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Le Déclic

Harry Lawson ce n'est pas seulement le nom d'un vieux whisky mais aussi celui d'un des meilleurs agents de la C.I.A. Dans cette Mission Harry retrouve une ancienne ennemie, Véronique, et Q lui donne une montre pour faire jouir à distance.

Proposée le 13/01/2023 par Stegonosaur

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Harry Lawson était un agent très spécial de la C.I.A.

Le Déclic Pourquoi « très spécial » ? Parce que, tout simplement, il menait à bien toutes les missions difficiles, voire impossibles, que les autres préalablement avaient « ratées ».

Et pourquoi « était » ? Tout bonnement parce qu'il a décidé de prendre sa retraite et de soulager sa conscience en relatant quelques-unes de ses aventures professionnelles. Prenez par exemple « l’affaire Véronique » plus communément connue et recensée dans l’histoire des grandes criminelles sous le pseudonyme évocateur de Lady Blonde. Véronique était une jeune femme possédant un corps des plus excitants dont elle jouait avec une habilité machiavélique, décomplexée et sereine. Ses courts cheveux à la blondeur malhonnête encadraient un visage qui pouvait se faire d’ange ou de démon selon les cadres de son existence. Pourtant ceux qui étaient déjà tombés entre ses griffes savaient qu’elle n'avait rien de l’ange et tout du démon. Son job était des plus simple : elle volait ou elle faisait voler des brevets et les revendait aux plus offrant, fussent-ils des terroristes. Elle n’avait pas quarante ans qu’elle avait déjà une longue histoire professionnelle et surtout un nombre incalculable de morts sur la conscience. En plus de tout cela, comme si cela ne suffisait pas, c'était une déesse de l'amour. Harry l’avait appris à ses dépens : alors qu'elle débutait, il avait réussi à la localiser. Elle était déjà dangereuse et Harry n’avait pas réussi à échapper à ses filets. Il était totalement à sa merci, lié les mains dans le dos, allongé au sol. Elle lui avait dit :

« Harry, tu me plais beaucoup ! Alors, je vais te faire un cadeau. »

Elle lui avait fait alors un strip-tease des plus excitants en ôtant sa robe puis avait voulu constater si elle lui faisait de l'effet. Évidemment qu'elle lui en faisait. Il faut dire que sa poitrine et surtout son beau derrière rose en imposaient ! Quand elle eut pris son pied, sans aucune pitié, elle s'était rhabillée et était partie. Les collègues qui avaient délivré Harry avaient bien rit en voyant son matériel, frustré et à l'air, tout rabougri quand ils étaient venus à son secours ! Depuis, Harry n'avait plus qu'un but : la retrouver et lui faire payer cette humiliation. Et puis un jour, 3 ou 4 ans après cette histoire, il reçut un tuyau «de première » : Véronique avait été repérée dans un château isolé, située entre la grande falaise et près d'une route rectiligne qui servait certainement de piste d'atterrissage et de décollage au petit avion privé qui servait à ses déplacements. Près du château il y avait un grand champ mais, immédiatement à l'arrière, une forêt splendide s'étendait sur plusieurs hectares. De l'autre côté de la route, une falaise verticale dissuadait les importuns de toute approche. La police était sur le point d’intervenir. Harry irait en éclaireur et donnerait le signal.

Néanmoins, il fallait auparavant qu'il prépare et ce minutieusement son intervention. Q, le spécialiste du matériel de toute sorte de son agence n’était pas à une invention près et Harry avait sa petite idée sur ce dont il aurait besoin. Il demanda à Q s'il ne possédait pas en magasin pas une sorte d'appareil qui permettrait d'exciter plus ou moins les gens et les inciter à faire l'amour, tout ceci à distance. Q acquiesça et dit que son appareil, qui était en fait une sorte d'émetteur d'ondes à une fréquence particulière, n'avait jamais été testé sur le terrain et qu'il ne pouvait en répondre totalement. Il l’assura néanmoins qu'il fonctionnait à la perfection et, sous le sceau du secret absolu, il lui confia en avoir fait usage sur sa secrétaire qui ne s'était jamais refusée à lui, bien au contraire. L'objet avait un double rôle, puisqu'il était aussi un puissant émetteur-récepteur. Enfin, il avait la forme d'une montre, indécelable donc ! Q expliqua longuement le fonctionnement de l'appareil à Harry qui partit aussitôt après.

