Histoire Erotique

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Copine de Fac

Caroline Bouvier a entendu parler de copains d'avant avec une collègue de travail. Tout en parcourant le site, elle s'inscrit, et dépose ses coordonnées à tout hasard. Une grosse surprise l'attend lorsqu'un soir, un appel téléphonique va faire basculer sa vie routinière.

Proposée le 28/11/2022 par descollages

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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Il pleut sur les chaises en fer blanc au fond du jardin encore verdoyant. A Angers comme ailleurs, la météo maussade n'encourage guère à sortir dehors. Caroline Bouvier femme divorcée, la cinquantaine épanouie, pianote sur le clavier de son ordinateur HP. Une collègue de bureau lui a parlé de "copains d'avant", un site pour retrouver des amis oubliés. Elle se dit pourquoi pas. Le profil est bien rempli avec son nom de jeune fille et marital, adresse mail, numéro de téléphone fixe... On verra bien.

Quelques jours plus tard, il est aux environs de 18h30 quand le téléphone sonne. Un peu épuisée après une journée au standard de la MACIF, Caroline lui prie gentiment de décrocher le combiné. Le jeune homme pourtant étudiant au STAPS, se lève péniblement de son fauteuil club, et se dirige vers le petit meuble en hauteur pour enfin prendre la conversation après une minute interminable.

Maxime est surpris. Une voix féminine chaude et pleine de vie demande à parler à Caroline BOUVIER personnellement. Le ton est poli, et le jeune homme est très vite séduit par la voix sensuelle de cette mystérieuse inconnue.

- "Tiens maman c'est pour toi, une certaine Nathalie RICOUX ?!... ça te dit quelque chose?!..."

Caroline se lève précipitamment du divan tout en baissant le volume de la télévision. Fébrilement, elle saisit le combiné devant son fils complètement ébahi. Puis s'isole sans prévenir dans la cuisine comme pour parler en privé.

Dès les premières secondes, des éclats de rires résonnent à travers les murs. La maman de Maxime d'habitude peu bavarde, parle sans discontinuer. On dirait qu'elle chante par moment, tellement elle est remplie de joie et d’enthousiasme. Au bout d'une bonne demie heure, la voilà qui revient les yeux brillants dans le salon.

-"Pas de problème tu passes jeudi soir vers 19h00, on t'attendra avec mon fils ok ?!
Ça marche à très bientôt ! Bisous !..." lance-t-elle avant d raccrocher.

- "C'était qui ?!" demande Maxime brûlant d'impatience.

- "Si tu savais..." répond sa mère toute essoufflée...

Puis elle lui explique plus longuement que c'était Nathalie, une copine de FAC. Elles ont partagé trois années de rêve en colocation à Toulouse à deux pas de la citée U. Le petit appartement en a connu des fiestas, et pas des moindre !...

- "C'était en 1993, j'avais ton âge, je suivais des cours en licence d'arts plastiques... Nathalie quant à elle se formait pour obtenir un diplôme dans le secteur pharmaceutique..."

A en croire ces quelques révélations, les deux jeunes femmes étaient inséparables. Maxime aurait bien voulu en savoir plus sur ses relations amoureuses de l'époque, mais sa maman ne semble pas décidée à divulguer ce genre de détails.

-"Je l'ai invité jeudi, tu vas voir c'est une femme extraordinaire !"...

Ce fameux soir, Nathalie vient d'Orléans à bord d'une BMW série 3 sport. Habituée aux longs trajets, 247 kilomètres lui paraissent une formalité. Cette fois-ci, elle ne passera pas la nuit à l'hôtel. Son amie de toujours a tout prévu pour rendre la soirée la plus agréable possible. La conductrice en a profité pour faire quelques courses : deux bonnes bouteilles de champagne dorment dans la glacière, et une tonne de petits fours préparés façon traiteur feront largement l'affaire.

