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Olivia, Amsterdam : Nid d’espions

C’est la dernière ligne droite, depuis la découverte de la conspiration des Dumarais père et fils, Béa et Cal ont aussi dû écarter une OPA agressive aux méthodes très douteuse. La vérité peut éclater à Amsterdam mais nos héros sont ils prêts à prendre tous les risques ? A accepter que leurs décision

Proposée le 24/05/2023 par Stan23JR

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


Olivia, Amsterdam : nid d’espions
4 Mars 2022 (Hôtel Van der Landen, Amsterdam)

Olivia, Amsterdam : Nid d’espions Suite aux aventures (épisode L, M, N) qu’ils avaient menées depuis le mois de décembre 2021, ils avaient découvert que le conflit Russo - Ukrainien, la fameuse « Opération Spéciale » cachait le délit d’initié de certains oligarques passant par un Joint - Venture chinois aux origines très douteuses et fortement lié à la mafia hongkongaise.
Le but, apparemment, était de cacher leurs actifs dans les actions de compagnies européennes.

Bishop leur avait dit que lui et B3K ne pourraient pas enquêter plus loin. Là, nous sommes passés sur des affaires qui relèvent clairement du pénal. En effet, en plus du délit d’initié, on pourrait ajouter aussi, intelligence avec un pays étranger, intelligence avec une organisation criminelle, mais également, recel de crime pour Antoine et Antonin Dumarais.
Il était nécessaire donc que ce soit une agence de renseignement étatique qui prenne l’affaire en main et mène l’enquête.

Par chance, Nina l’avait mis en relation avec un de ces amants, le commandant Nicklas Dulay de la DCRI qui les reçut lui et Béa dans un restaurant à Amiens. L’agence utilisait cet établissement régulièrement pour recevoir des contacts.
Dulay les rassura notamment sur l’entrée qui était filtrée par des agents de la DCRI, les murs étaient équipés en permanence de système antibrouillage comme ceux installés par B3K lors de la fameuse soirée chez Cal.

Ils transmirent à Dulay l’ensemble des éléments dont ils disposaient. Dulay se chargea avec une autre de ses agentes, d’authentifier les documents pour vérifier la véracité de leurs propos.

Puis il leur rapporta que les Dumarais étaient déjà dans le collimateur de leurs services bien avant le début de la guerre pour des pratiques douteuses. Ces documents ne faisaient que confirmer leurs doutes.

Il leur dit également que cette méthode ne le surprenait pas. Beaucoup de services de renseignement à travers le monde rapportent une multiplication des OPA du même type. Tous n’avaient pas réussi comme eux à les déjouer.

Il les félicita pour la qualité de leur travail et leur demanda s’ils voulaient continuer à collaborer avec leurs services, ce qui ne dérangerait ni Béa, ni Cal.

Dulay les remercia et leur dit qu’il les recontacterait une fois avoir étudié l’ensemble des pièces remises.

Cela fut fait une semaine plus tard. Cette fois, c’était dans un bar du côté de Meaux, où ils apprirent par le commandant que l’exploitation de leurs données mettait deux personnages très en avant, Beschler et Le Garrec.

La surveillance faite par les deux hommes avait montré des choses très disparates. Beschler était totalement dévoué à ses responsables, de plus, il aurait bien trop à perdre à les trahir. En revanche, Le Garrec présentait un profil plus aventurier, il était vraiment prêt à tout pour réussir et avoir toujours plus de pouvoir.

Il leur était nécessaire de recueillir encore plus d’éléments afin de le faire parler, car leurs services étaient convaincus qu’il en savait énormément sur le sujet.

Ils avaient un plan, mais ils allaient avoir besoin de Cal pour cela. Le Garrec devait se rendre le 4 mars 2022 à Amsterdam soit disant pour une convention juridique. Mais là où c’était intéressant , c’est qu’il descendait à l’hôtel Van der Linden dans le quartier De Wallen, la partie médiévale de la ville.
Cet hôtel faisait partie d’un groupe hôtelier appartenant à Ursan Ustyagov et était fréquenté par beaucoup de touristes russes.

L’idée était simple. Un agent de la DGSE allait se faire passer pour le dirigeant d’une entreprise néerlandaise de vol privée et rencontrera Cal à Amsterdam. Rendez - vous sera pris à l’hôtel Van der Linden ou Cal réservera une chambre.

