Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Les expérimentations hasardeuses d'une jeune chimiste (Partie II)

Les découvertes d'Andréa semblent avoir des effets persistants sur sa physiologie. Elle tente tant bien que mal de retrouver un état normal... Mais n'est pas aidée par son environnement.

Proposée le 9/03/2023 par Hermès33

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Solo
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


A peine claquée la porte de son appartement étudiant, Andréa la verrouilla à double tour. Elle sortit de son sac la blouse tâchée ainsi que la culotte totalement détrempée qui faisait bien piteuse mine. Elle les enfourna prestement dans la machine à laver avant de se déshabiller totalement.


« Si je nettoie pas tout ça pas moyen que je dorme cette nuit… » s’alarma Andréa en baissant les yeux vers son entrejambe. Elle n’avait jamais vu sa vulve aussi gonflée d’excitation, et de longs filets de cyprine semblaient s’en échapper constamment.
Il fallait se débarrasser du produit avant de pouvoir clairement évaluer la situation.


Elle rentra dans la cabine de douche, s’enduit de savon et fit aussitôt couler l’eau sur son corps tremblant. A coup sûr apaiser cette sensation allait lui permettre de voir plus clair. Les filets d’eau recouvraient ses seins rendus énormes par le plaisir qu’elle ne parvenait plus à contenir ni à comprendre. Ses tétons pointaient tels deux obélisques dressés au nom de la jouissance.


Andréa rapprocha le pommeau de son ventre, bien que chaque goutte d’eau touchant son sexe ravive son désir inextinguible. Quelques gouttes bleues s’échappèrent de son intimité. Elle ne put retenir un sourire un coin en se disant que pour régler le problème, il allait à présent falloir se nettoyer en profondeur. A quoi bon tergiverser…


Elle tourna brutalement le jet vers son clitoris et laissa échapper un cri de jouissance. Ici elle n’était pas obligée d’être aussi discrète qu’au laboratoire, c’était chez elle après tout. Elle se dit que de toutes les mésaventures qu’elle avait récemment vécues, c’était bien la seule possédant quelques effets secondaires désirables… voire uniquement des effets secondaires désirables.


De sa main libre elle s’écarta les lèvres afin que le jet d’eau puisse pénétrer en elle. C’était bien trop bon, et elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer que le liquide coulant en elle était la semence d’une vingtaine d’hommes en chaleur la prenant avidement. Cela faisait tellement longtemps qu’elle avait oublié la sensation du sperme chaud s’introduisant en elle.


Devenue impatiente, elle appuya d’un grand coup sec sur le pommeau qui s’enfonça sans résistance dans son vagin affamé, toujours sans cesser de cracher son liquide. Ses lèvres s’élargirent sur le passage de l’objet, faisant révulser les yeux de la jeune scientifique. Sa deuxième main vint empoigner le manche pour initier des va-et-vient hystériques au plus profond de sa chatte sur-stimulée. Ses gémissements de jouissance devaient s’entendre dans toute la résidence, mais c’est bien la dernière chose à laquelle Andréa aurait pensé à ce moment-là.


Elle était à présent accroupie dans sa cabine de douche, utilisant toute son énergie à ramoner vigoureusement son sexe distendu d’où jaillissait constamment un mélange d’eau et de cyprine. Les minutes passaient, où elle ne retirait le pommeau que l’espace de quelques secondes pour laisser fuser des grands jets de son sexe, accompagnés de ses hurlements de jouissance.


Une fois, puis deux, puis trois… Seuls une dizaine d’orgasmes parvinrent à la calmer suffisamment pour qu’elle se décide à poser le pommeau et à sortir de la douche, les membres totalement endoloris.


Andréa se rapprocha de son lit, décidée à tenter de se reposer quelques heures pour ne pas être totalement décalée. Un coup d’œil rapide à son réveil acheva de la convaincre : déjà 2 heures du matin, elle n’avait vraiment pas vu le temps passer…


En se retournant pour fermer ses volets un élément retint pourtant son attention : quelque chose semblait avoir été glissé sous sa porte. Une bouffée de honte l’envahit soudain, elle devait avoir empêché tout le voisinage de dormir et étant donné la cause, elle n’aurait clairement pas la foi de faire la tournée des appartements pour s’excuser du dérangement…


Elle s’approcha timidement de la porte d’entrée pour attraper ce qui s’avérait être un bout de papier cartonné. Son cœur fit un bond anxieux dans l’expectative de ce qui pouvait se trouver dessus. Des remontrances vertement assénées, un procès-verbal peut être… ?


