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Le sexe et ma cousine Léa. Partie 1 : Léchage de pieds et masturbation

Léa, une jeune femme, de 19 ans. Une histoire torride qui commence par un cousin fétichiste des pieds un soir de pleine lune. Puis une masturbation secrète, et un rebondissement inattendu !

Proposée le 13/09/2022 par CécéAmandine

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Partie 1 : Léchage de pieds et masturbation
Léa est ma cousine germaine, et moi je m’appelle Jean-Baptiste (JB). Nous avons 18 et 19 ans respectivement. Nous sommes dans le même Lycée dans l’Essonne, mais dans une classe différente. Mais on a quelques cours de langues en commun !

Le sexe et ma cousine Léa. Partie 1 : Léchage de pieds et masturbation
Ma cousine, que je ne connais réellement que depuis 2 ans, quand elle a déménagé du Sud avec ses parents et son frère, est devenue une vraie amie. Et aussi un peu je l’avoue, une fille pour qui j’ai un faible.


Léa est assez grande, 1m73, des yeux marrons, une silhouette assez fine et musclée. Pas beaucoup beaucoup de fesses, mais une grande chevelure blonde dégradé, un visage d’ange et des grands yeux pétillants quand elle sourit. De grandes jambes magnifiques et d’assez grands pieds très sexy (du 40 et mi. Oui c’est un peu mon truc en plus). Si vous êtes intéressés je vous montre une photo, prise à son insu un autre jour de french manucure :

https://i.postimg.cc/7Y0qmMC3/DSC-32060.jpg


Depuis que l’on s’est réellement rencontré, il y a 2 ans, on a commencé à devenir inséparables. Nous n’avons jamais parlé sexualité, même si elle a un mec depuis 1 an (OK à mon plus grand dam).


Lors d’une nuit, notre relation a changé ! Ce jour-là, j’étais encore fourré chez elle, nous avions un exposé d’Espagnol à faire. Et bon, forcément nous étions en retard. C’était la fin d’année, il faisait une chaleur terrible, et Léa était, je dois l’avouer, plus sexy que jamais en débardeur sans soutien-gorge. Elle a des petits seins, un 75B. Et ce n’est qu’en famille qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je lui ai subtilement fait remarquer une fois. Et elle m’en a parlé en rougissant un peu, en me disant qu’elle était un peu gêné au lycée.


Le soir tombant, comme c’était souvent le cas, sa mère Alice toqua à la porte :
« JB, tu restes manger et dormir ?

Léa me regarda avec un sourire, puis en tirant la langue avec un clin d’œil et répondit à ma place :
-Ba oui !
-Dac, venez mangez dans 10min, c’est bientôt prêt.
-Merci Alice, fis-je. »


Léa et moi n’étions pas très productifs, il faut dire. Après une partie de l’aprèm passé à copier-coller des bribes d’Espagnols sur un sujet quelconque, nous étions penchés sur Instagram depuis près d’une heure, à rigoler à toute sorte de conneries, assis sur le tapis cote à cote !

« A taaaabble !
-On arriiivvvvve !!
-J’ai vraiment faim », dit Léa en se levant sur ses jolis pieds nues vernis, me regardant avec un air malicieux un poil troublant.


Le début du repas se passa bien, jusqu’à ce que je vois, sur le côté gauche de la table, les deux pieds de Léa, étendus, dépassant et gigotant des doigts de pieds à l’annonce des boules glacées en dessert.
Ils étaient donc assez longs, mais très fins. De grands doigts de pieds, assez entretenus, mais avec un vernis violet écaillé. Ce vernis d’étudiante qui vadrouille dehors à l’approche de l’été, et a oublié d’entretenir la couleur. Mais je ne sais pas pourquoi, ça m’excitait beaucoup, même si c’était ma cousine et que rien n’était possible. J’imaginais tout ce que j’aimerais lui faire de sale à ces pieds à ma petite cousine adorée. Je les fixais pendant surement un peu trop longtemps car elle les retira soudain, me sortant de ma rêverie. Me fixant droit dans les yeux, un sourire un coin, quand Alice nous apportait les coupes.


« Mm.. merci Alice ! ». J’étais troublé, et surement rouge devant Léa.


Pourtant elle ne savait rien de mon fétichisme en principe ! Je l’avais toujours caché à presque tout le monde sauf ma 2ème ex sur la fin.


