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Je dévergonde ma collègue de bureau

Ayant réussi à dévergonder la remplaçante de ma collègue de bureau l'été précédent, je décide cet été de tenter la même chose avec ma collègue elle-même. Je la teste doucement car je dois travailler avec elle toute l'année.

Proposée le 16/06/2023 par Hannapurna

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Mercredi 16 août 2000

Je dévergonde ma collègue de bureau Au bureau, nous avons pris l’habitude de prendre trois semaines en été pour en garder deux en hiver et printemps. Martine a choisi le créneau du 1er au 23 juillet par rapport à son histoire de bungalow en Corse. Je suis en vacances depuis le 22 juillet et je rentre à l’instant car le directeur avait décidé que les bureaux seraient fermés le lundi 14, le 15 août étant férié. Il en a lui-même profité pour partir le vendredi 11 août et ne doit revenir que le 3 septembre. Martine et moi sommes donc seules au bureau à partir d'aujourd’hui.

Cette fois, j’ai décidé de tester un peu ma collègue sur le plan de la nudité, voire du sexe. Mais tout doucement tout de même. Ce serait tout de même catastrophique de se retrouver fâchée avec la personne qui partage toutes mes journées.

je sais, pour en avoir parlé avec elle, qu’elle aussi a déjà pratiqué le naturisme, mais très peu, et pas depuis longtemps, avec un ancien petit ami. Mais je me dis que c’est un bon angle d’attaque. Je profite du moment de la pause-déjeuner pour lui raconter l’épisode de l’an dernier, en le modifiant pas mal, de quoi rester soft :
— Tiens, tu connais Sophie, celle qui t’a remplacé l’an dernier ?
— Euh… oui, mais seulement au téléphone.
— Eh bien, il faisait tellement chaud qu’en en parlant, on a fini par tomber d’accord pour se mettre un peu plus à l’aise puisqu’on était seules au bureau. Surtout qu’y pas de vis-à-vis directement en face de nos fenêtres, juste les quais et la mer.
— Ah bon ? Et c’est quoi que tu appelles “plus à l’aise” ?
— Ben, le premier jour, on s’est mises en soutif et culottes. Et comme on était trop bien comme ça, dès lendemain on est venues avec des maillots de bain.
— Ouah ! Et si quelqu’un était entré ?
— Pas de risques. D’abord, déjà que les client font tout par téléphone et ne vient que rarement ici, idem pour les formateurs, l’été c’est encore plus tranquille. Et de plus, ils sont obligés de sonner puisqu’on est les trois seuls avec Sylvain à avoir la clef. Ça laisse largement le temps de se rhabiller correct.

Je ne lui dis pas encore qu'après ça on a fini complètement à poil. Comme elle ne veut peut-être pas passer pour une vieux-jeu, elle me le concède :
— Bon, c'est une drôle d'idée, mais après tout, pourquoi pas ?
— Donc ça te dérange pas si je fais pareil avec toi ?
— Oh, ça va, j'ai déjà vu des femmes en culotte et soutif ou en maillot.
— Merci, j’aurais pas voulu le faire sans ton accord. Et toi ?
— Moi, je sais pas si je me sentirais vraiment à l’aise de te suivre dans cette voie.

Je la remercie et retourne dans mon bureau où je vire immédiatement mes fringues pour me retrouver en sous-vêtements. Ayant prévu de me lancer aujourd’hui dans cette voie, j’avais mis un string au lieu d’être cul nu comme d’habitude. Mais par contre, je porte un soutif sans bonnets. De toute façon, je n’en ai pas beaucoup, et tous de ce modèle.

Un peu plus tard, Martine doit venir pour me parler d’un dossier et elle reste scotchée :
— Oh, Caro !
— Quoi ? Tu mas dit que ça te gênerait pas de me voir en soutif.
— Oui, mais c’est quoi ce truc ?
— Justement, il porte bien son nom, il soutien les seins, il les comprime pas.
— OK, mais avoue que ça surprend. C’est pas le modèle standard.
— Non, mais quitte à en porter, ça fait longtemps que j’ai choisi ces modèles.
— Ah bon, tout le temps ? Même ici ?
— Oui, surtout ici. Ailleurs j’en mets généralement pas du tout. Et puis ça tient moins chaud. Pas vrai ?
— Euh… oui, c’est certain. Vu comme ça. Et en bas, je parie que c’est l’équivalent ?
— Evidemment, string comme tu viens de le deviner !
— Bon OK, la surprise est passée, ça va. Parlons un peu de travail !

