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L'éducation de Pierre (Chapitre 8)

Après avoir fait la connaissance de Marie-Anne, l’amie de Chantal, Pierre assistera à sa première soirée coquine sous l’œil vigilant de sa professeure. Cette dernière confirmera le bienfondé de sa méthode d’éducation.

Proposée le 11/09/2023 par Lolo67

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Thème: Première fois
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


La dernière visite de Marie-Anne fut l’objet de nombreuses discussions entre Chantal et moi. Elle dut admettre que son jeune élève avait véritablement fait de gros progrès depuis le premier cours qu’elle lui avait donné il y a quelques mois.
Non seulement ses notes en classe avaient évolué favorablement, mais son comportement s’était considérablement amélioré.
Il n’y avait plus cette colère à fleur de peau qui menaçait d’éclater à tout moment. Chantal avait réussi à canaliser les pulsions violentes qui risquaient de faire de lui un mauvais garçon capable de déraper à la moindre contrariété.

Sans pour autant être totalement devenu adulte, Petit Pierre s’était assagi. Il arrivait maintenant à se maîtriser et à contenir son tempérament fougueux qui ne faisait que lui attirer, à la longue, l’inimitié de ses camarades et la colère de son entourage.
La preuve nous était apparue évidente lorsque Marie-Anne, par son attitude provocante, avait écarté les cuisses et qu’il n’avait pas bronché pour autant.

Je fis remarquer à ma chérie que sa méthode d’enseignement avait porté ses fruits, ce à quoi elle me répondit que le mérite en revenait entièrement à ce jeune homme simplement doué.
- Je ne partage pas ton analyse, lui rétorquai-je. Seul le « dressage » que tu as appliqué à ce petit mâle est la raison de ce succès.
- Dressage ? Je sais que j’avais moi-même employé ce mot au tout début mais tu y vas un peu fort, tu ne crois pas ?
- Non, tu avais alors raison, je pense que c’est le mot qui convient. Les autres ont essayé les méthodes douces qui n’ont pas fonctionné alors que toi, tu ne lui as rien passé.
Tu l’as puni lorsqu’il s’écartait du chemin que tu avais défini et tu l’as récompensé lorsqu’il s’appliquait.
Ça s’appelle du dressage non ?
- Tu m’attribues peut-être beaucoup trop de mérite mon chéri. Reconnais quand même qu’il nous étonne ce gamin non ?
- C’est vrai, admets-je, mais tu sais combien il est difficile pour un mec de réfréner certaines pulsions en particulier lorsqu’elles viennent de son bas-ventre et que, sans ton enseignement strict, Pierre n’aurait jamais résisté face à la provocation de ta copine Marie-Anne.
Toutefois, si tu en doutes encore, il y a un moyen infaillible de vérifier que ton dressage est le seul responsable de ta réussite avec lui.
- Ah bon ? Lequel selon toi ?
- Figure-toi que je viens de recevoir un mail de Gilbert…

Arrivé à ce moment de mon récit je me dois de vous présenter Gilbert et Valérie avant de poursuive plus avant.
Gilbert est le compagnon de Valérie, une autre amie de Chantal qui exerce elle aussi le même métier.
Toutes deux se connaissent depuis quelques années. Elles se sont rencontrées lors de stages effectués ensemble et avaient rapidement sympathisé. Gilbert et Valérie vivent en couple depuis 2 ans maintenant.
Gilbert est plus âgé que Valérie de 25 ans environ. En y regardant de plus près, il y avait bien peu de chances que ces deux-là se retrouvent ensemble un jour. Et pourtant, c’est ce qui s’est produit au hasard des rencontres professionnelles qui les ont conduits à se fréquenter.
Gilbert, la cinquantaine bien sonnée, son allure de gros rustre, souvent mal fringué et pas toujours bien rasé, n’a pas vraiment le profil du dragueur de minettes.
De son côté Valérie, 25 ans, était une jeune femme effacée à l’air fragile. Pesant tout au plus 40 kilos pour 1mètre 50 cette petite blonde a eu bien des difficultés à surmonter sa première histoire d’amour. Elle s’en était alors largement épanchée sur l’épaule de Chantal.
Ce n’est que depuis sa rencontre avec Gilbert qu’elle semble avoir retrouvé le goût de vivre.
On peut même dire qu’elle est totalement changée, autant physiquement que mentalement.

D’après les propres dires de Valérie, Gilbert la métamorphosée. Tout d’abord, il l’a totalement relookée. Elle qui ne portait que des jupes longues et de larges pulls sans forme qui ne la mettaient pas en valeur, style hippie attardée, ose maintenant des tenues plus modernes affichant ouvertement sa jeunesse. Gilbert à ses côtés ne semble pas prendre ombrage de cette différence d’âge évidente aux yeux de tous.
Pour ceux qui ne les connaîtraient pas, on aurait facilement pu les prendre pour un père et sa fille.

Les apparences sont parfois trompeuses et c’est le cas de ce couple insolite. Personne n’imaginerait ce que cachent ces deux êtres si dissemblables.
Alors que dans la vie de tous les jours ils se comportent tels un couple discret, sans histoire, ceux qui les fréquentent plus intimement connaissent la vérité.
Gilbert a toujours été un libertin accompli. Sa longue expérience des clubs privés lui avait même permis d’acquérir à une certaine époque, une réputation sulfureuse dans le milieu de la nuit. Il y a quelques années, en effet, il faisait même figure de maître dans le cercle très restreint du SM Strasbourgeois. Les années avaient passé et Gilbert s’était assagi. Depuis quelques années, ce dernier franchissait plus rarement les portes des clubs de la région jusqu’à ce qu’il rencontre Valérie et perçoive la véritable nature de celle-ci. Peu de temps après le début de leur liaison, il sut déceler en elle l’âme d’une vraie soumise. Il lui fit découvrir cette facette de sa personnalité qu’elle ignorait elle-même.

Autant dans la vie quotidienne ils étaient ordinaires, autant ils détonnaient en privé.
Ensemble, ils formaient un duo explosif Dominant/soumise.
Chantal avait maintes fois recueilli les confidences intimes de son amie et avait ainsi suivi l’évolution psychologique de la petite blonde.
Dès le début de leur relation, Valérie avait exploré avec Gilbert l’art de l’exposition publique. A cette époque, Valérie avait confié à Chantal les directives bizarres que lui imposait son amant :
- Interdiction définitive de porter le moindre sous-vêtement,
- Interdiction de porter des pantalons,
- Interdiction de serre les genoux et encore moins de croiser les jambes en public,
- Interdiction de baisser les yeux face à un étranger qui avait deviné sa nudité,
- Perte progressive du tout sentiment de pudeur.

Après avoir écouté cette liste d’interdictions diverses, Chantal, qui connaissait bien Gilbert, avait alors rassuré la petite blonde en lui disant que ces petits jeux étaient parfois bénéfiques et n’avaient certainement pour but que de pimenter les relations entre amants.

Quelques mois plus tard, Valérie avait confirmé ce premier diagnostic en déclarant « On s’entend vraiment bien avec Gilbert et sexuellement, c’est le pied ».
Chantal en était persuadée car elle avait noté que son amie reprenait de plus en plus confiance en elle. Tout bien considéré, ce type de relation avait plutôt des effets positifs sur son amie.
Les mois passant, Valérie paraissait de plus en plus radieuse. Gilbert et elle passaient régulièrement leurs samedis soirs dans des soirées privées ou Gilbert pouvait, à loisir, révéler les penchants un peu spéciaux de sa jeune compagne.

