Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Pour l'amour de Dieu 6 (corrigé par AlexisPC)

Un pasteur et sa femme partent en Afrique convertir une tribu isolée au cœur de la jungle. Ils vont être confrontés à des aventures au-delà de leur appréhension.

Proposée le 27/09/2023 par cerisemoche

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


La mélodie entêtante des tam-tams monta d'un cran, les hommes quasi en trans poussaient des cris de concert en tapant des pieds. Je compris alors que mon épouse en succombant à la tentation venait d'être adopté par la tribu. Macoura sorti son sexe d'elle avant de lui défaire ses liens. Le premier geste de mon épouse en tant que femme de la tribu fut de se pencher sur moi, se retenant sur mes épaule elle passa tendrement sa langue entre mes lèvres. Mon cœur bondi de joie, jusque là une insupportable angoisse m'habitait, j'avais peur qu'après la tromperie le divorce suive mais je sentais sous sa langue tout l'amour qu'elle me portait. Macoura l'arracha à mes lèvres, se levant en tenant mon épouse par la taille il me regarda durement.

— Pasteur, si tu tentes de baiser ton épouse je t’enverrais rejoindre nos esprits qui te ferons souffrir pour ce sacrilège.

Hébété je réalisais alors que pour eux ma parole valait serment, je venais de renoncer devant toute la tribu à baiser ma propre épouse. Mon esprit enfiévré fusa pour trouver une échappatoire, par dessus tout en cette nuit je voulais précisément baiser mon épouse.

— Mais si je reste dans le cercle ?
— Tu es né momocou, tu l'as prouvé plusieurs fois en léchant le sexe de femmes. Les hommes eux dominent toujours. Rofili et Marie vont te faire sortir du cercle en rampant ainsi tu arrêteras de te croire homme alors que tu ne l'as jamais été !

Macoura avait baisé mon épouse qu'il tenait par la hanche comme la sienne, maintenant il m'insultait. J'aurais du répliquer mais il était debout devant moi son imposante queue dressé sous le nez. La lueur des flammes illuminaient ses muscles secs bien dessinés, son regard était déterminé, même sans mes liens j'aurais baissé les yeux pour éviter la confrontation.

Les hommes de la tribu qui avaient assisté à la scène aux premières loges reculèrent de pas de danse en poussant de-ci de-là des cris qui montaient jusqu'aux cimes des arbres. Puis dans une danse cordonnée les hommes mis à par Macoura laissèrent les premiers rands aux femmes resté dans leurs ombres jusque là. Chacune passa devant mon épouse pour lui dire un mot gentil, bienvenu, tu es l'une des notre, tu es ma sœur, je prendrais soin de toi. J'écoutais que d'une oreille tant ces femmes étaient totalement nues luisantes de sueurs, elles m'exposaient paires de fesses, seins plus ou moins gros, chattes velue à rasé. Certaines belles, d'autres moins néanmoins toutes avaient un corps tonique qui aurait fait le bonheur de bien des hommes moi compris.

Sous les tam-tams qui reprirent le rythme entêtant, les femmes se déhanchèrent à la périphérie de mon cercle. J'en perdais mon latin en voyant Thérèse et Brigitte nues comme au premier jour, perlées de sueur leurs seins allaient et venaient aux rythmes de leurs pas. Elles étaient complètement ivres sans quoi je ne voyais pas comment deux protestantes filles de pasteur pouvaient se comporter ainsi. À ma surprise Brigitte après avoir bu une rasade d'alcool passa le cercle de lianes tressées pour s'accroupir devant moi. Pensant à son père Charles-Michel qui devait être dans les parages je détournais les yeux. Brigitte avait dix huit ans mais ses formes de garçon manqué lui donné quelques années de moins.

— Pasteur vous devez avoir soif.

Bien qu'immobile j'étais en age, j'avais l'impression que l'atmosphère de la faille géologique s'était transformait en brasillé. Marie releva le bec de la gourde m’empêchant d’épancher ma soif.

— Tu as déjà léché la chatte d'une vierge, me demanda-t-elle. 

À ces mots Brigitte qui tenait la gourde à une souffle de moi rougie jusqu'aux oreilles, elle était métisse mais tenait bien de son père. Je compris alors en ressentant une vive décharge de chaleur que c'était d'elle don il était question.

— Tu as perdu ta langue pasteur, railla Rofili. Ce serrait dommage tu es si doué.

Marie parla à Brigitte dans son dialecte, j'ignorais qu'elle comprenait cette langue. Cela dura un moment, je sentais bien que la fille du pasteur était gêné. Elle posa plusieurs fois furtivement ses yeux sur ma queue tendu qui dépassait de mon pantalon. Puis elle me fixa de ses yeux marron pour me parler d'une voix hésitante.

— Pasteur dans leur tribu c'est un grand honneur de faire parti de celles qui réduit un homme en momocou, ne m'en voulez pas d'accord. 

Elle se leva devant moi m'exposant son corps aux courbes de garçon manqué, ses petits seins pointaient déjà, son bassin était à peine développé, son sexe glabre s'ouvrait sur un rose chair qui fixa mes yeux. La grosse gourde sur l'épaule Brigitte posa un pied sur mon tors tambourinant. Ses orteils poussèrent jusqu'à ma bouche, médusé par sa vulve luisante de nectar je ne détourna pas la tête.

— Un momocou est à la charge de la tribu, me dit Marie. En échange il doit combler les femmes comme les hommes. Tu dois mériter la boisson que nous avons préparé, obéi lui en tout.
— Sucez mes orteils s'il vous plaît, me demanda timidement Brigitte.

Je ne voyais pas mon épouse derrière elle, ça me faisait l'effet d'un laissé passé à toute mes déviances. J'avais soif mais par dessous tout je voulais sentir la chaleur d'une femme même si ça devait être ses pieds.