La berline blanche se gare enfin dans une petite cour fermée. Le quartier de la "Doutre" est éclairé suffisamment, Nathalie contemple rapidement la jolie maison au n°5 de l'Avenue Pasteur. Elle s'emmerde pas Caro ?! La baraque est vraiment classe...pense-t-elle tout en serrant le frein à main.

Chargée de victuailles, Nathalie monte les quelques marches qui mènent au perron abrité par une marquise en verre très stylée. Ça tombe bien, il pleut encore on dirait. Elle n'a même pas le temps de sonner, qu'un ravissant jeune homme lui ouvre la porte. Intimidé, Maxime s'empresse alors de lui prendre ses paquets encombrants.

La femme rousse au sourire ravageur, se penche pour ramasser un dernier grand sac estampillé Etam. Le jeune homme a une vue imprenable sur son décolleté arrondi révélant une poitrine large et impudique. Le pauvre garçon est complètement bouleversé. C'est à peine si il ose faire un pas.

-"Eh bien vous en mettez du temps, rentrez vite avant d'attraper froid ?!..." lance une voix sonore qui vient du petit couloir.

Nathalie profite de ce moment pour lui tendre le dernier paquet. Elle s'approche de lui et claque deux bises sur ses joues rosées. Une odeur de sueur mélangée à son parfum Miss Dior réveille les narines palpitantes de désir de Maxime, envoûté par cette charmante femme. Pauvre petit lapin tu n'as encore rien vu on dirait, pense-t-elle tout appuyant son regard avec des yeux de velours.

- "Voilà on arrive !" crie Maxime comme pour reprendre le contrôle de la situation.

L'invitée passe le seuil de la porte, et profite pour mater le cul magnifique du jeune sportif. Ces fesses son galbées à souhait, moulées dans un jean slim, hum on en mangerait. Elle ne peut s'empêcher de lui envoyé une petite tape prononcée de la main droite histoire de toucher la marchandise.

-"Allez plus vite ! J'ai hâte de voir ma meilleure copine moi !..." s'exclame-t-elle savourant encore son geste audacieux.

Caroline et Nathalie se serrent longuement. Puis s'embrassent furtivement sur la bouche, un baiser inconscient, quoique. Peut-être que dans leur prime jeunesse ces deux-là ont partagé autre chose de plus intime allez savoir...

Toujours est-il que Maxime a noté ce petit détail mais préfère vite l'oublier. Décidément la soirée démarre étrangement. Il a l'impression d'être de trop. Les deux femmes piaillent comme deux adolescentes à leur crise de puberté.

-"Maxime va allumer la cheminée tu veux bien ?! Il reste une dizaine de grosses bûches, ce sera bien assez pour nous réchauffer un peu..." suggère-t-elle à voix basse.

Le jeune homme ne se fait pas prier et en profite pour déguerpir au fond la pièce de séjour. Il reste un peu de journal et quelques brindilles, ça fera l'affaire. Une petite étincelle jaillit d'une allumette, et le tout s'embrase paisiblement.

Comme pour mieux profiter de la lumière de la cheminée, Caroline décide de baisser toutes les lampes de la pièce décoré dans un style plutôt à l'anglaise. Rien de tel que des lumières tamisées pour rendre le salon encore plus accueillant.

Pendant que les longues flammes rougeoyantes crépitent dans l'âtre, la maîtresse de maison verse trois coupes de champagne. Les bulles montent légèrement et forment un liseré de mousse, ce qui met tout le monde de très bonne humeur.

-"Allez on trinque !" lance Caroline en regardant intensément Nathalie qui en fait de même.

Malgré les quelques gorgées savoureuses, après une demie heure animée, l'ambiance est devenue plus lourde d'un seul coup. Comme si les questions de bases avaient été toutes posées, et que la conversation allait se consumer d'un moment à l'autre. Il faut dire que chacun avait passé une journée épuisante. Maxime commence même à bailler, 10 km sur la piste d'athlétisme à fond... Le prof de sport a carrément abusé.

