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Pour l'amour de Dieu 7 (corrigé par AlexisPC)

Un pasteur et sa femme partent en Afrique convertir une tribu isolée au cœur de la jungle. Ils vont être confrontés à des aventures au-delà de leur appréhension.

Proposée le 27/09/2023 par cerisemoche

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Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Au fin fond de la jungle gabonaise dans une faille géologique entouré d'une tribu sauvage j'étais nu agenouillé devant mon épouse et son amant. Debout Macoura la portait dos contre ses pectoraux, ses mains fermes sous les cuisses blanches il donnait des coups de reins régulier. Plié en deux Katharina les genoux touchant les épaules se retenait d'un bras autour du cou de son amant en gémissant son bonheur. À un énième vas et viens Macoura sorti entièrement sa queue couleur ébène, contre la vulve de mon épouse elle perlait de sa mouille. J'avais envie de faire plaisir à Katharina, un peu à son amant, partager leur plaisir. Sans même être guidé ou commandé si ce n'est pas mes pulsions je pris l'engin palpitant en main. Ma nature de soumis s'exprima sans plus de retenu, courant mes doigts sur ce manche veineux je me penchais pour passer ma langue sur le gland massif. Je roulais ma langue sous la jointure en m'enivrant du goût intime de mon épouse. Cette colonne de chair me troublait de plus en plus, avalant tout le gland je sentais sous ma langue pulser la puissant don parlait mes tourmenteuses. Mon épouse agréablement surprise de mon initiative me caressa les cheveux.

— Je t'aime mon lapin.

J'avais la bite de son amant dans la bouche, je devais avoir sombré dans la folie pour entendre ces mots.

— Remets la moi maintenant.

J’obéissais, Macoura d'un mouvement de rein en fonça son sexe dans le vagin de mon épouse. Aux rythmes des coups de butoir Katharina poussait des gémissements qui se mêlaient aux tam-tams. Attrapant un de ses pieds ballant je lui suçais les orteils avec ferveur, je voulais la voir exulter, l'entendre crier son bonheur, qu'elle me face un bâtard si c'était le prix à payer pour ça. Agenouillé à mes côté Rofili après avoir trempé sa main dans le bol d'huile me pénétra de quatre doigts, je poussais un soupir étouffé par deux orteils sous ma langue. Je continuais de les sucer pendant que Rofili m'écartait l'anus comme jamais, je sentis son pouce essayé de rejoindre les doigts dans mon rectum. J'étais à la limite de la douleur néanmoins de plaisir enflait aussi, recrachant les orteils de mon épouse je poussait un expiration de soulagement quand le pouce passant mon anus se serra aussitôt sur un fin poignet. Rofili enfonça entièrement sa main dans mon rectum, ma queue palpita violemment. J'étais à un cheveux de jouir, levant la croupe au mouvement de piston j'accompagnais les gémissements de mon épouse des miens.

La bave aux lèvres, la tête appuyé contre l'épaule de Rofili qui me sodomisait lentement, j'oscillais entre tension insoutenable et extrême fatigue. Je regardais l'épaisse et longue queue aller et venir plus rapidement dans le vagin de mon épouse, les couilles velue qui se balançaient sous mon nez m'envoyaient des goûtes de cyprine et de liquide pré-séminal.

— C'est bien pasteur soumets toi à la tribu, me souffla Marie agenouillé de mon autre côté. Abandonnes tout ce qui fait de toi un homme, ton honneur, ton épouse, ton droit de te reproduire.

Encore une fois elle enserra mes couilles à m'en faire mal avant de relâcher légèrement la pression, elle me voulait attentif à la suite.

— Tu ne pourras plus jamais baiser car ta faible semence est indigne d'une femme. Néanmoins si tu décides de passer les cérémonies des six autres tribus tu serras livrer à notre shaman. Après avoir neutralisé ta semence jugé sept fois indigne elle te permettra alors de retrouver le sacré de ton épouse, de toutes femmes des sept tribus. Tu nous baiseras pendant que nos amants te baiserons, tu serras un parfait momocou. Tu as envie de devenir un parfait momocou ?

