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L'escabeau

Robert voit sa voisine Nadia prendre des risques, grimpée sur un escabeau branlant, il va l’aider et il sera bien remercié par sa belle voisine dont le mari est absent

Proposée le 20/02/2023 par esperluette

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


L’escabeau

Cet après midi, je suis dans mon jardin, c’est le printemps qui incite à profiter du soleil. je regarde ma voisine par dessus la haie, elle est montée sur un escabeau pour nettoyer les vitres de sa véranda.
D’après ce que j’en vois, elle n’est pas assurée quand elle grimpe, l’escabeau oscille à chaque mouvement qu’elle fait. Elle va se vautrer comme ça, il faut que je fasse quelque chose.

- Bonjour madame Bertin, vous prenez des risques avec cet escabeau, il n’a pas l’air stable.
- Bonjour monsieur Leroux, oui mais il faut bien que je fasse mes vitres.
- Je vais venir vous aider, vous me faites peur à monter comme ça.
- Bof, si vous voulez, venez, c’est ouvert.

Elle est pas mal, ma voisine, un peu ronde peut être, mais c’est justement ce que j’aime, les planches à pain, brrr ! Très peu pour moi. Et puis, une vision féminine est toujours agréable, j’ai un peu perdu l’habitude, ça fait trois ans que mon épouse est décédée de maladie, et bien cinq ans que je n’ai pas fait l’amour, et la masturbation ça ne remplace pas vraiment.

Elle porte une robe en tissu élastique qui la moule à merveille.

Je regarde comment la tenir, tenir l’escabeau boiteux ça me paraît pas une bonne idée, je préfère la tenir, elle.

- Je vais vous tenir, si vous le voulez bien.
- Oui, pourquoi pas, mais faites attention, je suis chatouilleuse.
- Je vais faire attention.

Je la prends par les hanches, j’ai son fessier juste devant mes yeux, bien rond, bien ferme, qui est parfaitement moulé par la robe, j’accompagne ses montées et descentes, sa robe remonte sur ses cuisses dès qu’elle lève les bras.

Comme elle nettoie les vitres avec un chiffon microfibre, je me charge de lui rincer, à chaque fois que je me baisse, je peux lui mater les cuisses presque jusqu’à la culotte. J’aurais pas dû venir, je sens l’excitation venir, j’ai du mal à laisser mes mains ou elles sont, je voudrais bien les promener sur sa géographie.

- ça va, madame ?
- Oui, c’est bien, je me sens plus à l’aise, et vous, ce n’est pas trop dur ?
- Oui, oui, ne vous inquiétez pas.
- Et ne m’appelez pas madame, je m’appelle Nadia.
- D’accord Nadia, moi c’est Robert.
- Mais arrêtez de faire bouger vos doigts, vous me chatouillez.
- Excusez moi, c’était involontaire.
- Oui, si on veut. Elle rigole un peu, elle sait à quoi s’en tenir.

Après quelques déplacements de son escabeau bancal, elle a enfin fini, elle se recule pour voir son travail, je suis resté derrière elle et dès qu’elle est contre moi, je l’emprisonne dans mes bras.

- Eh là, Robert, qu’est ce que vous faites ?

Je ne réponds rien mais je l’embrasse dans le cou, elle frissonne.
- C’est bien ma veine, je suis tombée sur un obsédé.
- Oui.
- Un prédateur sexuel.
- Oui.
- Si mon mari arrive.
- Il arrive quand votre mari ?
- Demain soir.
- Ah, on n’a pas beaucoup de temps alors.

Je sais que son mari est souvent en déplacement.

- Mais je vais porter plainte.
- Oui
- Pour harcèlement.
- Oui.

Elle frotte son fessier contre la bosse de mon pantalon. Je continue de l’embrasser dans le cou.

- Pour agression sexuelle.
- Oui.

Elle me prend les mains, elle en dirige une sur ses seins et l’autre contre son ventre.

- Pour attouchements.
- Oui.
- Pour tentative de viol.
- Non.
- Ah ?
- Non, pour viol manifeste.
- C’est bien ce que je craignais. J’ai affaire à un prédateur et je suis une pauvre victime sans défense.
- Oui.