Mais ce dernier devra demander à être logé côté jardin, car Mathias Le Garrec demandait toujours à être logé côté fleuve avec vue donc sur l’Oosterdok. Ils seront par conséquent dans deux ailes différentes de l’hôtel.

Pendant son faux, rendez - vous avec l'agent de la DGSE, un deuxième agent saccagera sa chambre pour faire croire que l’on a fouillé dans ces affaires.

Il devra donc faire un scandale afin d’attirer les services de sécurité ainsi que l’attention des caméras sur cette partie du bâtiment et ainsi de permettre à la deuxième équipe de passer au peigne fin la chambre de Le Garrec pendant que celui - ci en déjeunera à l’extérieur. Un autre agent sera chargé de le retenir.

Cal est donc arrivé à l’aéroport Amsterdam/Schiphol le 4 au matin. Il a récupéré la voiture de location que l’entreprise lui avait louée et s’est dirigée vers le centre-ville Amstellodamois en prenant l’A4, par laquelle il est entré dans la ville en passant par l’Amsteldorp.

L’hôtel se trouvait dans la partie médiévale. Il a traversé un grand nombre de routes pavées et est arrivé devant la façade d’une bâtisse en pierre présentant un cachet des plus intéressants.

Il s’est rendu au lobby ou il a récupéré la clé de sa chambre : la 413. Il s’est rendu compte sur un plan qu’il se trouvait bien dans une aile différente de la chambre de Le Garrec, la 731 située totalement à l’opposé.

Il y déposa ses affaires et attendit 12 h 30 l’heure de son rendez - vous avec son contact, monsieur Maarten De Liszt (l’agent de la DGSE).

Il le retrouva donc à l’heure du déjeuner au restaurant de l’hôtel. C’était un homme de grande taille, blond avec des yeux bleus et un bon accent et s’appelait en réalité Rodrigue.

Le rendez-vous fut conforme à ce qui était prévu, l’agent Rodrigue avait bien travaillé son sujet. Il lui a posé des questions très pertinentes sur le matériel, les délais de livraison et les divers coûts attenants à la construction, sans oublier des détails sur l’empreinte carbone ou encore les mesures environnementales prévues chez Spittrain.

Vers 13 h 30, sur un signe discret de l’agent Rodrigue, qui devait avoir été prévenu par son équipier, ils prirent congé et Cal monta par l’ascenseur jusqu’au 4ème. Comme prévu, il a découvert la porte de sa chambre fracturée et l’intérieur sens dessus dessous.

Comme prévu, il a contacté la réception de l’hôtel pour signaler le forfait.

Un employé de la réception est arrivé, escorté par deux agents de sécurité. L’heure était venue pour Cal d’entrer en scène. Il souffla un bon coup avant de se lancer.

- Ah, ce n'est pas trop tôt ! Vous allez peut-être pouvoir me donner une explication ? C’est une tradition d’accueil à l’hôtel Van der Linden, le coup du cambriolage ?

- Du calme, monsieur Liénard, nous allons éclaircir la situation, je vous assure, lui répondit légèrement gêné, essaya de le calmer le chef des réceptionnistes. Allons, calmez-vous…

- Que je me calme, non mais vous vous foutez de ma gueule ? Pourquoi devrais-je me calmer alors que ma chambre a été mise, sens dessus dessous par je ne sait qui ? Dans un hôtel qui se vante d’être sûr ! Mon cul oui ! Vous m’avez saoulé à minimiser, je demande à voir un responsable de l’hôtel et sur le champ !

Le chef des réceptionnistes ne se sachant pas en position de force battit en retraite en utilisant son talkie-walkie pour appeler un responsable.

Cal savait à qui il allait avoir affaire. La DGSE l’avait briefée. Ce sera, soit le directeur de l’hôtel Steven De Roon, soit son adjointe Olivia Van der Baarle. Pour elle, si c’est cette Olivia, il devra feindre l’étonnement sachant qu’elle était diplômée d’HEC Paris, 2 ans avant lui. Selon l’agent Rodrigue, elle est la véritable patronne, car c’est elle qui est le contact direct des actionnaires russes.