Les tam-tams raisonnaient dans la faille géologique, la tribu dansait autour de nous en poussant des cris de joie sporadique, la main de Rofili irradiait mon rectum de plaisir, mon épouse poussait des gémissements bestiale, son amant l'accompagnait de râles pendant que leurs sexes fusionnaient sous mon nez. Marie croyait vraiment que j'étais en état de répondre dans ces conditions. Je poussais une plainte qui pouvais tout dire, une petite partie de moi était séduit par cette perspective une autre s'en indigna mais la plus grande partie était extrêmement effrayé tant elle percevait le sacrifice demandé.

— Réfléchis y mon petit momocou rien ne te serra imposé il faut être volontaire. Si tu veux toujours faire connaître ton Dieu aux autres tribus tu devras alors accepter d'être livré à notre shaman. Elle est elle seul pourra supprimer à jamais ta faible semence pour que plus jamais un momocou ne se multiplie.

Ivre d'amour et d'alcool je ne voulais pas penser à cette horrible coutume ni même au lendemain, en cette nuit je ne voulais que prendre et donner du plaisir. Marie me mordilla une oreille en guidant ma main entre ses cuisses, mes doigts trouvèrent une vulve aussi brûlante que visqueuse. Je jouais mes doigts dessus avant de la pénétrer de deux, Marie poussa une expiration de bonheur avant de reprendre d'un ton envoûtant.

— Depuis que j'ai eu un enfant je ne me suis plus fait baiser. Nos lois sont dure mais nécessaire, toi tu peux me libérer de ce manque. Tu peux toutes nous libérer de ce manque qui habite chacune des mères de la tribu.

De l'autre côté Rofili m'attaqua à son tour, guidant ma main entre ses cuisses elle me se pencha à mon oreille.

— Toi don la semence est indigne d'une femme pourquoi ne pas l'abandonner à notre shamane. Tu nous as parlé pendant un sermon de charité, soit le en nous comblant de ta jolie petite queue.

Dans sa fièvre mon esprit compris le but de cette coutume sauvage, la tribu avait mis en place une politique de contrôle des naissances. La cérémonies servait à éprouver les hommes, ceux qui arrivaient à contrôler leurs pulsions le restaient les autres devenaient des momocous indigne de se reproduire. J'enfonçais mon index dans le vagin de Rofili qui poussa une expiration de contentement. Sous la chaude et douce pression je ne pus m’empêcher d'imaginer ma jolie petite queue comme elle l’appelait la pénétrer de la sorte. Elles avaient réussi à planter une graine mon esprit affaibli qui ne rejeta pas entièrement cette perspective. En tant que momocou j'avais maintenant le droit de caresser toutes les femmes de la tribu sans pouvoir en baiser une, ce que j'avais pris pour une bénédiction était en faite des jalons pour m'attirer vers un piège. J'eus encore un éclair de lucidité qui me secoua jusqu'au tréfonds de mon âme, le pasteur Charles-Michel était toujours rasé de près mais est-ce du vraiment à cela. Je n'eus pas le temps d'approfondir cette perspective démentiel, Marie sorti la queue de Macoura pour la rabattre derrière les fesses de mon épouse. La vulve de Katharina reprit aussitôt sa forme originelle, luisante de nectar don l'odeur m’enivrait, je me penchais pour passer ma langue entre les lèvres intimes malmenées. Le souffle court Katharina passa une main dans mes cheveux collé de sueur, Marie aussi noire que pervers lui adressa la parole pour mieux me tourmenter.

— Katharina tu as envie que ton époux passe les cérémonies des six autres tribus pour devenir un parfait momocou?

Accroché au cou de son amant elle me regarda du haut de son perchoir couleur ébène. Je lus dans ses yeux qu'elle avait compris à quoi me conduirait la septième et dernière cérémonies.

— Pour moi mon momocou d'époux a toujours été parfait, répondit-elle en me souriant.

Je poussais un soupir à ces mots qui me touchaient le cœur, enfonçant ma langue dans son vagin emplissant ma bouche de son nectar.

— Il a déjà tant fait pour vous faire connaître la Bonne Nouvelle, reprit-elle après un soupir. Personne ne pourra lui reprocher de ne pas aller plus loin, néanmoins je pense que privé de sa semence mon époux n'en aimera que plus nos enfants.