Le four de la cuisine vient de sonné, les petits toasts chauds ont été saisi à point. Nathalie avant de se lever, prend le temps de servir une autre coupe de champagne, la bouteille est déjà presque vide. Puis la cuisinière file prestement pour préparer les quatre plateaux pour l'apéritif dînatoire.

Profitant de l'absence de Caroline, sa copine saisit l'occasion pour allumer une cigarette sans demander la permission à qui que ce soit, elle sait de toute façon que Caro sera d'accord. Après avoir pris quelques longues bouffées, la voilà qui prend le temps de scruter le jeune homme mal à l'aise. Un silence presque gênant envahit la pièce. Elle le dévore littéralement des yeux.

-"Tu as besoin d'un coup de main ?!" lance-t-elle hypocritement à Caroline tout en connaissant déjà la réponse.

-" Non non t'inquiète je gère" crie une voix à travers la porte de la cuisine.

- "Ok ça marche !" répond l'autre en jubilant.

Elle pose sa cigarette à peine consumée sur une soucoupe vide, puis des deux mains en même temps dégagent ses épaules. Sa robe de tulle noire ainsi baissée, laisse apparaître sa divine paire de seins complètement à l'air libre. Oups on dirait qu'elle a oublié de mettre un soutien-gorge c'est ballot !...

Tétanisé par le spectacle provocateur, Maxime reste bouche bée. On m'avait dit que les rousses étaient des chaudasses, mais à ce point là ! Sa bite réagit aussitôt sans qu'il puisse la calmer. Cette vision si excitante le met dans tout ses états.

- "Alors petit cochon ils te plaisent j'espère !" murmure-t-elle en faisant bouger sa poitrine horizontalement par petits coups.

- "Si t'es sage en fin de soirée tu pourras faire ce que tu veux avec d'accord ! Mais chut ! Tu dis rien à maman promis ?!... poursuit-elle en se rhabillant comme si de rien n'était.

Quel culot ! Pense Maxime en prenant une profonde gorgée de champagne qui commence à le réchauffer doucement. Mais maintenant que cette garce à mis le feu à ses désirs, il ne pense qu'à une seule chose vous vous en doutez...

Vêtue d'un tablier Caroline apporte un à un les plateaux bien garnis de petits fours aussi délicieux les uns que les autres. Tout le monde se lèche les babines devant les petites gâteries présentées avec soin.

- "Tiens tu fumes toi maintenant ?!" s'exclame Caroline

- "Passe-moi une blonde, j'ai envie de me lâcher ce soir !" continue-t-elle en taxant sans demander une cigarette à sa copine levant les sourcils.

Nathalie sait pertinemment que c'est un signe... Le signe que la soirée risque peut-être de déborder...

En parlant de déborder, on ne peut pas en dire autant à regarder les coupes tristement vides. Il faut vite aller chercher une deuxième bouteille dans le frigo, au risque de contrarier notre invitée. Heureusement, Caroline avait mis au frais deux autres au cas où ?!... Ce n'est pas ce soir que les deux amies risquent de crever de soif en tout cas.

Tout en fumant, Caroline continue de vider sa coupe presque cul sec. La cigarette ça donne soif, et puis les deux ensemble on peut dire que la tête tourne un peu. Mais qu'importe, ce soir on va faire la fête même si son fils est là !

Maxime aussi a envie de picoler, lui qui n'a pas vraiment l'habitude de l'alcool. Il se sert sans demander une coupe à ras bord. Nathalie jubile une fois de plus voyant le jeune homme prendre un peu plus part à la soirée. Elle sent que la température monte d'un cran, et ça change radicalement de l'ambiance d'il y a une heure !...

Affamé, le trio se sert copieusement et enfourne un par un les mignardises. En fin gourmet, Nathalie veut faire goûter à Caro le petit toast à la crème blanche, une tuerie selon elle.

- "Tiens avale-moi celui-là, il est tellement fondant en bouche !" dit Nathalie en lui tendant la mini quiche à la fondue de poireaux.