Et justement, c’est une femme proche de la fin de la trentaine qui s’est présenté à lui. Son balayage auburn cascadait sur ses épaules avec des reflets presque bordeaux. Elle avait de beaux yeux verts bien profonds et expressifs, la bouche colorée d’un rouge à lèvre carmin, deux belles boucles d’oreilles en forme de papillon, un collier de perles autour du cou et autour du poignet droit.

Elle portait impeccablement le tailleur noir de l’établissement agrémenté de la broche de l’hôtel sur le revers de la veste. La jupe était tout aussi impeccablement repassée. Aux pieds des talons d’au moins 12 cm la grandissait. Sa seule fantaisie résidait dans une paire de collants oranges.

Il la dévisagea légèrement avant de s’écrier :

- Alors la directrice de l’hôtel est Olivia Van den Baarle, promotion 2008 d’HEC Paris, mes félicitations Madame la Directrice. Je suis content de tomber sur quelqu’un de compétent.

Et Vlan un autre uppercut dans la gueule du chef des réceptionnistes qui ne broncha pas.

- Calvin Liénard, cela fait longtemps dis donc. Pas loin d’une quinzaine d’années si je ne m’abuse. Madame la Directrice adjointe s’il te plaît. C’est Steven De Roon le Directeur de l’hôtel. Mes félicitations pour l’officialisation de ta relation avec Béa, vous formez un joli couple et une belle famille.

- Merci pour ces amabilités, mais ce n’est pas cela qui va m’expliquer comment un hôtel réputé pour sa sécurité se retrouve ouvert à n’importe quels truands de la petite semaine ou consommateur de crack en manque. Je vais finir par croire que cet établissement, malgré le standing affiché est plutôt mal famé. Un véritable coupe-gorge…

- Je te promets Calvin, que l’hôtel fera tout ce qui est en son pouvoir, déjà pour retrouver en lien avec les autorités compétentes, les responsables. Ensuite l’hôtel, nous nous engageons à tout remettre en état tes affaires en l’état. Sans oublier de te dédommager pour l’ensemble des affaires abîmées ou volées. De plus, nous allons te reloger dans une autre de nos suites présidentielles que je vais te montrer sur-le-champ.

Elle est passée devant lui. Cal aurait juré qu’elle ondulait exagérément du cul. De plus, elle l’effleura plus ou moins ouvertement.

Elle passa une clé magnétique dans la serrure qui s’ouvrît et ouvrit la porte d’une chambre bien plus spacieuse que la sienne et plus luxueuse aussi. La baie vitrée offrait une vue panoramique sur le quartier.

Les trois hommes les avaient suivis et se trouvaient désormais à l’entrée de la chambre. Il décida de pousser son avantage plus loin sachant que les micros du talkie-walkie étaient restés ouverts.

- C’est pas mal tout cela, mais tu penses que cela va suffire ? J’occupe une fonction importante. Sur mon ordinateur portable et dans ma mallette, se trouvent des documents financiers confidentiels. Tu crois que ce sont ces « gentillesses » qui justifieront auprès de ma hiérarchie le vol de données confidentielles ?

- Je puis t’assurer que je m’engage personnellement à faire tout ce qu’il faut pour…

- Ah bon ! Tu t’engages personnellement, coupa-t-il, jusqu’où es-tu prête à aller pour que j’oublie cette affaire ?

Elle comprit à son sourire carnassier où il voulait en venir. Elle avisa les trois autres hommes qui n’avaient pas l’air de vouloir bouger avant de se tourner vers lui.

Elle déboutonna un à un les boutons de sa veste de tailleur, puis passa ses mains dans son dos pour dégrafer sa jupe qui tomba entre ses chevilles qu’elle souleva pour enjamber la jupe, enfin elle s’attaqua au chemisier orange pour révéler une belle lingerie.

Un soutien-gorge avec un épais morceau de tissu passant au niveau de la poitrine, de couleur orange, ainsi qu’un porte-jarretelles orange, de la même matière que le soutien-gorge, une bande de tissu passait au niveau du ventre tandis que deux jarretelles descendaient s’accrocher aux bas.

Le string brésilien à taille haute se trouvait quasiment au niveau du bas du porte - jarretelle, il s’agissait du modèle Maisie de chez Hunkemoller.