Mes résolutions de ne plus rien lâcher s'envolèrent, j'entrouvrais ma bouche sur les orteils pour sucer le plus petit. Brigitte qui m'avait toujours fait l'effet d'une dur à cuir taciturne c'était métamorphosé en oie blanche. Elle était confuse de se faire sucer ainsi, elle détournait le regard en se mordant la lèvre inférieur, sa peau chocolat au lait virait à l'écarlate. Marie dans son dialecte la guidait ça ne faisait aucun doute sans quoi elle serait retourné dans la foule. Marie et Rofili continuèrent à aventurer leurs mains sur mon corps. Par dessus mon pantalon Marie était obsédé par mes couilles qu'elle malaxa avec tendresse, Rofili allait plus rudement malaxer mon fessier puis passait ses doigts sur mes tétons qu'elle agaçait à m'en faire mal. La chaleur qui me rendait esclave de mes pulsions grandit, mon sexe me faisait tirer constamment sur mes liens.

Suçant avec plus de fougue l'orteil du milieux je rêvais de remonter lécher le sexe vierge, je commençais à prendre des incitatives dans ce sens. Quittant le gros orteil je baisais le pied en remontant vers la cheville, Marie dit quelques mots à Brigitte qui me rappela à l'ordre.

— Pasteur continuez à me sucer les orteils.

Sa voix avait pris de l'assurance, elle commençait à s’habituer à son rôle de dominante. Elle changea de pied, j'étais si excité que je suçais trois orteils en même temps. Passant ma langue entre, suçant l'un, passant au voisin je fini par arracher les premiers soupirs de Brigitte. Debout devant moi elle prit plus d'assurance, ses mains passèrent sur sa frêle poitrine, puis à mesure que je suçais ses orteils elle se malaxa sans plus de pudeur. Ses yeux alors se posèrent sur ma queue comme les miens étaient sur sa vulve, je me pris à rêver qu'elle vienne s'y empaler.

— Tu peux me toucher la queue, osais-je lui souffler.

Rofili gloussa, Marie accentua sa prise sur mes couilles avant de me parler d'un ton sec.

—Ne dis jamais quoi faire à une femme, tu nous es inférieur. Si tu désirs quelque chose supplies.

La douleur me fit geindre, elle relâcha la pression en reprenant avec plus de douceur.

— Par contre mon petit momocou si tu te montres adroit à apaiser nos corps crois moi que les femmes et les hommes de la tribu t'en récompenseront.
— Vous m'avez déjà fait le coup, répondis-je avec véhémence. Vous m'aviez promis de me sucer, vous l'avez toujours pas fait alors que j'ai obéis.

Si les hommes avaient régulièrement poussé des cris virils de concert les femmes qui nous entouraient à présent partirent anarchiquement en joyeux rires.

— De même que les hommes ne lèchent pas les femmes car ils sont supérieur, me dit alors Rofili. Les femmes ne sucent pas les momocous car elles sont supérieur.
— Reste dans le cercle jusqu'aux premiers rayon du soleil, reprit Marie sur un ton de défis. Et nous te sucerons si bien la queue que tu voudras changer de femme.

Celle ci justement donna de la voix derrière Brigitte, je n'avais pas besoin de me pencher sur un côté pour comprendre ce que Katharina faisait avec son amant. Je l'avais bien cherché, je ne pouvais m'en prendre cas moi même.

— Pasteur continuez à me sucer les orteils, me souffla Brigitte.

La jeune métisse était à fleur de peau, ses yeux brillaient de désir, ses tétons qu'elle caressait pointaient, du nectar coulait sur sa jambe encré au sol. Je fus flatté de la mettre dans cette état, obéissant avec plaisir je me concentrait sur ses désirs qui me faisaient quelque peu oublier les miens. Je suçais ses orteils avec toujours plus de fougue, je voulais l'entendre pousser de petites expiration de plaisir, la voir me sourire, la rendre heureuse. Marie me malaxait doucement les couilles par dessus mon pantalon, Rofili me couvrait le haut de mon corps de baisés en déboutonnant ma chemise, mon épouse gémissait dans les bras d'un autre, j'étais à la fois au paradis et en enfer.


Brigitte reposa son pied au sol, quelques danseuses qui gravitaient autour de nous lui dirent quelques mots dans leurs langues, j'y voyais des conseilles.

— Pasteur embrassez mes pieds.

Attaché les poignets avec les chevilles j'étais déjà à genoux, une position servile. Là elle me demandait d'être ventre à terre. Nue ruisselante de sueur, la peau chocolat au lait teinté de rougeur Brigitte me regarda avec une telle envie que je cédais à cette nouvelle humiliation. Me penchant Marie et Rofili m'aidèrent à m'allonger sur le ventre. Les turbulentes femmes de la tribu poussèrent des exclamations, le spectacle que je donnais les réjouissait. Je baisais les petits pieds en espérant être invité à remonter, désinhibé, ma fierté détruite j'aurais presque prié Dieu de m'accorder ce vœux. L'enfer m'attendait pour tout ces péchés mais mon corps brûlant de fièvre en avait que faire, le pasteur en moi s'était fait dévoré par mes pulsions bestiales.

— Remontez, me souffla Brigitte. Lentement je veux que vous embrassiez chaque centimètre de mes jambes.

Marie et Rofili me redressèrent à mesure que mes lèvres, ma langue, mon désir venaient goûter une peau de pêche.

Arrivé dans le creux d'une cuisse je poussais une expiration de bonheur en captant sous ma langue le nectar mélangé à la sueur, remontant le filé je sentis l'odeur entente d'une source don je mourrais d'envie de m'y abreuver. Remis sur les genoux par mes deux tourmenteuse j'avais sous le nez la vulve glabre de Brigitte. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais j'attendis ses ordres qui m'avaient guidé jusque là. La jeune métisses me regarda avec des yeux brillant de fierté, sa main passa sur ma joue pour me remercier de ma docilité.

— Pasteur dès que je vous ais vu mon cœur à bondi. En tant qu'homme vous m'étiez inaccessible mais maintenant rien ne vous empêche de m'aimer. Charnellement, rajouta-t-elle maladroitement.

Mon esprit que je croyais étouffé par la fièvre de mon corps me fit tout comprendre. Les femmes de la tribu avait eu vent de ses sentiments pour moi, Marie l'avait invité pour les faire exulter.

— Réponds lui, me souffla celle ci à l'oreille. Qu'en tant que momocou tu serras honoré de satisfaire ses désirs.

Ce que je désirais devait être réciproque, je n'hésitais pas une seconde à obéir.

— Brigitte je serrais honoré de satisfaire tout tes désirs.