Caroline gobe littéralement la pâtisserie tout en léchant longuement les doigts de son invitée. Nathalie se laisse faire, elle prend plaisir à la regarder lécher avidement les dernières miettes restées sur ses doigts. Un petit frisson la fait même tressaillir.

-"Si tu continues tu vas me manger la main" lance-t-elle en regardant du coin de l’œil Maxime intrigué par la scène.

Les doigts encore tout humides de salive de sa copine, Nathalie réitère l'opération mais cette fois-ci c'est au jeune homme d'effectuer le test gustatif. Il en profite lui aussi pour lécher à son tour les doigts fin et délicats de la jolie femme rousse. Elle aime sentir sa langue suçoter le bout de ses phalanges extrêmement sensibles. Hum ça m'excite à chaque fois ce truc, c'est tellement érotique... pense-t-elle savourant ces quelques secondes de bonheur.

Personne ne semble faire d'observation à ce propos. Puisqu'il en est ainsi, Nathalie commence a avoir des idées lubriques fuser dans son esprit embué d'alcool. Apparemment la mère et le fils semble partager la même passion charnelle.

En saisissant un autre toast, le voilà qui tombe juste dans la fente de son décolleté. Quelle maladresse, d'autant plus qu'il s'agissait de l'un de meilleur à la tomate confite. Comment vais-je faire pour rattraper cette chute malencontreuse ?!... se demande-t-elle vicieusement.

Caroline a tout vu de la scène embarrassante pour son hôte, un peu confuse elle tente de passer la main dans la fente palpitante. Comme si son amie ne pouvait faire le travail elle-même... Ses doigts fouillent en profondeurs, mais le toast continue de progresser vers le bas. Sans succès, il faut vite trouver une autre manière de régler le petit problème.

- "Je crois que tu vas être obligée de te déshabiller un peu !" lance Caroline attisée par le caractère érotique que prend la tournure de ce petit incident.

- "Laisse moi faire tu veux bien ?!" dit-elle en saisissant les épaules de Nathalie qui ferme déjà les yeux.

Le tissus glisse légèrement vers le bas. Les seins gonflés sortent voluptueusement de leur écrin de tulle noir. La mignardise tombe d'un seul coup sous la table basse. Caroline se baisse, et en profite pour plonger le nez dans cette masse de chaire si excitante. Elle aime sentir la chaleur de ses seins, humer son parfum de rousse en chaleurs... Sur le point de les lécher, elle se retient in extremis craignant les réaction de son fils.

- "Tu ne portes pas de lingerie ?!" lance-t-elle pour passer à autre chose innocemment

- "Oh moi tu sais j'aime me sentir à l'aise ! Et puis tu sais sentir le frottement de ma robe sur le bout de mes tétons toute la journée ça me procure un plaisir sans limite, tu devrais essayer..." répond-t-elle le plus simplement du monde.

- "En attendant tu peux me rhabiller, je ne voudrais pas sembler insolente aux yeux de Maxime... poursuit-elle avec une pointe de fausseté à peine audible.

A contrecœur, Caroline relève la robe. C'est dommage les choses commençaient à devenir intéressantes. Mais au fait, je ne pensais plus à son cadeau. Pourquoi je ne l'ouvrirais pas maintenant avant de passer au dessert...

-"Dis donc Nath' c'est quoi la petite surprise dans le grand sac blanc Etam ?! Lance-t-elle excitée comme une gamine.

-"Ah ?! Bah tu vas voir ma p'tite chérie c'est un truc de dingue, mais tu dois le porter ce soir, sinon tu as un gage ?! Ok ?!... dit Nathalie sur un ton qui sent presque le défi...

- "D'accord mais je vais me changer dans la chambre du haut... Tu viens avec moi ?!.." lance-t-elle le ton légèrement insistant.

Les deux femmes enlèvent leurs chaussures à talon, et montre quatre à quatre les marches de l'escalier en riant comme deux folles. La porte claque violemment, et un bruit de serrure retentit. Les voilà enfermées à clé.