Elle se laissa admirer dans sa lingerie et se tourna pour qu’on admire aussi son fessier, les trois gugusses avaient des difficultés à tenir en place. Quant à Cal, il se mit à la jauger, puis il leva légèrement un sourcil pour la mettre au défi sur la suite des événements.

Elle s’est avancée vers lui et a baissé les genoux pour se mettre à la hauteur de son entrejambe. Elle a passé sa main sur son paquet qu’elle a soupesé. Enfin, elle ouvrit sa braguette pour en extraire sa queue qu’elle jaugea à son tour. Elle s’est enfin passé la langue sur ses lèvres tout en le regardant dans les yeux.

Juste avant qu’elle ne l'engloutit, n’oubliant pas sa mission, il héla l’un des deux agents de sécurité :

- Faites donc profiter du spectacle à vos collègues de la sécurité. Passez leur un appel Visio.

Le grand colosse blanc (à la Jason Statham) ne fut pas assez réactif, c’est plutôt son collègue noir (qui lui tenait plutôt de Michael.B.Jordan) qui a sorti son portable et a appelé ses collègues.

C’était une occasion sûrement unique pour eux de voir leur patronne dans cette posture.

Olivia avait bien vu le manège qui se jouait. Après avoir mesuré la situation, elle a regardé la caméra avant d’engloutir la bite de Cal jusqu’à la garde, qu’elle suça allègrement.

Il s’était placé de trois-quarts pour que la fellation soit bien visible par la caméra. Elle savait y faire, il n'y avait pas à dire. Elle avait l’habitude de sucer.

Elle alterna aussi bien un rythme lent que rapide en mode piston. Régulièrement, il dégageait les cheveux de devant son visage pour ne pas gêner la caméra.

Il savoura un petit moment avant de faire signe à ces trois acolytes (il ne sût qu’après que le chef des réceptionnistes avait pour nom Dirk, le grand colosse blanc, c’était Timur tandis que son collègue noir s’appelait Edwin.).

Ils s’approchèrent et vinrent entourer la femme aux cheveux auburn, leurs bites déjà sorties pour se faire sucer à tour de rôle tandis que la directrice adjointe branlait les autres membres. Dirk fut le premier et il semblait avoir un compte à régler avec Olivia, car ces coups de bite étaient violents et secs. Il n’hésitait pas non plus à la biffler avec sa bite et à lui imposer des gorges profondes.

Les agents de la sécu se firent plus doux, mais la taille imposante de leurs appendices était déjà violente en soi. Timur avait une longue tige d’au moins 20 cm avec un diamètre de 4 à 5 cm. Il lui décrochait presque la mâchoire à chacune de ces incursions dans sa bouche, d’autant qu’il lui tenait les cheveux pour s’engouffrer toujours plus loin.

Olivia raffolait du traitement qu’elle subissait. Elle ne fut pas au bout de sa peine, car la bite d’Edwin était à peine plus longue que celle de son collègue, mais la largeur avoisinait au moins les 7 centimètres.

C’est à se demander comment sa mâchoire pourrait tenir à ce traitement, mais Edwin avait semblé - t - il l’habitude, car il se montra très doux et ne força pas trop.

Pour qu’elle soit plus à l’aise, ils la couchèrent sur le canapé, pendant qu’elle suçait alternativement les bites de Timur et Edwin, Cal s’était installé entre ses jambes et lui faisait un cuni dans les règles de l’art, la faisant soupirer à chaque lapement. Elle ne pouvait pas l’entendre ayant toujours une bite en bouche.

Dirk semblait continuer sa mission vengeance, car il lui tirait méchamment les seins. Mais elle semblait adorer ça.

À ce rythme, elle ne tarda à ressortir la queue de Timur qu’elle avait en bouche pour crier sa jouissance sous les commentaires salaces des autres agents de sécurité en Visio.

Elle s’est relevée sur ses talons et s’est placée au milieu de la pièce, sans plier les genoux, elle retira son string brésilien, laissant admirer ces deux trous déjà bien humides.

Pendant que Dirk, Timur et Edwin se déshabillent, elle vint se mettre contre la baie vitrée, les mains bien à plat. Le message était clair. C’est Cal une nouvelle fois qui s’y colla en premier.

Il s’est inséré dans son antre humide de son jus et a commencé d’amples mouvements d’avant en arrière en s’aidant de la vitre. Ses deux bras étaient en appui de chaque côté de sa tête.