Elle sourit de bonheur, sa main sur ma joue passa dans mes cheveux pour me tirer la tête en arrière.

— Faites moi jouir avec votre langue pasteur.

Elle avança son bassin au-dessus de mon visage, je posais mes lèvres sur sa vulve tant désiré. Délicatement je poussais ma langue entres ses lèvres intimes aussi chaudes que douces. C'était la troisième femme que je léchais dans ma vie, l'effet était toujours le même mon corps exultait. La position aussi me plaisait énormément, elle debout me dominant tant de la taille que du regard, moi agenouillé pieds et poings lié à sa merci. J'enfonçais ma langue dans le vagin en poussant un soupir qui il y a encore peu de temps m'aurait mortifier, la bouche collé contre la vulve je me laissais allé à expirer ouvertement mon plaisir. Me caressant le tête Brigitte m'accompagna de petits couinements, je passais ma langue entres les doux plies poisseux de nectar de son intimité. Mon nez écrasé sur son pubis j'enfonçais plus loin ma langue qui trouva la fine membrane virginal. Je n'avais d'yeux que pour mon épouse mais à cette instant je me pris à rêver de baiser cette jolie petite métisse, la voix pernicieux qui me guidé vers le mal me souffla qu'amoureuse elle ne pourrait se refuser. Quittant sa vulve je baisais l’intérieur de sa cuisse en cherchant une formule pour parvenir à mes fins sans que mes deux tourmenteuses qui m’encadraient me mettent en échec.

— Brigitte si jamais je sortais du cercle nous ne pourrions jamais faire l'amour.

Je me surprenais moi même de mon perfide angle d'attaque, je n'étais qu'une bête en chasse. Attend qu'elle comprenne bien l'irréversibilité de cette possibilité je repris.

— Je serais très heureux si tu m'offrais ta première fois.

Je me retenais d'ajouté maintenant, le souffle court j’attendis la réponse en priant pour que ni Katharina, ni Marie, ni Rofili n'interviennent.

—Ça me rend très heureuse de vous entendre dire cella pasteur. J'en ai très envie mais ça va à l'encontre des lois de la tribu. Quand je choisirais un homme vous m'aiderez à la conception comme vous avez aidé votre épouse, j'espère que ça vous fait plaisir ?

Curieusement oui, avoir chauffé mon épouse pour la voir baiser par un autre m'avait fait découvrir une facette peut reluisante de moi même.

— Réponds lui, me souffla Marie.
— Oui ça me fait plaisir.
— Continuez à me lécher.

Je collais ma bouche contre sa vulve visqueuse plus frustré que jamais mais aussi excité par la perspective d'une prochaine fois, être un momocou ne me parut plus aussi dégradant. Enfonçant ma langue dans l'étroit vagin je prenais plaisir à pousser la membrane virginal, Brigitte s'agrippant à mes cheveux poussa des gémissements plus prononcé. Le nez écrasé sur son pubis mes yeux dans les siennes je bougeais ma langue dans l'étroit conduit. Brigitte amorça un léger mouvement de bassin en me plaquant contre sa vulve à m'étouffer, mes coups de langue la faisaient vibre. Haletante elle arqua son corps en me suppliant des yeux de ne pas arrêter, je fus surpris de sentir sous ma langue ses contractions vaginal. Continuant à bouger ma langue Brigitte un sourire extatique aux lèvres poussa un long gémissement ne me tenant fermement contre son sexe.

Reprenant la gourde à ses pieds Brigitte posa le bec dans ma bouche, je bus avec gratitude l'alcool de la tribu comprenant que dans leur mode de vie l'échange était la norme. Ses pulsions assouvis Brigitte me baisa le front avant de rejoindre le cercle des femmes de la tribu qui n'avaient rien à envié à leur homologue masculin, exclamations et rires fusèrent. Elles étaient déchaînées mais bien vite les percutions des tam-tams reprirent. Les femmes de la tribu amorcèrent une rude danse statique, toutes tournés vers moi, les visages graves, les bustes en avants. Elles se déhanchèrent souplement faisant valser leurs seins, trembler leurs croupes, certaines armés tapèrent le sol de leurs lances, d'autres claquaient leurs cuisses. Toutes poussaient simultanément un cris sec répété qui avait l'air de répondre aux percutions. Sous cette pression encadré par Marie et Rofili je me retrouvais de nouveau devant mon infidèle épouse. Elle était de profil à quatre pattes sur le rondin, Macoura debout derrière elle la culbutait avec langueur. Il avait enroulé autour d'une main la longue chevelure de feux, de son autre main il tenait la base de son engin couleur ébène, la sortant entièrement de la vulve avant de s'y renfoncer de nouveau. Mon épouse gémissait à chaque coup de butoir. Le dos cambré, la tête tiré en arrière elle était totalement soumise à son amant. Je la trouvais irrésistiblement belle, la jalousie éteinte avec ma fierté j'éprouvais de la satisfaction à la voir heureuse même avec un autre.

Rofili armée de son poignard le passa devant mes yeux pour me faire comprendre de ne pas bouger. Elle commença à découper ma chemise trempé de sueur, puis me coupa la ceinture de mon pantalon avant de s'occuper de celui ci. Je me retrouvais nu les mains attaché aux chevilles agenouillé devant mon épouse et son amant, ainsi que devant toute la tribu que je devais évangéliser. Quel pasteur je devais être à leurs yeux, nul doute que Dieu me jugeait plus sévèrement qu'eux.


Je poussais une expiration de soulagement en sentant la main de Marie se reposer sur mon scrotum. Peau à peau la sensation de ses doigts qui jouaient avec mes couilles était bien plus agréable. Rofili elle se pencha sur mon tors, sa bouche trouva un de mes tétons à sucer pendant que ses mains parcouraient mon corps en feux. Il faisait toujours aussi nuit pourtant la température montait à moins que ce fut l'alcool, toujours est-il que je me sentais bien mieux nu. Je tournais la tête vers Marie, j'avais envie de goûter ses lèvres si proche, elle se déroba.

—Il y a encore du travail pour finir de te dresser comme un bon petit momocou.
— Tu as envie qu'on te dresse pas vrai pasteur, me demanda Rofili.
— J'ai envie que vous me suciez comme promis, suppliais-je. Je vais faire une crise cardiaque si ça continu.

