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Papy est un suceur de tétine (2/3)

Seconde rencontre entre Antoine, le vicieux et une Catherine complice.

Proposée le 10/01/2016 par Patrick2toscane

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Les promesses d’Antoine

Été 2015 :
Sur le chemin qui la ramenait à l’agence, Catherine avait les plus grandes peines à respecter les règles de la sécurité routière ; ce qui venait de se passer chez Monsieur Lopez avait déstabilisé les certitudes de la directrice de l’agence « Echo Imm ».
À un feu rouge, Catherine crispa ses mains sur le volant en repensant au vil manège des frères Lopez : il fallait qu’elle les verbalisent pour apaiser sa colère.

Dans le parking souterrain, elle parqua sa voiture et attendit quelques minutes avant de couper le contact ; juste le temps à la climatisation de refroidir le sang qui brûlait ses joues.
Catherine ferma les yeux et immobilisa sa tête en arrière… Elle revit ces images… La canne d’Antoine qui s’était presque permise de révéler ses dessous… Sa peau et son sein qu’elle avait offerts à ce vieillard…
Catherine sursauta et ouvrit les yeux, avant de serrer les cuisses sur son jus qui coulait au fond de sa culotte. Que lui arrivait-il ? Elle observa les proches alentour pour être certaine que personne ne voyait qu’elle était en manque…

Elle poussa la porte de l’agence. Elle balaya le silence de l’agence en marchant d’un pas autoritaire jusqu’à la machine à expresso où elle commença à se préparer un café.
Dans son bureau, elle déposa ses affaires et quand elle en ressortit, elle croisa Cyril qui la fit sursauter. Catherine se surprit à lui esquisser un sourire comme s’ils étaient collègues, mais cela n’était définitivement pas le cas.
Le regard de Cyril lutta pour ne pas voir ce qui était immanquable. Profondément, il inspira, avant de se confesser :
- Madame La Motte Pernac, vous avez eu un appel de Monsieur Antoine Lopez. Un dur à cuire celui-là ! Je lui ai répété que je n’avais pas votre agenda et que je ne pouvais pas lui donner un rendez-vous, mais il a insisté et il s’est invité pour demain matin neuf heures.
Catherine resta stoïque et cela surpris l’employé habitué aux vexations.

La charismatique quinquagénaire prit son café et traversa le couloir pour aller s’enfermer dans son bureau. Elle régla les stores en position occultante. Elle sortait une pomme qu’elle déposa à côté de son expresso.

Bercée par le silence, elle se cala dans son fauteuil et posa ses pieds, ses escarpins sur le bureau. Elle esquissa un rictus, avant de saisir la pomme et la croquer. Elle croisa les chevilles.
Catherine leva les yeux vers la porte de son bureau, glissa sa main libre entre ses deux cuisses… Renversée, sa jupe descendit jusqu’à sa petite culotte en dentelle noire… Catherine effleura un instant son sexe à travers la broderie, avant de porter ses doigts à ses narines. Ses paupières papillonnèrent et elle esquissa un nouveau sourire.

Quelques quarts d’heure plus tard, elle décrocha son téléphone pour un échange houleux avec l’un des frères Lopez. Dans le couloir de l’agence, il semblait à Cyril que les vitres frémissaient et pendant un court instant, les ruades de sa patronne l’excitèrent…

En fin d’après-midi, Catherine confia la responsabilité à l’un de ses employés pour fermer l’agence.

Sur la route qui la ramenait chez elle, Catherine ne rêvait que d’un bon bain et d’un divan pour souffler et retrouver ses esprits. Le lourd portail de sa propriété s’ouvrit et la grosse voiture emprunta l’allée gravillonnée, avant de se garer devant le garage. Trop épuisée par une journée inhabituelle, la directrice d’ « Echo Imm » abandonna sa voiture.

Catherine trouva interminable le temps qu’elle prenait pour ouvrir sa serrure et quand le salut vain, la chaleur la poussa dans les murs de sa luxueuse demeure climatisée.

Un court instant, elle ferma les yeux, souffla et apprécia la fraîcheur qui entoura son corps... Volontaire, elle abandonna tour à tour, ses escarpins, son chemisier et sa jupe pour ne rester qu’en soutien-gorge et petite culotte. Sa poitrine semblait plus impressionnante que ce matin chez Monsieur Lopez !
Elle monta à l’étage pour se faire couler un bain… Pendant ce temps, elle ôta délicatement sa « petite broderie encollée » … Son pubis était lisse et bronzé. Pendant une fraction de seconde, elle médita sur Antoine, ses employés et les frères Lopez : se damneraient-ils pour ce bout de tissu taché par sa mouille lubrique ?
Elle dégrafa enfin son soutien-gorge, sa lourde poitrine s’affaissa de quelque centimètre... Catherine attardait son regard sur son téton, celui la même qu’Antoine avait sucée… Elle passa subtilement ses doigts sur son aréole, effleura son téton : il lui semblait sentir cette odeur séculaire…

Catherine ferma le mitigeur et un silence envahit la petite pièce. Elle attacha ses cheveux et trempa ses pieds, ses jambes et son corps dans la mousse, avant de s’immerger jusqu’au cou.
Prétextant s’envelopper de mousse, elle se surprit à se caresser. Elle passa ses mains sur sa poitrine, son ventre et ses cuisses. Elle prit ses gros seins lourds à pleines mains, les malaxa plusieurs secondes, avant de les relâcher. La belle quinqua les secoua de gauche à droite dans un esprit de liberté pour abandonner une journée de joug.