Stupéfait je quitté sa vulve, Katharina appuya sur l'arrière ma tête pour que je continue à la lécher comme mes deux tourmenteuses poussèrent des expirations de mécontentement pour que je continue à jouer mes doigts dans leurs vagins.

— Ton épouse est une femme avisé, me dit Marie.

Enserrant mes couilles comme un sac de billes elle reprit à l'attention de mon épouse.

— Tant qu'il aura la possibilité de se multiplier son cœur restera tiède pour vos enfants. Mais ne t'inquiète pas lors d'une grande cérémonie où toutes les tribus réunissent leurs momocous encore imparfait ils finissent tous par demander à notre shamane de les transformer. Tu n'auras cas convaincre ton époux de faire connaître son Dieu à toutes les tribus.

Ne prenant nullement ma défense mon épouse me plaqua contre sa vulve pour que je continus d'enfoncer ma langue dans son vagin, je ne pus que pousser une petite plainte.

— Tu es le cadeau de ton Dieu à nos esprits, me dit Rofili. Tu vas donner beaucoup de bonheur à notre tribu.

Respirant avec peine je bougeais mon basin aux rythmes de sa main qui coulissait dans mon cul, le besoin de jouir après cette longue nuit m'était devenu vital.

— Plus vite, lui soufflais-je.

Mon épouse eut tôt fait de me plaquer la bouche sur sa chatte. Je passais avec grand plaisir ma langue dans les replies de son intimité brûlante et visqueuse tout en réitérant ma demande d'un gémissement.

— Pasteur cette nuit n'est qu'un petit aperçu de tout le bonheur qui t'attend, me répondit Rofili. Quand tu auras offert ta virilité à notre shamane alors chaque nuit tu baiseras une femme différente pendant que leurs hommes te baiseront. Crois moi qu'une queue est bien meilleur que ma main. » Je poussais une plainte à cette perspective pourtant mon esprit visualisa l'épaisse et longue queue de Macoura. Cette acte qui conduisait en enfer inscrit dans l'ancien et le nouveau testament aurait du me calmer néanmoins en cette instant brûlant de fièvre je ne pus complètement rejeter cette abomination comme le nome les Juifs. Continuant à lécher mon épouse en doigtant les deux jeunes femmes qui m'encadraient je bougeais du bassin sans plus de retenue. À la limite de la jouissance mes fesses étaient prises de tremblement, ma queue palpita. J'étais si épuisé que ma vision se troubla, j'avais envie de m'allonger pour laisser mes tourmenteuses achever leur œuvre mais mon épouse qui me caressait la tête m’obligea par ses gémissements à continuer passer ma langue entre ses lèvres intimes.

Infatigable la tribu autour ne nous criait, sautait, dansait, tapait des mains. Derrière eux les tam-tams continuaient à faire résonner dans la faille géologique des percutions endiablé. Macoura allongea mon épouse de profil devant moi, je la contemplais étendu sur le dos au milieu de la jungle. Haletante les flammes illuminaient son corps voluptueux ruisselant de sueur, ses mamelons étaient fièrement dressés, ses lourds seins poussaient vers les extérieurs, sa toison rousse encadrait une vulve gonflée de plaisir. Ouvrant ses jambes galbes à son amant qui vint s'agenouiller entre Katharina tourna la tête vers moi, pour me regarder avec complicité comme si c'était moi qui allait encore la baiser.

— Guide sa queue mon lapin.

J'avais les deux mains prise qui doigtaient mes tourmenteuses, Macoura posa sa main sur ma nuque pour me faire comprendre ce que mon épouse attendait. Me voûtant je poussais de mes lèvres la queue couleur d'ébène pour la pousser à l'horizontal, Macoura d'un coup de rein la fit disparaître dans le vagin de mon épouse. Il me maintien la tête contre le ventre de Katharina pour que je sente son engin aller et venir en elle. Rofili et Marie telle des guêpes revinrent piquer mon esprit déjà tourmenté.

— Mon petit momocou, me dit la première en jouant sa main dans mon rectum. Macoura va bientôt engrosser ton épouse, tu es contant pas vrai.

— Tu dois en remercier ton Dieu, me dit la seconde en malaxant mes couilles. C'est sa volonté d'empêcher ta faible semence de se transmettre, remercie Le.

Marie pourtant baptisé allait beaucoup trop loin, Dieu n'y était pour rien le pasteur en moi s'en insurgea.