Elle s’approche donc de moi et s’assoit à côté pour que nous travaillions sur le dossier. Tout ce temps, je sens qu’elle ne peut s’empêcher de jeter des coups d’œil vers mes seins dans leur présentoir de dentelle. Mes tétons sont en érection vu que l’exhibition me fait toujours cet effet et elle ne peut l’ignorer car elle les a pile sous son nez. Puis elle retourne dans son espace, non sans avoir jeté un dernier regards vers ma tenue bien plus légère que ce à quoi elle s’attendait. Du coup, je ne me prive pas du plaisir de me déplacer sous son nez comme ça, lui montrant souvent mes fesses et mes tétons, qui soit dit en passant restent bien durs. Mais j’ai mis un string-ficelle pas trop transparent pour ne pas tout lui dévoiler dès le premier jour, mais avec un triangle assez réduit. En fin d’après-midi, après m’être rhabillée, je promets à Martine de mettre un maillot de bain dès le lendemain, plutôt que de la lingerie.


Jeudi 17 août 2000

Chose promise, chose due : ce matin j’enfile un maillot de bain, mais seulement un bas, un string évidemment. J’en choisis un vraiment mini, trois ficelles minces et un triangle suffisamment petit pour laisser imaginer que si j'ai une touffe, elle est vraiment réduite. Dès mon arrivée et après le rituel café de démarrage avec ma collègue, je vais dans mon bureau et vire la robe légère que je porte pour me retrouver en string et sandalettes. Quand Martine me voit débarquer dans cette tenue un peu plus tard alors que je la rejoins à son bureau, elle marque le coup, mais pas trop. Elle me fait même un clin d’œil en disant :
— Ah, tiens ! Pourquoi ça m’étonne pas que ton maillot soit de ce type et qu’il y ait pas de haut ?
— Peut-être parce que tu connaissais déjà mes sous-vêtements ?

Bon, apparemment elle le prend à la rigolade, donc je vais pouvoir aller plus loin. J’attends toutefois qu’elle se soit bien habituée à me voir évoluer en cache-sexe sous tous les angles pour lui proposer de faire comme moi. Comme c’est la fin de la pause de midi et qu’il fait une chaleur de four, elle finit par céder et se déshabille enfin en marmonnant :
— Pfff, qu’est-ce que tu me fais pas faire…
— Allez, laisse-toi tenter, tu vas vite te rendre compte que tu seras bien mieux !

Et elle se retrouve en sous-vêtements. Comme je le pressentais, ils sont des plus classiques : un soutif à armatures et un slip tanga, le tout blanc et bien opaque. Je la félicite pour sa libération et nous nous remettons au travail. Je note au passage en en parlant avec elle que je ne me suis guère trompée pour ses mensurations car vu sa finesse de corps et le volume de ses doudounes, elle doit porter du 85E. Quand nous nous rhabillons en fin de journée, elle a l’air de s’être bien accommodée de cette situation. D’ailleurs je la questionne et elle me confirme qu’elle veut bien continuer comme ça, mais qu’elle aussi mettra plutôt un maillot le lendemain, tout en précisant :
— Mais ce sera un vrai bikini…


Vendredi 18 août 2000

Martine tient parole ce matin. Quand elle arrive, j’ai fait en sorte d’être là avant pour l’accueillir déjà en tenu minimale. Donc elle se déshabille et c’est en maillot de bain que nous prenons notre café de mise en route. Comme elle l’avait annoncé hier, le sien est composé de deux pièces, mais pas trop classique heureusementIl est composé d’un haut bandeau sans bretelles et d’un bas avec des nœuds de forme tanga qui découvre la moitié sud de ses fesses. Parlant d’elles, je vois qu’elles sont un peu plus rondes que ce que ses pantalons ou robes le laissaient supposer. Ce maillot est tout le contraire du mien qui est encore plus réduit au niveau du triangle, un confetti qui sert à peine de cache-clitoris et qui clame ouvertement que je n’ai plus aucun poil. Plus petit que ça, il n’y aurait plus que les trois ficelles…

Pendant la pause de midi, comme on se prélasse un peu dans des fauteuils en face devant la fenêtre ouverte pour bronzer en digérant, je lui propose de faire tomber le haut. J’argument avec le fait que je sais qu’elle a déjà fait du topless et même du naturisme. Et finalement elle se laisse convaincre. Elle déballe deux belles poires qui n’ont pas encore trop besoin d’aide pour se tenir correctement même si la pesanteur fait forcément son office vu leur volume. Les bouts plutôt petits rebiquent sur des aréoles larges et foncées.