Pour les avoir croisés lors d’une soirée, nous avions pu constater la métamorphose de la petite blonde. Ce soir-là, le couple arriva vers les 23h00. Gilbert vêtu d’un jean noir et d’une chemise de la même couleur précédait Valérie, totalement nue, hormis un collier de cuir noir auquel était attaché une fine laisse en maillons métalliques argentés que Gilbert tenait négligemment.
Les cheveux relevés en chignon, le port de tête altier elle avait l’air d’une reine se déplaçant pieds nus parmi ses sujets. La bouche parée d’un rouge à lèvres écarlate elle était méconnaissable.
Gilbert et elle traversèrent le salon, s’arrêtant de-ci, de-là pour adresser quelques mots aux uns et aux autres. Il était évident que Gilbert était très fier d’exhiber sa compagne.

Lorsqu’ils arrivèrent à notre niveau Chantal et elles s’embrassèrent amicalement tandis que je félicitais Gilbert du résultat obtenu avec Valérie.
Ce dernier lâcha la laisse et nous abandonnâmes nos chéries respectives qui ne s’étaient pas vues depuis longtemps et qui avaient sans doute des tas de choses à se dire.
Tout en discutant, nous nous dirigeâmes vers le buffet pour nous y récupérer une coupe de crémant.
Après quelques minutes Gilbert me confirma que Valérie et lui filaient le parfait amour et que cette dernière l’étonnait chaque jour. Il m’avoua même qu’elle le mettait sur les rotules et qu’à son âge il avait parfois bien du mal à suivre le rythme de sa princesse.
« A présent, me dit-il, je ne la baise plus qu’une à deux fois par semaine alors pour la calmer je l’emmène régulièrement en soirées. Ça me permet de souffler un peu pendant que d’autres mecs me remplacent autre ses cuisses ». « On n’a plus vingt ans ! » conclue-t-il d’un rire sonore.

Effectivement, la petite blonde malgré son format de poche faisait preuve d’une belle santé sexuelle.
Ce soir-là, je pus également constater que Gilbert prenait, lui aussi, beaucoup de plaisir à admirer Valérie se faire peloter par d’autres hommes. Le visage satisfait, il ne la lâchait pas du regard. Elle de son côté le fixait intensément lorsque, cuisses écartées, elle se faisait doigter ouvertement par un nouveau partenaire.

Après vous avoir brossé le portrait de ce couple original, j’en reviens au mail que je venais de recevoir de Gilbert et qui intriguait Chantal au plus haut point. Quel rapport pouvait-il y avoir avec Petit Pierre ?
Je me lançais alors dans les explications.

- Gilbert m’annonce qui part pour Paris lundi prochain dans le cadre du boulot.
Comme il ne sera de retour que samedi tard dans la soirée, il craint que Valérie trouve son absence un peu longue et il souhaiterait qu’elle passe une soirée en notre compagnie.
- Et alors ? ça te pose en problème ? me questionna Chantal. Elle est la bienvenue et elle le sait.
- Pas le moins du monde répondis-je, mais c’est la suite du mail est intéressante.
Lis un peu ce qu’il m’écrit.
Je tendis mon portable à Chantal afin qu’elle prenne, elle-même, connaissance des dernières lignes du mail.

« ….Je rentrerai tard samedi, mon train arrive en gare de Sélestat vers 23h45. Après une semaine intense, je vais être claqué et je ne suis pas certain de pouvoir assurer avec Val. Pourrais-tu veiller à ce qu’elle rentre, elle aussi, suffisamment fatiguée pour ne pas trop me solliciter dès ma descente du train ?
Si ce n’est pas trop te demander, je serais même plutôt rassuré de savoir qu’elle a eu son content de sperme en mon absence. Elle n’est pas habituée à une si longue abstinence.
Je sais que tu feras le nécessaire.
Amicalement,
Gilbert »

Chantal resta bouche bée à la lecture du mail.
- Je savais que Gilbert avait de gros besoins niveau sexe mais je n’imaginais pas que Val était devenue nymphomane.
- Je ne t’en avais pas parlé mais il m’a avoué, il y a quelques temps, que l’âge avait fait son œuvre et qu’il offrait parfois d’autres queues à Valérie lorsqu’il ne pouvait plus faire face lui-même à ses besoins.
Par ailleurs, il m’a assuré ne pas souffrir de cet état de fait, éprouvant même beaucoup de plaisir à la savoir satisfaite de ce côté-là.
- Ça alors ! s’étonna Chantal, si j’avais imaginé que Val évoluerait ainsi un jour, elle, d’un naturel si effacé à l’origine.
- Tu sais les gens changent avec le temps et les expériences de la vie.

Après un instant de silence, histoire de digérer ces informations Chantal m’interrogea :
- Qu’envisages-tu de préparer pour satisfaire Gilbert et quel est le rapport avec le gamin ?
- Je pensais que nous pourrions inviter Valérie samedi soir en début de soirée, vers 17/18h00 ainsi que quelques-uns de nos amis proches afin qu’ils se chargeraient d’elle Nous la renverrons juste avant le retour de Gilbert, qu’en dis-tu ?
- Oui c’est faisable mais et Pierre dans cette affaire ? N’imagine surtout pas que je l’autoriserai à participer à cette soirée. IL N’EST PAS PRÊT ! et je NE VEUX PAS que tes amis le voient. Avec Marie-Anne s’est déjà une de trop qui est au courant.
- Calme-toi je t’en prie ma chérie, je n’avais pas l’intention de l’impliquer directement dans cette soirée. Mais il pourrait tout de même y assister en tant que spectateur, ce serait assez formateur non ?
- Je NE VEUX PAS qu’il puisse être reconnu. Et je NE VEUX PAS qu’il touche une femme avant de l’avoir moi-même décidé, répliqua-t-elle immédiatement.
- Achète-lui une cagoule si tu veux et comme ça personne ne saura qui il est ? et quant à sa discipline, je te laisse le soin d’imaginer la façon de le museler. Tu verras bien s’il est aussi docile que je te l’avais dit et tu constateras ainsi que ton dressage est réussi.

Après notre discussion je ne savais pas comment interpréter l’attitude de ma chérie. Je décidais donc de lui laisser le temps d’assimiler ma proposition avant d’aborder à nouveau le sujet.

Le lendemain, espérant que la nuit lui avait porté conseil et je me résolus à lui poser la question.
- Alors, qu’as-tu décidé pour samedi ?
- Tu as raison, me répondit-elle. Il faut que j’en ai le cœur net et que je m’assure de ne pas faire fausse route avec le gamin.
Comme je dois me rendre à Strasbourg cet après-midi, je ferai un détour chez Concorde et je vais lui trouver une cagoule au rayon SM. Ça devrait être suffisant pour assurer son anonymat.
Et pour ce qui est de la soirée en elle-même, je lui fixerai les limites de ce que je tolérerai de sa part et il aura intérêt à ne pas bouger.
- Sage décision mais soit consciente que cette soirée constituera aussi un test grandeur nature pour Petit Pierre. Ne soit pas trop sévère avec lui quand même.

Le soir même Chantal rentra vers 17h00 et me détailla ses emplettes.
Elle tira de son sac à main une cagoule en lycra munie de seulement 3 trous (2 pour les yeux et un pour la bouche) puis elle sortit un petit sachet qui m’intrigua immédiatement.
- Et ça, c’est quoi ?
- Un harnais, répondit-elle tranquillement. Lorsque tu m’as dit hier que je saurai comment « museler » le gamin, j’ai réfléchi toute la nuit. Et comme je trainais au rayon SM j’ai posé les yeux sur ce petit machin en cuir, spécialement conçu pour une sexe d’homme. J’ai tout de suite pensé que ce joujou irait non seulement bien avec la laisse que je lui avais déjà achetée et dont je pourrais aussi me servir pour le contrôler au cas où. J’ai hâte de le voir là-dedans, conclue-elle un sourire malicieux aux lèvres.