Elle se retourne et me passe un bras autour de mon cou, elle pose ses lèvres sur les miennes, nous nous embrassons tandis que je lui empaume enfin les fesses pendant qu’elle glisse sa main et me saisit l’objet de son désir à travers mon pantalon.

Nous échangeons nos langues durant un bon moment tout en nous caressant de plus en plus fébrilement.
Puis elle me lâche, elle me prend la main et elle m’entraîne presqu’en courant dans la maison.

- Viens !

Dans la chambre, elle se déshabille à toute vitesse, la robe, le soutif, la culotte volent à travers la pièce. Je suis béat, elle n’est pas vraiment grosse mais tout en elle est en rondeur, des seins bien ronds à peine tombants, avec des larges aréoles roses, un ventre rond sans excès, des hanches larges, une toison qui me semble bien taillée. Je la contemple, la FEMME dans toute sa plénitude.

- Tu es belle, Nadia.
- Oui mais qu’est ce que tu attends !

J’en ai oublié de me déshabiller, ce que je me dépêche de faire.

- Comme violeur, tu repasseras !

Elle s’est allongée les cuisses ouvertes, dès que je me suis approché, elle me saisit le sexe et le tire vers son entrejambe, il n’y aura pas de préliminaires, elle me semble trop pressée.

Elle me la glisse le long de sa fente puis se rentre le gland, je la pénètre d’un coup, elle est tellement trempée que ça glisse tout seul jusqu’au fond de son vagin.

Je fais lentement quelques va et vient, puis je reste sans bouger bien au fond de son sexe, couché sur elle et nous nous embrassons, elle me suce la langue tandis qu’elle me masse le sexe avec son vagin.

Je commence à la pistonner.

- Viole moi plus fort ! Vas y !

Je me lâche, je lui donne des grands coups de reins, elle couine, elle a mis ses jambes autour de mes reins, je la chevauche en essayant de durer le plus longtemps possible, comme il y a longtemps que je n’ai pas baisé, j’ai du mal à me retenir.

- Ah ! Ça vient !
- Vas y ! jouis dans moi ! Lâche toi !

Nous jouissons ensemble en criant tous les deux.

Je reste un moment accouplé sans bouger mais ma bite se ramollit, elle dénoue ses jambes et je me retire enfin. Nous restons allongés en nous embrassant encore et en nous caressant.
Il faut enfin se relever, je ramasse mes vêtements épars et je m‘habille.

- Je peux t’emprunter ton téléphone ?
- Oui, le fixe est dans le séjour.

Quand je retourne dans la chambre, je recommence à l’admirer, allongée de manière impudique en train de se caresser doucement.

- Prépare toi pour tout à l’heure, je t’emmène au restaurant.
- Tu veux te faire pardonner d’avoir abusé de moi ?
- je n’en ai pas fini avec toi.

Je retourne chez moi après l’avoir embrassée de nouveau, pour prendre une douche et me préparer.

Ca fait un bail que je ne me suis pas habillé correctement, je sors un pantalon noir, pourvu qu’il m’aille encore, puis une chemise blanche, moi qui ne mettais plus que des sweats et des jeans.
Bon, le pantalon serre un peu mais ça ira. Et un blazer plus du tout de mode, tant pis.

Quand je viens la chercher, je la reconnais à peine, elle a mis une petite robe noire décolletée qui met en valeur ses formes voluptueuses, des escarpins rouges qui lui allongent les jambes, elle s’est maquillée et coiffée avec soin, je suis flatté.

Quand je lui lui ouvre la portière, elle s’assied de façon que je voie qu’elle n’a pas mis de culotte, la coquine !

Le long de la route heureusement courte, je ne peux m’empêcher de glisser ma main entre ses cuisses malgré ses avertissements que je vais froisser sa robe. Je me gare sur le parking du resto.

- Bonjour, madame, bonjour monsieur, bienvenue.
- Bonjour, j’ai réservé au nom de Leroux.
- Suivez moi, s’il vous plaît.

J’avais réservé une table relativement séparée du tout venant, isolée par des bacs de plantes vertes.
Nous nous mettons face à face à la table bien garnie d’une nappe de toile blanche et son petit bouquet de primevères.

