était réciproque. Je la détestais. Néanmoins, ses petits seins sous mon nez firent monter d'un cran ma température. Elle passa sa main sur ma joue, son autre main glissa sous la bande de tissu jaune qui lui cintrait ses hanches de garçon. Je frémis en voyant surgir un rasoir à barbe qu'elle déplia pour faire étinceler une lame effilée. Je serais tombé sur le dos si une jeune fille derrière moi ne m'avait pas retenu. Ma réaction en fit rire plus d'une.

— On vous aime doux et soumit, me dit Liazou. Tu es le dernier à encore mimer les hommes.

Liazou parlait de mes poils. Je le compris en constatant que Pierre et Jean n'étaient pas que rasés de près. Où que je regarde, ils étaient imberbes, des jambes aux bras, du torse au pubis. Plus un poil en vue. Je revins sur la lame effilée. S'accroupissant devant moi, Liazou la fit glisser sous ma gorge avec un sourire mauvais. Le cœur au bord des lèvres, je tirais sur mes liens, Katharina vint s'agenouiller dans mon dos en glissant ses mains sur mon torse.

— Du calme mon garçon, personne ne va te faire de mal. Laisse Liazou te défaire de cet attribut qui n'appartient qu'aux hommes.
— Madame vous ne pouvez pas me raser, répondis-je inquiet.
— Je peux te mettre la crème si tu supplies comme un bon momocou.

J'étais sûr que Liazou se ferait un plaisir de me raser à sec, aussi malgré la présence de mes amis, je cédais aussitôt.

— Je vous en supplie madame, mettez moi de la crème à raser.

Déliamou donna le blaireau et le pot de crème à Katharina. Toujours dans mon dos, celle-ci fit exactement ce que j'aurais fait avec les mains libres. Elle enduisit le blaireau de crème avant de me le passer doucement sur mon visage. Son souffle chaud derrière une oreille, Katharina prenait son temps. C'était un massage qui me calmait. Entouré de jeunes filles, dont Françoise, je ne voyais pas tout, mais Jean et Pierre subissaient pareil soin, allait-on nous raser ainsi tous les jours ? Dos contre un voluptueux corps dont je pouvais, à travers un fin tissu, sentir les tétons contre mes omoplates, mon excitation ne pouvait que monter. Dans la nuit, seul avec Jacques, Françoise et Katharina, je pouvais à peine m'assumer, en plein jour entouré de mes amis et d'une dizaine de jeunes filles, il était hors de question que je me laisse aller à bander.

— À moi de jouer, me dit Liazou.

J’espérais qu'entre ses mains mon excitation meure dans l’œuf. Liazou vint passer ses genoux de part et d'autre de mon bassin pour s’asseoir sur mes cuisses. Je savais qu'aucune autochtone ne portait de culotte, sous la bande de tissu, il y avait son intimité aussi nue que la mienne. Elle me tira la tête en arrière sans douceur avant de poser l'acier acéré sur ma gorge, malgré ce danger une bouffée de chaleur m’envahis.

— Je vais te dresser comme j'ai dressé ton ami, me dit-elle en faisant glisser le rasoir sur ma peau.
Je n'osais répondre que seul Katharina avait ce droit, tant pour la lame qui remontait sur mon menton que pour Françoise debout à me regarder. Sans parler de mes amis à portée d'oreille. Liazou prit aussi son temps, passant et repassant lentement le rasoir sur les lignes de ma mâchoire. La peur était toujours présente néanmoins. Liazou restait une jeune fille à peine vêtue, la chaleur de ses fesses appuyées contre mes cuisses, sa frêle poitrine qui de temps à autres venait frôler mon torse ainsi que ses lèvres mi-souriantes finirent par me troubler. Katharina dans mon dos acheva de me perdre, ses mains se baladèrent sur mes flancs, sa bouche trouva mon épaule à baiser.

Sous les rayons des tropiques, je commençais à avoir chaud et malgré tout mes efforts, je durcis. Liazou, à gestes sûrs, me rasait la moustache quand mon épaisse et longue queue se soulevant du sol pour toucher sa vulve glabre. Le contact m'électrifia. Je ne savais plus où me mettre, sûr que vu la taille, elle devait dépasser des petites fesses de Liazou. Debout autour de nous, Françoise, Déliamou et Amirou m'observaient avec grand intérêt, pire encore Maria se retourna pour me regarder à son tour. Ma queue qui prit rapidement tout son volume, Déliamou et Amirou échangèrent quelques mots, Maria acquiesça en souriant. De son côté, Françoise ne semblait pas jalouse bien au contraire, sous son tee-shirt, la pointe de ses mamelons se fit plus nette. Me tirant la tête en arrière, Liazou capta mes yeux, d'un mouvement de bassin, elle appuya sa vulve contre la base de ma queue.