Il me restait un peu plus d’une semaine pour organiser cette soirée spéciale et faire plaisir à Gilbert. Je me mis donc en chasse des 3 ou 4 hommes de confiance qui sauraient être à la fois performants et surtout discrets.
Le premier nom qui me vint fut celui de Christian, l’ex de Marie-Anne bien sûr. Avec lui, le secret de cette soirée serait bien gardé et côté sexe il avait une bonne réputation et de bons contacts.
Je comptais sur lui pour me conseiller quant au choix des autres partenaires. Christian avait une vie sociale qui dépassait largement le cadre de notre petite ville.
Comme il était très investi au sein du club de handball local, cela aussi pouvait être un bon moyen de recruter les garçons idoines.
Il connaissait mes critères de sélection et m’avait assuré qu’il dégoterait au moins deux mecs sympas et disponibles.

De mon côté, je pensais demander à mon pote Emmanuel.
Emmanuel était un garçon simple, il bossait dans une entreprise de couverture bien connue dans la région. Dans notre jeunesse, alors que nous étions célibataires, nous avions écumé les boites de nuits et avions partagé quelques soirées mémorables. J’avais alors pu constater que mon pote avait été très bien gâté par la nature. Dans mes souvenirs, il avait « élargi » une bonne quantité de nanas. Nous ne nous étions pas revus depuis plusieurs mois, pris que nous étions dans nos propres vies et c’était l’occasion de passer à nouveau un bon moment ensemble.

Je décidai de l’appeler.
- Salut Manu, c’est Laurent, comment vas-tu ?
- Bien, je te remercie et vous deux Chantal et toi ?
Sachant qu’avec lui, cela ne servait à rien de tourner autour du pot, j’en vins directement au fait :
- Tout va bien, dis-moi je t’appelle pour te demander un service. Es-tu libre samedi prochain entre 18h00 et 23h00 ?
- Oui, ce weekend j’ai rien de prévu pourquoi ?
- Chantal et moi organisons une petite soirée en l’honneur Valérie. Tu te souviens d’elle ? Une petite blonde, amie de Chantal ? Son mec nous la confie pour quelques heures et nous avons carte blanche.
- Je vois le genre de soirée en effet, répondit Emmanuel avec la voix du gars qui avait tout compris. Tu peux compter sur moi, tu fournis les capotes ? ajouta-t-il, me faisant bien comprendre que le message était bien passé.
- T’inquiète pas pour ça, tout est prévu. Nous avons juste besoin d’une queue hors norme comme la tienne.
- Alors à samedi. Je me tiendrai tranquille cette semaine pour être en pleine forme.
J’adorais ce mec, pas compliqué, le cœur sur la main, toujours prêt à rendre service.
Voilà !

J’étais tout content d’apprendre à Chantal que le groupe était au complet puisque Christian venait de me laisser un sms m’indiquant qu’il avait recruté deux jeunes handballeurs de l’équipe réserve. 26 ans tous les deux, 1,80m et en pleine forme physique.
« Ils tiendront leurs langues m’assura Christian. Nous fréquentons les mêmes lieux de débauche et ils n’ont pas envie que ça s’ébruite car ils tiennent à leur réputation de mecs sérieux ».

A présent, je pouvais donc informer Gilbert que la mission qu’il m’avait confiée était en bonne voie.
- Tout est OK, Valérie est attendue pour 18h00,
- Super ! Je transmettrai mes dernières consignes à Val vendredi dans la matinée pour qu’elle vous soit totalement dévouée samedi soir. Je lui demanderai de lire à haute voix le mail que je lui enverrai de manière à ce qu’il n’y ait aucun doute dans l’esprit de chacun des participants.
Inutile de te préciser qu’il n’y ne devra y avoir aucune capote, aussi je te prie de t’assurer que tous les participants seront cleans.

A la lecture de cette dernière information j’informai immédiatement Emmanuel et Christian afin qu’il prévienne les handballeurs et qu’ils se fassent tous tester au plus vite sous peine de « carton rouge »

Chantal, quant à elle, avait contacté Valérie. Elle l’avait invitée, soi-disant à diner samedi, en lui précisant qu’elle devait être à la maison vers 18h00 sans lui donner plus de précisions.
Pour ce qui est de Petit Pierre, elle lui adressa un simple sms laconique : « Samedi : cours décalé à 17h30. Ne sois pas en retard. Préviens ton père que tu ne rentreras pas avant minuit ».

Tout était prêt pour que la soirée se déroule dans les meilleures conditions bien que le délai aussi court me faisait craindre une défection parmi nos invités.

Samedi arriva bien vite car les préparatifs avaient occupé nos maigres temps libres de la semaine. Chantal s’était chargée des amuse-bouche et des rafraichissements tandis que moi j’avais un peu modifié l’agencement du salon. Les fauteuils et le canapé avaient été repoussés le plus loin possible vers les murs et un matelas de 160 avait quant à lui remplacé notre table de salon. La table de salle à manger avait été débarrassée de tout objet et recouverte d’un drap blanc.

Tout était enfin prêt quand le son caractéristique du scooter de Pierre se fit entendre à 17h30 précise dans l’allée.
- Laisse-moi accueillir le gamin, m’avertit Chantal.
Elle était excitée comme une puce à l’idée de l’informer du déroulement du « cours » de ce soir.
Elle lui fit signe de renter sa monture pétaradante dans l’un des garages pour plus de discrétion et lui fit signe de se dépêcher de la rejoindre.
- Bonjour gamin lui dit-elle. Finalement, il n’y aura pas de leçon aujourd’hui.
Pierre afficha illico sa déception que la miss balaya instantanément.
- Enfin, pas de leçon d’allemand en tous cas mais tu apprendras beaucoup de choses quand même ce soir.
Va te préparer et je t’en dirais plus après.
Pierre disparut dans la salle de bains des invités après avoir récupéré le collier de cuir accroché au porte-clés de l’entrée comme il en avait pris l’habitude.

Au bout d’une dizaine de minutes, Chantal pénétra dans la salle de bain, sans frapper et de manière énergique.
- Bientôt prêt Petit-Pierre ? Tiens j’ai un nouveau cadeau pour toi lui fit elle, toute guillerette, en lui tendant le petit harnais de cuir.
- Qu’est-ce que c’est ? demanda Pierre.
- Considère ça comme une parure que je t’offre. Tu verras, avec ça tu seras irrésistible.
Il s’agit d’un harnais pour homme. Tu vois ici, cette ganse est faite pour tes testicules et l’autre plus petite pour ta verge. Comme tu peux le constater chacune d’elles est réglable alors veille bien à l’ajuster convenablement. Ni trop serré pour ne pas te blesser, ni trop lâche pour qu’il ne tombe pas. Tu dois te sentir bien confortable avec.
Débrouille-toi, je vérifierai une fois que tu l’auras enfilé.
Elle sortit de la salle de bain, laissant Petit Pierre se débrouiller avec cet étrange attirail.