Maxime abandonné contemple sa coupe vide avec tristesse. Les plateaux ne contiennent plus que quelques miettes ici et là. Il essaye de se lever mais titube un peu. Au lieu d'aller aux toilettes le jeune homme à moitié ivre commence a avoir des idées fantaisistes.

- "Il fait beaucoup trop chaud ici ! Et puis j'ai envie de pisser..." marmonne-t-il en sortant sa grosse queue.

Un jet d'urine sort sous pression en formant un bel arc de cercle essayant d'atteindre les bûches incandescentes. Tout en se penchant en arrière, Maxime vise les flammes en ricanant nerveusement. Une petite fumée blanche s'échappe des braises éteintes partiellement.

Il n'a pas débandé depuis une heure maintenant. Avec cette grosse allumeuse en face de lui, difficile de se contrôler. Sa main caresse sa bite devenue tellement sensible sur toute la longueur. Guidé par des pulsions désordonnées, Maxime se branle avec entrain.

-"Salope tu vas voir ce que tu vas prendre !" gémit-il accélérant ses va-et-vient.

Le fait d'utiliser ce mot vulgaire provoque chez lui un irrésistible plaisir lubrique. Sa queue répond instinctivement par des soubresauts nerveux. Son esprit lui envoie des images troubles de Nathalie se faisant littéralement défoncer sur le canapé du salon les jambes bien écartées. Cette pensée obscène ne le quitte plus, il jouit violemment. Son jus crémeux tapisse en gouttelettes transparentes l'âtre en briques noircies par les cendres. Hum que c'est bon !

Connaissant la réserve qui lui reste dans les couilles, Maxime sait que sa petite princesse va pouvoir goûter à son sperme encore deux ou trois fois. Un peu soulagé, les ardeurs assouvies, il regagne le canapé en toute décontraction.

L'horloge indique minuit trente, ça fait plus de trois quart d'heure que les deux copines ont commencé leur séance d'essayage. Le jeune homme inquiet décide de grimper à l'étage. Arrivé sur le palier, au pied de la porte blanche, il semble entendre des gémissements, comme des plaintes ne laissant aucun doute quant à ce qui se passe à l'intérieur.

-" Maman tu as oublié le dessert on dirait ?! " lance-t-il en tambourinant à la porte, jaloux de les écouter prendre du plaisir.

Silence total. Nathalie s'y attendait un peu. Essayant d'ouvrir le jeune homme tourne vigoureusement la poignée plusieurs fois : sans succès. Tant pis perdu pour perdu, il faut répondre à cet insolent qui pourrait tout gâcher.

- "Ta mère en chaleurs s'occupe de ma chatte avec sa langue si tu vois ce que je veux dire, et après je m'occupe de toi promis !" crie-t-elle vers sa direction.

- "Vous êtes en train de vous ?!..."

- "Oui tu as bien entendu mon poussin... laisse nous maintenant tu veux ?!..."

Deux rires en cascade résonnent à travers la porte. Les femmes complices n'ont pas l'air inquiètes de cette intrusion. Au contraire, Nathalie gémit bruyamment à nouveau excitée par la tournure que prennent les événements.

Abasourdi, Maxime ne sait plus comment gérer la situation. Le voilà descendant l'escalier à pas lourds se tenant à la rampe comme pris d'un vertige. Maman est gouine pense-t-il tout bas. Quand Océane ma grande sœur va apprendre ça !

Une heure du matin, la porte à l'étage s'ouvre enfin. Des bruits saccadés de pas feutrés, puis un léger grincement de charnières se termine par un claquement discret. A la démarche, il semblerait que ce soit Nathalie qui descend.

Maxime à moitié endormi lève la tête. La femme rousse en nuisette s'arrête à mi-chemin pour le fixer droit dans les yeux. Une lumière presque démoniaque anime ses pupilles vertes et magnétiques.

-"On peut dire que c'est une sacrée cochonne ta maman, mais ça y est je crois qu'elle va nous laisser tranquilles à présent" lance-t-elle sur un ton licencieux.