— Eric, tu seras le plus demandé des momocous, les femmes des six autres tribus vont nous apporter beaucoup de cadeaux rien que pour t'avoir une nuit.
— Je réussirai le rituel, je serai un homme et il te faudra alors me respecter.

Déliamou et Amirou rirent de bon cœur à mes prétentions, Maria et Françoise toussotèrent, ce qui me vexa. J'aurais bien demandé à Françoise ce qu'il y avait de drôle, mais Liazou reprit de sa voix acide.

— Il n'y a jamais eu aucun étranger qui ait réussi l'épreuve de notre tribu. C'est bien pour cela que nous donnons naissance à des hommes pendant que vos femmes donnent naissance à des momocous.

Katharina quitta mon dos, d'une simple pression de son rasoir Liazou me poussa à m'allonger sur le dos. À cheval sur moi, elle se redressa, fière de sa pique. Je cherchai à lui répondre, mais rien ne me venait. Nu, attaché les mains dans le dos, bandant comme un âne, à deux pas de mes amis, j'étais mort de honte. À force de vouloir respecter leurs us et coutumes, j'en avais oublié les nôtres. Maintenant, il était trop tard pour m'en offusquer.
Debout autour de moi Françoise, Amirou, Maria, Déliamou et Katharina me dominaient tant par la taille que par le regard. Je n'avais même jamais vu Françoise arborer ce regard sûr et dominateur. Elle avait tant changée en un peu plus d'un mois dans cette tribu. D'autres jeunes filles entourant Pierre et Jean jetaient de temps à autre des coups d’œils par-dessus leurs épaules. Discutant dans sa langue, Liazou passa nonchalamment ses doigts sur mon torse, elle devait être déçu que je ne sois pas très velu, seuls quelques poils avaient percé autour de mes tétons.

— Mon chéri, tu veux que je te mette de la crème ? me demanda Françoise.
— Oui.
— Alors supplie, n'aie pas honte. Jean et Pierre doivent faire la même chose.
— Je t'en supplie mets moi de la crème, murmurais-je.

Tout sourire, Françoise s'agenouilla à mon flanc gauche, elle touilla le blaireau dans le pot de crème avant de venir me chatouiller le torse. Le travail accompli, elle se pencha sur mes lèvres pour réclamer son salaire, nos langues se joignirent avec tendresse pendant que Liazou passait son rasoir sur mes pectoraux. Sans le brouhaha des jeunes filles ainsi que quelques suppliques de Jean et Pierre, j'aurai pu me croire seul avec Françoise. Les yeux clos, je poussais ma langue dans sa bouche. Elle embrassait mieux sans doute grâce aux leçons de Déliamou.

Je sentis le blaireau passer sur mon ventre, une main se refermer sur ma queue pour la redresser. Mes poils pubiens furent enduits de crème à raser, puis mes couilles. Françoise continua à jouer sa langue contre la mienne, faisant monter un désir qui me désinhibait crescendo.
On m'écarta les jambes, je poussais une plainte par principe, mais déjà nu sous les rayons mordant du soleil, je n'avais plus rien à cacher. Se décrochant de mes lèvres, Françoise me laissa voir qui était à la main-d’œuvre. Je fus décontenancé de découvrir agenouillée à mon flanc droit Maria, qui du bout des doigts me maintenait la queue à la vertical. Je fus époustouflé de découvrir Liazou agenouillée entre mes jambes, sa bouche si près de mon gland. Debout, au-dessus de ma tête Anna s'était glissée entre Katharina et Amirou. Elle n'avait plus son haut, ses seins blancs luisaient comme ceux des autochtones. Leurs regards étaient bien évidemment braqués sur mon épaisse et longue queue. Si une lueur de désir ne brillait pas au fond de leurs yeux, j'aurais pu me sentir comme un animal de foire. Je revins sur Maria, rouge comme une pivoine elle haletait comme si elle tenait un serpent.

— Purée Maria, tu fous quoi sérieux?!
— Jean m'a donné son consentement.
— Quoi ?!

Je me tournais vers Jean à moins d'un mètre. À travers les mollets de jeunes filles qui l'entouraient, je le vis étendu sur le ventre. Un pied me cachait son visage, mais il m'avait entendu et me répondit aussi gêné que je l'étais.

— Maria était intriguée par la taille de ta bite, ça ne me pose pas de problème. Toucher n'est pas tromper, rajouta-t-il nerveusement.

