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Agnès et Sylvain (2) Notre petit militaire

Après un massage torride reçu comme cadeau d'anniversaire; Agnès est passée de l'état de prude à celui de dévergondée. La venue de Jean dans notre vie a ravivé notre libido qui commençait à s'effriter. Jean est un neveu d'Agnès qui fait son service militaire à une trentaine de Km de chez nous.

Proposée le 7/06/2023 par Sylvain

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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Notre couple commençait à s'enliser dans la routine. Nos discutions devenaient plus plates, nos ébats plus rituels, nos amis plus prévisibles. Bref, nous commencions à vieillir.


Pour essayer d'y remédier, à plusieurs reprises, je suggérais à demi-mots à Agnès (ma femme ), d'avoir une relation extraconjugale, ce qui à mon avis donnerait un peu de piquant sexuel à notre couple. Sur un ton badin, elle refusait chaque allusion en me disant que c'était moi qui devrait chercher une maîtresse. Nos taquineries durèrent un certain temps, jusqu'au jour où : …..


Julien, le frère d'Agnès, s'était marié il y a trois ans avec Clairette, une fille un peu banale et peu intéressante. Aussi nous ne les voyions pas souvent. Mais un jour, voilà Clairette qui nous appelle: Son neveu Jean, va faire son service militaire dans la ville voisine à la nôtre, est-ce que nous serions prêts à le recevoir quelques week-end et l'aider si besoin était.


Naturellement nous avons répondu oui, contents de rendre service à Julien que nous avions négligé ces derniers temps et ainsi d'amener de l'imprévu dans notre vie
.

Environ trois semaines plus tard, un samedi, un jeune homme sonne à la porte, C'était Jean,


Nous l'avons invité à rentrer. Après avoir pris des nouvelles de sa famille, nous l'avons rassuré de notre accueil et qu'il pouvait passer les week-end avec nous, qu' il aura la chambre d'ami et que cela ne nous gênait pas du tout.


Jean était très sympatrique. Il avait 25 ans et nous faisait souvent rire avec ses anecdotes de caserne. Ce fut également l'avis de nos amis.
Ainsi durant un an, pratiquement chaque week-end, il était avec nous. Si nous invitions des amis, il était avec nous. Si nous étions invités, il était avec nous, Si nous allions au restaurant, il était avec nous. Il avait sa chambre chez nous. Pour nos amis, c'était comme s'il était notre fils.
Sauf que …....


Cette proximité nous a amené à une certaine complicité. Au fil des semaines, j'ai pu observer le regard oblique de Jean sur Agnès qui, elle aussi, l'avait remarqué et m'en avait fait part.
- » Tu sais, une femme aime bien sentir qu'on la désire. C'est agréable ! » m'a-t-elle avoué.
Depuis toutes les occasions étaient bonnes pour la railler sur le sujet.


Un jour, alors que nous venions de faire l'amour, Agnès s'évertuait sur ma bite afin d'avoir droit à un deuxième round. - » Tu en mets du temps à recharger tes batteries. Je suis sûre que Jean serait plus rapide !! «  ironisait-elle.
- »Ça, je n'en suis pas certain « . Et sur un air de défi, j'ajoutais - » Tu veux vérifier ??«, et après un court silence elle ajouta : 
.- »Oh ! Je ne dit pas non, si l'occasion se présente !! ». Rien qu'à cette idée ma batterie s'était rechargée rapidement et Agnès s'en est amusée avant de profiter du second round.


Ainsi, un soir, en pleine semaine, nous regardions tous les deux un film à la télé, Comme à notre accoutumée, Agnès était vêtue uniquement de son boubou en soie, nue en dessous et moi d'un survêtement.


Je caressais nonchalamment les seins et la chatte de ma chérie. J'aimais quand elle enfilait son boubou. Le plaisir de la toucher à travers cette étoffe est immense. De plus, lorsqu’elle se déplace, le voile flotte derrière elle, découvrant son petit cul.


