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Les aventures de Morgane: Julien mon beau-frère

Morgane est en visite chez sa sœur. Alors que celle-ci s'absente, Morgane tombe sur Julien, son beau-frère, endormi et nu dans son lit... Sa curiosité va lui coûter cher.

Proposée le 2/01/2016 par Imagine69

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


J’ouvris mes yeux dans la pénombre du salon de Carole. Quelques rayons de soleil traversaient les rideaux de la salle. Machinalement, je regardais mon portable. Il était 9 heures du matin et Carole devait déjà être à l’université. Je m’étirais sous la couverture puis me leva avec comme seuls habits un débardeur et un string. L’air était un peu plus frais à l’extérieur du lit. Je me dirigeais vers la chambre de Carole ou j’avais entreposé ma valise. Je poussais la porte à peine entrouverte et me dirigea, sur la pointe des pieds et dans la pénombre, vers mes affaires. A ma droite j’entendis un grognement. Je me tournais et constatais que Julien, le petit copain de ma sœur, dormais toujours.
Julien était un bel étalon de 26 ans qui étudiait la médecine à l’université. Il menait une vie saine dans un corps sain, et parfaitement dessiné. Il était droit, sérieux et avait les pieds sur terre. Je reconnaissais bien là les goûts de ma tendre sœur. Je continuais de l’épier à son indu. Son corps d’Apollon n’était qu’en partie recouvert par un drap blanc. Son torse épilé et ses abdominaux en béton étaient à l’air libre. Mes yeux continuèrent leur inspection. Je remarquais qu’une partie de son bassin était découverte et je compris qu’il ne portait pas de caleçon. Machinalement je me mordais les lèvres. J’étais curieuse de savoir ce qui se cachait sous ce bout de drap.

Discrètement, je me levais et me dirigeais vers le lit. Sans quitter son visage endormi et serein des yeux je posa mon genou sur le lit et me pencha au-dessus de lui. Je saisis le morceau de tissu entre deux doigts et, le plus délicatement du monde, le retira. Son sexe entièrement épilé était couché sur son ventre. Malgré le fait que son propriétaire était plongé dans un sommeil profond, l’engin était épais et long. Son gland, décalotté, était d’une importante circonférence et ses bourses semblaient bien pleines. Je reconnaissais, une fois de plus, les charmes que ma sœur lui trouvait.

