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L'appel téléphonique

Un jeune couple à distance, un appel téléphonique, des pensées qui s'échauffent, un désire qui monte. Ou comment s'adonner au plaisir solitaire, mais sans être vraiment seul.

Proposée le 19/11/2022 par Anel.rdg

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Je regarde mon téléphone, on discute depuis plus d’une heure, je viens de finir ma troisième cigarette, et je me rends compte d’à quel point j’aimerais être avec lui à ce moment-même.

" - Ben… 
- Oui ?
- J’ai envie de toi.
- Tu as envie de quoi ?
- J’ai envie de sentir ton corps nu contre le mien…

- …"

Il ne répond rien, je suis embarrassée.

"- Désolée, j’aurais pas dû dire ça, je sais pas ce qui m’a pris.
- Non, continue. "

Je sens mon corps réagir à son ordre, comme un frisson qui me traverse et qui m’indique que nous nous aventurons sur une pente jusqu’alors jamais inexplorée tous les deux.
Ce moment est comme suspendu dans le temps.
"Dit-moi à quoi tu penses, là, maintenant, décris-moi tout, je veux avoir l’impression d’être avec toi." Me dit Ben.

"- T’es dans quelle position là ?
- Dans mon lit, adossé contre le mur, je suis en caleçon." Il marque une pause. "La fenêtre est ouverte, je sens l’air frais entrer, c’est agréable. 
- Je suis en sous-vêtement, avec un ensemble en dentelle rouge que je ne t’ai encore jamais montré. C’est pas de la dentelle cheap ou vulgaire comme on peut l’imaginer hein. Non, là c’est rouge foncé, comme brodé, tu peux voir mes seins à travers, enfin les deviner." Il rit.

Je continue de parler.
"Je m’approche de toi, j’écarte les jambes et les place de chaque côté de ton corps, pour m’assoir sur toi. J’aime être dans cette position, je sais qu’une cambrure se crée dans mon dos. Tu poses ta main dessus, c’est comme un automatisme.
- Et là je te retourne et je te plaque !" Me coupe-t-il en riant.

"- Non ! Tu me regardes, tu plonges tes yeux verts dans les miens avec une profondeur qui me transperce. Je places doucement mes deux mains derrière ta nuque, tu baisses la tête et me dépose un baiser dans le cou. Je m’éloigne, j’ai envie que tu perdes le contrôle.
- J’aime bien cette idée, continue.
- Je me mors la lèvre inférieure en te regardant, je sais que ça te rend fou. Je dégrafe mon soutien gorge et le laisse tomber. Tu n’as pas le temps de voir mes seins, je les cache avec mes mains. Puis doucement je les caresse, tes mains à toi sont toujours posées sur mes hanches. Je descends mes mains le long de mon buste, caresse ma taille, mon ventre. Tu poses tes mains sur mes fesses, les serres forts puis les relâche. Je rapproche mon entre jambe de ton sexe, que je sens à travers nos sous vêtements. Il est chaud et dur, je suis contente de voir que je te fais cet effet. Si je m’écoutais je te dirais de l’enfoncer bien profond en moi, là, tout de suite, mais pour cette fois ça ne va pas se passer comme ça."

....

Quelques secondes passent sans qu’aucun de nous ne parle, je m’inquiète.
"- T’es toujours avec moi ?
- Oui, je suis là, ne t’arrête pas."

J’ai besoin de lui demander, pour m’assurer que nous vivons bien ce moment à deux :
" - Tu bandes ?
- Oui.
- Tu te branles ?
- Un peu, pas trop. J’attends, sinon je vais pas contrôler. Et toi ?
- Moi quoi ?
- Tu te touches ? "

Je suis déconcertée par sa question. Ma main s’est naturellement dirigée vers mes cuisses et mon entrejambe que je caresse délicatement au dessus de ma culotte. Par pudeur j’hésite à lui mentir, mais je me lance.
" - Oui, je me caresse. J’imagine que c’est ta main à la place de la mienne."

Je descends ma culotte au niveau de mes genoux, et m’oblige à écarter mes jambes de manière à se faire décoller les lèvres de mon sexe. J’humidifie mon index gauche dans ma bouche, et le dépose entre ces lèvres. C’est un peu froid, je frissonne, et ressens immédiatement le plaisir de ce geste. Je me concentre à nouveau sur Ben.

" - Nos sexes sont collés l’un contre l’autre, seul du tissu nous sépare. Je fais des petits mouvements de bassin, pour mieux te sentir." Puis je chuchote
"Je sens ma chatte s’humidifier, regarde l’effet que tu me fais. Je fais passer ma main sous ma culotte, et récupère le liquide chaud qui vient de sortir de moi du bout des doigts. Tout en me relevant légèrement pour que tu puisses bouger, je t’ordonne d’enlever ton caleçon, tu t’exécutes. Je viens déposer ce délicieux fluide au bout de ton sexe, tu me regardes surpris, tu ne t’y attendais pas. Je te vois sourire, je crois que ça te plait.
- Putain…
- Je saisie ta verge avec ma main gauche, et effectue un aller retour, puis m’arrête. Ça a l’air de te frustrer, j’aime ça. Je reprends mon travail, mais décide vite de descendre ma bouche pour y faire entrer ton sexe. J’aime te faire des fellations, ton pénis est parfait et ton plaisir semble intense. J’enfonce ton sexe turgescent au fond de ma gorge, puis le fait sortir jusqu’à embrasser ton gland, avant de recommencer. Comme à chaque fois que nous pratiquons cet acte, tu appuis sur ma tête pour enfoncer ton sexe plus profondément en moi. Je n’aime pas ça, j’ai peur de vomir. Je te saisie donc les mains et les tiens fermement contre ton torse, mais essaie d’aller le plus loin possible pour te procurer du plaisir. Je caresse tes couilles avec trois de mes doigts, puis je les lèche doucement.

- Putain Lisa, tu vas me faire jouir.

- Non ! Ne jouis pas, c’est pas le moment. Attend encore un peu."

A nouveau quelques secondes de silence, je me lève prendre un verre d’eau et m’assoie à nouveau dans mon lit, en espérant qu’il réussisse à se contenir. Je suis prête à reprendre.

"-Je me relève de façon à revenir dans ma position initiale, ressemblant à celle du lotus, enlève ma culotte et approche mon sexe au dessus du tien. Je le frotte à toi, te fais sentir à quel point je suis mouillée, le fait entrer de quelques millimètres en mois avant de le ressortir. Je te regarde, tu me regardes, c’est un regard chargé de frustration et de désir que nous nous échangeons. D’un coup je me baisse, permettant à ton sexe dur et droit de me pénétrer brutalement. Je laisse échapper un cri."

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