Arrivée enfin sur le parquet, Nathalie continue sa progression en se dandinant avec exagération. Elle retire sa culotte de soie rouge pour la jeter à la figure du jeune homme pétrifié. La pièce de lingerie tombée en plein visage sent l'odeur de la luxure : un savant cocktail de cyprine et d'urine puante.

-"Et bien il paraît qu'on a oublié le dessert ?! Aide-moi, j'ai une folle envie de me faire sauter par terre près de ta magnifique cheminée ?!..."

Sans dire un mot, Maxime place un plaid épais et plusieurs coussins moelleux sur le sol. Sa bite réagit à nouveau par des spasmes violents. Son gland vacille de droite à gauche comme pris de convulsions électriques.Il va enfin pouvoir baiser cette grosse vicieuse ! Hum ça va être le pied !...

Satisfaite du lit improvisé, Nathalie se rapproche de la cheminée en se caressant les seins. Ses yeux vifs ne manquent pas de noter un détail particulièrement intéressant. Des filets luisants de gouttes épaisses attirent son attention. Oh mais qu'est ce que c'est ?! On dirait du... mais oui !

-"Tu n'as pas pu t'en empêcher de te branler petit salaud ?! Décidément on dirait que vous avez tous le feu au cul dans cette famille !.." dit-elle affichant un sourire narquois.

-"Eh bien ne reste pas planté là ! Ne sois pas timide, je ne mords pas... quoique ?!" lance-t-elle en riant à gorge déployée.

La femme rousse déshabille le jeune homme sans faire de manière. Elle veut voir ce que cache son boxer noir. La taille de l'engin est au delà de ses espérances. Il faut dire qu'elle en voit des bites dans son travail de visiteuse médicale. Certains médecins peu scrupuleux lui prennent sa température, par devant ou par derrière selon leurs styles. La bite de Maxime lui convient tout à fait. Longue, très longue et surtout épaisse avec un joli gland boursouflé. Elle adore !

Elle commence à jouer avec. Ses ongles pointus percent un peu la chaire tendre et sensible du bonbon écarlate. N'aie pas peur mon poussin, je vais bien m'occuper de toi cette nuit, tu vas voir comment une femme d'expérience va te faire grimper au 7ème ciel...

- "Mets-la entre mes seins tu veux bien ?!.. Je vais te branler avec... tu vas me dire ce que t'en penses d'accord ?!..." murmure-t-elle.

Assis dans le canapé, le jeune homme sent sa verge se comprimer entre les gros nichons de Nathalie accroupie devant lui. Une sensation incomparable. Les deux énormes mamelles montent et descendent gentiment sur sa verge tendue de plaisir. Le membre phallique coulisse à merveille prisonnier de cette fente impudique, quelle douceur. Maxime comblé par cette sensuelle découverte ferme les yeux en gémissant.

- "Montre moi que tu n'as pas tout giclé dans la cheminée !" murmure-t-elle en soutenant son regard.

Elle sait pertinemment que ces quelques mots savamment distillés d'une voix suave, risquent d'avoir un effet immédiat. A en croire le jet puissant qui sort du gland tellement dur, Nathalie maîtrise à la perfection son sujet.

- "Oh regardes tu en as mis partout vilain cochon !" dit-t-elle tout étalant la crème épaisse sur ses seins énormes habitués à recevoir ce genre de semence plusieurs fois par semaine. Certaines de ses collègues lui ont même confié que ce jus si particulier permet de garder une peau ferme et soyeuse... Pourquoi s'en priver.

Maxime s'écroule dans le canapé, savourant avec délice sa première leçon tellement singulière. Quand il va raconter ça à ses potes... ils vont sûrement se caresser le soir même dans leur piaule.

"A ton tour maintenant ! Viens on va baiser dans les coussins par terre !" lance-t-elle d'une voix forte voyant son amant commencer à piquer du nez.