Quelqu'un sonna à la porte. C'était Jean. Il venait nous prévenir de son départ pour des manœuvres militaires à partir de dimanche et ce durant quinze jours mais que demain et après-demain il était en permission. Pas de problème, il pouvait rester ces deux jours chez nous.
- »Tu veux manger quelque chose , ou boire?- Oui merci « 


En le servant, Agnès se penchait sur la table basse du salon et ce faisant, son boubou baillait sur les cotés. On pouvait voir ses petits seins pointer sous le tissu, son ventre plat et sa mignone petite touffe de poils. Elle avait un corps magnifique. Elle m'avoua par la suite en avoir été consciente et même que ça avait été volontaire de sa part, vu la frustration d'avoir été obligée d'arrêter nos câlins.


Une bouffée de chaleur envahit mon sexe. Un petit coup d’œil vers Jean me confirma qu'il se rinçait également l’œil. Je fis comme si de rien n'était, remerciant intérieurement mon beau-frère Julien de nous avoir envoyé ce jeune homme.


Nous étions donc installé sur le canapé, Agnès entre nous, mais tout de même serrée contre moi. Je sentais la chaleur de son corps à travers le tissu léger. Tout en discutant, je lui faisais de temps à autre des petites bises dans le cou pour la stimuler. Quoi de plus normal pour un couple marié !! A un moment, Agnès se tourna carrément vers moi pour m'embrasser.


Jean nous regardait avec un petit sourire. Le tableau devait lui plaire, surtout que le boubou baillait sur le coté en dévoilant un mignon petit sein dont le téton pointait insolemment.


Profitant de ce que Agnès était tournée vers moi, je pris la main de Jean et la posait sur la cuisse dénudée de ma chérie. En réaction à ce contact inattendu, elle eut un léger tressaillement mais sans pour cela arrêter son baiser. Jean fut d'abord surpris, mais se reprit très vite et profita de l'invitation.


Je voyais sa main caresser la cuisse d'Agnès, remonter doucement vers son nid d'amour, s'attarder sur la petite touffe soyeuse, grimper jusqu'à ce sein découvert, le pétrir, s'amuser à irriter le téton durci, redescendre vers le pubis, y rejouer avec les poils, remonter vers les seins … Bref, un va et vient excitant.
Il savait y faire, le coquin.


Agnès, quant à elle, durant ce temps, restait collée à moi, elle savourait cette main baladeuse, se délectait des multiples attouchements comme le trahissaient les frissons qui parcouraient son corps.


Un peu plus tard, Jean nous demanda s'il pouvait prendre un bain, car il venait directement de la caserne, avait transpiré durant la journée et ne se sentait pas très propre.
- »Ton bain, tu le veux très chaud ou tempéré ? « - »Chaud, je préfère. Merci « .

Agnès se leva donc pour lui faire couler un bain, préparer une serviette et un gant de toilette. En se levant, son boubou de soie flottait derrière elle et laissait entrapercevoir son mignon petit cul..

- »Çà-y-est. Ton bain est prêt . Tu laisseras tes sous-vêtements devant la porte. Je vais lancer le lave-linge et demain matin tout sera sec « 


Au bout d'un quart-d'heure, avec un clin d’œil complice, je proposais à Agnès d'aller voir si Jean avait besoin de quelque chose et de lui apporter mon peignoir de bain. Après une petite hésitation ( vraiment petite ) elle se leva, alla chercher le peignoir et toqua à la porte de la salle de bain.


- » As-tu besoin de quelque chose ? «  Elle entra dans la pièce en refermant la porte derrière elle.


Les yeux brillants, elle m'a raconté s'être assise sur le bord de la baignoire, avoir trempé sa main dans l'eau soit-disant pour en apprécier la température, et y avoir trouvé une bite bien dure, de bonne taille, et un corps appétissant et bien musclé. Elle a ensuite un peu joué avec le sexe entre ses doigts, caressé ce jeune corps et embrassé fougueusement son propriétaire.