Liazou me fit revenir à beaucoup plus grave: si j'avais eu peur qu'elle me coupe le visage, je fus tétanisé quand elle posa la lame du rasoir sur mon pubis. Nos yeux se croisèrent, un sourire sadique se dessina sur ses épaisses lèvres. Liazou me tenait littéralement par les couilles.

— Eric, tu es content de perdre ces poils qui faisaient de toi un imposteur.

Je n'avais pas besoin de dessin, Liazou parlait de mon statut d'homme dans la tribu. Je ne pouvais pas disserter sur ce terme qui n'avait pas le même sens chez moi. La lame effilée tenue par cette petite garce pouvait tout obtenir de moi.

— Oui, je suis content.
— Content de devenir un vrai momocou.
— Oui, je suis content de devenir un vrai momocou.

J'aurais tout aussi bien pu lui dire que la terre était plate, Liazou passa et repassa le rasoir sur mon pubis avant de reprendre de sa voix vénéneuse.

— Tu sais que les momocous perdent à jamais leur droit à se multiplier ?
— Oui, je le sais, mais comme je te l'ai dit, je réussirai l'épreuve.
— Tu n'as pas envie de rester toutes les nuits avec les femmes ?
— Non, enfin pas pour être traité ainsi.
— Ton corps n'a pas l'air de s'en plaindre.

Je ne pouvais que lui donner raison, j'étais en nage et pour cause. Agenouillée entre mes jambes, Liazou était si près de ma queue que je pouvais sentir son souffle sur mon gland à moitié décalotté. Elle avait beau me raser avec une lame effilée, me tancer en affichant un sourire moqueur, cette petite garce commençait vrai à m'exciter et ce n'était pas la seule. D'un côté de mon flanc, Maria me tenait la queue en la regardant avec une telle intensité. Françoise, de l'autre côté, une main posé sur mon cœur n'avait rien à lui envier avec ses joues rougies et son souffle court. Katharina, Amirou et Anna qui me surplombaient, elles aussi m'excitaient avec leurs regards brillants et leurs messes basses. J'avais envie de toutes les baiser, le puceau que j'étais ne doutant de rien.

Liazou en fini avec mon pubis, je frémissais à ses doigts qui vinrent s'emparer de mes couilles. Bien plus délicat à raser, je retenais mon souffle quand la lame passa doucement sur mon scrotum. Maria continuait à tenir ma queue à la vertical.  À cause de Jean, j'aurais dû lui dire qu'il n'y avait plus d'utilité à la maintenir ainsi, mais ses fins doigts, agrippés à mon manche, me plaisaient déjà trop. Maria avait beau avoir dix-huit ans passés, elle gardait les traits d'une poupée de porcelaine. Aussi petite et frêle que Liazou, on lui aurait donné le bon-dieu sans confession. Maria s'était tant penchée sur mon sexe que ses longs cheveux noirs, défaits me chatouillaient la hanche. Son désir était si criant que je sentais qu'il ne faudrait pas grand-chose pour lui faire franchir le pas.

— Eric n'y pense même pas, me dit Liazou. Aucune de nous ne te sucera jamais la queue, seuls les hommes ont le droit à ce privilège. Les momocous peuvent par contre nous lécher longuement la chatte. Tu as envie de me lécher ?
— Non ! Et je n'ai pas non plus envie de me faire sucer, mentis-je effrontément.

D'un geste sec du poignet Liazou fit gicler au sol crème et poils de son rasoir, se levant elle passa ses pieds de chaque côté de mon ventre. Sous sa courte bande de tissu qui cintrait ses hanches étroites, je pouvais quasi tout voir. Mon cœur bondit à la fente glabre dont deux petites lèvres noires dépassaient à peine des grandes, sa vulve était gonflée de plaisir et luisante de cyprine dont un filet coulait le long d'une cuisse. J'étais flatté de l'exciter autant. On ne s'aimait pas, mais nos pulsions étaient aux diapasons. Sans me quitter des yeux,Liazou défit son seul vêtement. Du pied elle vint me tapoter la joue.

— Eric, tu peux encore faire semblant d'être un homme, ça nous amuse beaucoup. Mais encore une fois, ton corps te trahi, tu meurs d'envie d'être un bon momocou, d'être soumis aux femmes de la tribu, de combler tous nos caprices. Tu vas finir par supplier pour me lécher la chatte, comme l'ont déjà fait tes deux copains.