— J'ai été faible, le seul fautif c'est moi.

Les jambes de mon épouse à demi plié de chaque côté de ses hanches Macoura l'agrippa par les hanches pour amorcer de violent coup de butoir. Son engin sortait presque entièrement avant de revenir taper l'utérus de mon épouse qui gémissait à la hauteur de son plaisir. Marie me malaxait les couilles, Rofili coulissait sa main dans mon rectum, sous mes doigts elles poussaient des gémissements plus ténus. Je commençais à prendre le coup de main en me guidant à leurs voix, bien vite de senti des contractions vaginal.

— Tu es doué pasteur, me dit Marie.
— Continus vas-y ça vient, me dit Rofili.

Les mains trempées de cyprine je continuais à faire jouer mes doigts en regardant Macoura baiser mon épouse. Katharina croisa ses jambes derrières les reins de son amant, elle haletait sous les coups de butoir en courant ses mains blanches sur les tors noir. Macoura se baissa pour trouver ses lèvres, ils s'embrassèrent fougueusement sous mon nez un bon moment. Sous le rythme entêtant des tam-tams la tribu surexcité dansait autour de nous en poussant la même phrase qui m'était incompréhensible.

— Ils demandent à nos esprits protecteurs de bénir la semence de Macoura, me souffla Marie. Ton épouse va bientôt être fécondé tant tout son être ne demande que ça.

Ruisselante de sueur Katharina exsangue levait légèrement le bassin à chaque coup de butoir, ses gémissements n'étaient plus qu'une supplique à ce que son amant se décharge en elle.

— Supplies Macoura comme un bon momocou d'engrosser ton épouse, me dit Rofili en immobilisant sa main dans mon rectum.

Je n'étais plus un homme, esclave de mes pulsions je ne me soumettais aussitôt.

— Macoura je t'en supplie engrosse mon épouse.

Il souleva Katharina la tourna dos à lui avant de s’asseoir en face de moi. Katharina contre son dos retrouva mes yeux, toujours empalé elle écarta les cuisses pour venir se mettre accroupi.

— Supplies encore, me dit-elle en souriant. Je veux que tu te rappelle que c'est toi qui m'a jeter dans la gueule du loup.

Je levais la tête vers Macoura au-dessus d'elle, il afficha un sourire victorieux en cette terrible cérémonie je perdais tout.

— Macoura je t'en supplie engrosse mon épouse.
— Tu veux que je remplace ta faible race de la mienne ?
— Oui je le veux.

Macoura passa ses mains sous les fesses de mon épouse, doucement il commença à donner coups de reins. Son épaisse et longue queue couleur ébène étirait les lèvres intimes de mon épouse, ses couilles étaient luisante de nectar. Katherina me guida vers son clitoris, je le susurrais avec joie en sentant l'engin aller et venir en elle. Marie et Rofili continuaient à me caresser, je poussais des gémissements étouffé en sentant que mon délicieux calvaire allait toucher à sa fin. Toute la tribu continuait à danser en priant leurs esprits d'une voix unie qui résonna dans la faille géologique. Mon épouse me repoussa, elle voulait que je ne loupe rien de son bonheur. Le rythme des coups de reins s'accéléra, Katharina ondulait du bassin en gémissant de plus belle, les couilles de son amant commencèrent à se balancer violemment. Marie et Rofili me soufflèrent aux oreilles la même prière que le reste de la tribu, haletant sous leur caresse je regardais les sexes unis luisant de liquide pré-séminal don l'odeur me faisait tourner la tête. Macoura poussa des râles de plus en plus rapproché mon épouse l'accompagna de mouvement de bassin saccadé, à un énième va et viens ils poussèrent de concert un cris de jouissance. Je pouvais voir la base de l'épaisse et longue queue prise de violent spasme, Katharina bascula sa tête en arrière en gémissant une dernière fois au ciel étoilé. Ils restèrent immobile un instant en reprenant leur souffle, je restais fixé sur leurs sexes imbriqué qui venaient de me faire un bastard. Je n'arrivais même pas à être en colère, mon épouse avait raison c'était moi qui l'avait conduite dans la gueule du loup. Quoi que l'avenir me réserve j'en assumerais les conséquences.

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