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Corps à corps

Clo se rend chez Luc qui l’a invitée à venir boire un verre le lendemain de la soirée de stripoker. Très entreprenante Clo met Luc en feu pour une soirée de sexe torride. Ils nous racontent tour à tour comment ils la vivent … (Histoire réellement écrite à 2 mains)

Proposée le 26/10/2022 par hannibaal

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


ELLE
Quelle folle nuit, heureusement, nous avons pu nous reposer quelques heures.
Je suis rentrée pour me changer. Ce soir, je reviens chez toi, mais pour une partie.. à deux!
Je suis en train de” crémer “mon corps. J'ai choisi avec soin la tenue que je mettrai ce soir.

Je suis ravie de te revoir; j’avoue m’attacher à toi, à être addictive de nos plaisirs, mais qu’importe! Sous tes mains je me sens si vivante et j’ai l’impression qu’il en est de même pour toi.

20h00:Je sonne:Tu ouvres la porte.Hum que tu es beau dans ta chemise blanche. tu as mis une cravate, négligemment nouée, j’adore…tu prends ma main, et la baise en mode gentleman. La douceur de tes lèvres me rappelle “notre nuit”
-Tu es charmante me dis- tu.
Tu me fais pivoter sur mes talons. Je porte une mini- jupe noire et un haut pailleté.

Effrontée, j’attrape ta cravate et t’attire vers moi.Nos bustes se touchent, nos lèvres se retrouvent avec tellement d’envie.
Tu me murmures que ma bouche a un goût de framboise.Je sens déjà la chaleur s'emparer de moi.
Un apéritif est dressé sur la table du salon.Je m’asseois en face de toi.Debout devant moi, tu ouvres une bouteille de champagne.je passe une main dans mes cheveux, rejette la tête en arrière et décroise les jambes avant de les recroiser lentement.

J’écarte suffisamment les cuisses pour que tu puisses apercevoir mon petit bouton rose dépassant de mes lèvres
-Tu sursautes, non!!!!! tu n’as pas mis de…
Je te coupe la parole aussitôt,mordille mes lèvres
-Non, je ne me suis habillée que d’une touche de parfum.Saurais- tu la reconnaître te dis-je très, très provocante?
Les coupes sont sur la table, nous trinquons:
-A nous! A cette délicieuse rencontre!
une fois les coupes reposées, je te pousse sur le canapé.je saisis de nouveau ta cravate et vient me positionner devant toi.

Je fais sauter mes talons aiguilles, passe une jambe au-dessus de toi, tire la cravate et amène ta tête entre mes cuisses afin que tu viennes respirer ce parfum.
Ton nez frôle mes parties intimes, ta langue se met à lécher mon clitoris déjà gonflé.
-Non Luc! tu dois trouver l’odeur, pas le goût te dis je en tirant sur ta cravate comme on tirerait sur un collier.

J’aperçois sous le tissu de ton pantalon la bosse que forme ton sexe déjà en érection.
Ce soir, c’est moi qui vais te torturer de désirs, avec mes propres armes.

Je me recule et vient embrasser ta bouche au goût de mon sexe.Tu profites du fait que j ai lâché ta cravate et tu viens poser tes mains sur mes fesses, ma petite jupe étant retroussée..tes mains caressent ma peau.
-Humm ,tu sens la vanille me dis-tu...j'ai très mais alors, très envie de te goûter encore, me laisses-tu vérifier?

J'attrape mon sac à main,l'ouvre et en sors un petit foulard rouge...tes magnifiques yeux bleus pétillent de malice.
-Non,mon beau joueur, à moi de tester tes sens.
Tu souris et semble prêt à me laisser mener le jeu:
-Hummm, tu es une vraie diablesse, j’adore les diablesses!