Liazou se tourna dos à moi, doucement, elle vint s'agenouiller entre ma tête. Sous la lumière éclatante du jour, je pouvais voir tous les détailles de son anus et de sa vulve. Les petites lèvres noires viraient au rose chair vers l'intérieur de la fente. Je distinguais un petit renflement au sommet qui ne pouvait être que son clitoris, je me demandais s'il était noir ou rose. Je détournais la tête tant l'odeur entêtante ne me donnait qu'une envie: redresser le cou et tendre la langue. Je n'étais pas un momocou, j'allais lui démonter qu'il y avait aussi des hommes étrangers à sa tribu. À ma surprise, Françoise d'un côté et Maria de l'autre glissèrent leurs mains sous mes fesses et mes jambes pour les soulever. Je me retrouvais plié en deux les jambes pendantes de chaque côté du tronc de Liazou, le fessier face au soleil. La position était d'une rare obscénité, le bout de ma queue touchait presque mon menton. La lame du rasoir qui glissa sur une fesse me fit comprendre que Liazou comptait raser tous mes poils. Le nez sous son sexe, je n'arrivais pas à trouver la force de m'en plaindre, puis attaché et entouré de jeunes filles turbulentes, je n'aurais rien pu faire. Tout en passant et repassant le rasoir sur les pourtours de mon anus Liazou discutait dans sa langue avec Katharina, Déliamou et Amirou. Les autres jeunes filles autour de Jean et Pierre étaient aussi très bavardes, dans ce brouhaha qui me faisait penser un peu à l'Italien chantant, je me laissais aller au soin. Perdant mes dernières appréhensions, je laissais Liazou glisser le rasoir le long de la raie de mes fesses. Je regardais avec envie sa vulve luisante. Une petite voix intérieure me soufflait qu'après avoir supplié Françoise de sucer Jacques, je pouvais supplier pour lécher cette petite garce. Maria et Anna me retenaient, je n'oubliais pas que dans un mois, on serrait tous de retour chez nous en France. On fréquentait les mêmes amis, Dieu sait ce qui allait être révélé de nos vacances humanitaires.

Je ne senti plus le rasoir. À la place, deux mains glissaient sur la peau lisse, un liquide coula sur mes fesses, quelques gouttes tombèrent sur mon torse. Marron clair,une agréable odeur s'en dégageait. Ce devait être une sorte d'après-rasage maison. J'étais toujours plié en deux, Françoise et Maria agenouillées de part et d'autre laissèrent une main sous mes genoux pour me garder dans cette position. Entre mes cuisses grandes ouvertes, Liazou commença à malaxer mon fessier exposé au soleil. Il commençait à faire vraiment chaud. Heureusement, non loin d'un bras du fleuve Congo, une légère brise nous en rapportait sa fraîcheur. Les doigts agiles de Liazou me faisaient du bien, elle malaxait mes muscles fessiers, poussait sur mes cuisses avant de revenir, je la remerciais intérieurement de ne pas toucher mon anus. Sa fente luisante de cyprine sous mon nez, je m'imaginais cent fois passer ma langue dessus pour lui rendre l'appareil. Supplie, me soufflait encore et encore une petite voix intérieure sans honneur ni fierté.

— Liazou, murmurais-je. Je t'en supplie laisse moi te lécher la chatte.
— Supplie ta femme de t'accorder cette récompense.

La tête coincée entre les cuisses de Liazou me sauvait au moins de faire face à ma petite amie pour lui demander l’impensable. Et ce devant ses deux amies.

— Françoise, je t'en supplie permets moi de lécher Liazou.
— Tu veux devenir un momocou alors ?
— Non, mais en attendant de passer l'épreuve, je veux bien me comporter comme tel.
— Supplie encore en utilisant mon surnom.
— Et que tes amis t'entende, rajouta Liazou.

Pour compléter mon humiliation, toutes les jeunes filles se turent, je n'entendais plus que la faune de la jungle, les bruits du fleuve et ma respiration rapide. J'étais trop excité pour pouvoir faire machine arrière, de toute façon tout le monde devait déjà savoir ce qui s'était passé entre Jacques et moi. Alors perdu pour perdu.

— Mon amour, je t'en supplie permet moi de lécher Liazou.
— Ce qu'on a vécu avec Jacques et Katharina, je veux qu'on le revive avec les femmes de la tribu. Tu veux bien être dans ton rôle de garçon à dresser pour devenir un bon momocou?

Françoise me proposait enfin ce qu'Anna avait proposé à Pierre voilà des semaines. Pierre m'avait assez longuement raconté ses caresses à trois pour me rendre envieux. Derrière les petites fesses de Liazou, je croisais les yeux verts de Katharina qui me surplombait, mon cœur s’accéléra en l'imaginant avec Françoise et moi. Quel homme aurait pu refuser.