Au moment de partir, comme j’ai vu qu’elle s’était bien laissée mener jusqu’à ce point, je me lance sur la phase suivante. Sachant par nos papotages qu’elle est célibataire et sans copain actuellement, je lui propose de venir dimanche à la maison profiter du barbecue et de la piscine. Elle accepte avec plaisir, disant que ça lui ferait un peu d’air frais de quitter son appartement en ville avec un temps pareil.


Dimanche 20 août 2000

Alors que je lui ouvre la porte, je réalise que depuis deux ans qu’on travaille ensemble, c’est la première fois que j’invite ma collègue à la maison. Et c’est réciproque, je ne suis jamais allée chez elle et je ne connais pas grand chose de sa vie privée. Et pourtant en quelques jours j’ai réussi à la faire mettre en maillot topless au bureau, quel progrès !

Bien évidemment, vous vous doutez que je ne suis pas en tailleur pour la recevoir. Elle-même s’attendait certainement que je sois en tenue légère et décontractée. Mais peut-être pas à ce point, car je suis juste enroulée dans un paréo qui certifie que je n’ai rien dessous en haut, laissant un doute sur le bas, vu la petitesse de mes strings. Et surtout que je le fasse alors qu’il peut passer du monde dans l’allée du lotissement où nous habitons.

Mais bon, passée la nouvelle surprise, elle me suit à l’intérieur pour traverser vers la terrasse. Là elle découvre Ber, qu’elle avait déjà rencontré à une occasion de sortie au resto où étaient conviés les membres du bureau, nos intervenants principaux et les conjoints éventuels. La seule différence, c’est que là il est complètement à poil dans un transat. Comme il se lève pour l’accueillir, je désamorce la situation :
— Tu connais Bernard, évidemment.
— Euh, oui…
— Et tu sais qu’on est naturistes. Mais si ça te gêne…
— Non, non, ça va, c’est juste que je ne m’y attendais pas.
— Et voici notre fille Lola, dont tu as vu des photos.
— Oui, bonjour Lola !

Notre fille, habituée depuis sa naissance à voir les gens nus, dont ses parents, est elle aussi dans cette tenue quand elle sort de la piscine pour venir faire la bise à l’arrivante. Elle lui met un peu d’eau partout puis retourne se mettre dans le bain. Dans l’action, j’ai déroulé mon paréo et quand Martine se retourne, elle a enfin la confirmation que je suis épilée intégralement. Je lui propose de venir se déshabiller à l’intérieur pour pouvoir poser correctement ses affaires. Elle me suit dans une chambre et comme je reste là, elle n’ose pas me demander de sortir et se déshabille devant moi pour se retrouver nue et commencer a enfiler le maillot qu’elle avait mis au bureau. Je lui fais remarquer :
— Allez, tu vas pas te mettre en maillot avec tout le monde à poil autour de toi, non ?
— Euh, tout de même…
— Déjà tu as enlevé le haut au bureau.
— Oui, mais c’était au bureau, et…
— Et quoi ? Ici, c’est encore plus tranquille. De plus tu m’as dit que tu avais déjà pratiqué un peu. Et ne me dis pas que c’est par rapport à mon mari, il a l’habitude de voir des nanas à poil, t’en fais pas ! Allez, hop !
— Bon, je sais pas, mais OK, je tente l’expérience.
— Bravo ! Tu vas voir, tu vas te sentir trop bien d’ici un moment, tu vas pas regretter.

Et elle enlève le bas qu’elle avait déjà enfilé, essayant tout de même de ne pas trop me dévoiler le ticket de métro que je devine. Puis je la prends par la main et elle me suit à l’extérieur. Elle est bien empruntée au début, ne semblant visiblement pas comment se mettre. Mais après une première baignade, elle s’abandonne enfin au soleil sur un transat et se décontracte, nous laissant la vue sur son petit rectangle châtain de poils taillés ras.

Pendant que nous mangeons les grillades, Martine parait visiblement rassurée et se laisse gagner par l’ambiance cool de cette réunion. Elle ne fait plus attention à serrer ses jambes et n’a plus de gêne à voir les attributs de Ber ni son épilation plus radicale que la sienne. C’est tout juste si elle sursaute encore lorsqu’il vient s’assoir dans son dos au bord de la piscine, les jambes pendantes dans l’eau et qu’elle se retourne, se retrouvant d’un coup le nez presque sur son engin en gros plan. Heureusement, il réussit facilement à ne pas bander, il a assez de contrôle mental sur ça.