Nous prenons un apéritif, et pour tous les deux ce sera un Martini, nous sommes plutôt classiques.
Puis le menu sera à base de fruits de mer et poisson, accompagné de Muscadet.

Nous attaquons le repas en échangeant des banalités, et elle me dit.
- C’est la première fois que je viens ici, il est gentil, mon mari, mais il n’a jamais eu l’idée de m’inviter.

Ca me donne à réfléchir. Tandis que je goûte mes filets de sole, je sens son pied se glisser et se frotter entre mes jambes, je ne dis rien, je la laisse faire.

Elle me dit qu’ils sont mariés depuis trente ans, sa fille est maintenant en études supérieures et depuis que son mari fait des installations, elle se sent un peu seule, elle ajoute que quand il rentre il est toujours fatigué.

Je comprends bien ce qu’elle sous entend. Pendant ce temps je sens son pied monter le long de ma jambe, puis de ma cuisse, enfin il vient se poser sur mon entrejambe. Elle commence à me frotter.

- Arrête ça, voyons.
- Tu n’aimes pas ?
- ce n’est pas la question, mais..
- Alors, profite !

Sans compter que je commence à bander, ma bite durcit de plus en plus sous sa caresse, elle est coincée dans mon pantalon, je regarde autour de moi et je me décide, j’ouvre ma braguette discrètement sous la nappe et je me la sors.

Aussitôt elle recommence à me la frotter, puis, je ne sais pas comment elle fait mais elle réussit à me la coincer entre ses orteils et elle me la branle. Et je vois qu’elle a une main sous la nappe et qu’elle est en train de se caresser !

- Arrête, Nadia !

Elle se marre silencieusement et elle accélère encore sa cadence.

- Tu ne perds rien pour attendre, tu vas me le payer !

Je sens que ça monte, j’ai juste le temps de repousser son pied et de couvrir ma queue avec ma serviette avant d’éjaculer, j’essaie de rester silencieux en jouissant mais je ne peux éviter un long soupir.

Je m’essuie du mieux que je peux avent de ranger mon matériel, juste avant l’arrivée du dessert.
Le sorbet est délicieux et nous le dégustons en silence, enfin après avoir payé nous nous levons. J’ai plié ma serviette de façon à ce qu’on ne découvre pas, enfin pas tout de suite, ce qu’elle contient !

Quand nous quittons notre place, je la laisser passer devant moi et je remarque que sa robe est mouillée au niveau de ses fesses, et je ne suis pas le seul à le voir ! J’ai droit à des regards appréciateurs de quelques convives. Et je sais bien qu’elle n’a rien renversé, ça ne peut être que de la mouille !

Le retour dans la voiture se fait dans une odeur de femelle en rut, d’autant qu’elle a remonté sa robe jusqu’à son ventre pour s’aérer la chatte.

Je la suis chez elle, nous nous embrassons en chemin et nous nous déshabillons aussitôt.
Je m’assieds sur le bord du lit.

- Je t’ai promis une punition, alors approche.
Tandis qu’elle vient près de moi elle me dit :
- Qu’est ce que tu vas me faire ?
- Tu vas avoir une fessée, vilaine fille.
Et en même temps je la couche sur mes genoux. J’ai son cul bien rond sous les yeux et je lui assène une première claque. Elle a vraiment un cul superbe ! En plus, a cochonne a écarté les cuisses et j’ai une vue panoramique de son entrecuisse.
- Aïe ! Ça fait mal !
Je continue en alternant d’une fesse à l’autre.
- Ouille ! Ça pique !
Son fessier commence à prendre une teinte rouge, je commence à promener ma main libre entre ses cuisses, mes doigts se glissent dans sa fente, elle est complètement inondée, je lui rentre un doigt, puis deux, je commence à la branler en rythme avec mes claques, elle gémit entre deux aïe ou ouille, puis mon pouce vient lui masser la rondelle, je la sens céder progressivement et il entre sans difficulté.

- Ah ! Salaud ! Tu me violes le cul !

Je cesse de la fesser et je lui branle les trous de plus en plus fort.