Après cinq minutes, elle s’immobilisa et sa main gauche dans le bain resta plantée entre ses cuisses… Elle aventura un doigt sur ses grandes lèvres cramoisies, dans son con, avant de revenir sur son clitoris et de lui faire subir un aparté gagnant d’une demi-heure...

Hors du bain, elle se sécha longuement, avant de gagner sa chambre. Elle étala son lait hydratant sur sa poitrine et la massa longuement. Ses doigts enduisaient ce centre d’intérêt jusqu’à ses tétines perpétuellement excitées.

Elle s’essuya les doigts dans une serviette-éponge, puis caressa son sexe lisse avec une nouvelle dose de ce lait pour le corps. Le dos légèrement courbé, ses seins tanguaient au rythme de ses attentions et ses grosses tétines semblaient enfler de plus en plus.
Elle reprit du lait et l’étala sur ses fesses… Deux miches qu’elle trouvait banales, mais qui tourmentaient tellement les mâles… Catherine glissa plusieurs doigts dans sa raie lisse en rêvant d’un homme qu’elle ferait grossir dans sa bouche, jusqu’à le rendre fou entre ses deux obus…

Le lendemain matin… À la terrasse d’un café, un jeune homme en maillot de football et pantacourt tirait sur une cigarette. On pouvait s’étonner qu’il soit plus accaparé par ce qu’il se passait de l’autre côté de la rue que, par les clientes de l’institut de beauté qui défilaient devant lui...

Sur le trottoir d’en face, une femme en tailleur rose poudre et lunettes noires attirait le regard. Son sac à main ballottait tout comme cette poitrine irréelle ; elle entra dans l’agence immobilière.

Maxime tira une dernière fois sur sa cigarette, avant d’être interrompu par une personne à l’abri de la chaleur :
- Maxime : tu vas voir si elle est là !
- Oui, grand-père. Mais je crois que cette Catherine vient d’arriver à l’instant.
Antoine regarda son petit-fils et réalisa qu’il pouvait être un concurrent. Antoine n’en revenait pas : il était jaloux de son petit-fils ! L’octogénaire avait deviné dans la voix de ce jeune étalon, les signes d’une excitation qui était décidément contagieuse.

Maxime traversa la rue et entra dans l’agence.

Dans son bureau, Catherine accueillit prétentieusement ce jeune homme aux allures de bourse vide. Elle avait abandonné sa veste et révélait un chemisier blanc, ainsi qu’un décolleté mit en valeur par un collier de perles blanches.
Ils échangèrent quelques politesses, mais Catherine ne portait pas trop d’intérêt à ce jeune laquais. Maxime ne dérogea pas à la règle du décolleté, cette poitrine captiva son regard et il se mit à envier les perles de culture...
- Mon grand-père a de la chance de vous avoir !
- Je suis un peu sa conseillère…
Ce « va nu-pieds » était-il au courant de son étrange relation ?
- Pour votre projet, Antoine a enfin accepté de consulter son médecin. Cela faisait trois mois qu’il avait renoncé à se faire aider !
Catherine leva les yeux sur Maxime et fronça les sourcils, avant d’immobiliser sa gestuelle.
- Monsieur Lopez est-il malade ?!
Maxime baissa les yeux.
- Non… Diabète, cholestérol et son cœur. Si vous ne l’aviez pas remarqué, il est vieux !
- J’ai des bons yeux, merci !
La suffisance naturelle de Catherine la poussa à détailler la tenue touristique de Maxime : ce dernier n’apprécia pas.
- Peu importe ce que vous faites avec lui, mais… ne le décevez pas ! Grand-père a eu une vie intense et depuis qu’il vous connaît… Je dois dire qu’il revit : je voudrais qu’il termine sur une bonne impression.
Catherine hésita à le reprendre.
- Je suis une professionnelle (Maxime la détailla de bas en haut) , mais je crois bien que vous n’êtes que son émissaire n’est-ce pas ?!
Maxime posa une dernière fois un regard sur la prison du collier de perles.
- Un jour, j’aimerais bien faire affaire avec vous !
Catherine hésita…
- Trouvez déjà un travail !
Maxime poussa un petit rire… avant de quitter le bureau.