- »Oh, j'aurais pu jouer plus longtemps avec son sceptre et ses tétons, mais je ne voulais pas te laisser trop longtemps seul … »
- » .Dis, Sylvain, tu ne crois pas qu'on fait une bêtise ? ? C'est le premier homme après toi que je caresse ainsi, et il est tellement plus jeune que nous qu'on pourrait être ses parents. Tu sais que je t'aime très fort !!! »


Là, je la rassurais en la caressant et que moi aussi je l'aimais très fort et que cette situation ne me déplaisait pas car j'adore la voir délurée et jouir, et que tout ceci n'était que du physique destiné au plaisir.


Quand Jean est revenu nous rejoindre au salon, il portait mon peignoir et s'est assis à coté de nous. Un silence légèrement teinté de gène planait dans la pièce.


Je rompis le silence par un: - »Bon, où en étions nous avant ton bain ? « .Et de Jean de répondre gaiement : - »Je crois me souvenir que mes mains étaient là ! » et il saisit les seins de Agnès, puis se mit à les suçoter et les malaxer.


Au moment du contact, j'ai senti un frémissement chez ma femme.


Cette main, qui s'était faufilée sous la soie redescendait lentement vers la chatte de chérie. Agnès se tourna vers Jean, hâta cette main vagabonde vers son Mont de Vénus et l'embrassa furieusement. Puis elle lui ouvrit le peignoir et tout en retirant son boubou, elle s'empara de ce sexe érigé, le lécha sur toute sa longueur, joua avec sa langue sur le gland dénudé, lécha et goba les testicules et l'enfourna jusqu'au fond de sa gorge.


Moi, j'admirais le tableau, je voyais ma Chérie se déchaîner sur cette bite et le tableau m’excitait énormément. Je pénétrais la chatte de Agnès avec mes doigts, puis ma langue, je titillais son clito et les tétons ultra-durs d'Agnès, ce qui avait pour effet d'attiser son excitation.


Parfois ma main rencontrait celle de Jean, alors je lui laissais la place car je voulais que cette débauche soit uniquement pour ces deux nouveaux amants.


C'est à ce moment que j'ai décidé de les laisser baiser sans chaperon pour le reste de la nuit. ( divine , d'après ma chérie ).


Les week-end suivants, lorsque Jean venait, ma chérie déambulait dans la maison toujours très légèrement vêtue. Le soir, il n'était plus question qu'il dorme dans la chambre d'ami. Agnès se réjouissait d'avance de la nuit à venir à passer avec son mari et son jeune amant.


Notre chambre à coucher devenait une arène où Agnès succombait à nos assauts sexuels pratiquement ininterrompus toute la nuit.( Là, j'exagère un peu ).


- » Le pauvre, il vient de passer toute une semaine dans la caserne. Il a besoin de se divertir. « 


Depuis, notre chambre d'ami ne sert plus que pour moi, lorsque je décide de laisser les deux amants seuls.


Un week-end, Jean nous annonça avoir rencontré une jeune infirmière Clara. Il ne viendrait plus toutes les semaines, mais uniquement lorsque Clara serait de garde en fin de semaine.

- »Mais vous me gardez ma place dans NOTRE lit !! « . En effet, les week-end, Jean partageait tout avec nous : Que se soit nos amis, nos sorties et surtout le corps tout entier ma femme.


Celle-ci s'encanaillait de jour en jours, ce qui ne me déplaisait pas car je profitais de cette évolution le reste de la semaine.
En fin du compte, il rechargeait plus vite que moi au grand plaisir de Chérie. Cette aventure à trois dura jusqu'à la démobilisation de Jean.


Heureusement, depuis un mois, nous avons embauché Hubert.
(lire '' Notre ami privilégié '' )

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