Un soir tard au bureau

Retardés avec mes deux collègues pour un dossier à conclure impérativement, il est tard nous sommes les derniers du bureau, et comme nous avons besoin de décompresser, nous défouler, je lance un enregistrement automatique d'image de la cam, les grimaces les rires du début nous échauffent et nous partons dans un délire sensuel fabuleux, jusqu'à .

Proposée le 6/05/2020 par janbart9

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Un bureau de travail de cadre, je suis avec deux femmes une de 25 ans Eloïse et une de 30 environ Irène qui est mère de famille aussi, nous achevons la rédaction d’un dossier qu’un patron nous a fait recommencer. Nous sommes stressés, il commence à être tard, ouf ça y est on boucle un dossier traitement de texte participatif, sur le book devenu commun sur notre table commune.


Là je fais une grande grimace à l’écran, elles rient, alors j’allume le traitement automatique de photos par la cam, et je recommence ma grimace, elles en font à leur tour, on rit beaucoup, puis trois têtes rapprochées chacun sa grimace, alors je me lève les prends par le bras, pour un trio debout où elles roulent alors du buste, la phot est hilarante.


J’ouvre ma chemise en tirant la langue elles se marrent et ouvre leurs chemisiers aussi, voila deux beaux soutien gorge en photos, et je sens que je commence à les manipuler en leur disant oula qu’elle est belle celle là, allez tous les trois torses nus sans soutif.


Irène n’hésite pas une seconde avec un grand rire, Eloïse attend, mais la phot se déclenche et s’affiche alors elle y va et se dégrafe et je les prends par la taille pour être tous les trois dans la phot, on est en plein fou rire.


Mais elles sont collées contre moi je me risque à poser un baiser sur un sein d’Irène qui hennit de plaisir alors je me penche alternativement sur l’une puis sur l’autre pour poser un baiser, je pelote un peu tout en gardant Eloïse bien collée.. je commence à avoir de la tension basse. ça glousse à mes coté, je les regarde bien dans les yeux et montre que nous pouvons baisser ensemble nos pantalons culottes, la chaleur nous monte à la tête, et doucement ça se fait les pantalons tombent on est à poil intégral…


les photos cliquent encore, je prends leur bras et étend leurs mains devant mon sexe, je fais de même devant le leur, mes deux bras écartés sous les leurs, et leurs dit de croiser l’autre bras devant leurs seins, la phot est terrible,


mais je sens qu’une main est bien chaude et m’effleure le sexe en train de se dilater alors je les place de profil devant et derrière moi, serré, elles roucoulent, c’est encore Irène qui a droit à ma tension dans le bas de son dos elle aide même et montre là son expérience; à droite puis à gauche et là c’est la taille, une fesse et un sein d’Eloïse que je caresse sans la coller pour pas lui faire peur, et elle se cambre de plaisir on dirait..


je les pousse vers la table les fait s’asseoir face à moi , elles fixent mon engin, sans prépuce mon gland est un champignon qui les trouble, je les caresses, leur baise les seins, mes mains ne savent plus où donner, je les pousse pour qu’elle s’allongent, mes mains ma tête ma bouche descendent vers leur ventre qui palpite, j’hésite un peu à fouiller de la bouche les toisons,


Alors Irène se redresse et me prend le sexe à la main se penche et m’aspire tout d’un coup.. elle prend même une main d’Eloise pour la faire me caresser les testicules sa main en vibre tellement elle se retient, j’ai une main pour chaque paire de seins et je vole je plane;


puis Irène se retourne à plat ventre sur la table m’offrant un fessier bien ferme je pousse Eloise dans la même position, et debout derrière elles deux je commence les glissades entre leur cuisses qui s’écartent de plus en plus.


De l’une à l’autre je deviens fou, je pénètre, je sort, je passe à l’autre, la jouissance se communique très vite elles me mouillent un maxi et je boute et donne des coups de reins, le gland hypertrophié,


Elles râlent et crient toutes les deux, Irène se crispe et me maintient en elle, je jouis alors d’un long jet avec un râle sourd, je m’arrache et pénètre Eloïse toute frémissante en sentant mon sexe toujours aussi dur et gonflé, jamais je n’ai senti ça avant..je la laboure et je jouis encore, mon autre main sur la vulve abandonnée d’Irène.


Je sens comme un évanouissement, la terre ne tourne plus, je me laisse couler sur le coté entre elles, je me glisse sur la table sur le dos, elles suivent le mouvement et s’allongent aussi, je les garde collées à moi, leurs seins sur ma poitrine, ouhou que c’est doux. Nous récupérons ainsi un long moment, leurs doigts se parlent sur mon paquet, puis je les attire encore plus sur moi et plus haut pour titiller de ma bouche leurs mamelons enfouir ma tête entre les seins.
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Enfin nous nous relevons et récupérons nos frusques abandonnées, je les regarde s’habiller avec beaucoup de tendresse, le moment est magique après une telle extase. Irene dit que nous allons devoir passer aux lavabos nous rafraîchir la tête et le ventre avant de pouvoir sortir, alors attention à l’équipe de ménage.
Demain je ferais des montages copies des photos pour les partager, quel souvenir ! Et après comment allons nous regarder et travailler et aurons nous des envies de recommencer .. autrement ou est ce que ça restera ;; un coup de sang ?

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