J'aurais inventé n’importe-quoi pour que ces deux salopes me fassent jouir et elles le savaient, Marie revint à la charge.

— Dis à ton épouse que tu veux devenir un bon momocou soumis à ses désirs et ceux de ses amants. Alors nous te donnerons de telle caresse que ta queue pourrait répandre ta faible semence sans même être touché.

Mon épouse toujours à quatre pattes de profil descendit sur ses bras en tournant sa tête vers moi, retrouvant mes yeux elle esquissa un sourire.

— Je t'aime, me dit-elle le souffle court. Je crois que je t'aimerais encore plus si tu devenais un momocou.

Elle voulait le beurre et l'argent du beurre, j'arrivais pas en lui en vouloir. L'épaisse et longue queue qui allaient et venait en elle la mettait dans tout ses états, je me sentais plus capable de faire de même. Posé sur ses avants bras son visage parsemé de taches de rousseur rayonnait de bonheur, ses yeux attendaient ma réponse. Je n'aspirais cas lui plaire.

— Je veux devenir un bon momcou soumis à tes désirs et ceux de tes amants.
— Tu ne pourras plus me baiser, le supporteras-tu?
— Tu n'as aucune crainte à avoir de ce côté là, intervint Macoura. Quand elles auront fini de dresser ton époux il ne demandera cas jouir par le cul.

Je baissais encore les yeux au regard de Macoura si dure sans comprendre ce qu'il voulait dire, j'étais trop saoul et trop excité pour m'en soucier.


Les amants continuèrent à baiser tendrement sans plus me prêter d'attention, mes tourmenteuses continuèrent à me tourmenter et les danseuses qui nous entouraient tous continuèrent à faire raisonner leurs voix comme un seul homme en martelant le sol de leurs pieds. Seul la vive tension sexuel m’empêchait de m'endormir, j'étais épuisé tant physiquement que psychiquement. La cérémonie m'avait vidé de mes forces sans même que je ne bouge d'un mètre. Si je n'avais pas une foi inébranlable en Dieu j'y aurais vu l’œuvre de leurs esprits. La faille géologique au milieux d'une forêt luxuriante avait quelque chose de surnaturel, je le ressentais à présent.


Ma queue baveuse de liquide pré-séminal qui palpitait par intermittence m'était devenu insupportable, je tirais plusieurs fois sur mes liens en espérant un miracle. Je m’humiliais de plus belle en levant le bassin à chaque fois qu'une des quatre mains huileuses passait à proximité, j'avais honte mais n'y pouvais rien ma queue voulait être touché plus que tout au monde. Sa main tout juste sorti de la coupe d'huile Rofili s'amusa régulièrement à la faire goutter sur mon sexe, je voulais garder une infime parti d'amour-propre mais à une énième fois je craquais.

— S'il te plaît Rofili masturbe moi.

Ma voix était aussi suppliante que mes yeux, elles attendaient visiblement cette étape de ma déchéance pour passer à la prochaine. Marie me parla d'une voix mielleuse.

—Tu veux toujours être un bon momocou soumis à ton épouse et à ses amants ? 
— Oui je le veux toujours.

Mon épouse maintenant sur le dos les jambes relevées sur les épaules de son amant toujours debout à la culbuter tourna la tête vers moi pour me remercier des yeux.

— Les momocous ont plusieurs fonctions dans notre tribu, reprit Marie sur le même ton. L'une d'elle est de servir d’exutoire aux amants qui ont déjà un enfant à nourrir. Pour détourner la semence qui pourrait créer une famine le momocou utilise sa bouche, ses mains, son corps tout entier.

À ces mots Rofili qui me malaxait une fesses glissa deux doigts sur mon anus, le message était limpide. J'aurais du me révolter à cette perspective mais je ne voulais pas que mes tourmenteuses arrêtent leurs caresses, même une infâme. Je ne savais pas ce que je serrais capable de dire ou de faire pour ravoir leurs mains sur mon corps, je peinais à me contrôler.

— Nous allons te faire aimer la sodomie, me souffla Rofili.

Elle fit tourner la pulpe de ses deux doigts sur ma rondelle, je fus effaré de sentir un plaisir diffus grandir. Continuant à me malaxer les couilles d'une main Marie parcourt mon échine de l'autre, sa langue venait récolter la sueur de mon cou. Cette fois Marie ne me refusa pas un baisé, je gouttais avec plaisir ses lèvres qui étaient petites pour une Africaine. Nos langues se rejoint mélangeant salive et passion, je fermais les yeux en me laissant aller. Qu'elles fassent de moi un momocou si cela me libérait de la terrible tension qui m'habitait, je ne voulais plus penser à rien.

Curieusement les doigts sur mon anus furent le lot de consolation pour ma queue exclu de toute caresse, sous la pulpe des doigts une douce chaleur montait inexorablement. Rofili tournait adroitement ses doigts alternant en appuyant doucement sur l'entrée. Les yeux clos je pouvais entre les percutions et les cris entendre distinctement le souffle de mon épouse aussi je serrais les fesses, je croyais ma fierté enterré mais elle n'avait pas encore dit son dernier mot. Dans ma fièvre je crus un instant que c'était Dieu qui me venait en aide alors que ce n'était que la peur d'être juger par l'amour de ma vie. Marie m'embrassait avec délicatesse en malaxant mes couilles, son autre main me massait la nuque. Elle appuyait son corps chaud contre le mien, un de ses seins était en parti sur mon bras et un pectoral. Tout cela eurent raison de ma concentration à contracter mon anus, je laissais échapper un soupir quand un doigt me pénétra. Rofili n'en resta pas la, il fallait qu'elle m’humilie devant mon épouse.

— Tu aimes déjà la sodomie pasteur, regarde comment ta queue palpite c'en est effrayant.

Marie quitta mes lèvres, je ne regardais pas mon sexe que je sentais bien secoué mais mon épouse. Sur le large rondin qui aurait pu faire office de banc elle était allongé sur ventre dans mon axe, redressé sur ses coudes elle restait médusé par les soubresauts de mon sexe. Allongé au dessus d'elle retenant une bonne partie de son poids sur ses bras musculeux Macoura la baisait ou la sodomisait, je ne voyais qu'une parti de son engin aller et venir entre les belles fesses ronde. Il jubilait de ma situation, en rajouta en se servant de mon épouse pour m'atteindre.