Une dizaine de minutes plus tard, il réapparut et se présenta au salon étonné de la nouvelle disposition de la pièce.
Il avait réussi à enfiler le harnais plus rapidement que l’avait pensé Chantal et visiblement cette manipulation l’avait déjà mis en condition. Sa queue, à demi érigée, étaient baguée d’une première lanière tandis ses boules étaient prises par une deuxième lanière.
Assise au milieu du canapé, Chantal lui fit signe de s’approcher d’elle.
- Viens-là, montre-moi ça. Pas mal ! fit-elle après une courte observation, toutefois tu n’as pas assez serré les boucles, gamin. Je vais arranger ça. Elle commença par la lanière entourant ses bourses qu’elle serra de 2 crans puis elle fit de même pour celle entourant sa verge.
L’effet fut quasi immédiat et Petit Pierre avait maintenant fière allure arborant une queue érigée à la verticale et des testicules qui semblaient dures comme des boules de pétanques tellement la pression avait été accentuée par le serrage des deux boucles.
Pierre se plaignit un peu de l’inconfort provoqué par la lanière sur sa verge en faisant remarquer qu’elle le serrait trop. Chantal lui opposa que cet objet avait également pour but de l’aider à se maintenir en érection le plus longtemps possible et que sa queue était parfaite ainsi.
- A présent, assieds-toi près de moi, ordonna-t-elle. Je vais t’expliquer ce qui va se dérouler ce soir.
Sans insister mais un peu inquiet tout de même, Pierre obéit.
- Alors voilà commença-t-elle. Ce soir, nous organisons une petite soirée intime avec quelques amis. J’ai décidé que tu seras présent à mes côtés mais que tu ne prendras pas part à ce qui se déroulera.
Je compte sur toi pour rester discret. Et surtout, ne me fait pas regretter de t’avoir invité.

Pierre paru déstabilisé par cette annonce et Chantal compris que ce qui le gênait le plus était qu’il puisse être reconnu pas l’assistance.
- Ne craint rien gamin, tu porteras ça, c’est une cagoule. Enfile-la ainsi personne ne pourra deviner qui tu es. Tu devras rester silencieux et suivre scrupuleusement les ordres que je te donnerai. Je compte sur toi et surtout, ne me fais pas honte ! c’est bien compris ?
- Oui madame.
Pierre, soulagé par cette annonce, voulu quand même connaître les détails de la soirée. Chantal ne lui dévoila rien de plus mais l’assura du côté formateur des heures à venir.

Peu avant 18h00 Emmanuel arriva, suivi de peu par Christian et les deux sportifs.
Après avoir garé leurs voitures, ils vinrent à ma rencontre, l’air à la fois ravis d’être là, tout autant intrigués par cette invitation peu orthodoxe.
- Bonjour les gars, merci d’être venus. Nous devrions passer une soirée agréable si j’en crois les indications laissées par Gilbert.
Christian nous présenta Kilian et Noah les deux jeunes qui l’accompagnaient :
- Deux gamins que j’ai connus quand ils étaient cadets annonça-t-il joyeusement. Ce sont vrais mecs maintenant, n’est-ce pas les gars ?
Un peu intimidés les deux garçons acquiescèrent d’un hochement de tête.
Qu’est-ce que Gilbert attend de nous exactement ? poursuivit Christian.
- Il n’a pas été très précis répondis-je, mais il m’a dit que nous en saurions au peu plus quand Valérie serait arrivée. Je crois simplement savoir que vous avons quasiment carte blanche.
Entrez-donc et mettez-vous à l’aise. Je vous offre quelque chose à boire ?
Nous nous dirigeâmes vers l’entrée.
- Je ne serais pas contre une bière, lança Emmanuel. J’ai juste eu le temps de passer à la maison pour prendre une douche et me changer après le boulot, je suis mort de soif
- Pareil pour moi ! lui répondit Christian. Et vous les gars ?
- Juste un soft si vous avez, répondirent ensemble Kylian et Noah.
- Oh les mecs, pas de « vous » entre nous ce soir, j’ai l’impression d’avoir cent ans !
Chantal et Petit Pierre s’étaient éclipsés vers la cuisine lorsque les garçons pénétrèrent dans le salon.

Nous avions à peine trinqué que la petite auto de Valérie se fit entendre sur les graviers de l’allée.
Une fois garée, elle ouvrit la portière et au travers de la porte-fenêtre du salon je la vis sortir de l’auto, se débarrasser de son trenchcoat beige qu’elle laissa sur le siège arrière de la Clio. Elle ne portait plus maintenant qu’une paire de bas autofixants et une simple paire d’escarpins aux pieds puis elle se dirigea tranquillement vers la porte.

Ce n’est que lorsque je vins lui ouvrir que je m’aperçus qu’elle portait également un fin collier de chienne auquel était fixé, au moyen d’un mousqueton, une laisse de cuir qu’elle me tendit aussitôt. Elle conserva toutefois une feuille A4 pliée en 2 dans sa main gauche.
- Gilbert m’a dit de te donner ceci en arrivant me dit-elle en guise de « bonsoir ». Il prétend que tu sauras quoi en faire.
- Merci Valérie, Gilbert m’a effectivement prévenu qu’il te confiait à mes bons soins ce soir. Tu peux entrer, je t’en prie.

Le port de tête élégant et fier, les cheveux relevés en une petite queue de cheval portée haut, elle fit une entrée remarquée sous les yeux admiratifs des garçons. Les discussions s’étaient arrêtées net et tous la contemplaient avec envie.
- N’as-tu pas quelque chose à nous lire avant de faire plus ample connaissance avec nos invités Val ? l’interrogeai-je ?
- Si, bien sûr maître.
Elle m’avait naturellement accordé ce titre. Ce qui me fit sourire.
C’était, pour elle, une manière détournée de faire faire savoir à tous que j’étais le garant du bon déroulement de la soirée et aussi le maître de cérémonie de ce qui allait suivre.

- Gilbert m’a demandé de vous lire le mail qu’il m’a adressé ce matin. Elle déplia la feuille et se mit à lire.
« Ma chérie,
Ce soir tu te présenteras chez Chantal et Laurent à 18h00 dans la tenue n°3bis noire (3 pour des bas et les escarpins et bis pour le collier en cuir et la laisse).
Je te confie aux bons soins de Laurent qui s’assurera que tu lui seras totalement dévouée jusqu’à mon retour.
Il veillera à ce que tu sois bien traitée en échange de quoi tu lui obéiras en tout ce qu’il te commandera comme si c’était moi.
Je ne connais pas la totalité des participants de cette soirée, aussi, tu veilleras à te présenteras à eux de manière réglementaire, dès ton arrivée.

Ultime consigne : tu porteras tes deux plugs préférés qui seront remis en place avant ton retour. Je procèderai personnellement à ton débouchage dès mon arrivée.
Evite de gaspiller les cadeaux qui te seront faits. »

Voilà, c’est tout. Puis-je maintenant me présenter à vos invités, maître Laurent ?
- Je t’en prie, mes amis ont hâte de te connaître un peu mieux.

Chantal, accompagnée de son élève encagoulé nous avaient rejoints sans faire bruit et se tenaient légèrement en retrait des autres garçons. Elle était vêtue d’un simple haut noir quasi transparent, de son mini kilt écossais rouge et noir qui lui arrivait juste au-dessous du sexe, d’une paire de bas Dim-up et des escarpins noirs.
Elle tenait en laisse son protégé, sauf que la laisse n’était pas fixée à son collier comme j’aurais pu s’y attendre mais à la petite boucle métallique du harnais. Je compris qu’elle souhaitait, de cette manière, le contrôler au moindre écart de conduite.