— D'accord, jusqu'à l'épreuve, je resterai dans mon rôle de garçon à dresser pour devenir un bon momocou.
— Tu as compris que chaque femme de la tribu à le droit de te dresser, même Liazou. Tu devrais lui obéir comme à nous toutes jusqu'à ce que tu ais passé l'épreuve.
— Oui, c'est d'accord.
— Dis-lui alors, dis lui que tu acceptes qu'elle te dresse pour devenir un bon momocou.
— Supplie, reprit Liazou. Supplie que je te dresse à faire de toi un bon momocou.
— Je réussirai l'épreuve, dis-je pour sauver la face.

Mais déjà, je comprenais que Pierre s'était enthousiasmé à l'idée de devenir un momocou. Allongé sur le dos, plié en deux, les mains attachées dans le dos, à la merci de jeunes filles libidineuses était curieusement reposant. J'avais l'impression de quitter un rôle inconfortable qui m'avait habité des années durant. Je n'avais plus de question à me poser continuellement, suis-je encore trop machiste, pas assez à l'écoute, dois-je agir comme cela et mille autres pensées inextricables. Être progressif pour un homme blanc, c'était comme marcher sur des œufs continuellement, épuisant au possible, je m'en rendais compte à présent.

— Supplie Eric, me relança Liazou. Supplie-moi de te dresser pour être un bon momocou.
— Je t'en supplie Liazou, dresse-moi à être un bon momocou.
— Encore !

Sous les rires joyeux des jeunes filles surexcitées, je continuais à supplier Liazou de me dresser. Je n'avais pas à me forcer, asservi tant à elle qu'à toutes les autres était grisant. À travers les jambes qui sautillaient, j’aperçus Jean toujours sur le ventre à moins d'un mètre, il parut soulagé de ma décision. Je ne voyais pas Pierre derrière lui, mais il devait partager le même sentiment. Amis depuis toujours, on était enfin tous dans le même bateau.

— Petit chien de Françoise, tu as bien mérité de me lécher.

Mes fesses exposées à toutes, je n'allai pas m'offusquer de cette insulte, je redressai le cou pour venir poser ma langue sur la fente de Liazou. Je poussais un soupir à cette douceur chaude et visqueuse qui secouait toutes les particules de mon corps. Le cœur à tout rompre, je passais ma langue entre les lèvres intimes en emplissant ma bouche d'un nectar enivrant. Liazou baissa ses fesses pour me permettre de reposer ma tête, je n'avais qu'à jouer de ma langue. Je poussais d'autres expirations de bonheur en découvrant les replis de cette vulve qui s'ouvrait comme une fleur noire sur un intense rose. Liazou me parut encore plus serrée que Françoise. J'en avais oublié qu'elle aussi était vierge. Ne voulant que l'entendre gémir, à chaque coup de langue, je m'enfonçais davantage dans son vagin.

Liazou lâcha un premier gémissement en plantant ses doigts dans mon fessier, puis amorçant un léger mouvement de bassin elle expira son plaisir avec régularité.

— C'est bien petit chien de Françoise, tu n'es pas aussi mauvais que je l'avais imaginé.

Liazou était comme assise sur mon visage, ma position était aussi inconfortable que ses commentaires néanmoins, je continuais de passer ma langue contre sa vulve qui m’obsédait tant. Mon côté progressif me disait que c'était mal d'utiliser une femme comme un objet, mes pulsions s'en contre fichaient. Je laissais ses dernières prendre le pas. Que Liazou me donne du chien tant que je pouvais jouir de son corps, je m'en foutais. Elle était douce, elle sentait bon, et même son côté garce commençait à me plaire.

Agenouillées de part et d'autre, Maria et Françoise, me retenaient toujours les jambes passées de chaque côté du buste de Liazou. Je ne savais pas si c'était l'une d'elles, mais une main avait rejoint celles de Liazou sur mes fesses. C'était déroutant de se faire caresser sans savoir qui ça pouvait être. Le nez écrasé sur l'anus qu'une jeune fille haletante, je continuai à la lécher avec fougue. Liazou ne se contentait pas de se cramponner à mes fesses, elle les écartait. La main inconnue s'aventura sur mes couilles, une autre vint poser ses doigts sur mon anus. Ce n'était ni Françoise, ni Maria, mais une autre qui était placée en face de Liazou. Je le compris quand les soupirs de Liazou cessèrent pour des bruits de bouche, elle embrassait celle qui me malaxait les couilles en courant la pulpe de deux doigts sur mon anus. Je sentis une opulente poitrine se presser contre mes reins. Katharina ! Qui d'autre ? Je ne pus retenir un gémissement à ce contact, mon corps se souvenait encore de ses caresses anales qui m'avait envoyé au septième ciel.