— Tu vois Katharina la nature de ton époux à parlé c'est bien un momocou né, ce sont nos esprits qui ont empêché que sa semence n'affaiblisse tes enfants. Tu vas voir que dans peu de temps comme un bon momocou il demandera à tes amants de le sodomiser.
— Je le prendrais un jour si tu veux encore de moi pour amant, rajouta-t-il en se penchant pour lui baiser une joue.» Mon épouse tourna sa tête pour lui donner sa réponse d'un fougueux baisé, j'étais à moins d'un mètre d'elle mais j'eus l'impression de disparaître de sa mémoire. Mon cœur me fit mal pour l'instant d'après se gonfler de bonheur, de beaux yeux vert se posèrent sur moi teinté d'amour et de perversité. Katharina vint à mon secours d'une étrange manière.

— Mon époux a une âme délicate Macoura, j'espère que tu te montreras plus prévenant avec lui qu'avec moi. Maintenant tais toi et baise moi.

Sans plus me quitter des yeux mon épouse gémit sous les mouvements de reins de son amant, le bas de leurs corps se soudaient et se dé-soudaient aux rythmes des percutions.


La révélation de ma fonction au sein de la tribu aurait du me faire arrêter sur le champs la cérémonie, j'aurais du dire au chef Bakamao que je renonçais vivre avec eux. J'essayais de me convaincre que si j'étais toujours volontaire c'était pour réalisé mon rêve, étendre le protestantisme, sauver des limbes toutes les âmes de la tribu. C'était vrai mais quelque chose d'autre me poussait à continuer l'épreuve. J’essayais de l'ignorer tant cela était contraire à toute mon éducation mais une partie de moi en était belle et bien troublé. Devenir une sorte de sex-toys pour toute la tribu m'échauffait, toutes les jeunes femmes qui nous encerclaient me serraient accessible. Je pourrais les embrasser, caresser leurs fesses, sucer leurs seins, lécher leurs chattes. Rofili et Marie agenouillées de chaque côté de moi me ramenèrent au présent qui était très proche de mes fantasmes. La cadette enfonça un deuxième doigt dans mon rectum, je senti les deux doigts me malaxer la prostate faisant encore monté d'un cran cette étrange chaleur, son autre main agaçait à tour de rôle mes tétons. L'aînée me malaxait les couilles avec adresse, sa bouche me suçait le lobe d'une oreille pendant que de son autre main courait dans mes cheveux. Je réussi à retenir mes gémissements un moment avant de craquer. J'aurais voulu pousser des râles comme Macoura mais seul des petites plaintes m'échappèrent. Trois doigts me fouillèrent irradiant mon rectum d'un plaisir certain, je ne pu retenir mon bassin d'onduler en gémissant de plus belle. Je cuisais sur place, mes deux tourmenteuses n'étaient pas les seul responsable, mon épouse y était aussi pour beaucoup. Un sourire extatique aux lèvres elle me dévorait des yeux, se nourrissant de mes vils pulsions autant que de son amant qui sur elle allait et venait avec plus d'ardeur.


Ma queue fut encore prise de palpitation, tirant sur mes liens je poussais du bassin tant je me sentais à un cheveux de jouir.

— N'arrêtes pas putain !

J'enrageais de sentir ma jouissance s'éloigner, gardant ses doigts immobiles dans mon cul Rofili me mordilla une oreille pour mon insolence.

— Pasteur tu gémis comme une jeune fille, ce sont mes doigts qui te mettent dans cette état ?
—Non...oui, continus merde.

Resserrant sa prise sur mes couilles Marie calma instantanément mon énervement, elle reprit d'une voix chaude.

— Tu aimes te faire sodomiser ?
— Oui, soufflais-je.
— Dis à ton épouse que aime la sodomie.

Katharina s'était remis à quatre pattes face à moi, Macoura la tenait fermement par les hanches en donnant de rapide coups de reins, je ne pouvais voir que ses couilles velue se balancer. Rofili reprit son massage prostatique pour m’inciter à me plier à cette nouvelle humiliation, je m'étais tant roulé dans la boue que même sans ces caresses je crois que j'aurais obéi.

— Katharina j'aime la sodomie.

Mon épouse ne cachait plus du tout son excitation à mes tourments, elle passa son regard sur ma queue tendu avant de revenir sur mes yeux.

— Vu que tu ne peux plus me baiser c'est bien que la sodomie te comble. Tu vas voir qu'une queue est bien meilleur que des doigts.

Ma propre épouse me poussait vers un péché mortel, mon âme était en grand danger pourtant je n'arrivais pas totalement à rejeter cette perspective.

— Katharina, dis-je indigné.
— Mon lapin ça m'exciterait beaucoup de te voir possédé par un homme, quoique tu décides tu resteras mon momocou d'époux.

Katharina reprit ses soupirs sous les coups de butoir de son amant. Les mains agrippés sur le rebord du rondin elle me provoquait du regard sur de m'avoir troublé. Rofili par ses caresses m’empêcha de prendre une décision tranché, ses doigts qui jouaient avec ma prostate me faisait un bien fou. Les hommes des bois étaient si viril, ils dégageaient une telle force qu'en voyant Macoura le temps d'un battement de cil je m'imaginais à la place de mon épouse. Je perdais complètement la tête.

Les tam-tams faisaient résonner dans la faille géologique leur inlassable percutions, les femmes de la tribu entamèrent une danse lascive. Leurs corps ruisselantes de sueur se mouvaient souplement, leurs hardant regards ne me quittaient plus. Entre quatre percutions elles murmurèrent mon titre. Momocou bourdonnait à mon oreille, c'était à la fois agaçant et enivrant. Je savais qu'en sortant du cercle je pourrais toutes les caresser, sentir la chaleur de leurs corps, malaxer leurs seins, lécher leurs chattes. Je ne contrôlais plus ni mon corps ni mes pensées, une bête que Dieu punirait un jour.

Marie lâcha mes couilles pour faire courir le bout de l'index le long de ma verge avant de trouver ma joue pour me tourner la tête vers elle, yeux dans les yeux elle parla de vive voix.

— Pasteur tu es prêt à devenir un momocou au service de notre tribu ? 
— Oui.