La soirée passa normalement. Et après avoir tous regardé un petit Pirates des Caraïbes - 3, nous sommes allés tous au lit ! Mon dieu, ma cousine c’est Elisabeth Swann physiquement en fait, littéralement. Mais en pyjama, ces 2 petons maintenant cachés dans des chaussons pilou-pilou.
Peut-être pour ça que j’adore ce personnage d’Elisabeth Swann. Ou l’inverse ?
Nous sommes partis nous coucher vers Minuit. Moi sur un matelas en contre-bas de son lit. Elle venait de changer sa disposition de chambre, et mon couchage était littéralement – à ces pieds -. J’ai eu une demi-érection à cette pensée, en me brossant les dents juste après elle.
Quelques minutes plus tard, la chambre était silencieuse. Et sombre, seulement éclairée par la pleine lune à travers le velux ouvert.


20 minutes après, sans arriver à dormir, je me retournai. Mon cœur s’emballa en voyant que Léa, ayant visiblement chaud, avait glissé son drap et avait ses 2 pieds de dingue, blanc et joliment courbés, presque au bout du lit. Me surplombant.


Ma bite fut prise d’une grosse érection. Ses pieds étaient éclairés par les éclats de la une en plus, révélant des orteils parfaitement dessinés, et ça et là des zones plus jaunes sous ses pieds. Je devinais la moiteur dû à la chaleur. Et surement une petite odeur aussi. J’étais dingue.


Après avoir tendu l’oreille, je me rapprochais, et mettait sur le côté, pour être un peu plus de proche des paturons de ma jolie jument de cousine ! Mes couilles pendaient, lâches. Et je glissai ma main sur mon sexe, assez gros, commençant à me caresser le gland en faisant glisser la peau du prépuce. Une idée me venait en tête : faute d’avoir accès à ma bombasse de cousine, je devais lécher et me branler au moins une fois sur ses pieds dont je rêvais.


Il fallait sécuriser le terrain…


« Léa ? Léaaaa ? Tu dors ?… chuchotais-je.
-… »

Rien. Cela faisait 25 ou 30 minutes presque, et vu l’heure, elle devait dormir.
Mon sexe palpita de plaisir à cette idée. Ma cousine commençait à occuper mes pensées de plus en plus, même au Lycée. Je pense que j’étais jaloux d’Henri, son copain. Même si elle semblait de plus en plus distante de lui dernièrement.


Je me relevais doucement, et approchais mon nez de l’intérieur de ses petits doigts de pieds qui dépassait du lit. Elle était sur le dos. BRRRrrr. Putain qu’elle sentait bon des semelles la coquine ! Les pantoufles en pilou-pilou ne devaient y être étrangères. Léa ne bougea pas.
Je baissais mon short-pyjama pour de bon, en m’asseyant doucement en tailleur, le sexe à la main, le nez proche de l’espace entre son gros doigt de pied et le deuxième doigt de pied, presque plus long.
Je sentis bouillir en moi une excitation folle, tandis que je réalisais un de mes fantasmes, souillant au passage la confiance de ma cousine. Mon gland était dur, et la base de mon sexe encore plus, tandis que je continuais un lent va et vient. Je ne durerai pas longtemps.


Enivré par l’odeur légère mais hyper sexy, alors que mon nez touchait un peu la base de sa voute plantaire, je décidai de lâcher. Tirant la langue, et restant aux aguets, je commençai à lécher son pied gauche, du talon aux orteils. En remontant doucement, sur son interminable peton, et agitant frénétiquement mon sexe.


Terminant sur le deuxième orteil, bouillant de désir pour cette coquine inatteignable, je me relevais un peu pour l’observer.
« Oh put… ! ». D’un coup mon cœur s’emballa, tandis que je m’étouffais : Léa dormais sur le dos, les draps à peine sur elle, la Lune révélant ces deux seins blancs, dénudés.


Restant fixé, la bouche ouverte, j’hallucinais. Depuis quand faisait-elle ça ??? C’était la première fois ? Avec sous cousin dans la chambre !! Elle était moins pudique que ce que je pensais.
Elle était magnifique, un fantasme des yeux : ses cheveux blonds / châtains par endroits, en pétards. Les yeux résolument fermés.
Je n’en perdis pas une miette. J’allais venir.


Je sortir mon téléphone pour prendre une photo discrètement en tendant le téléphone au-dessus
d’elle. Oui j’étais un salopard. Mais j’allais me branler des heures sur cette petite salope. Sa poitrine était ronde, jolie, bien formée. Pas ses seins qui « tombent ». Fermes et généreux malgré leur petite tailles, à ses seins. La photo :


https://i.postimg.cc/d0tvsb56/DSC-320702.jpg


Mon sexe n’en pouvait plus, et moi relevé sur les genoux, mon regard alternant entre ces pieds et ses seins sexy, non plus. J’adorais l‘observer comme ça, comme un voyeur, contre son gré. Respirer ses odeurs de pieds, imaginer ce que je pourrais lui faire de plus sale.
Son vernis usé violet/pourpre soulignait ce côté dépravé que je fantasmais de ma parfaite petite cousine. Pas si prude ?