Valérie s’avança face à nous, se positionna, buste bien droit, les jambes légèrement écartées de la largeur de ses épaules et mit aussitôt ses mains derrière sa nuque. Cette position mettait en évidence la quasi absence de poitrine de la petite bonde. Valérie était une de ces femmes qui n’avaient jamais porté de soutien-gorge et pour cause.
Par ailleurs, comme beaucoup de vraies blondes, elle était manifestement peu velue toutefois il était évident que sa vulve bien lisse avait été totalement épilée de manière définitive dans un salon d’esthétique.
Une fois parfaitement immobile elle commença.
- Je m’appelle Valérie, je suis soumise à mon mentor et maître, Gilbert qui m’a initiée au libertinage. J’ai été ouverte à l’âge de 18 ans mais ce n’est que depuis 2 ans que je suis 3/3. Je n’ai aucun tabou et je suis à votre disposition.
Vous pouvez m’utiliser comme bon vous semble, mon maître souhaite simplement pouvoir vérifier, lorsqu’il rentrera, que je serai pleine de vos semences.

Pour preuve de sa soumission, elle se tourna, dos aux garçons, inclina légèrement le buste vers l’avant puis elle écarta ses fesses avec ses mains pour bien montrer ses deux orifices obturés par deux jolis plugs.

Après cette brève mais explicite présentation, elle se mit à genou et se déplaça devant moi à quatre pattes.
Arrivée à ma hauteur elle s’assit sur ses talons, leva la tête vers moi et me demanda :
- Souhaitez-vous que je vous suce maître ?
J’ouvris ma braguette et elle avala ma queue sans autre forme de procès. Au bout de quelques minutes de ce traitement et ne voulant pas qu’elle me finisse trop vite, je l’invitai à faire connaissance de mes amis.
- Je pense que tu devrais saluer ces messieurs, lui dis-je. Mais avant ça je vais te déboucher si tu veux bien.
Elle laissa ma queue puis, toujours à quatre pattes, elle se tourna pour me présenter son cul.
Sans effort, je retirais le plug de 20 cm orné d’un gros strass noir qui ornait sa chatte puis la libérait du massif plug en silicone de 15 cm qui obturait son anus. Je les déposais soigneusement sur le guéridon se trouvant entre les deux fauteuils.
- Nous te les remettrons avant de partir ainsi que l’a souhaité ton maître.

Elle se dirigea alors vers Noah.
- Voulez-vous de ma bouche monsieur ? lui demanda-telle ?
Ce dernier ne se fit pas prier pour baisser la fermeture éclair de son pantalon et libérer sa queue relativement longue et fine mais déjà toute droite,
Il avait été visiblement bien excité par ce qu’il venait devoir et d’entendre car sa bite était fièrement bandée.
Elle décalotta complètement la belle queue et l’engouffra aussitôt. Pendant qu’elle s’occupait de lui, les autres garçons avaient déjà sorti leurs engins et commençaient à se branler en attendant sagement leur tour.

De leur côté, Chantal et Pierre ne perdaient pas une miette du spectacle qu’ils avaient sous les yeux. Je décidais de les rejoindre.
S’adressant à moi à mi-voix Pierre me demanda :
- J’ai pas tout bien entendu ce que disait Valérie lors de sa présentation. Elle a dit qu’elle était « entière » ? ça veut dire quoi ?
- Non Pierre tu n’as pas bien entendu, elle a dit qu’elle était « trois tiers » depuis 2 ans et qu’elle en était fière.
- Ça veut dire quoi 3/3 ?
Chantal reprenant son rôle de professeur, lui expliqua.
- Une femme 1/3 est une fille, souvent jeune qui ne pratique que la fellation.
Une femme 2/3 accepte les rapports oraux et vaginaux alors qu’une femme 3/3, que l’on nomme aussi « complète », accepte l’utilisation de ses 3 orifices.
- Je comprends mieux maintenant.
Et toujours à mi-voix, il demanda :
- Et vous madame ? vous êtes 3/3 aussi ?
- Bien sûr répondit Chantal. J’ai sucé ma première queue à l’âge de 16 ans puis j’ai été ouverte il y a longtemps maintenant par un jeune homme de ton âge, nous avions tous deux18 ans. Je n’étais pas très précoce mais c’était mon premier amour.
Lorsque j’ai rencontré Laurent vers 22 ans, c’est lui qui m’a initié à la sodomie.

J’étais étonné des aveux de ma chérie qui, d’ordinaire, était plutôt réservée sur le plan des confidences intimes. Je réalisai alors que Pierre avait su gagner la confiance de sa professeure.
- Maintenant que tu sais tout ça, profite du spectacle, observe !
Si tu as d’autres questions n’hésite pas à m’en faire part Petit-Pierre.
- Que dois-je faire lorsque Valérie s’approchera de moi ? questionna le gamin.
Chantal répondit sèchement en exerçant une vive traction sur la laisse en guise d’avertissement.
- Tu ne feras rien puisqu’elle ne t’approchera pas. Ce soir tu n’existes pas, tu n’as pas de visage et personne ne te voit. Tu es juste là pour apprendre, c’est bien compris ?
Chantal rappelait ainsi au gamin qu’elle restait maîtresse de la situation et qu’elle n’avait aucune compassion pour la queue bien raide du gamin qu’elle avait pour mission de former.
- Ne me fait surtout pas honte !
- Bien madame répondis le gamin, d’un air désappointé.

Pendant ce temps Valérie avait fait connaissance de toutes les verges présentes. Elle avait ainsi pu constater que la queue de Kilian, contrairement à celle de son ami, était plus trapue mais présentait la particularité de posséder un gland plus large que la colonne si bien que sa bite ressemblait à un beau champignon. D’ailleurs, la bouche de la blonde avait à eu de la peine à enfourner cet engin.
Le canapé et les fauteuils était maintenant tous occupés. Valérie, assise dans le canapé entre Christian et Emmanuel, cuisses écartées, une jambe sur chacun de celles de ses deux partenaires se chargeait de les maintenir en forme en pratiquent sur eux une savante double masturbation. Une bite dans chaque main elle les branlait de manière très synchronisée. Les plus jeunes avaient pris place dans les deux fauteuils en face, la bite en main et se rinçaient l’œil en sirotant leur jus de fruits.

J’en profitais pour rappeler aux garçons les consignes précises de Gilbert : Valérie devra rentrer chez elle après avoir été copieusement remplie de sperme.
M’adressant aux plus jeunes je leur adressai un dernier conseil.
- Ne vous gaspillez pas les gars, aucune goutte ne doit être perdue !
Kilian répondit : Ne t’inquiète pas Laurent, elle sera pleine, comme son mari l’a demandé.

Je retrouvais Chantal et Pierre en retrait de la pièce pour surveiller mon petit monde.
- Tu ne participes pas me questionna Chantal ?
- Pour l’instant ils n’ont pas besoin de moi, ils semblent très bien se débrouiller tout seuls et je suis curieux d’assister à ce spectacle que semble particulièrement apprécier Gilbert.
- Oui sans doute mais les circonstances ne sont pas identiques. Lui, il adore voir sa femme se faire baiser par d’autres mecs. Elle insista sur le mot « sa »
Un léger sourire aux lèvres je rétorquai aussi sec :
- Mais qui te dit que je n’aimerais pas assister au même spectacle ?
- Ça t’es déjà arrivé, il y a quelques temps, il me semble non ? rétorqua doucement ma chérie.
Pierre avait saisi l’allusion de Chantal. Elle faisait référence à l’une de nos soirées multi couples auxquelles nous avions effectivement participé mais cela faisait un bon moment déjà.
- Vous avez déjà fait l’amour avec un autre homme que Laurent madame, questionna Pierre l’air ébahi ?
- Non, pas « fait l’amour » seulement baisé répondit Chantal amusée par la formule naïve employée par notre jeune ami. Et d’ailleurs ils étaient plusieurs compléta-t-elle. Nous nous sommes assagis aujourd’hui. Naguère, je ne détestais pas ces soirées mais nous n’y participons plus que très rarement maintenant.