Après un long trajet - fort heureusement, Q lui avait confié un puissant pick-up – Harry arriva à proximité du château de Véronique. Ainsi qu'il l'avait prévu, il entra dans la forêt pour arriver derrière la maison sans problème. Après avoir garé son véhicule en retrait, bien à l’abri de la vue et surtout des gardes qui semblaient en masse, il partit en direction du château sans oublier l'appareil qu'il glissa à son poignet comme il l’eût fait de n’importe quelle montre à bracelet.

Sur le chemin du château, Harry croisa trois voitures en partance dans l’une desquelles il reconnut, Pablo Lascar, cet homme d’affaire colombien, connu aussi pour être un trafiquant de drogue international. Les preuves manquantes on n’avait jamais pu lui en faire procès et il circulait librement, le sourire éclatant, dans quelques pays de son désir. Que venait faire Pablo Lascar ici ? Quel était son lien avec Véronique ?

Deux femmes armées gardaient l’arrière de la propriété par où arrivait Harry, tandis que plusieurs hommes étaient en poste à l’avant. Harry ne put résister à l’envie de tester les effets de sa montre une première fois. L’effet fut immédiat, les deux femmes commencèrent à se peloter les seins, comme animée d’une rage épidermique incandescente. Harry les laissa se mettre nues et comme elles arrivaient à la lisière de la jouissance il les ficela et les bâillonna, les seins toujours en cloche. Harry n’avait mis que la puissance à moitié…

Une fenêtre du château d’où sortaient des voix ouvrait sur la forêt. Il s’approcha et bientôt la voix sortit de l’ombre pour se donner le visage rose de Véronique, toujours aussi belle, même plus encore et vêtue de cuir. Même habillée elle était des plus bandantes.

- Que vais-je bien pouvoir faire de toi ? Tu ne m‘es plus utile à rien….

Elle parlait à quelqu'un qu’Harry ne voyait pas et dont il ne percevait que la voix qui lui semblait connue. Il se déplaça pour voir la personne dont la voix lui paraissait chevrotante et là une surprise l’attendait de pied ferme.

Harry reconnu Zoée, la femme du sous-directeur. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait plus vue. C’était une métisse aux cheveux noirs bouclés et aux formes amples mais agréables. Elle était nue, attaché par les mains dans une position qui n’était pas sans donner des souvenirs à Harry. Harry ne put s’empêcher de soliloquer : « Tiens, tiens ! Alors ces deux petites garces complotent et s'envoient en l'air toutes les deux !» Mais au ton employé par Véronique, il comprit très vie que Zoée n’était pas là de son plein gré. Et plus encore quand elle parla du mari de Zoée qu’elle tenait « par les couilles » et qui lui était redevable d’information sous peine de voir sa chère épouse passer de vie à trépas. Véronique ajouta que son idée de faire transiter la drogue dans des roues de gouda avait été entérinée par Pablo Lascar et que de tous ses projets celui-ci était celui qui allait la rendre la plus riche avec aussi le plan de cette bombe indétectable et meurtrière qu’elle s’apprêtait à revendre à un groupement terroriste.

Véronique s’approcha de Zoée lui envoyant une main exploratrice sur ses seins tendus tandis que de l’autre elle la menaçait d’un revolver : « tu en sais beaucoup trop à présent »

Harry comprenait maintenant pourquoi il avait été si facile à Véronique de se cacher : elle devait être au courant de tous les mouvements de l'agence à son propos !

Véronique lécha alors le bout de son revolver comme pour attiser la peur de Zoée ; ça l’excitait : ses seins pointaient durs et semblait prête à jaillir du carcan de cuir qui vainement les maintenaient enfermés. Zoée semblait apeurée, on le serait à moins ! « Pitié » cria-t-elle.

Harry avait pensé pouvoir agir seul mais Véronique avait étendu son ombre et son pouvoir machiavélique jusqu’à posséder une petite armée de malfrat à sa solde. Elle avait même dernièrement changé son nom pour se faire appeler Lady Nibards, la criminelle aux gros seins. Il lui fallait signaler sa position et faire venir urgemment les hélicoptères de la brigade, trop d’armes gardaient le château. L’ingénue criminelle avait bien grandit. C’est à ce moment que Zoée aperçu Harry derrière la fenêtre. Ce dernier lui fit signe de gagner du temps en montrant sa montre.

- Ça te dirait de faire un petit tour en avion avec moi ! lança à ce moment Véronique de l’ironie dans la voix.