C’en était trop, et n’arrivant plus à inhiber mon excitation et mon voyeurisme, tandis que je tirais sur mes boules d’une main, je me relevai un peu, et de la main droite dirigea mon sexe devant sa voute plantaire. Juste derrière ses 10 doigts de pieds serrés. Elle allait prendre mon foutre cette coquine. Avec la chaleur présente de ce mois de Juin, ça sècherait vite avant demain matin.


« Mmm… » peinais-je à étouffer, tandis que 4 longs jets épais s’écrasaient, d’abord entre ses 2 doigts de pieds, puis sur le petit du pieds gauche, un autre en plein milieu de sa semelle odorante jaunis par endroit, et enfin le dernier jusque sur son mollet et même des gouttes sur sa cuisse. Ouuups !


Je me figeais, tandis que l’orgasme et la vue me terrassaient.
Au bout de 10s, reprenant mes esprits, je vis les gouttes épaisses couler devant et derrière, entre ses doigts de pieds. Il y en avait partout. Epais et blanc. Du jus de Lune …
J’étais allé trop loin. Elle venait de bouger un peu.


Tandis que je me précipitais discrètement sur mon matelas, sous le drap, je la vis remuer les doigts de pieds doucement. Faisant dégouliner un peu plus mon sperme. Et se retourna, sur le côté.


Puis plus rien. Ouf ! pensais-je.


Mais au bout de quelques minutes, j’entendis un bruit de draps. Puis de vêtements. Je ne comprenais pas ce qu’elle était en train de faire ! Frissonnant de stress, figé dans le lit, le sexe mou et humide, j’essayais de me concentrer sur le bruit. Je pouvais entendre son corps bouger sur le lit, et voir ses pieds humides gigoter un peu. J’essayais de nouveau de tendre l’oreille.


Subitement, sa respiration s’accéléra, et je compris la situation ! Ma propre cousine (enfin propre…) se masturbait à côté de moi ! Après s’être endormis seins nus, provocatrice. Elle devait avoir retiré son short et sa culotte !


Je sentais mon pénis durcir à nouveau, mais je ne pouvais rien faire. Priant pour qu’elle n’ait pas remarqué le liquide sur son corps et notamment ses pieds.
Au bout d’une minute ou deux, me détendant, je bougeai un peu dans le lit, dans une position moins inconfortable. Subitement, elle s’arrêta ! Le silence était revenu à nouveau dans la chambre ! J’étais déçu de l’avoir effrayée.


Quelques minutes plus tard, je fus ravi de l’entendre reprendre les bruits de vêtements. J’étais sur le dos, les yeux entre-ouverts sur ses pieds, aux orteils s’ouvrants et se crispant frénétiquement. J’étais dingue. Mais incapable de bouger. Plus de bruits d’un coup ! Je fermais les yeux.
Les rouvrant discrètement quelques secondes après, je fus extasié de ce que je devinais. Elle était assise sur le bord du lit, de mon côté, complètement nue. La faible lumière de la nuit me permettait de voir ses belles formes sensuelles.


Vraiment je n’en revenais pas de son corps ! Elle était si belle ! Sa poitrine ronde, ses tétons pointés par son excitation. Ses jambes longues, fines et élégantes, qui donnèrent envie de les toucher et les embrasser.


Elle se caressait, les jambes écartées. Devant moi, en train de dormir. Les rôles étaient inversés ?!


Mon désir de la rejoindre dans ses ébats était de plus en plus dur à le contrôler. Elle avait maintenant écarté ses belles jambes suaves en pliant ses genoux afin de pouvoir maintenir ses jambes le plus ouvertes que possible?! Un pied contre l’autre.


J’étais déçu de ne pas pouvoir voir son sexe, mais je regardais avec fascination son bras bouché de plus en plus vite. Elle devait s’introduire un ou deux doigts tous en se caressant ses seins qui devenaient de plus en plus fermes?visiblement ! Toujours un œil entre-ouvert, je la vis maintenir ses deux mains sur son sexe. L’un permettait d’introduire le ou les doigt (s) et l’autre devait stimuler le clitoris?!


C’était une torture pour moi, car je ne pouvais pas me masturber à nouveau?! J’avais peur qu’elle arrête ce moment si excitant, de plus, ses parents dormaient dans la pièce d’à côté depuis le début. J’étais effrayé de perdre ma relation chaleureuse avec elle, aussi, à vraie dire.