Un quart d’heure plus tard, Antoine arriva dans le bureau de Catherine ; il se tenait sur une seule canne. Avant toute parole, ils conjuguèrent leurs regards, avant de se serrer la main.
Difficilement, il s’asseya sur la chaise devant le bureau, tandis que Catherine préférait rester debout au fond de la pièce.
- Alors ! Vous les avez mattés ces petits cons ?
- Leur connerie va leur coûter 500 €, Monsieur.
Antoine fit la moue. Catherine s’avança près de son bureau et se pencha pour regrouper quelques feuilles volantes.
Sans le regarder, elle esquissa un nouveau sourire.
- 500 € chacun, Antoine !
Antoine lui renvoya son sourire, avant de savourer ce nouveau décolleté.
- Eh bien, Antoine ? De quoi vouliez-vous m’entretenir ?
Debout derrière son bureau, Catherine croisa les bras sous sa poitrine.
- Catherine ! J’ai pris conscience que je n’avais plus trente ans, mais qui restait de la sève dans ce vieux bout de bois que vous avez devant les yeux !? Bref ! J’ai contacté une maison de retraite, je devrais avoir une place pour la fin de l’année. Cela devrait être suffisant pour que vous vendiez ma maison !
- À la bonne heure, Antoine !
Catherine décroisa les bras et afficha un large sourire…
- Cathy, vous vous partagerez le pèze avec le petit !
Elle resta sans voix. Elle avait déjà fait les comptes. Elle détourna la conversation, voulu lui offrir un café, un verre d’eau, mais il refusa. Antoine s’enivrait du bouleversement de sa conseillère de charme…
Les émotions de Catherine étaient partagées ; une sensation de légèreté l’envahi et lui revint en mémoire le souvenir d’une autre joie dans le présent bureau : cette fois où l’ancien directeur de l’agence « Echo Imm » l’avait culbuté juste avant de lui annoncer qu’elle était la nouvelle directrice.
- Mais… Monsieur Lopez…
- Antoine !
- Antoine ! Pourquoi tant de générosité ?
Il bougonna, ce n’était pas la réplique qu’il attendait :
- Je viens de vous dire que vous allez être riche et vous n’exultez pas ?!
- Monsieur Lopez, je suis déjà riche !
Antoine la détailla comme il l’avait déjà appréciée la veille.
- Si vous voulez Catherine, je peux tout donner aux pauvres !
- Non ! Non ! Ne dites pas de bêtise.
- Qu’est-ce qui vous gêne ?
- Je mérite ma paie !
À l'abri de l’attention de son alter ego, le vieil homme grimaça, avant de poser sa main sur son cœur… Il la retira instantanément.
- Je vous garantie que vous mériterez votre salaire ! Dans quinze jours, je pars en croisière pour… trois semaines et à mon retour, je tiens à ce que vous respectiez votre part du contrat !
Catherine ouvrit de grands yeux.
- Quel est le contrat ?
- Votre héritage !
La directrice de l’agence marcha de long en large, agacée, avant de s’asseoir sur le bord de son bureau juste en face d’Antoine. Une nouvelle fois, elle croisa les bras sous sa poitrine et ajusta son fessier sur le plan saillant.
- Vous m’agacez, Antoine !
Le papy posa ses yeux sur les cuisses nues et serrées.
- C’est quoi la condition ?
- Dîner avec moi, Cathy ! Juste parce que vous aimez m’exciter et que vous avez le vice dans la peau !
Catherine le toisa de haut. Elle hésita…
- Allez ! Un simple dîner, chez moi : vous ne pouvez pas refuser cela à un vieillard au seuil de la maison de retraite ! Ce sera probablement mon dernier dîner avec une femme aussi magnifique que vous !
- Même pour votre argent, je ne coucherai pas avec vous !
- Je n’ai pas parlé de coucher ! (Il esquissa un sourire) Mais je n’ai pas parlé du dessert.
- Vous êtes un pervers !
- Et vous en êtes le tenant féminin !
Catherine croisait les bras et regardait le plafond. Un large sourire s’afficha sur la bouche d’Antoine.
- Je ne vous demande plus la réponse, je l’ai : votre poitrine parle pour vous !
Antoine détailla les gros tétons qui déformaient les bonnets du chemisier. Trahie par son corps, Catherine poussa un soupir et se dressa devant lui : un fard s’empara de ses joues.
Antoine tendit la main vers les cuisses et Catherine fronça les sourcils.
- Pourriez-vous me donner votre culotte ?
Ils croisèrent leurs regards et c’est Antoine qui s’exécuta : ses deux mains remontèrent la jupe et il baissa sa culotte le long de ses jambes bronzées. Il prit dans sa main la fine broderie, avant de la porter aux narines.
- Un double « oui » ! Comme je les aime ! Je vous la rendrai à notre dîner, venez sans !
Des bouffées de chaleur montaient aux joues de Catherine. Antoine se hissa sur sa canne et il s’approcha d’elle. Irrespectueux, il détailla le décolleté et tendit le nez dans le cou de Catherine, avant de humer son eau de toilette.
La directrice ferma les yeux, sa poitrine à peine effleurée par l’excitation d’Antoine.
- Rendez-vous dans un peu plus d’un mois !
Catherine acquiesça du menton et ils se serrent la main.

A SUIVRE…

Patrick de Toscane

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