Zoée comprit que Véronique avait en projet de la balancer de l’avion en plein vol et cette expectative lui déplaisait pour le moins fortement ; s’il est aisé d’apprendre à nager il n’en est pas de même pour le vol. Pendant ce temps, tout en lançant le signal appelant l’intervention, Harry ne résistait pas à l’envie d’essayer une nouvelle fois les effets de sa montre magique qu’il dirigea sur Véronique qui en réponse se baissa instantanément pour caresser les jambes et le corps nu et offert de sa prisonnière.

- Tu sais que tu m’excites, c’est dingue…

Véronique sortit ses seins lourds de désir de leur gangue de cuir et les lécha un à un, doucement, méticuleusement. Elle se débarrassa ensuite de tous ses attributs jusqu’à se retrouver nue.

- C’est fou ce que j’ai envie de toi tout d’un coup…

Elle se caressa les fesses et le reste de son corps avec son revolver.

Un grondement se fit soudainement entendre en provenance du ciel. Les hélicoptères de la police ! La perverse jeune femme se retourna alors et, tout en la menaçant de son revolver elle demanda à Zoée de lui mirer une dernière fois son derrière et ses seins qui étaient tendus comme deux grosses cloches à fromage. La jeune femme avait compris très vite qu’elle avait été repérée et, sans plus de panique, elle tira sur sa proie avant de fuir ; à l’extérieur des coups de feu jaillirent auxquels répondirent le feu nourrit de ses hommes.

Harry entra d’un bon en criant « On ne bouge plus ! », mais Zoée était seule dans la pièce liée et se balançant au bout de sa corde. « La garce tente de se sauver avec son avion, il faut l’arrêter !» s’exclama-t-elle la voix sur le point de s’éteindre. Et en effet Véronique avait réussi à atteindre son avion en catimini…

- Vite fuyons, je me rhabillerai plus tard !

La pulpeuse petite blonde s’y installa toute nue et mit le moteur en marche.

Harry se dit que cette femme avait suffisamment fait de mal. La beauté n’excusait pas tout et surtout pas le sang versé. Il pensa à l’engin que Q qui lui avait donné. Comme Q lui l'avait expliqué, il rendit le plus étroit possible le petit faisceau qui sortait de l'appareil, il mit la puissance au maximum et le concentra sur l’avion qui pointait maintenant dans les airs. Le résultat fut immédiat. Véronique eu l'air très étonnée des sensations lui venant « Non qu’est-ce qui se passe ! j’ai des chaleurs intenses, j’ai chaud mes boules ! !!! » puis elle se mit à se triturer la peau, totalement nue aux commandes de son appareil, et se caressa sauvagement les seins. Un reste de raison lui commanda de se jeter de nouveau sur les commandes mais le mal était fait : impossible pour elle de résister à l'excitation qui s'emparait de tout son être. Ses seins pointaient droits. Elle perlait de sueur et transpirait de luxure et de peur. Tantôt elle se jetait sur ses seins qu'elle pinçait puis sur son sexe tant elle avait envie, tantôt elle se ruait sur les commandes pour essayer de retrouver le contrôle de l’avion. Finalement, après que le petit appareil ait décrit dans le ciel un trajet désordonné et chaotique, il s’accrocha à la cime d’un arbre qui le rejeta violemment vers le sol en direction du pick-up abandonné là par Harry. En quelques secondes le visage de la jeune femme passa de la jouissance à la surprise et la peur et elle poussa un hurlement d’impuissance face à un destin qu’elle s’était tracé elle-même. L’appareil se jeta violemment et d’un seul geste sur le pick-up…

« AAAAAh !! »

…… et embrassa la voiture avant de s’évaporer dans une explosion fatale.

Harry assista à tout au loin et il ressenti plus de satisfaction que de pitié : pour tout dire il bandait. L’explosion de l’appareil signala la fin des échanges de coup de feu. En l’absence de leur patronne les hommes avaient opté pour la capitulation. Il ne restait plus à Harry dès lors qu’à s’attaquer à Pablo Lascar et au cartel de la drogue, mais ce sera pour plus tard. Il commença à libérer Zoée dont le corps meurtri appelait à la vie et commandait une ambulance. Le médecin lui assura qu’elle allait s’en sortir.

Rassuré, Harry demanda expressément de pourvoir accompagner les deux gardiennes, dont beaucoup s’étaient étonnés de la nudité, vers leur lieu de détention. Quand le fourgon parti, aux dires de certains, de curieux jappement s’en échappèrent…


FIN

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