Je reviens vers toi, me penche, de façon à ce que tu vois une dernière fois mon regard insolent et provocateur.Puis, je bande tes yeux, tu ne vois plus rien.
J’ai décidé d’aiguiser tes sens, j'ai envie de les affoler. je me tais.
-Ma petite chatte? je ne t’entends plus?
Chut….Luc…je pose un doigt sur tes lèvres que j’ai trempé dans le champagne et je pénètre ta bouche.
-Ecoute, savoure, ressens….

Puis je me lève. Tu n’entends que le froissement textile, de mes derniers remparts que je viens d’ôter.
Je reviens vers toi, et je commence à te déshabiller. je fais “sauter” chaque bouton de ta chemise(mais je conserve la cravate).Je fais “sauter” tes chaussures, enlève doucement tes chaussettes en posant la voûte de ton pied sur mon sein souple et chaud. Mon téton se dresse au contact de ta peau
-Humm, j’adore me murmures tu

Je m’attaque à ton pantalon qui prend le même chemin que les chaussettes, puis à ton caleçon. Quand j’ôte celui ci, ton sexe en érection divinement tendu se libère
Volontairement, je ne fais que l'effleurer pour faire monter le désir. Je veux t’allumer, t’exciter que tu sois au bord du gouffre du plaisir avant d’y plonger et de m’y entraîner avec toi.
-Je suis nue….
J'aurais dû t'attacher les mains, cela aurait pimenté notre jeu..qui sait une autre fois…

Je bois une gorgée de champagne, j’allonge mon corps nu sur le tien,me saisis de ta bouche et laisse glisser le liquide dorée au fond de ta gorge.Nos langues se mêlent, se délectent de nos saveurs alcoolisées.Nos bouches deviennent plus voraces, la tension et la chaleur montent.Toujours sans me voir tes mains caressent mes reins, se saisissent de mes fesses, les palpant puis remontant sur mes seins les caressant à pleine mains, avec vigueur.

Je sais que j’en garderai les traces, et cela m’excite terriblement.Je suis mouillée, tu l’es aussi.Ta hampe se dresse gorgée de désirs en petites perles qui s’échappent et que je vais aller récolter.
Je recule doucement.Très effrontée, je veux jouer la… diablesse encore plus.
Je saisis sans faire de bruit, un petit glaçon du seau de champagne,le place dans ma bouche, et je viens doucement tutoyer ta queue.Sous l’effet du froid, tu arques ton corps en lâchant des mots crus nous excitant encore plus encore.
-Put!!!!

Je crache le glaçon dans ma main et vient le faire glisser sur ton torse.
J'adore te voir te trémousser.Et là, j’ai envie de faire un truc fou, qui déclenchera ..ou pas tes ardeurs.

Je me positionne à califourchon sur toi une jambe de chaque côté de tes hanches sur ton canapé et je viens m’empaler sur ta queue qui vibre déjà.J’ondule, soulève mes hanches qui viennent claquer contre les tiennes.
Je t’entends me dire que c’est bon, je commence à bouger lentement, le fait que je sois sur toi me permet de contrôler.

J’ai envie de te sentir au plus profond de moi.je sens ta queue pulser,gonfler en moi.Tu glisses avec aisance dans mon antre inondée de cyprine.
-Oui… bouge..
Puis, sans faire de bruit, je plonge ma main dans les glaçons et vient les placer sous tes reins.

La surprise du froid contracte tout ton corps, je sens aller ton sexe au plus profond de moi, me pourfendant comme une lâme brûlante, la sensation est exquise pendant que tu lâches un:
-Put…salope!!!
Ton coup de pilon déclenche une vague supplémentaire de plaisir et je viens mouiller ta queue en poussant un cri de plaisir. Je suis au bord du gouffre.

Tes mains saisissent mes hanches et me font basculer sur le canapé à plat dos.
Tu viens d’ôter ton bandeau.Tes magnifiques yeux bleus sont allumés d’une braise terrible.
Je mords mes lèvres et plonge mon regard dans le tien, haletante de désir.
-Toi…..
Je sens que la règle du jeu va changer, tu sembles reprendre la main, ce qui ne serait pas pour me déplaire….t'aurai- je excédé?