Pris entre Liazou et Katharina, je poussais une plainte aux doigts qui jouaient sur mon anus, ce tabou été bien trop encré en moi pour l'afficher ouvertement. Ne pouvant indéfiniment contracter mon sphincter, je me détendais, bien aidé par le plaisir que me procurait Katharina. Elle avait des doigts de fée, faisant rouler mes couilles dans sa main et de l'autre, la pulpe de deux doigts tournant autour de mon anus. La bouche plaquée contre la vulve de Liazou, je ne pus me retenir plus longtemps de pousser des gémissements étouffés, je voulais déjà jouir. Liazou qui discutait dans sa langue, passa au Français, pour ma seul attention, je le devinais.

— Regardez comme son anus se dilate, c'est un momocou né.
— Je le lui ai déjà dit, répondit Katharina. Sa place dans la tribu ne fait aucun doute, il est fait pour contenter les femmes de sa langue et les hommes de son cul.

C'était cru, sans être méchant. Katharina avait l'air de dire une évidence qui ravit les jeunes autochtones qui poussèrent des rires de victoire. Katharina m'étira l'anus de trois doigts pour trouver ma petite boule à malaxer, je me décrochais de la vulve de Liazou pour gémir. Françoise, Anna, Maria, Jean et Pierre pouvaient m'entendre, mais la chaleur qui s'accumulait dans mon bas-ventre était bien trop bonne pour que j'arrive à me taire. Doucement, Maria et Françoise reposèrent mon bassin au sol, Katharina n'en continua pas moins de me doigter le cul en malaxant mes couilles.

Fière Liazou se leva, comme le trophée que je devais être à ses yeux. Son pied vint se poser sur mon front.

— L'homme de Françoise est bien comme celui d'Anna et de Maria, tous des imposteurs. Ils se faisaient passer pour des hommes, mais ce sont bien des momocous qui ne demandent qu'à être dressés.

Les sœurs de couleur de Liazou répondirent à grand cris, je fus décontenancé que Françoise, Anna et Maria enjoignent aussi leurs voix. Sautillant en souriant de bonheur, celles qui n'étaient pas encore nues le firent, ma petite amie n'échappa pas à cet effeuillage collectif. Nues et survoltées, les jeunes filles formèrent un plus grand cercle qui engloba Pierre, Jean et moi. Retrouvant mes amis des yeux, j'aurai préféré être momentanément aveugle tant pour eux que pour moi. Les mains attachées dans le dos Jean était agenouillé face contre terre, Batanda assise sur ses reins lui flattait la croupe d'une main, étendant une belle et longue jambe elle lui donnait en même temps ses orteils à sucer. Pierre, que je voyais à peine derrière Jean, était dans la même position que moi sur le dos avec une jeune fille nommée Romihan, qui devait faire exactement ce que Katharina me faisait. Aux expirations de mes deux amis, à leurs mimiques et surtout à leurs queues aussi dure que la mienne, nul doute qu'ils appréciaient le traitement. Je me serais bien caché le visage des mains, mais attaché je ne pu que fermer les yeux en tournant la tête dans l'autre sens. J'étais mort de honte, mais bien incapable de retenir mes expirations de plaisir, Katharina ne me laissa pas m'échapper à si bon compte.

— Mon garçon regarde moi.

Agenouillée entre mes jambes, le dos droit Katharina avait passé toute sa chevelure de feu d'un côté de son épaule, mes yeux se fixèrent sur le lourd sein qui n'était pas caché par le rideau aux nuances cuivrées. Elle s'était aussi déshabillée, sa délicate peau de rousse luisait de crème solaire. Mes yeux descendirent vers sa toison aux nuances de roux plus foncé, ses cuisses serrées ne me laissaient pas en voir plus. Le cœur à tout rompre, je la voyais déjà venir s'empaler sur ma queue qui palpitait de désir. Si la nuit, j'avais espéré que la taille ne l’effraye pas, sous un soleil éclatant, je ne pouvais rien faire. Ma queue épaisse et longue, courue de veines, avec un gland massif qui bavait du liquide pré-séminal, me faisait horreur. Katharina ne semblait pas se rebuter bien au contraire, ses yeux la détaillaient avec envie.

— Aujourd'hui, cela va te paraître difficile, me dit-elle d'une voix douce. Mais ne t'inquiète pas, tu vas très vite t'habituer à être sous les dominations de ces jeunes filles. Certaines vont peut-être abuser de leur position, mais dans l'ensemble, elles vont surtout te cajoler, les momocous sont très importants pour la tribu.
— Madame, je réussirai l'épreuve.
— Mais bien sur mon garçon, aux yeux de la tribu, être éprouvé par leurs esprits protecteurs, c'est déjà une réussite.