Elle a poussé des cris extatiques à chaque coup de boutoir. Il s’est appuyé ensuite sur ses fesses, puis sur son porte-jarretelles pour mettre des coups de plus en plus forts.

Après quelques minutes, il laissa la place au grand Golgoth qui, s'il était relativement doux tout à l’heure durant la fellation, cette fois-ci, il est allé franchement dans la place chaude laissée par Cal.

Ce dernier s'est rendu au bar et a servi un scotch à tout le monde et notamment à Dirk et Edwin qui attendaient leurs tours en se branlant.

Timur a laissé la place à Dirk. Cal fut surpris d’entendre Olivia pousser un cri beaucoup plus fort.

Dirk a tiré sur les cheveux de sa patronne avant de s’enfoncer sans préparation dans son rectum, dans lequel il y allait sans hésitation. C’était un enculage dans les règles de l’art. Il l’enfilait jusqu’à la garde sous les encouragements d’une Olivia complètement déchaînée.

Il ne connaissait pas leurs histoires, mais Dirk avait dû ressentir beaucoup de frustrations vis à vis de la femme aux cheveux auburn.

Il laissa quand même la place à Edwin, qui même s’il passait par des chemins plus conventionnels, il n’en demeurait pas moins que la pauvre Olivia prenait quand même bien cher.

C’était presque hypnotique de voir cette grande queue noire s’enfonçait dans cette chatte blanche, le contraste était très érotique.

Après quelques minutes, on passa à la suite des réjouissances. Olivia s’empala la chatte sur Timur assis dans le canapé. Voyant la place libre, Cal s’essaya à la double pénétration pendant qu’elle suçait les bites d’Edwin et Dirk debout en face du canapé.

Différentes configurations furent essayées où tous les quatre hommes présents purent essayèrent tous ses trous en double.

Le moment le plus cocasse de l’après-midi arriva alors qu’elle se faisait sodomiser en cowgirl, inversée sur Edwin pendant que Timur lui faisait la chatte, Cal lui se faisait reluire le pénis dans la bouche de la directrice adjointe. Dirk apparemment désœuvré vit une opportunité que personne n’avait vue.

Il s’engouffra dans la chatte d’Olivia en même temps que Timur. Tout le monde fut sidéré un instant, mais comme si cela était normal, ils reprenaient leurs activités précédentes sous les cris d’Olivia. (ils avaient quand même vérifié avant que c’était des cris de plaisirs)

Heureusement que Cal avait sa bite dans sa bouche sinon tout l’hôtel aurait entendu qu’elle se faisait prendre en double vaginal et en pénétration anale.

Mais toutes les bonnes choses ayant une fin, placée au centre des quatre hommes, elle reçut une douche de sperme sous les quolibets et les sifflets des gars en Visio.

Elle en avait partout, sur les cheveux, les joues, la bouche et les seins.

Comme une sacrée cochonne, elle lécha tout sous leurs yeux et elle fit une toilette de la bite à chacun. Certains comme Cal avaient encore des réserves, car ils se répandirent encore entre ses lèvres.

Après que tout le monde se soit rhabillé, Cal dit à Olivia que pour lui cet intermède scellait leurs problèmes, mais qu’il attendait quand même une enquête approfondie de leurs parts. Il lui ferait aussi connaître les biens endommagés ou volés, pour que l’hôtel puisse prendre les dispositions nécessaires.

Il supervisa le transport de ces affaires de la chambre cambriolée vers la suite présidentielle et vérifia que rien n’avait été abîmé. Il devait quand même donner le change devant Olivia même s’il savait que l’agent Rodrigue avait donné pour consigne de ne pas faire trop de dégâts.

Il sortit ensuite de l’hôtel et prit la direction du Sud de la ville, où après s’être assuré de ne pas avoir été suivi et rejoignit un parking où discrètement, il fut récupéré par un agent de la DGSE.

À son arrivée au QG opérationnel où se trouvait notamment Béa, il fut chaudement applaudi avec quelques sourires en coin pour sa performance de haute volée.

La seconde équipe avait pu parfaitement mener sa mission en falsifiant notamment les caméras de surveillance, grâce à la performance de Cal qui avait distrait les équipes du PC sécurité de l’hôtel.