Je répondis sans hésiter, mon corps en fusion avait compris que la jouissance en était la récompense. Agenouillé tout les deux sur le rondin l'un derrière l'autre Katharina se redressa contre son amant, elle aussi voulait écouter ma reddition.

— Tu renonces à baiser ton épouse ?
— Oui, dis-je en regardant l'intéressée.
— Tu es heureux que ce soit Macoura et non toi qui engrosse ton épouse ?
— Je...elle ne va peut être pas tomber enceinte.
— Pasteur tu sais pourquoi nos esprits ont choisi cette nuit pour te mettre à l'épreuve? Parce que ton épouse est en pleine période d'ovulation, allié à ce lieux sacré la semence de Macoura te donnera un enfant à coup sur.
— C'est vrai, demandais-je à Katharina.
— Oui mon lapin, j'espère que tu prendras tes responsabilités.

Bien qu'immobile la verge de son amant était toujours en elle, je compris que Macoura attendait mon consentement pour jouir. C'était dur à encaisser, Katharina allait me donner un bastard et vu la couleur de son amant je ne pourrais même pas le cacher à nos familles et nos amis. J'avais boire le calice jusqu'à la lie. Rofili continuant à me masser la prostate en fonça le clou de sa voix railleuse.

— Tu devrais être heureux pasteur, Macoura va empêcher ta faible race de se multiplier pour te donner à la place un enfant fort.

Je poussais une plainte à un quatrième doigts qui m'écarta l'anus à la limite de la douleur, Rofili reprit.

— Regarde Macoura, voit comme il est fort. Ton épouse à de l'instinct elle a choisi l'un des meilleurs chasseurs. Il a aussi prouvé son courage lorsque des étrangers ont violé notre territoire, tu aura un enfant à sa hauteur.

Ses doigts de fée dans mon rectum étaient tout près de me faire jouir, m'appuyant sur elle je poussais un soupir sans arriver à prendre une décision, j'étais encore dans le cercle je pouvais toujours empêcher mon épouse de me faire un bastard. Une partie de moi entendait le raisonnement d'un autre âge, j'étais faible, esclave de mes pulsions, incapable de soutenir le regard d'un homme la queue enfoncé dans le vagin de mon épouse. Devenir un momocou ou rester un homme, un désir malsain me fit pencher pour le premier choix. Je regardais mon épouse à moins d'un mètre, je devais être sur d'une chose avant de m'engager.

— Katharina tu continueras à m'aimer ?
— Tu as volé mon cœur à notre premier rencontre, je n'aimerais que toi.


Les femmes de la tribu comprenant l'instant cruciale scandèrent mon titre avec toujours plus d’intensité pendant que les tam-tams y répondaient à faire trembler la terre, j'étais presque fière de cette attention. Marie reposa sa main sur mes couilles, elle les malaxa un instant avant de me pousser vers ma perte de sa voix envoûtante.

— Tu es trop faible pour supporter le poids d'être un homme, tes attribues viril ne sont qu'une illusion tu es un momocou qui ne doit jamais plus rependre sa semence dans une femme. Accepte ce destin que nos esprits ont choisi pour toi, laisse Macoura engrosser ton épouse.

Je levais la tête vers Macoura, son sexe toujours manger par celui de mon épouse il affichait un air grave.

— Je suis heureux que ce sois vous et non moi qui engrosse mon épouse.
— Tu reconnais être un momocou né ?
— Oui.
— Dis le de vive voix que tous t'entende, me souffla Marie.
— Je suis un momocou né.

Macoura me fit un signe de tête, mon épouse me sourit, les femmes autour de nous exultèrent. Je poussais une plainte quand Rofili loin de me faire jouir retira ses doigts de mon cul avant de quitter le cercle, Marie en fit autant. Elles se placèrent de part et d'autre des amants qui s'étaient levé toujours emboîté. Je savais ceux que tous attendaient mais j'avais toujours les poignets fixés aux chevilles.

— Rampe jusqu'à mes pieds, me dit autoritairement Macoura. Viens finir ce que tu as commencé momocou.

J'étais vidé de toute volonté, de toute fierté, me tassant je me laissais tombé au sol. Le peu de mou des cordes me permis de bouger comme un escargot, m'aidant des épaules je passais le cercle pour devenir aux yeux de la tribu un momocou, Marie avait raison je me sentis aussitôt apaisé.
Sur les genoux je me redressais devant mon épouse et son amant, en contre plongé je remontais sur ses jambes galbes, sa vulve étiré par un gourdin d'ébène, ses lourds seins aux mamelons dressés, avant de plonger dans ses beaux yeux vert qui me disaient encore je t'aime. Je lui baisais une cuisse en lui rendant son regard, je l'aimais rien ni personne ne changerait cela.

Les tam-tams se turent plongeant la faille géologique dans un silence de cathédrale, tous les animaux de la jungle avaient du s'éloigner depuis longtemps. Pendant un moment seul le craquement du bois qui se consumaient le long de la paroi raisonna. Le cercle de femmes s'agrandit, elles reculaient pour laisser une place à leurs hommes. Toute la tribu me regardait, le chef Bakamao nu comme moi rompit le silence, il parla dans son dialecte levant régulièrement les bras vers le ciel étoilés. Il communiait avec ses Dieux, bien qu’obscène la fête était éminemment religieuse, la tribu m'avait vaincu, j'avais la certitude que Bakamao en remerciait ses divinités. Toute la tribu fini par exulter, derrière eux les musiciens reprirent leur percutions, des gourdes en estomac d'animaux passa de bouche en bouche, les corps se remirent à danser. Hommes et femmes se déhanchèrent violemment, avec les flammes derrière eux qui montaient lécher la paroi à plus de deux mètres ils me firent penser à des damnés tout droit sorti des enfers. La fatigue et l'alcool me firent délirer, pendant un instant j'y vis un signe envoyé par Dieu pour que je sauve leurs âmes. La réalité était toute bête, ils ne connaissaient que le feux pour en cette nuit les éclairer.


Une petite plainte de mon épouse attira toute mon attention, s'étant bien habitué à l'engin qui lui étirait la vulve elle bougeai doucement son bassin. Elle avait envie que son amant reprenne la culbute, debout derrière elle Macoura les mains sur ses hanches attendait quelque chose. Marie et Rofili comme les gardiennes des amants me regardaient avec un sourire mauvais aux lèvres, elles n'en avaient pas fini avec moi.