Elle l’attrapa avec anxiété et le retourna d’un coup. Autant être fixée, ce n’est pas l’attente qui résoudra le problème. L’écriture est manuscrite, au moins ce n’est pas un papier officiel...


« Salut voisine. Avec l’isolation merveilleuse de cette résidence je n’ai pas pu m’endormir, j’imagine que tu sais pourquoi ;)
Mais j’ai aucun problème avec ça, je pense que c’est important d’assumer nos besoins. Et je t’avoue que je suis un peu dans le même cas. Donc si jamais, j’habite appartement 147 et je ne dors pas encore.
A très vite j’espère,
Thomas »


Un mélange de soulagement et d’excitation l’envahit à la lecture de ces mots. A en croire la sensation qui l’envahissait à nouveau, tous ses efforts pour calmer ses esprits n’avaient pas pu tenir bien longtemps.


« Peut-être bien que ce qu’il faut pour me soulager réellement c’est un homme qui s’occupe bien de moi » Pensa-t-elle…


Mais en même temps elle n’avait jamais vu ce Thomas, elle ne savait même pas à quoi il ressemblait. Dans une résidence étudiante elle avait au moins peu de chances de tomber sur un vieux pervers, ceci dit. La curiosité commençait à prendre le dessus, et au pire s’il était repoussant elle n’aurait qu’à dire que c’était simplement pour s’excuser du bruit.


Elle enfila à la va-vite une culotte et un t-shirt blanc long de son université, avant de remettre un minimum ses cheveux en ordre.
Elle se faufila hors de son appartement, prenant soin de fermer la porte discrètement. Le fait qu’un voisin ennuyé puisse sortir afin de voir qui avait été la source de ces dérangements était la dernière de ses envies.


Pieds nus, elle longeait le long couloir en gardant un coup d’œil sur les numéros inscrits sur les portes. 154,153,152… 149…Elle ne devait plus être très loin.


Le couloir prit un tournant et elle se retrouva d’un coup devant le numéro tant convoité. Pendant que son cerveau était pris de court par sa propre audace, sa main comme animée d’une volonté propre vint doucement taper à la porte.


Des bruits de pas se firent entendre de l’autre côté de la cloison, devenant de plus en plus proches. Son cœur manqua un battement tandis que la porte s’ouvrit.


- « Oui ? » demanda une voix à la fois grave et posée.


Son interlocuteur était un jeune homme de taille moyenne, aux cheveux bruns mi-longs et aux traits fins, presque un peu sarcastiques. Il n’avait même pas pris la peine de mettre un t-shirt pour ouvrir et était simplement en bas de tenue de sport.


Le genre à ne pas réellement prendre la vie au sérieux, se dit Andréa au premier abord.


- « Oui c’est Andréa, tu m’as laissé un mot tout à l’heure… » Répondit la jeune fille d’un incertain. « … Désolé de t’avoir empêché de dormir »
- « Pas de problème, et ravi de te rencontrer. Tu veux rentrer un peu ? »


L’étudiante un peu rassurée de ne pas être tombée sur un plan trop sordide hocha la tête et rentra dans l’appartement.


Le décor semblait être à l’image de son propriétaire. Un grand lit à moitié couvert d’habits probablement pas rangés depuis longtemps, une guitare électrique rouge vif dans le coin de la pièce, et un petit bureau sur lequel trônait un ordinateur portable.


La jeune fille eut un moment de surprise en voyant sur l’écran un onglet non fermé où une vidéo en pause montrait une femme transpirante avec un sexe dressé à moitié planté dans sa bouche. « Ce gars est vraiment sans gêne » pensa-t-elle.


- « Eh bien ! Je vois que je suis pas la seule à savoir me faire du bien ! Plaisanta Andréa
- A vrai dire c’est en t’entendant, c’était dur de rester indifférent du coup… Répondit le coupable pris sur le fait avant de changer de sujet… Tu veux boire quelque chose ?
- Ce que tu as, n’importe ! »


L’attention de l’étudiante avait été détournée par ce qui semblait se produire sous le jogging de son interlocuteur.


Partie 3 à venir !

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

dmaury
Déjà très hâte de savoir ce qui va arriver à Andréa ! Vite la suite
Posté le 14/03/2023

Anonyme
vivement la suite j'espère que ça ne va pas tardé comme le deuxième chapitre merci
Posté le 10/03/2023


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Les expérimentations hasardeuses d'une jeune chimiste (Partie I)
Jeune couple recherche homme mûr... 1ère partie.
21F Jeune inexpérimenté
Un jeune Bûcheron
Le calvaire d'une jeune fille. 5