Mon cœur battait la chamade, ma respiration s’accélérait et ma raison me disait de foutre le camp au plus vite. Mais j’étais comme hypnotisée par ce membre sensuelle et parfait et je n’avais envie que de le goûter. Qu’allait dire Julien en se réveillant ? Que dirait Carole si elle l’apprenait ? Je ne voulais pas risquer de la perdre. Après tout, je ne voulais que le goûter et ça ne durerais pas assez longtemps pour que Julien se réveille. Tout en ne quittant pas ce dernier du regard, je saisis délicatement son membre, le maintins droit et l’engouffra dans ma douche humide. Immédiatement je fermais les yeux et fus transportée par le goût et la douceur de ce membre. J’enfonça la moitié de son pieu entre mes lèvres puis le ressortis avant d’emballer et de suçoter son gland. Dans ma main, cet engin commençait déjà à prendre du volume. Il fallait que je parte !
En guise d’adieu, je plongeais une dernière fois ce monstre au plus profond jusqu’à ce qu’il disparaisse entièrement entre mes lèvres. Soudain, le corps de Julien tressauta et je m’immobilisais, son sexe toujours enfoncé dans ma gorge. Je ne bougeais pas, j’étais paralysée. Tant bien que mal, j’orientais mes yeux vers son visage pour guetter une quelconque réaction. Ne constatant aucune expression je remontais doucement ma tête pour libérer son sexe. Je sentais ma gorge se vider petit à petit de cette présence imposante lorsqu’une main se posa avec force sur ma tête, m’empêchant de me retirer.
- Ne te retire pas, dit une voix à la fois douce et virile.
Je regardais à nouveau son visage. Les yeux de Julien étaient entrouverts et me fixaient. Un petit sourire se dessinait sur ses lèvres. Je ne savais pas quoi faire, je respirais par le nez, ma douche étant totalement obstruée par son sexe. Sa main n’exerça plus de pression sur ma tête et je me relevais, libérant son sexe de mes entrailles à sa plus grande déception. Je le regardais éberluée puis j’engouffra à nouveau son gland dans ma bouche et l’aspira. Julien gémit de plaisir. Je ne savais pas où on allait mais on y allait. Seuls des petits bruits de sucions venaient percer le silence régnant dans la chambre. Je le pompais méthodiquement et je sentais son bassin monter et descendre comme pour m’inviter à continuer.
Sa main glissa dans mes cheveux puis longea mon dos qui se cambra naturellement pour faire ressortir mon fessier. Sa main continua son chemin puis atteint mes fesses fermes. Julien me caressa avec douceur tandis que je le suçais tendrement et profondément. Posant mon deuxième genou sur le lit, j’orienta ma croupe vers lui pour qu’il ait une meilleure vue. Sa main longea le fil de mon petit string dans le sillon de mes fesses puis s’arreta au niveau de mon sexe, brûlant et trempé. Il me caressa au travers de mon sous-vêtement puis revint vers mes fesses. Sa main glissa sous mon string qu’il arracha facilement avant de le jeter par terre. Je sais qu’il était fin et petit mais l’arracher avec autant d’aisance montrait à quel point ce bel étalon était puissant.
Mon entrejambe était désormais à sa disposition. Il saisit l’intérieur de ma cuisse et passa ma jambe au-dessus de lui. Sans cesser de le pomper, j’étais désormais à califourchon sur son visage. Je sentis quasi-instantanément sa langue partir à la conquête de mon sexe. Julien était très habile. Il savait parfaitement ou me lécher et comment me toucher. Mes cris de plaisir s’étouffant dans ma gorge, je décidais de le sucer plus intensément pour lui faire comprendre que j’adorais son traitement. Julien glissa deux doigts dans ma petite chatte tout en continuant de la lécher et me masturba rapidement en caressant les parois internes de mon intimité. Les petits allers retours de son bassin se transformaient en de grands vas et viens intenses entre mes lèvres. J’avais l’impression de me faire prendre par deux mecs. Je ne tardais pas à jouir intensément et Julien se bloqua au fond de ma gorge le temps de récupérer ma cyprine et de l’avaler.
Le beau mal retira sa bouche de son sexe et se leva du lit sans un mot tandis que je m’allongeais sur le dos pour reprendre ma respiration. Je fermais les yeux, encore en trance, et tentais désespérément de retrouver un rythme cardiaque correct. Soudainement, je sentir un objet se glisser dans ma bouche. J’ouvris les yeux et je vis Julien au-dessus de moi avec un sourire. Il venait de m’enfourner une boule dans la bouche et attachait déjà la sangle. Avant je ne puisse dire quoi que ce soit Julien me retourna sur le ventre et s’agenouilla à califourchon sur mes fesses. Je le sentis accrocher des bracelets autour de mes poignets et de mes chevilles mais je ne comprenais pas encore son dessein. Je relevais tant bien que mal la tête. J’entendis de petits cliquetis puis Julien se relava, écarta mes cuisses, plia mes jambes sur elles-mêmes et j’entendis à nous de petits cliquetis.
Je comprenais ce qui se passait. Julien avait lié mes membres de sorte à ce que lorsque je tirais mes bras vers l’avant, mes jambes se pliaient encore plus. Je ne pouvais donc pas réellement bouger et quoi que je fasse je ne pouvais pas resserrer mes cuisses. J’étais prise au piège de ses désirs et mon entrejambe lui était complètement offert. Je sentis ses mains étreindre le haut de mes cuisses recourbées et il me traîna jusqu’au bord du lit. Lui était debout derrière moi.
Je sentis son engin s'engouffrer sans ménagement dans ma petite chatte certes trempée mais encore serrée. Je criais de plaisir et de douleur mais la boule étouffait la moitié du son. Julien enfonça entièrement son sexe dans le mien et commença à me besogner sans vergogne. Cette douleur était si bonne et cette situation si excitante. Le mec de ma sœur m’avait attacher et me bourrinait sans retenu tandis que je m’aggrippais comme je pouvais au lit pour ne pas bouger. Je criais et hurlais mais personne ne pouvait m’entendre. Je sentis une substance liquide attérir dans le sillon de mes fesses puis le pouce de Julien trempa dedans et glissa jusqu’à mon anus. Il venait de me cracher dessus pour lubrifier mon petit trou. Je sentis son pouce faire pression sur mon petit trou puisse s’enfoncer quasi-entièrement tandis que son sexe continuait sa valse endiablée dans mon petit minou.
Julien me laminait pendant dix minutes durant lesquelles je jouis à de multiples reprises. Je pensais à ce qu’avait dû prendre ma sœur depuis leur rencontre. Je sentais le doigt de Julien faire pression contre les parois de mon anus. J’étais fébrile, à bout de force. Julien commençait à gémir, ses coups de reins se faisaient encore plus brutaux, son pousse s’agitait rapidement dans mon petit trou puis se retira brusquement en même temps que son sexe. L’espace d’un instant je crus qu’il allait me jouir dessus mais je sentis ses mains écarter mes fesses au maximum et son engin s’enfoncer sans scrupule dans mon petit cul. La douleur extrême se mélangea à un plaisir divin et je criais comme jamais je ne l’avais fait. Sans honte, Julien enfonça son sexe jusqu’à ce que ses bourses l’empêchent d’aller plus loin et je le sentis inonder mes entrailles de son sperme. Il cria de plaisir, me donna quelques derniers coups de reins brutaux lors desquels je pensais que mon petit trou allait céder, puis retira son sexe.
Moi je restais fébrilement allongée sur le lit, transpirée, haletante, les jambes repliée et écartées, les orifices laminés et trempés de sueur, de cyprine et de foutre. Sans mot dire, Julien quitta la chambre et alla prendre une douche. Me laissant seule sur le lit. J’étais devenu son objet. Ma sœur l’était-elle aussi ? Ce qui est sûr c’est que ce beau mal cachait bien son jeu.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
je suis amoureuse de mon beau frere alors ce texte me parle beaucoup .je sais qu'il me desire je le vois a ses regard sur mes tenues sexy(quand je sais que je vais le croiser en repas de famille etc)il m'a deja carresser la cuisse sous la table que dois je faire pour qu'il franchisse le pas..
Posté le 18/04/2021


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