— Ton épouse et son amant s'impatientent, me dit Marie. Fais ton devoir de momocou, échauffes leurs corps et leurs âmes de tes caresses.
— Vous allez pas me détacher ?
— Pour que tu te fasses jouir, railla Rofili.

Je la foudroyais des yeux, c'était exactement ce que j'avais en tête. Ma queue tendu m'était devenu insupportable, je n'aspirais cas me faire jouir et sombrer dans le sommeil pour tout oublier. Mes tourmenteuses virent s'agenouiller à mes côtés, j'attendais impatiemment leurs mains sur mon corps allant jusqu'à lever mes fesses. Rofili poussa l'amant à baiser le bassin pour faire jaillir son épaisse et longue queue, elle couru ses doigts sur le manche visqueux de mouille. Le dirigeant de son côté Rofili posa ses lèvres sur le gland massif, au premier rand je la regardais sucer avidement l'engin pendant que mon épouse la vulve appuyé contre la base du manche s'y frottait en expirant sa frustration de ne plus l'avoir en elle. Une main sur ma nuque Marie se pencha à mon oreille.

— Ça te plaît de voir Rofili sucer l'amant de ton épouse ?
— Oui. 
— Tu ne veux pas l'accompagner ?

J'eus une seconde d'hésitation, la queue à un souffle de moi me troublait plus que je ne pouvais l'admettre.

— Jamais de la vie.

Rofili quitta l'engin pour venir m'embrasser fougueusement, le goût viril mélangé à sa salive ne calma pas mes pulsions qui s'en moquaient. Je poussais ma langue contre la sienne sans retenu, tirant sur mes liens j'avais envie de la coucher sur le sol pour la baiser. Je savais que les lois de la tribu m'interdisaient désormais de copuler mais je m'en moquais, j'étais en rut.

— Nous allons bien te dresser, continua Marie sur un ton doux. Tu vas finir par aimer sucer les queues des hommes de la tribu, sentir leurs puissants pulser sous ta langue, faire venir leurs semences.

Quittant mes lèvres Rofili suça longuement l'engin, sa langue courait sur le manche, sa bouche venait sucer une couille avant de remonter prendre le gland massif en bouche. Mon épouse regardait comme moi cette jeune femme si habile prendre beaucoup de plaisir à cela. Reprenant son souffle Rofili positionna le gland massif sous les lèvres intimes de mon épouse, dans un gémissement elle s'y empala jusqu'aux couilles. Debout ondulant contre son amant qui lui suçait le cou en courant ses mains sur son corps Katharina ferma les yeux pour savourer son bien être. Je me penchais vers Rofili pour retrouver ses lèvres poisseuse, ni elle ni Marie ne me caressaient plus pour m'inciter à pécher. J'étais à bout néanmoins l'hétéro que j'étais rejetait avec force la demande, de sur croix sous le nez de mon épouse. Sous les tam-tams et le brouhaha de la joyeuse tribu à mon tour je fermais les yeux pour me laisser aller au baisé en me promettant de ne pas m'enfoncer plus loin dans la luxure.


Rofile rompit le baisé, au grand dam de mon épouse elle s'amusa encore à extraire l'engin palpitant de son doux fourreau, perlant de nectar je pouvais voir les grosses veines le long du manche pulser. Cette fois c'est Marie qui se pencha pour sucer le gland massif, elle goûtait à la fois mon épouse et son amant. J'essayais de me sortir cette dangereuse idée de la tête sans succès. Marie roula sa langue sous le gland puis avança sur l'engin. Rofili se pencha sur les couilles velus, les malaxant d'une main elle fini par en sucer une. La toison rousse allait et venait sur le manche, je levais les yeux vers mon épouse qui désirait ardemment se refaire baiser.

— Mon lapin ça ne me choquerait pas que tu jouais pleinement ton rôle de momocou, à vrai dire ça m'exciterait beaucoup.

À ces mots je ressentis un désir malsain, mon corps réagit en dépit du bon sens. Katharina ne s'arrêta pas en si bon chemin, ses yeux impérieux posé sur moi elle reprit.

— Tu n'as aucune honte à avoir, ce sont des mœurs naturel pour la tribu personne ne va se moquer de toi.

Recrachant l'engin Marie le guida sous les lèvres intime de mon épouse, cette fois elle prit tout son temps. Sa vulve épousa la courbe du gland massif, par petits mouvements de bassin elle se laissa lentement tomber en gémissant son bonheur. Le gland passa entièrement mais au-lieux de continuer Katharina releva le bassin, captant mon regard elle fit sortir entièrement l'engin pour du bassin le faire passer à l'horizontal.

— Pour me faire plaisir, me dit-elle avec un sourire irrésistible.

Je fus extrêmement troublé mais la ligne à franchir me paraissait toujours insurmontable, le gland massif visqueux à un souffle était bien trop effrayant. Doucement mon épouse avança sa vulve sur le manche, puis leva son bassin. Sans même m'en rendre compte j'avais déjà poser ma bouche sur son clitoris exposé, je poussais un soupir en le susurrent alors même que le gland me touchait le menton. Me dominant de toute sa hauteur mon épouse passa une main dans mes cheveux, je me sentais totalement à sa merci et elle le lu dans mes yeux.

— Soit gentil mon lapin suce mon amant.

Katharina recula son bassin, j'eus un mouvement de recule devant l'engin de Macoura luisait de nectar. D'une simple pression mon épouse me fit franchir l'interdit, je me dépouillais de mes dernières illusions d'être encore une homme.

Subjuguais par mon épouse je m'abandonnais à ses désirs, le cœur à tout rompre je posais mes lèvres sur le gland massif. Je pensais m'en révulser je ne fus que surpris par sa douceur, timidement je goûtais les fluides mélangés des amants. Marie et Rofili me récompensèrent de leurs mains baladeuses pendant que mon épouse jouissait du spectacle en me caressant la tête comme un gentil lapin. Son amant par dessus une épaule m'adressa un sourit chaleureux, comme le reste de la tribu turbulente Macoura était content que je me soumette à leurs lois.