Valérie avait maintenant abandonné les « vieux ». Elle était à présent à genoux sur un fauteuil et se faisait prendre en levrette par Kilian tandis que Noah, debout de l’autre côté du dossier lui avait enfourné sa queue dans la bouche. Les va et vient parfaitement synchronisés des jeunes hommes donnaient l’impression que Valérie était empalée sur la même queue qui entrait et sortait alternativement de ses deux orifices. Elle faisait montre d’une technique de fellation très au point. La langue bien à plat permettait à la longue queue de Noah de pénétrer bien au fond de sa gorge.
Les petits gémissements qu’elle parvenait à émettre, lorsqu’elle le pouvait, attestaient qu’elle prenait, elle aussi, beaucoup de plaisir.
- Regarde Pierre les deux magnifiques O formés par ses orifices ! Ils sont parfaits qu’en dis-tu ? C’est pour moi la plus belle lettre de l’alphabet. Fis-je remarquer à mi-voix au gamin.
Selon toi, combien de O peut dessiner une femme avec son corps ?
Sans attendre sa réponse je poursuivis.
- Une femme accomplie et entrainée peut former 5 « O » simultanément : 2 avec ses mains lorsqu’elle branle deux queues, une avec sa bouche quand elle suce une troisième et enfin 2 autres avec ses orifices du bas lorsqu’elle est 3/3.
Pierre acquiesça et répondis en chuchotant :
- C’est vraiment une belle lettre !

Ce trio infernal allait bon train lorsque Noah annonça :
- Je vais me vider ! Ne recrache rien salope !
Le terme ordurier qu’il venait d’employer à l’attention de la petite blonde sembla exciter encore plus cette dernière qui accéléra sa cadence de succion quelques instants, jusqu’au moment où il déversa son flot de sperme.
- N’avale pas tout de suite, ouvre la bouche et montre-nous un peu les bonnes vitamines que je viens de te donner.
Tout en continuant de se faire pilonner par Kilian et son énorme gland, elle releva la tête ouvrit largement la bouche et montra donc la quantité de sperme qu’elle avait recueilli sur sa langue.
- Tu es un bonne petite, maintenant tu peux avaler ordonna Noah, pas peu fier d’avoir émis autant de jus.
J’ai bien fait de me retenir durant toute la semaine lança-t-il.
Kilian montrait à présent quelques signes de fatigue et le rythme qu’il avait imprimé jusqu’alors semblait faiblir.
- Je vais lui donner tout ce que j’ai à cette pute !
- Vas-y mec, l’encourageai-je finis-toi bien dans sa chatte, elle ne demande que ça.
Ma réflexion sembla booster le jeune homme qui râla en expédiant, peu de temps après, son jus au fond du vagin de Valérie.
- Waouh ! c’est bon ! admit-il lorsqu’il eut fini de se vider dans la petite blonde.
Valérie, essoufflée par les assauts qu’elle venait de subir, s’affala sur le canapé avant de glisser doucement au sol sur le dos, bras et les jambes en croix.

Les deux garçons lui laissèrent quelques minutes pour se remettre de ses émotions et décidèrent d’aller se servir deux grands verres de coca.

Christian et Emmanuel après avoir profité du spectacle s’approchèrent de nous, un verre de coca à la main. Ils m’avaient prévenu qu’ils ne boiraient maintenant plus que des softs pour conserver toutes leurs capacités, l’alcool étant un mauvais ami de la baise comme tout le monde le sait.

Nous discutâmes gentiment de la soirée qui se déroulait. Négligemment ils continuaient à se masturber sans complexe devant nous trois afin d’entretenir une bandaison honnête qui leur permettrait de prendre bientôt le relai des deux handballeurs.

Christian :
- La petite a une sacrée santé ! elle vient de se faire drôlement secouer par les deux grands ! C’est pas des gars violents mais sur le terrain je sais qu’ils sont parfois un peu rugueux.
Emmanuel :
- Oui, ce sont de sacrés clients et de sacrées armoires à glace.

Chantal les ignorait malgré les impressionnantes queues qu’elle avait sous les yeux.
Elle ne semblait préoccupée que par son jeune élève dont elle tenait toujours fermement la laisse.
L’effet du harnais et de la tension de la laisse de cuir était bien visible. Pierre bandait comme un cerf, la queue bien raide et relevée jusqu’au niveau du nombril. Le gland luisant laissait déjà perler une goutte de pré-sperme. Sa bouche à demie ouverte et sa respiration saccadée témoignaient de sa nervosité.
- Tiens-toi bien lui intima Chantal à mi-voix.
Une légère traction sur la laisse ramena le garçon à la réalité.
- Si tu es sage tu seras récompensé, je te le promets.
Disant cela, elle recueillit du bout de son index la petite goutte qui perlait au bout du gland et le porta discrètement à ses lèvres.
Elle chuchota à l’oreille du gamin mais suffisamment fort pour que je l’entende quand même.
- Tu as bon goût.
C’était la première fois qu’elle faisait ce geste et le compliment qui accompagnait celui-ci sembla énormément faire plaisir à Pierre. Il redressa les épaules et resta fièrement à côté de sa professeure.

Leurs verres terminés, Christian et Emmanuel rejoignirent Valérie encore allongée sur le matelas posé au sol.
- Tu veux boire quelque chose lui demanda gentiment Christian ?
- Non je te remercie, Gilbert ne serait pas content que je ne sente pas le sperme lorsqu’il m’embrassera tout à l’heure.
Les deux hommes relevèrent la petite blonde sans difficulté. Elle paraissait peser le poids d’une plume entre leurs bras.
Ils lui indiquèrent de s’allonger sur la grande table et lui annoncèrent qu’ils allaient la prendre à deux.
Ainsi, Valérie se retrouva rapidement en train de sucer Christian qui était monté également sur la table et s’était accroupi de telle façon qu’il avait la queue au niveau de la bouche de la petite blonde.
- Ouvre et suce, je vais d’abord te baiser la bouche petite putain exigea-t-il.
Elle s’exécuta et commença à pomper la bite qui lui était présentée.
Pendant ce temps, Emmanuel avait commencé à lubrifier le petit trou légèrement brun qui se présentait devant lui, au moyen d’un tube de vaseline que je lui avais tendu en prévision de la suite.
Compte tenu de son calibre, cette précaution n’était pas superflue. Il était monté comme un âne et le boudin qu’il arborait avait déjà fait fuir un grand nombre de ses précédentes conquêtes.
26 cm de long pour 6,5 cm de diamètre, beaucoup de filles avaient, en effet, renoncé à s’enfiler un truc pareil dans la chatte alors il leur était impensable qu’elles puissent se le mettre dans l’entrée de service.
- Tu crois qu’elle peut encaisser ça lui demanda Christian impressionné par le monstre ?
- Je viens de tester son élasticité avec mes doigts, ça devrait passer répondit Emmanuel tranquillement.
Visiblement elle est entrainée et c’est pas la première fois qu’elle prend du gros calibre dans le cul visiblement. N’est-ce pas petite ?
En reprenant son souffle Valérie confirma les premières impressions d’Emmanuel.
- Mon maître utilise souvent des gros godes sur moi. Il dit que c’est pour mon bien. Il veut que mes trous soient toujours disponibles et bien ouverts. Pour cela, il veille à me faire prendre régulièrement par des grands blacks lors de nos soirées ; ça permet d’entretenir l’élasticité de mon cul.