Katharina m'écarta l'anus d'un quatrième doigt avant d'amorcer un lent va-et-vient, entre douleur et plaisir, je poussais des bruits indignes. Haletant, Jean et Pierre subissaient pareil supplice de la part de Bantanda et de Romihan. Autour de nous les jeunes filles nues, dont nos petites amies, dansaient en poussant régulièrement des cris perçants. Avec un petit tam-tam, Farra donnait le rythme. Je percevais non pas un bizutage, mais plutôt une initiation. Ce jour, serait marqué par notre soumission. Je ne pus bien longtemps retenir des mouvements de bassin, le plaisir anal devenait bien trop prégnant. Me malaxant les couilles avec douceur en enfonçant ses doigts jusqu'à la garde du pouce, Katharina agenouillée entre mes cuisses me dévorait des yeux. Elle avait envie de moi, j'en étais certain.

— Madame, vous voulez bien qu'on couche ensemble ?
— Tu peux toujours supplier pour le savoir.
— Madame, je vous en supplie couchons ensemble.

Le brouhaha des danseuses me permit de réitérer ma demande sans que Françoise ne m'entende. J'avais vraiment honte de moi, mais ça devenait vital. Je voulais jouir de ce corps voluptueux, qui nu, s'offrait déjà à mes yeux. Katharina m'écouta avec intérêt avant de répondre à mes suppliques.

— Toutes les lois de la tribu sont d'essence religieuse, les violer, c'est se condamner à une mort certaine.
— Alors partons, partons hors de leur territoire. Je vous aime, rajoutais-je.
— Ma place est parmi les hommes des bois, je crois que la tienne est à mes côtés. Si tu réussis l'épreuve, tu pourras choisir une femme, une seule.

Entre le soleil et la sueur qui me piquaient les yeux, j'eus du mal à trouver Françoise dans le cercle de jeunes filles qui se mouvaient autour de moi. Ses seins sautaient au rythme de ses pas. Françoise, tenant la main de Délimaou, respirait la joie de vivre. Je captais son regard avant de l'appeler. Elle quitta le cercle pour venir faire exactement la même chose que Liazou, son pied vint se poser sur mon front.

— Mon chéri, tu as quelque chose à me demander.

Son corps nu, perlé de sueur, ses seins dressés, sa fente en contre-plongée rose chair luisant d'un liquide légèrement blanchâtre m’enflammèrent de plus belle. Elle aussi, je la désirais plus que tout mais une petite voix pernicieuse me disait que je pourrais la baisé de retour en France. 

— Oui, oui mon amour. Si je réussis l'épreuve de la tribu, accepteras-tu que je choisisse Katharina pour femme ? Rien que pour les vacances, bien sûr, après je te serai fidèle, je te le jure.

Je n'en revenais pas de ce que mes pulsions étaient capables de me faire dire. Le souffle court, j'attendais sa réponse qui tardait à arriver. Françoise appuya un peu plus son pied, me regarda durement, me fit une grimace, puis au bout d'un moment me sourit de toutes ses dents. Elle jouait avec mes attentes comme un chat joue avec une souris.

— Et si tu échoues mon chéri, si tu deviens un momocou, accepteras-tu alors qu'un homme me ravisse ma virginité ?

Liazou d'une voix forte dû demander le silence dans sa langue, car toutes se turent en arrêtant de danser. Farra ralentît ses percussions de tam-tam à un bourdonnement. J'entendais distinctement Pierre et Jean reprendre leurs respirations. Tous et toutes attendaient ma réponse. Les jeunes autochtones avaient tout prévu. Après m'avoir fait accepter d'être dressé à être un bon momocou, elles voulaient que j'accepte aussi les conséquences que cela impliquerait. Seuls les hommes ont le droit de se reproduire, j'étais assez frustré pour ne pas l'avoir oublié.

Entre mes jambes, Katharina joua ses doigts plus lentement ce qui n'en resta pas moins divinement bon. Sous ses yeux brillants de désir, je réfléchissais à accepter le deal qui me permettrait en cas de succès de la connaître charnellement au moins une fois. J'étais retenu par Françoise, risquer de voir l'amour de ma vie se faire défleurer par un autre me rendait malade de jalousie. Des images d'elle en train de sucer Jacques me vinrent en tête, une infime partie de moi fût excité par cette perspective qui se joignit à la moitié qui voulait posséder Katharina à tout prix.

— Si je réussis l'épreuve Françoise, tu ne coucheras avec personne et me donnera la permission de coucher avec Katharina ?
— Tu n'auras même pas à supplier, me répondit-elle taquine.
— Et vous madame, vous m'accepterez comme votre homme ?
— Je le veux, me répondit-elle cérémonieusement.