Voilà les amants enlacés à même le sol profitant de la chaleur des dernières flammes. La lumière a baissé, on distingue à peine leurs corps nus dans l'obscurité. Les ombres chinoises diffuses, commencent à se caresser à des endroits de plus en plus audacieux. Maxime embrasse fiévreusement Nathalie sur la bouche, leurs langues s'enroulent pleines d'ardeur, semblant se livrer bataille dans un petit torrent de salive chaude.

"A voir ton attitude, je suis certaine que tu es puceau !" dit-t-elle de façon affirmative.

Maxime un peu déstabilisé réagit honteusement. Sans attendre la réponse si évidente, elle guide la verge du jeune novice vers sa toison poilue. Sa chatte mouille abondement excitée par le fait de savoir qu'elle va dépuceler le fils de sa meilleure copine, si arrogant en apparence.

"Allez mon bébé pénètre moi maintenant, j'ai tellement hâte de te sentir au fond de moi " murmure-t-elle en lui parlant affectueusement comme si c'était son propre enfant.

Elle lui caresse le visage d'une main tendre et lui dégage un peu ses cheveux collés de sueur. A cet âge-là Nathalie sait qu'il va se vite remettre en selle, d'autant plus qu'elle tient entre ses bras un futur prof de sport. On peut dire qu'elle a toucher le gros lot en baisant avec ce jeune étalon.

Voilà que le membre viril pénètre paresseusement la vulve humide de la belle rouquine jamais rassasiée de sexe. Il la pénètre avec douceur, le plaisir n'en sera que meilleur. Prends tout ton temps pense-t-elle, j'aime sentir ta grosse queue faire de lents va-et-vient... J'adore quand un jeune puceau me possède comme une vulgaire traînée.

Maxime pelote la paire de seins gonflés comme des fruits trop murs. Sa langue découvre que les tétons dressés réagissent aussitôt au contact de celle-ci. Intrigué il continue de les sucer amoureusement tout en exerçant une pression de plus en plus intense. Le simple fait d'attribuer ces petites aspirations calculées le fait bander comme un fou... Intéressant, peut-être puis-je tenter de les mordre se dit-il...

-"Doucement c'est fragile ces petites choses-là" murmure Nathalie feignant de ne pas aimer cette douleur subtile.

Le jeune mâle en rut, ne semble pas être attentif à cet ordre dissimulé. Sa bouche aspire de plus belle les aspérités marrons appétissantes. La jolie femme ainsi possédée, commence sérieusement à ronronner de satisfaction en effectuant de légers mouvements de bassin de bas en haut.

-"Ne t'arrête surtout pas s'il te plaît mon bébé d'amour !... Ah j'oubliais tu peux jouir autant de fois que tu veux dans ma chatte, je porte un stérilet, alors ne te prive pas..." gémit-elle certaine d'avoir rassuré son partenaire sexuel.

Maxime auparavant inquiet à ce sujet, se sent tout à coup libre de la pénétrer comme il veut. Pour cette soirée d'exception, son but ultime est d'honorer sa maîtresse en la remplissant de sa liqueur d'amour autant qu'il pourra. Rien que d'y penser des frissons agréables lui parcourent le corps entier avec volupté.

Nathalie plaque ses mains sur les fesses du jeune homme en mouvement. Elle adore ce cul si ferme. Hum ces rondeurs galbées pourraient la rendre complètement folle. Ses doigts se crispent sur le fessier du jeune sportif, une chaleur délicieuse l'envahit progressivement. Le moment est crucial, sa bouche aspire complètement le souffle du jeune amant. Oh oui ça vient...

-"Oh tu vas me faire jouir oui ! Continue de me prendre avec ta grosse queue !" hurle-t-elle à la limite d'alerter tout le voisinage.

En parlant de bruit, il semblerait qu'une personne se soit réveillée à l'étage. Il faut dire que le couple insatiable a oublié d'être discret, les feulements répétés pourraient même faire trembler les murs pourtant épais de la maison.

-"Qu'est-ce qui se passe en bas ?!" lance une voix faible de l'étage.

-"C'est rien maman... je... suis en train de baiser ta... meilleure... co...pine" répond fièrement son fils apparemment toujours en action.