Une fois ses explications données, elle se mit à gober l’un des testicules de Christian avant de passer au suivant. Le paquet de Christian étant bien trop gros pour la bouche de la petite blonde qui ne pouvait avaler qu’une seule boule à la fois. Quelques minutes de ce traitement, Christian lui remit sa queue au fond de la gorge pour quelques va et vient énergiques.
Christian était également bien monté, même si sa queue n’était pas du tout comparable à celle d’Emmanuel. Malgré cela, à chaque mouvement, elle disparaissait entièrement au fond de la gorge de Valérie et réapparaissait aussitôt après, toute gluante et brillante de salive.
Il lui baisait littéralement la bouche comme il aurait fait avec un vagin. A chaque fois qu’il s’enfonçait, son sac heurtait le menton de Valérie.
- Elle a raison confirma Christian. Elle est bien ouverte de partout. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans la bouche d’une nana. Quelle suceuse ! Caresse-moi une peu les boules ma chérie si tu veux bien.
Valérie ne se fit pas prier et prit en main les couilles de Christian qu’elle malaxa en même temps qu’elle le suçait.

De son côté, Emmanuel inséra doucement son gland dans le petit œillet de la blonde et la maintint ainsi quelques instants sans cherche à aller plus loin. Ses deux mains tenaient les hanches de la petite blonde. Son bassin était vraiment très étroit et on n’aurait jamais pu imaginer qu’elle puisse s’enfiler un engin pareil.
Ajoutant quelques gouttes de vaseline supplémentaires, la queue progressa, centimètre après centimètre dans le fondement de la petite blonde jusqu’à disparaitre totalement. Le boules d’Emmanuel étaient bientôt les seuls morceaux visibles du mandrin de notre ami.
- Elle prend vraiment bien, fit-il remarquer, même si je suis un peu à l’étroit.
A chaque poussée, la pression exercée par le chibre d’Emmanuel faisait refluer le sperme que Kilian avait précédemment déversé dans le vagin de la miss.
- Ne fais rien déborder ordonnais-je ! Elle doit être remplie à ras bord et tout le monde n’a pas encore été servi, plaisantais-je, sous les rires des garçons.

Christian, ne voulant pas se contenter de la bouche avide de la blonde s’écarta et s’adressant à son comparse :
- Tu crois qu’il a de la place pour deux ?
- Désolé mec, mais je pense que nous risquons de la déchirer si tu me rejoins dans son cul. Par contre il reste de la place dans sa chatte si ça te tente.
- Bonne idée, une fois sa chatte colmatée par ma queue, ça devrait éviter les fuites et je pense qu’elle elle peut en contenir encore un peu plus, admit Christian mais il faut qu’on s’organise autrement. Vous devez changer de position pour ça.
Emmanuel sortit son énorme membre de Valérie laissant son petit trou bien béant quelques instants avant qu’il ne se referme petit à petit.
- Je vais me mettre dessous proposa-t-il.
Viens sur moi ordonna-t-il a Valérie et assied toi, dos à moi, sur ma bite.
Valérie s’exécuta et doucement, les cuisses bien ouvertes, son petit cul avala à nouveau la grosse queue d’Emmanuel tandis qu’il lui pétrissait sa petite poitrine.
- Là, voilà ! elle est prête pour une double, tu peux y aller dit-il à Christian.
Ce dernier ne se le fit pas dire deux fois et sous les yeux exorbités de Pierre il prit place entre les cuisses de la petite blonde et se fraya un passage dans la jolie chatte glabre.
- J’adore baiser une chatte déjà lubrifiée lâcha Christian, ça glisse tout seul.
Valérie prise en sandwich entre mes deux potes émettait de petits gémissement qui trahissaient le fait qu’elle était en train de prendre un pied monumental. Emmanuel lui étirait maintenant les deux tétons pour un plaisir décuplé.
- Que c’est bon de se sentir bien remplie ! s’extasia la petite femelle.
J’adore les doubles pénétrations quand elles sont pratiquées de cette manière.

Le gamin n’en croyait pas ses yeux.
- Ils vont la déchirer s’inquiéta-t-il auprès de Chantal.
Elle le rassura aussitôt.
- Tu crois vraiment qu’elle a mal ? Regarde bien son visage, elle est en train de jouir la petite pute. Un vagin est très extensible tu sais. Un anus bien entrainé aussi d’ailleurs mais tu as raison quand même et c’est pour cela qu’Emmanuel n’a pas ménagé la vaseline. C’est une petite astuce que tu ne devras pas l’oublier également lorsque tu pratiqueras cet exercice.
Le visage du gamin témoignait de la gène que lui occasionnait son harnais. Sa queue, gonflée comme jamais, rouge écarlate, le gland turgescent avait pris une couleur plus foncée.
- Comment te sens tu ? le questionna Chantal ?
- C’est douloureux, madame, d’autant plus que je ne me suis pas vidangé de la semaine selon vos instructions.
- Reste clame et supporte un peu ce petit supplice lui répondit elle d’une voix douce mais ferme. Nous verrons ce petit détail en fin de soirée si tu es sage.
La promesse pleine de sous-entendus de sa professeure ne fit que décupler sa bandaison et accentuer encore davantage la douleur du gamin qui se mit instinctivement à remuer le bassin, mimant ainsi involontairement les mouvements de copulation d’un chien.
D’un geste vif de la main tenant la laisse, Chantal lui intima l’ordre de cesser de remuer, accompagné d’un « Tiens-toi bien ! » qui ne souffrait aucune réplique de la part de Petit Pierre.

Pendant ce temps Christian et Emmanuel continuaient à ramoner vivement Valérie jusqu’à ce qu’ils se vident quasiment simultanément dans les orifices qu’ils occupaient.
Après quelques secondes immobiles, à reprendre leurs esprits, les trois protagonistes se séparèrent. Les queues de ces messieurs qui avaient débandé tout en conservant chacune une longueur respectable, pendaient mollement entre leurs jambes.
Quant à Valérie, elle s’allongea sur le dos, les cuisses largement ouvertes pour que nous constations que sa chatte était à présent remplie à bord, prête à répandre le liquide blanchâtre que lui avaient laissé ses deux partenaires précédents.

En bon maître de cérémonie garant des consignes laissées par Gilbert je m’adressai aux garçons d’abord.
- Devant, elle est pleine alors je vous demande de n’utiliser dès maintenant que sa bouche ou son petit cul si vous souhaitez poursuivre.
Puis à Valérie.
- Ne bouge pas Val, je vais te reboucher sinon tu risques de te vider et ton maître serait déçu que tu aies gâché de la bonne marchandise.
Sur le dos, cuisses écartées, je remis en place le plus gros des godes dans son vagin gorgé de sperme. L’étanchéité n’était pas parfaite cependant la plus grande quantité du jus d’homme resterait en elle jusqu’à son retour.

