Jeux coquins au sauna

Le véritable amateur de sauna gay se sent fébrile avant même d'entrer dans les lieux. L'érection est déjà là rien qu'à l'idée de se retrouver entre hommes, nus, tous plus excitants les uns que les autres. Et ça commence dès les vestiaires ...

Proposée le 7/07/2023 par Sacha

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: HH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie

Comme tout gay qui se respecte, je n'ai qu'une envie après être allé au sauna, celle d' y retourner. Histoire de voir des mecs nus et de m'exhiber cul nu devant eux. On dirait d'ailleurs que ça les excite, tout ça. Moi oui, c'est sûr.

L'expérience du sauna commence avant même d'y entrer, rien qu'à l'idée d'y entrer. On vous remet donc une serviette et une clef. Vous entrez dans le vestiaire. Si vous avez de la chance, d'autres hommes sont déjà en train de se déshabiller, que vous n'allez pas tarder à rejoindre sous les douches, dans le jacuzzi, le hammam, tandis que d'autres se rhabillent, dont vous regrettez le départ mais qui peut-être, en vous voyant, vont se raviser et chercher avec vous l'aventure qui les fera bander et jouir. Cela m'est déjà arrivé plus d'une fois, notamment avec un petit jeune dont je me suis bien occupé.

Donc, se déshabiller assez vite, ne pas tarder à montrer ses fesses, sa queue, au besoin dandiner un peu du cul, prendre des postures équivoques.

J'avoue que mes meilleures expériences du sauna, les plus charnelles, les plus sensuelles et les plus abouties, ont souvent commencé par les vestiaires. On vous y mate, on vous y reluque, des mains baladeuses se croient tout permis. Et pas seulement de vous pincer les seins. Elles auraient d'ailleurs bien tort de s'en priver. On m'a même proposé un jour, tout de go: "On va dans une cabine?". Il avait déjà pris ma queue dans sa main et m'avait demandé de tâter la sienne. Il bandait.

Mais n'allons pas si vite en besogne. Prendre son temps, laisser monter progressivement le désir à la vue de tous ces mecs nus.

La douche est aussi un moment pas désagréable, si proche d'autres corps masculins qui s'arrangent pour vous montrer leurs fesses, puis leurs queues. Qui n'hésitent pas à vous frôler au passage.

Puis le jacuzzi. Alors là, tout est permis, vu que les remous, rendant l'eau trouble ne laissent rien paraître de vos manigances subaquatiques. Rien n'interdit de se positionner près d'un homme dont le corps vous attire. Puis, mine de rien, de vous rapprocher de plus en plus. Tout en vous apercevant que lui aussi à joué le même jeu. L'attirance était donc réciproque. Les corps se retrouvent à présent si rapprochés qu'il serait vraiment dommage, pour l'un comme pour l'autre, de ne pas en profiter. On va donc tâter le terrain, c'est si tentant.


Une main aventureuse est déjà posée sur votre cuisse. Le mieux, pour que ça continue, c'est de faire comme si de rien n'était. Vous fermez les yeux. Vous poussez un profond soupir de satisfaction. Cela vaut consentement. La main entoure à présent votre queue déjà plutôt raide et commence à la branler, vous aimez bien les échanges de bons procédés, vous faites de même avec la queue du monsieur. C'est tellement agréable et jouissif, ça peut durer longtemps. Vous aimez sentir son sexe durcir dans votre main tandis qu'il tâte tendrement vos couilles.

Parfois, vous vous sentez si bien, et si bien pris en main, que vous faites la planche, offrant votre queue bien bandée à la vue de tous vu qu'elle sort de l'eau - et alors?

Parfois même, votre sympathique et tendre voisin en profite pour vous doigter le cul.


On se retrouve au hammam où malgré une relative pénombre tout le monde nous voit et où ces jeux reprennent de plus belle, puis dans une cabine ou une salle commune. J'offre mes fesses, il les écarte encore plus,son gland vient épouser ma vulve, je veux dire mon petit trou, ma rondelle gourmande qui se dilate pour sa queue, je sens en moi son membre, c'est chaud, c'est bon, ça vient, ses spasmes, au moment où moi-même je décharge, il se retire content de m'avoir enculé. On ne se dit pas adieu mais au revoir, tellement c'était bon.

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