Françoise et Katharina se regardèrent avec complicités. Je sentais un piège se fermer, mais j'étais incapable de résister à mes pulsions. Liazou s'en mêla. Quittant le cercle, elle vint sur mon flanc du bout du pied, elle mit ma queue à la vertical.
— Quand tu échoueras, tu seras à nous pour de bon et ta femme se fera baiser par un homme ! C'est à ça que tu t'engages en acceptant d'être éprouvé devant nos esprits protecteurs, tu as bien compris ?
— Oui, j'ai bien compris, mais je réussirai, jamais je ne serais à vous.

Liazou parla dans sa langue à la cantonade, Farra reprit un rythme entraînant pendant que les jeunes autochtones exultaient de joie en sautant comme des cabris. J'avais l'impression que je venais de m'offrir en cadeau à leurs appétits charnels. J'en fus troublé mais aussi inquiet. Il y avait quelque chose dans leurs cris, dans leurs regards, dans leurs sourires qui me faisait peur. Françoise passa du côté de Katharina, m'écartant davantage les cuisses, elle s’agenouilla épaule contre épaule .Ces deux créatures, que mon cœur vénérait, me couvaient d'un ardant désir.

— Tu veux que je te fasse jouir parle cul comme un bon momocou, me demanda Françoise.

J'avais beau être dans tous mes états, je voulais laisser mes frasques dans cette jungle gabonaise. Françoise serait un jour la mère de mes enfants, aussi je fis non de la tête. Liazou, qui était resté à mes côtés, ne l'entendait pas de cette oreille. La jeune fille dont la peau d'ébène luisait sous les rayons du soleil vint s'agenouiller au-dessus de ma tête, mais cette fois face à moi.

— Remercie ta femme de son attention et lèche ma chatte.

Le ton sec comme la fente luisante de nectar à un souffle me fit acquiescer, l’ascendance de cette petite garce me plaisait de plus en plus. Ses yeux noirs durent le deviner, car elle leva le bassin avant que je n'aie eu le temps de passer ma langue sur sa chatte.

— Supplie voyons, supplie ta femme de te faire jouir par le cul comme un bon momocou.
— Mon amour fait moi jouir par le cul comme un bon momocou.

Je fus soulagé d'entendre Pierre et Jean m'imiter sous les cris quasi-hystériques de jeunes autochtones, je ne pus me retenir de jeter un coup d’œil. Jean toujours agenouillé avait la tête entre les cuisses d'Amirou assise face à lui, se retenant sur les bras elle gémissait son plaisir ondulant du bassin. Derrière les fesses offertes de son petit ami, Maria, guidée par Bantanda, le sodomisait de trois doigts. C'était déjà sur-réaliste de voir Jean dans cette situation, mais derrière lui se trouvait Pierre. Debout, les mains attachées dans le dos, Pierre à bout reposait sa tête contre l'épaule d'Anna collée contre son dos. Je devinais qu'elle le sodomisait aussi de ses doigts. Mais le plus excitant pour moi était Délimaou et Romihan agenouillées aux pieds de Pierre, courant leurs mains noires sur les cuisses blanches, elles lui suçaient de concert les couilles sans jamais remonter sur la queue dressée qui palpitait sporadiquement.
Le reste des jeunes filles dansaient sous le rythme du tam-tam de Farra en attendant clairement leur tour. Liazou me donna le prix de ma soumission, baissant le bassin, je pus passer ma langue contre sa vulve brûlante de désir. Françoise me pénétra de deux doigts et sur les conseils de Katharina, elle trouva bien vite ma prostate. Sous les multiples stimulations, je ne tardais pas à pousser des soupirs étouffés, mon sang n'était plus que lave. Plongeant mes yeux dans ceux de Liazou, j'enfonçais ma langue dans son vagin en ne pouvant que me réjouir de mon nouveau statut dans la tribu. Être un homme progressif était vraiment trop épuisant pour que je regrette mon choix un instant. Me guidant des expirations de Liazou, je passais et repassais ma langue entre ses lèvres intimes, elle me sourit avant de gémir de plus belle. Entre mes jambes, Françoise jouait adroitement ses doigts dans mon rectum, le plaisir anal s'approcha du non-retour. J'ondulais du bassin pour précipiter ma jouissance, mes fesses furent prises de tremblement, ma queue palpita. Léchant Liazou avec fougue, je sentis le plaisir anal monter inexorablement en moi, un immense plaisir se rependit dans tout mon corps. Me décrochant du sexe de Liazou, je criais mon plaisir en sentant ma queue déverser sur mes pectoraux toute ma frustration.

Souriant de bonheur, grisé, sans force, reprenant ma respiration. Liazou dans le même état laissa sa place à une dénommé Souafa. La jeune fille s'agenouilla pour trouver mes lèvres, sous le tendre baiser, je devinai que la journée ne faisait que commencer.

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