D’importants documents avaient été copiés, mais aussi le contenu du disque. En revanche, c’est avec ce dernier que la DGSE avait un problème. En effet, il était protégé par un code très spécifique. Il s’agissait d’un mot de 5 lettres prononcé de la voix de Le Garrec. Mais ils n’avaient que jusqu’à minuit, car le mot de passe changerait à ce moment-là.

C’est un système de cryptage appelé Fortress, probablement fournie par les Chinois et Chen notamment.

Cal s’est demandé si l’opération allait vraiment servir à quelque chose, mais Rodrigue les a rassurés. Les documents et la boîte mail leur ont révélé des choses plutôt intéressantes.

En effet, Matt avait rendez-vous en début de soirée dans la Red Light District, le quartier chaud d’Amsterdam et les éléments sur sa boucle Telegram étaient accablants pour lui. Il était en contact avec Firat Murazov, l’un des plus importants proxénètes de la ville.

Ce dernier était soupçonné par la police amstellodamoise de trafic de mineures depuis plusieurs mois sans parvenir à le coincer.

Les messages entre Le Garrec et Murazov, s’il n’était pas explicite, pouvait laisser comprendre que Le Garrec allait avoir une relation avec une fille de 16 ans à peine.

Un accord a été passé avec la police de la ville néerlandaise, ils les aidaient à faire tomber Murazov et en échange Le Garrec était à eux.

Le plan allait se dérouler en plusieurs parties. Le Garrec allait être discrètement filé par des agents de la DGSE, les policiers hollandais étaient trop connus. Puis dès que le flagrant délit serait constaté, le tuyau allait être donné à la police qui ferait une descente pour arrêter Le Garrec et Murazov. On utiliserait les contacts et SMS échangé entre les deux hommes pour faire tomber Murazov.

Pour ce qui est du Français, on utiliserait aussi le compte « Stuckas 72 » contre lui. En effet, les informaticiens avaient réussi à reproduire le compte Twitter où serait diffusé en direct l’arrestation de Le Garrec. Du moins c’est ce que l’on ferait croire à Le Garrec. On y trouverait aussi un faux communiqué d’Antonin Dumarais pour charger son collaborateur.

Enfin, une fausse avocate, jouée par un membre de la DGSE, lui montrera l’ensemble de ces fausses informations dans de faux locaux de la police néerlandaise. Le piège était en place. Le but était bien entendu de le faire craquer et qu’il lâche le plus d’information possible se croyant perdu. Ils souhaitaient lui soutirer de quoi débloquer Fortress. L’interrogatoire et la conversation avec la fausse avocate seraient enregistrés en temps réel. Selon Rodrigue, ils pourraient ensuite, lui proposer un marché, mais cette solution ne serait utilisée qu’en dernier recours, car il était possible que Le Garrec soit en possession de fichiers compromettants sur lui ou sur son disque dur. Il pouvait aussi se fermer comme une huître et ce n'était pas le but.

La soirée fut stressante au possible, mais aussi grisante. Ils assistèrent en direct grâce au micro et aux caméras des agents de la DGSE à la filature et à l’arrestation de Le Garrec.

Effectivement, c’était accablant, lui à moitié nu avec une fille très fine qui devait pas avoir 16 ans à demie nue. Béa à côté de lui espérait que l’on n'aurait pas à passer par un accord avec ce genre d’ordure.

Puis ils assistèrent à son interrogatoire avec de faux policiers et l’intervention de l’agente Louise qui s’acquitta parfaitement de sa mission. Elle lui montra le compte « Stuckas 72 » avec la vidéo de l’arrestation, ainsi que le bandeau d’une chaîne néerlandaise d’infos en continu qui indiquait que le cadre d’une entreprise française venait d’être arrêté pour pédophilie.

Le faux communiqué d’Antonin était cinglant. Pour résumer, il disait qu’un employé qu’il ne connaissait pas s’était rendu coupable d’actes abominables, que la société ne cautionnait en aucune manière. De plus, l’entreprise comptait se porter partie civile pour le préjudice que cela engendrait pour leur image de marque.

Cal le voyait, Le Garrec serrait les dents, mais visiblement, il venait de prendre un sacré uppercut. Cal était sûr à cet instant que le breton lâcherait son patron, même si laisser ce monstre en liberté était un coût bien trop cher à payer.