— Ouvres la bouche mon lapin commences à sucer mon amant.

Exsangue d'avoir lutté en vain je me laissais guider avec plaisir, la chaleur du gland qui avait le goût de mon épouse m'aidait beaucoup. Je le pris entièrement en bouche en roulant ma langue sous la jointure, Macoura poussa un petit râle. Mes deux tourmenteuses retrouvèrent leurs organes de prédilection, Marie me malaxa les couilles et Rofili me pénétra de trois doigts pour venir masser ma prostate. Je poussais un soupir étouffé aux plaisirs qui virent s’accumuler dans ma queue déjà au supplice, je tirais une énième fois sur mes liens pour me libérer de cette insupportable chaleur qui m'habitait. Frustré au-delà de toute limite je la reportais sur l'engin de Macoura, je le suçais comme j'aurais aimé l'être. Titillant son urètre je m’accoutumais au liquide plutôt salé qui s'en échappait puis je le suçais en recommençant à faire jouer ma langue sous les jointures, Macoura poussa d'autres râles. Mon épouse continua à frotter sa vulve contre la base de l'engin. Ses yeux brillaient d'un appétit sans borne, elle voulait tout et avait tout eu. Son amant bien membré et son époux soumis transi d'amour.

Je me sentais encore tout près de jouir, les doigts de Rofili irradiaient mon rectum d'un plaisir qui faisait palpiter ma queue. Continuant à sucer Macoura je poussais un soupir en amorçant un petit mouvement de bassin, Rofili ralenti son doigtage.

— Il va y prendre goût rapidement, dit-elle à Marie.
— Macoura a vu juste c'est un momocou né, son dressage va être un jeux d'enfant.

Elles voulaient que je comprenne, leurs langues étaient des armes contre mon âme déjà en péril.

— Tu crois qu'il va aussi se soumettre aux autres tribus, reprit Rofili.

— Même en sachant ce qui l'attend à la dernière fête il acceptera avec bonheur de se donner aux sept tribus.

Marie accentua la pression de ses doigts sur mes couilles, elle m'envoyait un message qui apparaissait peu à peu à mon esprit survolté.

— Une fois transformer par notre shamane, reprit-elle. Il pourra toutes nous baiser sans restriction aucune.

Je poussais un soupir à cette perspective, mes yeux ne quittaient pas la vulve de mon épouse qui se frottait contre la base de la queue de son amant. Baiser était devenu mon obsession, chaque particule de mon être était tendu vers ce désir.

— C'est vrai que ça peut le rendre beaucoup plus endurant, demanda Rofili à son aînée.
— Il mettra plus de temps à durcir mais après c'est une nuit d'amour qui t'attend. Pour ne rien gâcher ses poils vont arrêter de pousser, il va devenir aussi doux qu'un bébé.

Extrême fatigue me brouillait la vue comme la tension sexuelle bien trop longtemps contenu brouillait mon esprit, c'était si démentiel que je ne pouvais qu'avoir mal compris. Mon épouse me conforta dans ce sens, sans s'alarmer de la discutions elle continua à onduler contre l'engin que je suçais.


— Momocou tu as bien agi en te soumettant, me dit Macoura. Maintenant je vais donner à ton épouse un enfant qui renforcera ta faible tribu.

Debout contre mon épouse il la souleva par le creux des genoux comme si elle ne pesait rien. Retenu par de grosses mains noires sous ses genoux pliés Katharina passa un bras autour du cou de son amant pour se stabiliser, ses pieds pendaient de chaque côté de ma tête. Marie donna un tape sur la main de mon épouse qui voulait guider l'engin en elle.

— Demande à ton momocou d'époux il est la pour te servir toi et ton amant.
— Mon lapin guide la queue de Macoura dans ma chatte.

Rofili me libéra de mes liens, sans cette sorte de laisse qui avait contraint mes pulsions je me sentais perdu.

— Ne te touche pas la queue, me prévient Marie. Démontre à tous que tu es maintenant un docile momocou qui ne jouira jamais avant ses maîtres.

Me frottant un poignet mis à vif j'avais surtout envie de me lever pour baiser mon épouse. Macoura me toisa durement, je sentais Marie et Rofili prêtent à intervenir si je ne restais pas soumis. Sous le rythme entêtant des tam-tams la tribu qui dansait en cercle autour de moi scanda mon titre, je n'avais pas besoin de ce rappelle pour savoir à quoi je m'exposais si je violais leurs lois sacrées. Je posais ma main sur l'engin de Macoura visqueux de ma salive, il souleva un peu plus mon épouse pour me laisser positionner son sexe. J'avais été consentant tout le long de la cérémonie mais sans les liens aucune excuse pour sauver la face, j'offrais mon épouse à un homme. J'étais fou, un fou conscient c'était encore pire.
Les lèvres intimes écartèrent pour laisser entièrement passer le gland couleur ébène. Accroché d'un bras au cou de son amant en se caressant un seins mon épouse poussa un gémissement, je restais agenouillé à la contempler. Elle n'avait jamais été aussi belle, son visage parsemé de tâches de rousseur affichait un instance plaisir, le bout de son fin nez était aussi rouge que ses joues, sa bouche haletait sous les coup de butoir. Macoura la baisait en de lents mouvements de reins, sa queue sortait presque entièrement avant de la faire disparaître. J'étais libre de mes mouvements mais pour rien au monde j'aurais quitté ma place, même si je ne la touchais pas physiquement ses yeux étaient connecté aux miens. Mes tourmenteuses toujours agenouillé à mes côtés me caressaient au même rythme. Alternant entre douceur et douleur Marie jouait avec mes couilles, je poussais quelques plainte mais je voulais qu'elle continu. Léchant mon cou palpitant Rofili me sodomisait de trois doigts, je levais les fesses sans plus aucune pudeur. Mon âme et mon corps avaient été mis à nu, je n'avais plus rien à cacher à la tribu à qui j'appartenais désormais.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Pour l'amour de Dieu 7 (corrigé par AlexisPC)
Pour l'amour de Dieu 5 (corrigé par AlexisPC)
Pour l'amour de Dieu 4 (corrigé par AlexisPC)
Pour l'amour de Dieu 3 (corrigé par AlexisPC)
Pour l'amour de Dieu 2 (corrigé par AlexisPC)