Les deux jeunes garçons qui avaient eu le temps de reprendre des forces ne tardèrent pas à solliciter encore les services de la petite blonde.
Noah utilisa le petit trou de Valérie tandis que Kilian préféra profiter de sa bouche.
Noah, s’adressant à Emmanuel :
- Putain, j’ai l’impression de baiser sa chatte, elle est tellement ouverte depuis que tu es passé.
Les deux orifices formèrent à nouveau la fameuse lettre O que j’affectionnais particulièrement.
Ils prirent tout leur temps avant d’envoyer une seconde dose de sperme dans les orifices de la petite femelle.
Sans ménagement, Kilian, profitant que sa queue était totalement au fond de la gorge de cette dernière, en avait profité pour décharger, lui envoyer la totalité de son jus dans les boyaux. Valérie n’eut même pas le temps de savourer le gout du lait d’homme qu’il venait de lui délivrer. Une fois bien vidé, il l’abandonna aux bons soins de son ami.
- Agenouille-toi sur le fauteuil, face à l’assise, lui intima Noah.
Une fois installée dans la position prescrite, Noah grimpa lui aussi sur le fauteuil, les pieds de part et d’autre des genoux de la petite blonde. Il reprit possession de son petit trou en s’accrochant aux ses frêles de la blonde.
Sans prendre de temps il se remit à la pilonner énergiquement.
On aurait deux chiens en train de copuler. Une fois sur deux, les couilles du jeune mâle frappaient le gode fiché dans la chatte tandis que le reste disparaissait dans le cul de sa partenaire.
Quelques minutes de se traitement eurent raison de l’endurance du jeune homme. Il se redressa, posa sas mains sur les petites fesses de sa femelle tout en les écartant.
A la vue de sa bite enfoncée dans le petit trou de Valérie, Noah déchargea sa semence avec un râle d’extase.
- Elle m’a essoré la petite salope, eut-il encore la force de conclure.

D’un commun accord les quatre garçons décidèrent qu’une petite pause était la bienvenue et nous nous retrouvâmes tous autour du buffet.
Les deux jeunes handballeurs qui avaient, à nouveau, enfilé leurs sous-vêtements déclarèrent qu’ils avaient leur compte.
- Elle nous a essoré, la petite pute, avoua Kilian.
- Elle est vraiment bonne compléta Noah mais nous n’allons pas tarder à rentrer car nous avons un match important demain et nous devons récupérer.

Vers 21h30, seuls Christian et Emmanuel étaient encore présents.
Ayant remarqué que du sperme commençait à couler le long de ses cuisses, j’avais rebouché l’anus de Valérie avec son petit plug. Les doses qu’elle avait prises seraient ainsi bien conservées.

Valérie, quant à elle, avait profité d’un petit passage à la salle de bains pour se refaire une beauté. Toujours nue, la petite blonde ne montrait aucune trace de fatigue. Ses cheveux légèrement ébouriffés trahissaient toutefois la petite orgie à laquelle elle avait participé mais elle semblait avoir repris des forces.

- Tu ne l’as pas baisée ? me demanda Christian avec étonnement.
- Non, mais j’ai bien l’intention de mettre la touche finale à cette soirée.
- Emmanuel et moi nous nous demandions si on ne pourrait pas lui mettre encore un petit coup avant de partir ?
- Mais, faites-donc. Elle est là pour ça. Plus elle sera pleine, plus Gilbert sera ravi.

Ainsi donc, mes deux potes profitèrent encore de la bouche de Valérie pour lui expédier deux doses supplémentaires de bon jus d’homme au fond des boyaux avant de nous remercier et de prendre congé.

Je les reconduisis à leurs voitures puis revins au salon. Là, je retrouvais Valérie, en grande discussion avec Chantal, Petit Pierre à ses côtés.
D’une discrétion absolue, Valérie faisait comme si elle n’avait pas remarqué le gamin malgré le harnais et la laisse. Elle devait se douter que si ce dernier n’avait pas été présenté ni participé à la soirée c’était parce que Chantal en avait décidé ainsi.
Me voyant de retour, Valérie me demanda :
- Ne souhaites-tu pas m’utiliser ce soir, Laurent ?
Aucun convive n’étant plus là, elle avait repris le tutoiement habituel.
- Tu as bien servi ce soir, je ne manquerai pas de le dire à Gilbert.
Toutefois, avant de te laisser partir, je souhaiterais quand même être le dernier qui te marquera de sa semence.
- Comme il te plaira, Gilbert sera certainement sensible à ton attention répondit-elle en s’agenouillant devant moi. Genoux légèrement écartés pour me permettre de me régaler de sa petite chatte d’adolescente, les mains dans le dos, elle ouvrit sa jolie bouche à laquelle elle avait remis du rouge à lèvres.
Je l’attrapais par la base de sa queue de cheval et me mis à lui baiser la bouche comme je l’aurai fait de son sexe. Sans aucune pitié pour elle, je lui donnais à la fois le rythme et l’intensité des pénétrations que je souhaitais.
Valérie se laissa guider ainsi jusqu’à ce je déverse sur sa langue le sperme que je lui avais promis.
J’avais intentionnellement éjaculé sur sa langue et non au fond de sa gorge pour qu’elle conserve plus longtemps en elle le gout de mon jus et pour faire profiter Gilbert de son odeur.
- N’avale pas tout de suite, montre d’abord à Chantal que tu es une bonne petite putain.
Ouvrant grand la bouche, elle prouva à son amie qu’elle m’avait bien servi.
- Tu peux maintenant avaler.
Elle déglutit enfin et instinctivement, elle rouvrit la bouche pour bien montrer qu’elle n’avait rien laissé. Cela devait être une habitude qu’elle avait prise et que lui avait inculquée Gilbert pour lui prouver tout son dévouement et son obéissance.

- La soirée a été parfaite, grâce à toi. J’espère que tu as pris autant de plaisir que nos invités. Tu vas pouvoir rentrer, Gilbert ne tardera pas maintenant et j’espère qu’il sera également satisfait.
- Je suis heureuse d’avoir pu combler vos désirs. Je pense également que Gilbert sera content. C’était la première fois que je me faisais prendre par autant de beaux mâles lors de la même soirée. Il aura sans doute envie de m’inciter plus souvent à la pluralité masculine après cette première expérience réussie.

Chantal, puis-je te demander de me prêter une serviette hygiénique car j’ai peur de tâcher le siège de la voiture. Même si j’ai été rebouchée par Laurent, avec tout ce que j’ai pris, je crains de pas être totalement étanche.

Chantal revint quelques instants plus tard muni de l’objet demandé et d’un de mes slips.
- Comme tu es venue à poil, je pense que tu auras besoin de ça pour fixer la serviette fit-elle ironiquement. Cet comme je ne porte que des strings, je te prête un des slips de Laurent. Je suis certaine qu’en te voyant avec Gilbert va beaucoup rire !
Cette bonne blague amusa Valérie qui enfila quand même mon slip.
Chantal, toujours accompagnée de Pierre reconduisit ensuite Valérie à sa voiture.

Épilogue de la soirée.
Le lendemain, je reçus un court sms de Gilbert.

"Bonjour cher ami,
Merci pour la soirée d’hier soir, Valérie était copieusement remplie.
J’ai pris beaucoup de plaisir à la déboucher et à la vider de tout le sperme qu’elle contenait.
Mes félicitations à l’ensemble de l’équipe. Je vous recontacterai sans faute pour une future soirée.
Amicalement, Gilbert.
PS. Peux-tu me communiquer les coordonnées d’Emmanuel qui a fortement impressionné ma chérie ?"
( A suivre)

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Commentaires de l'histoire :

Bat21
C’est un récit bien écrit avec un scénario réfléchi j’ai hâte de connaître la fin de l’histoire
Posté le 29/09/2023


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