J’entendis de nouveaux bruits. C’était des sortes de claquement dû à la présence de liquide. Cela devait venir de la production de sa cyprine qui devait être de plus en plus abondante. Son vagin devait être très humide pensais-je ! Qu’il devait être un régal de la lécher et de s’y introduire?! Elle commençait à avoir des spasmes. Elle n’arrêta pas de fermer et d’ouvrir ses jambes pendant plusieurs minutes?! Cela devait être de plus en plus intense?! Elle avait commencé à gémir doucement d’excitation?! Je me suis demandé à plusieurs moments si elle ne faisait pas exprès pour me réveiller?!


J’avais vraiment mal à la bite, devant ce spectacle érotique, et sachant ce que je lui avais fait juste avant. Ses pieds et sa cuisse devaient encore en porter la marque, même séchée.


Cette idée m’excita encore plus?! Je la voyais si pudique et réservée? !! Je n’en revenais pas de la personnalité cachée de ma cousine?! Elle s’avança plus sur le bord du lit, m’offrant une vue incroyable. Ses mouvements de main étaient de plus en plus rapides et de plus en plus puissants, comme si elle s’enfonçait beaucoup de doigts en elle?! Elle continua encore 5 bonnes minutes, tandis que l’autre main continuait à stimuler son clitoris?! Ses petits seins sexy ballotaient. Ses spasmes devenaient de plus en plus forts, elle n’arrêtait pas de rebondir sur le matelas tellement son plaisir était surpuissant?! Elle sorti sa main de son vagin, afin d’introduire doucement un index dans son anus?! Je n’aurais jamais imaginé voir ma cousine, avec un doigt dans son anus, l’autre sur le clitoris, son vagin trempé dégoulinant de désir sexuel. Elle reprit le mouvement sur son clitoris tout en stimulant de plus en plus son anus. « Ce n’est pas possible, son mec la délaisse ! », me fis-je à moi-même.


Subitement, un petit jet sortit de son sexe ?!! Sa tête se cambrant en arrière en gardant la bouche ouverte dans lequel elle mit sa culotte?! Elle continua de masturber ses deux orifices simultanément?!! Elle s’arrêta, quelques secondes, puis elle porta ses doigts à sa bouche afin de les sucer. Ce bruit de succion me rendit dingue. Je l’imaginais capable de sucer des bites d’hommes à genoux?! Elle n’arrêtait pas de faire des allers-retours avec ses doigts trempés entre son vagin et sa bouche?! Elle se comportait comme une accro à son jus?! J’en déduisis que ce n’était pas sa première fois…


Un filet de mouille coulait sur la planche du bord de son lit. Je le devinais avec les reflets de la Lune.
Elle se rallongea dans son lit, les pieds à ma vue. Et au bout d’une minute j’entendis :


« J’espère que tu as aimé, c’est dommage que tu te sois pas branlé en même temps. Mais merci pour ta crème. »


Le sommeil fut des plus difficiles, se mélangeant dans ma tête la vue du corps de ma cousine, l’odeur ses petons, et sa phrase : « J’espère que tu as aimé, c’est dommage que tu te sois pas branlé en même temps. ». Les jours qui suivraient seraient l’occasion pour moi de raconter cette aventure folle sur internet.


Le lendemain matin, à la lueur du jour, Léa était toujours en train de dormir. Son drap ne couvrant pas son corps entièrement nu. En me redressant, je pus apercevoir des marques de mon sperme sur ses doigts de pieds, et aussi sa cyprine séchée sur le bord du lit, et son sexe, ses mains, sa bouche. J’avais du mal à la reconnaître ! Debout devant elle, mon érection revenait déjà d’ailleurs.


Elle ouvrit les yeux. Mais cette fois, je ne pouvais faire comme si j’étais en train de dormir ! Mon cœur s’emballait, tandis que son regard pétillant s’arrêtait dans le mien.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Licorix
Super histoire ! Malheureusement je n'arrive pas ouvrir les deux dernières photos... Merci pour cette superbe lecture
Posté le 13/09/2022

jojoinstoui
Whaa! Bandant. Super bien écrit en plus. Je sens que cette petite coquine de Léa va prendre bien chère ! Hâte de lire la suite ! :) PS : image bandante de ses pieds, super
Posté le 13/09/2022

jojoinstoui
Whaa! Bandant. Super bien écrit en plus. Je sens que cette petite coquine de Léa va prendre bien chère ! Hâte de lire la suite ! :) PS : image bandante de ses pieds, super
Posté le 13/09/2022

imgaiol
Mmm, magnifique histoire ! Ca promet si c'est qu'un début . J'ai A-DO-RE
Posté le 13/09/2022


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