Un peu plus tard je repars à l’attaque en lui disant que je ne lui avais pas tout raconté sur le séjour de Sophie au bureau. Je lui apprends que nous avons aussi passé une journée ici avec elle et qu’ensuite nous avons fini par travailler complètement nues. Je ne vais pas plus loin pour le moment, ne voulant pas la brusquer sur des révélations plus crues. Je garde ça pour plus tard. Elle marque son étonnement, mais finalement, elle trouve que c’est logique, vu que nous sommes en ce moment tous dans la même tenue. Elle rajoute :
— La seule différence, c’est que là nous sommes entre amis dans un lieu privé. Au bureau, c’est tout de même autre chose.
— Pourquoi ? Au bureau, on risque encore moins de se faire surprendre qu’ici. On a largement le temps d’enfiler une robe avant que quelqu’un monte jusqu’au bureau. Ici il suffit qu’un voisin ait l’idée de regarder par-dessus la haie de séparation pour nous voir.
— Je sais pas…
— Eh bien, réfléchis-y. Moi, je vais le faire, c’est trop agréable de travailler toute nue !

Sur ce, l’après-midi continue sur ce rythme et Martine donne l’impression de se relâcher de plus en plus. A la fin elle se rhabille pour reprendre sa voiture avant de tomber dans les bouchons du soir. Elle nous remercie pour cette belle journée, ne se gênant plus pour faire la bise à Ber qui est pourtant toujours nu avec sa queue qui lui frôle presque la jupe. Et on se dit à demain pour lequel elle ne me fait aucune promesse quant à sa tenue.


Lundi 21 août 2000

De nouveau au bureau. Cette fois, c’est elle qui a fait en sorte d’arriver la première. Et j’ai la surprise de la trouver déjà totalement nue, assise à son bureau. Je me dépêche de l’imiter et vais la rejoindre car elle a préparé le café et a posé les deux tasses devant elle :
— Dis donc, ça c’est une bonne surprise !
— Oui, bon, voilà ! En fait, je me suis dit que t’avais raison, c’est idiot d’avoir des craintes. Et qu’en le faisant de suite en arrivant et en étant seule, ce serait plus facile.
— Eh bien, bravo ! Tu vas voir que tu vas même plus y penser d’ici un moment, prise par le travail. N’oublie pas de te rhabiller en sortant…
— Ah ah !
— Ah, et aussi, je t’ai pas complimentée hier : Joli ticket de métro, bien dégagé !
— Tu peux parler, avec ton pubis de fillette… et celui de ton mari !

Et la journée s’est passée sans anicroche. je suis restée sobre, sans provocation.


Vendredi 25 août 2000

Toute la semaine, Martine a eu l’occasion de s’habituer à évoluer à poil dans toutes les circonstances. De mon côté, je me suis juste permis de me branler discrètement de temps en temps. Une fois je me suis même doucement doigtée pendant que j’étais dans son dos, penchée sur son épaule où mon sein droit à fini par se poser. Elle n’a rien dit mais elle devait pourtant sentir mon téton pointer contre sa peau. J’ai donc petit à petit multiplié les contacts tactiles, que ce soit avec ma main sur son bras, sa hanche ou son épaule, ou un sein appuyé contre son dos au bureau.

J’ai pu vérifier toute la semaine que ses seins étaient certes d’un volume généreux, mais assez fermes. Surtout de manière visuelle car quand elle se déplace ils ne ballotent pas trop. Mais aussi de façon tactile une fois : Je me suis retournée brusquement après avoir pris une boite à archives dans l’armoire, faisant mine de ne pas l’avoir entendue passer dans mon dos. Dans le mouvement, nous nous sommes rentrées dedans de face. Mon bras gauche qui tenait le dossier est venu tamponner son sein droit et je m’en suis excusée. Elle m’a dit que ce n’était pas grave, elle s’est elle-même excusée d’être passée en silence et trop près de moi. Ce matin, je suis arrivée avec des boules de geisha qui m’ont entretenu l’excitation toute la journée. Mes tétons pointaient en permanence et ça m’étonnerait qu’elle n’ait pas remarqué mon état d’excitation.

Afin d’avoir le champ libre, j’appelle ma tante Marie-Lou pour lui demander de nous garder Lola jusqu’au dimanche soir. Elle est d’accord, comme d’habitude, car elle adore sa filleule. Du coup, pendant que nous nous rhabillons pour rentrer chez nous, j’invite Martine à venir de nouveau à la maison, mais pour y passer le week-end cette fois. Elle n’hésite pas trop et accepte à condition d’amener au moins les boissons pour participer. Je lui précise que nous avons des courses à faire le matin et finalement nous nous fixons rencard demain en début d’après-midi à la maison.

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