Les minutes s’égrenaient. Et l’agente Louise tentait toujours de le faire parler encore et toujours. Le miracle se produit à 23 h 44 précises. Louise venait de mettre sur la table le sujet d’un accord. Le Garrec craqua et livra le mot de passe, Armor ce qui en breton signifie « littoral ». C'est aussi d’après Rodrigue, un rappel du mot anglais Armour désignant lui l’armure. (l’analogie n’était pas mal trouvée.)

Fortress se révéla être une véritable caverne d’Ali Baba. Le Garrec était une très bonne piste et un bon client même si c’était contre sa volonté et à son détriment.

Apparemment, Mathias jouait un double, jeu voir un triple jeu. Ils trouvèrent des dossiers très compromettants sur toute la famille Dumarais. Mais aussi, d’autres sur des oligarques russes, dont l’ensemble des investisseurs d’Iron Fortress, mais aussi ainsi que sur Chen et To qu’il semblait très bien connaître.

Rodrigue se frottait les mains, apparemment ces éléments allaient faire avancer un bon nombre de ces dossiers et qui pourraient sûrement être utilisés à leurs avantages face aux agences de renseignement alliés.
Pour l’heure, ils avaient enfin les éléments pour faire tomber Antoine et Antonin et empêcher les oligarques russes de prendre le contrôle du groupe dans le futur.

Mais il fallait aussi encore s’occuper du cas Le Garrec. Ce que révéla le disque dur donna envie de vomir à Cal. Il y avait des vidéos et des photos de cette crapule avec des filles parfois très jeunes, mais aussi d’orgies aussi avec d’autres hommes riches probablement et connus.

Rodrigue leur apprit qu’il allait être remis aux mains de la police thaïlandaise qui le suivait depuis des mois. Ils n’avaient pas pu réunir assez d'éléments contre lui pour pédophilie du côté de Phuket ou encore à Bangkok. C’était maintenant chose faite. Quand on connaît la sévérité de la Thaïlande envers les pédophiles, et la dureté des prisons thaï, le sort de Le Garrec était loin d’être enviable.

Le procureur général de Rio de Janeiro mis au courant par la DGSE de la teneur des éléments sur le disque dur de Le Garrec lança tout de suite des poursuites contre lui, de même que celui de Dakar.

Cal et Béa étaient soulagés. Il n’avait aucune chance de s’en sortir et ils furent encore plus contents quand ils virent le regard de ce monstre passé par toutes les nuances, quand il apprit d’abord que la police amstellodamoise ne le poursuivrait pas, et enfin sa peur quand il apprit que des représentants de la police thaïlandaise dépêchés depuis leurs ambassades ici au Pays-Bas étaient en chemin pour l’arrêter.

Ces derniers allaient sûrement l'appréhender sans ménagement et malgré la résistance qu’il allait livrer, ça sera certainement avec des cris de haine et de désespoir qu’il sera embarqué.

Pour Spittrain, l’Agent Rodrigue les informa que la procédure allait être lancée. Le groupe serait quand même compromis du fait des actions de certains de ces dirigeants.
Malgré le scandale, Béa aurait de bonnes chances de prendre la direction du groupe.

Pour la mise en accusation, il faudrait sûrement quelques semaines encore, le temps que les services de la DGSE analysent tout et transmettent l’ensemble du dossier au procureur général et au Parquet National Financier.

Nous étions au beau milieu de la nuit du 5 mars quand ils quittèrent le QG. Ils reprirent la voiture et c’est en toute discrétion qu’ils purent récupérer les affaires de Cal dans sa suite. Béa connaissait un bel hôtel sur la côte, où ils pourraient se rendre. Ils avaient envie de profiter ensemble de ces bonnes nouvelles.

C’est sur les plages de la Mer du Nord que pour la première fois, il se dit qu’il était prêt à se remarier et à donner une petite sœur ou un petit frère à Max et Brittany.

Avec leur mode de vie libertin, mais ils étaient heureux ainsi comme cela. Béa à ses côtés semblait avoir atteint sa plénitude en tant que femme d’affaires, mais aussi en tant que femme tout court.

Les prochaines semaines allaient être très chargées, c’est certain.

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