LUI
Je te savais diablesse, mais là tu es carrément démoniaque ! Tu m’as mis dans un état indescriptible ! Tous mes sens sont en ébullition ! Tu as allumé un brasier dans ma tête et dans le bas de mon ventre …
« toi … tu es une diablesse et une délicieuse petite salope … tu m’as allumé, mis la queue comme une torche, mais tu ne perds rien pour attendre … ».

Prestement, je t’attrape les poignets que je lie à la tête du lit avec ton foulard rouge. Tu te laisses faire docilement , plongeant ton regard dans mes yeux, un sourire très coquin se dessine sur tes lèvres. Il me rend encore plus fou. Je me penche pour t’embrasser sauvagement et l’effacer de ta bouche … non par vengeance, mais je veux que tu sois à moi. « Je vais te posséder, tu vas me supplier de te baiser sauvagement, que ma queue te défonce la chatte et que je te remplisse de mon jus … » te soufflais je crûment au creux de l’oreille faisant monter encore d’un cran notre état d’excitation…

Je me saisis d’une coupe de champagne et je t’en verse légèrement sur ton corps dénudé, parcourant un chemin partant de tes lèvres jusqu’à ton intimité que tu m’offres généreusement, les jambes largement ouvertes. Puis c’est au tour de ma bouche et de ma langue de laper le délicieux nectar à même ta peau douce et délicate. Très en tension tu arqueboutes ton torse à mon passage sur tes seins, lâchant quelques gémissements lorsque j’insiste par quelques succions sur leurs pointes dressées.

Et lorsque ma langue te fouille, s’abreuvant de ta cyprine mélangée au champagne, tu lâches quelques « ooooooh Ouiiiiii c’est boooon … » les hanches agitées d’un mouvement convulsif. « Viens vite ! Viens me remplir ! Je n’en peux plus ! Je vais jouir … ». Tes beaux yeux se troublent, ta tête bascule de droite à gauche, ton nez se pince sous l’effet de ta respiration plus intense. Je sens que tu es au bord du point de non retour et je stoppe immédiatement ma caresse. « Nooooooon ! … » me lâches tu dans un cri plaintif « ne me laisse pas comme çà ! Je t’en supplie baise moi … ! ».

Ta supplique me fouette le sang, et je dois faire un effort surhumain pour ne pas plonger immédiatement mon sexe bandé dans ton antre en fusion pour te démonter sauvagement. « Nooon !… » te répliquais je un sourire un peu carnassier au coin des lèvres « tu as voulu jouer à ma délicieuse petite salope de diablesse … Tu m’as mis le feu au bas ventre à m’en faire mal à la queue … Tu vas le payer … ». J’attrape un glaçon dans le seau à champagne et je le promène lentement sur toi. Tes lèvres ourlées, ton cou gracile, tes seins gonflés, tes tétons érigés, ton ventre plat, la fente de ton sexe luisant de désir et entre les lobes de tes fesses jusqu’à ta porte secrète.

Tu es tellement brûlante que celui-ci ne tarde pas à être totalement fondu, laissant sur ta peau délicate les traces de la morsure du froid. Contraste saisissant entre ton corps en fusion et la sensation glacée saisissant chaque zone érogène de ton corps et qui te tire des gémissements plaintifs, et t’agite de petits spasmes de désir incontrôlables.