- Ah ! Arrête, salaud, tu vas me faire mourir !

Elle glisse sa main sous son ventre et elle m’attrape la queue, elle me la branle en même temps que je l’astique.

Je n’en peux plus, je la soulève, je la place en appui sur le lit et je l’enfile par derrière, son vagin est tellement trempé que ma bite entre sans aucun effort.

Je la pilonne à grands coups de reins.

- Ah oui ! Vas y fort ! Ah ! Je vais jouir !

Elle s’écroule sur le lit, je continue de la pistonner un moment avant de la remplir de plusieurs giclée de sperme et de m’écrouler à mon tour sur elle.

Nous nous allongeons et nous nous endormons.

Au milieu de la nuit, je suis réveillé par des sensations autour de ma queue, Nadia est en train de me sucer tout en me massant les couilles, il ne me faut pas longtemps pour bander et dès qu’elle juge que je suis assez raide, elle me chevauche et elle se l’introduit aussitôt.

elle commence à se balancer sur moi puis elle se couche et elle m’embrasse, elle fait onduler son bassin tout en douceur, je lui caresse le corps, nous faisons l’amour lentement avec passion en prolongeant le plus possible, elle ronronne doucement jusqu’à ce qu’elle se raidisse et nous prenons notre plaisir simultanément.

Nous ne bougeons plus puis enfin nous roulons sur le côté avant de nous endormir collés l’un contre l’autre.

Le matin, elle me secoue pour que je me lève.

- Lève toi vite et rentre chez toi, il faut que je mette de l’ordre avant le retour de mon homme.

Effectivement, la chambre a une lourde odeur de luxure et le lit est passablement ravagé, je la quitte à regret non sans l’avoir embrassée de nouveau.

Je vois qu’elle a fait la lessive des draps qui ont subi nos turpitudes.

Son mec est rentré en début d’après midi, je les vois discuter dans leur cour et visiblement elle lui parle de l’escabeau branlant.

En fin d’après midi, je reçois un appel téléphonique.

- Allô.
- C’est Nadia, mon mari voudrait que tu viennes prendre l’apéro, d’accord ?
- OK, merci, je viens.

Je ne connais son mari que de vue, je crois qu’il s’appelle Michel.
Il vient m’accueillir et nous nous saluons.

- On se tutoie, hein, je suis content de te connaître, me dit il, malgré qu’on soit voisins, nous n’avons pas eu l’occasion.
- C’est vrai, moi aussi, je suis heureux de te rencontrer.

Nous nous installons au salon tandis que Nadia s’affaire dans la cuisine.

- Mon épouse m’a dit que tu l’avais aidée, et je t’en remercie.
- Ce n’est rien, mais quand j’ai vu le risque qu’elle prenait, j’ai pris la décision de venir. Il va falloir que tu lui achètes un escabeau, le tien est vraiment en mauvais état.

- Ce sera fait, mais je suis content que tu sois notre voisin. Nadia est souvent toute seule, à cause de mon travail, et je suis sûr qu’elle s’ennuie, alors, si tu pouvais lui tenir compagnie quelque fois, j’en serais heureux.

- Qu’est ce que tu fais comme boulot ?
- J’installe des lignes de fabrication dans l’agroalimentaire, alors je ne suis pas souvent là.
- Je veux bien venir voir Nadia, mais si elle le veut bien.
- Je suis sûr qu’elle le voudra, et en plus, tu pourras peut être bénéficier de ses faveurs.

Je ne sais quoi lui répondre, la vérité ? Donc je ne dis rien.

- Tu sais, je connais ma femme, je connais ses appétits et en plus je ne suis pas jaloux, nous sommes libres tous les deux.
- Merci de me le dire, nous verrons bien.

Nadia arrive avec son plateau d’apéros et d’amuse gueules.

Nous prenons nos verres et nous trinquons.

- De quoi vous parlez, les hommes ?

- Je disais qu’on a de la chance d’avoir un voisin prévenant, et qu’au moins on n’a pas affaire à un prédateur.

- PPPffffoouuuu !!!!

Nadia crache et renverse la moitié de son verre et part dans un fou rire…….

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