-"T'avais pas le droit !" pleurniche sa mère au désarroi.

Caroline débarque enfin dans le salon. Vêtue d'une petite tenue affriolante de soubrette, elle s'approche de la cheminée pour y déposer trois bûches restantes. Le foyer sur le point de s'éteindre réveille des flammes de tailles moyennes. Une lumière un peu plus intense éclaire davantage la pièce devenue presque mystérieuse. Ses yeux embués découvrent alors son fils continuant inlassablement ses coups de reins prononcés entre les cuisses de Nathalie.

Excitée par la scène immorale et torride, elle caresse gentiment les lèvres fines de sa vulve toute rasée. Deux doigts vont et viennent à l'intérieur de son sexe bien humide, suivant le même rythme que son fils.

Nathalie invite sa copine à se rapprocher d'eux d'un petit signe de l'indexe. Elle aime regarder Caroline se branler sans complexe dans le fauteuil du salon mais désire la voir de plus près. Hum elle est si belle cette petite chatte rasée au millimètre. Combien de fois, la femme rousse étudiante a pu se délecter de la lécher dans tout les sens. Ce soir encore elle a enfin pu regoûter à ce nectar humide et légèrement amer. A croire que Nathalie ne s'en lassera jamais ?...

Maxime contemple avec délice la vulve triturée par les doigts habiles de sa mère. Complètement absorbée, maman semble l'avoir complètement ignoré. Une nouvelle fois il sent monter un plaisir décuplé par le spectacle inqualifiable chargé de lubricité extrême.

-"Faites-moi plaisir vous deux... je veux vous voir vous embrasser tendrement sur la bouche" murmure Nathalie émoustillée par ce fantasme pervers.

Sans réfléchir, la maman victime d'une pulsion irréversible, se dirige vers les lèvres de de son fils. Guidée par sa copine animée par un vice diabolique, la voilà fouillant la bouche de Maxime avec sa langue courbée vers le haut. Le sentiment de commettre l'irréparable la plonge dans une état d'excitation proche de l'évanouissement.

-"Oh que vous êtes beaux ! Un joli petit couple !..." chuchotte-t-elle encore sous l'effet de la situation sordide.

Leurs langues de ne se quittent plus. Le trio risque de succomber dans peu de temps à un déluge humide et sensuel. Chacun le sait désormais. Pendant que Caroline s'assoie sur le visage de Nathalie réclamant à nouveau un nettoyage intime en profondeur, elle profite d'embrasser son fils de plus en plus bruyamment.

La combinaison fonctionne parfaitement. Chacun y trouve son compte. Le balai érotique à la limite de l'inceste bascule dans un orgasme collectif sans limite. Nathalie sent le jus chaud remplir sa bouche ouverte pour recueillir la cyprine brûlante et délicieuse de sa meilleure amie hurlant de bonheur. Maxime envoie un dernier coup de rein pour vider ce qui lui reste de foutre chaud dans les entrailles de sa maîtresse animée par des mouvements de bassin sauvages et désordonnés.

Les corps s'écroulent ponctués par des cris rauques de fauves en chaleurs. Les femmes s'embrassent tendrement sur la bouche comme deux lesbiennes langoureuses, pendant que Maxime veut s'abreuver une dernière fois de la chatte inondée de sa partenaire, cette fois rassasiée, tout au moins pour la nuit...

Aucun d'entre eux n'aura le courage de monter se coucher, ils préfèrent s'endormir à même le sol profitant de la chaleur du feu de cheminée. Sans couverture, à demi-nus chacun repense aux plaisirs partagés. Toutes les lumières d’appoint sont désormais éteintes volontairement.

Quelques fois inconsciemment des mains baladeuses continuent de pénétrer ou de branler les sexes encore sensibles aux attouchements. On ne sait même plus qui caresse qui dans une ambiance devenue confuse. Pour être franc, personne ne désire vraiment connaître la réponse à cette futile question. Et dire que Nathalie repart déjà demain...

Descollages

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