De voir ainsi ta belle nudité secouée de tremblements, ta belle petite chatte totalement ouverte et offerte … me rend fou. Je ne peux plus me raisonner. J’ai trop envie de toi. « Maintenant ! Je vais te prendre ! Te baiser ! … » te dis-je en plongeant mes yeux dans les tiens d’un regard possessif.
Je replie tes jambes sur tes épaules et j’empale ma queue dans ton antre en fusion. Tu es si prête et si mouillée que je m’enfonce profondément en toi, entreprenant de te pilonner sauvagement dans des râles incontrôlés…

Tu accueilles au fond de toi mon sexe durement bandé qui ouvre l’entrée de ton vagin et s’enfonce en toi comme un tison ardent. C’est une brûlure intense qui s’apaise au fur et à mesure que je remplis tes parois intimes contractées par le désir, et qui s’ouvre sous mon passage pour mieux m’emprisonner. Tes pulsations intimes provoquent mille décharges électriques sur ma tige profondément enfoncée en toi. Me sentir durement au fond de toi libère les tensions accumulées et des déferlantes d’adrénaline envahissent ton corps. « Oooooh ! Ouiiiiii ! Viens ! Plus fort ! Plus vite … prends moi ! Possède moi ! … ».

Notre envie l’un de l’autre nous rend totalement fous. Nos sexes emboîtés s’aspirent, se retiennent, se consument. Ma bite gonflée entre et sort de ton antre avec une vigueur insoupçonnée qui fait trembler ton corps et tes seins à chaque coup de boutoir. Mon ventre claque sèchement contre tes fesses et tes cuisses à chaque assaut. Tous nos filtres tombent, il n’y a plus aucun tabou, plus aucune pudeur. Il n’y a que nous.

Je te pilonne avec rage. Je t’apostrophe crûment, emporté par mon envie de te posséder « tu es ma petite salope … ma bite te défonce la chatte … je suis tout dur en toi … tu mouilles tellement … je vais te remplir de mon jus … je vais jouir comme un fou et me vider en toi … ».
À mes mots, je vois tes yeux se troubler. Ton antre se contracte très fort sur ma queue. Tu te cambres. Tu te tortilles. Tu me supplies « ouiiii ! Viiiiiiiens ! Viiiide toi ! Fais moi jouiiiiiir ! … ».

Je te libère les mains qui s’accrochent à mon dos que tes ongles griffent furieusement, et je ne le sens même pas. Notre étreinte devient sauvage. Nous ne maîtrisons plus rien. J’ai terriblement faim de toi et tu gémis des « viens vite … vas y défonce moi fort … » qui m’explosent le cerveau. Je m’enfonce de nouveau en toi presque brutalement.

Une main accrochée à tes cheveux et l’autre posée doucement sur ta gorge, je te pilonne de nouveau follement. « Tiens ma petite salope ! Sens ma bite te perforer bien profond ! Je vais te remplir quand mes couilles vont se vider en toi … je veux te baiser comme une délicieuse catin … ».

Dans un ultime coup de boutoir, tes parois intimes se contractent brutalement sur ma queue, la retenant au fond de toi. Tes reins se cambrent, ta tête dodeline de droite à gauche comme si tu refusais l’inévitable. Tes yeux se révulsent, ta bouche se tord mordant ta lèvre inférieure.

Tes ongles s’enfoncent profondément dans la chair de mon dos. Ta cyprine jaillit, insolente, de ton antre en feu … tu jouis en susurrant des « ooooh ouiiii !!! … ooooh ouiii !! » qui couvrent à peine mes râles de bûcheron. Tu me rends incontrôlable et j’explose à mon tour, giclant ma liqueur dans ton vagin dans un cri bestial « Rhaaaaaaan ! … ». Le maelström de notre orgasme nous emporte, nous dévastant pendant un temps infini …

Toujours emboîtés l’un dans l’autre, nous basculons sur le côté. Tu noues tes jambes autour de ma taille pour me garder en toi. Nos bouchent s’unissent pour un baiser ardent, laissant courir les spasmes de notre jouissance qui secouent encore nos corps pendant un temps infini. Ni l’un ni l’autre n’osons prononcer un mot, nous dire toute l’attirance que notre étreinte nous a provoquée … Mais parfois les mots sont superflus, le langage des corps enlacés parle par lui-même …

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
C'est super bien écrit. Magnifique !!!
Posté le 28/05/2023


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