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Housewives pas si desperate… (Partie 9)

Eva et Pierre ont trouvé un nouvel équilibre. Les confidences qu’Eva a partagées avec ses amies lui ont donné des envies de jeux sexuels. Cette libido retrouvée enchante son mari. Les rôles de domination et soumission s’inversent au gré de leurs envies.

Proposée le 25/07/2022 par Scribouilleur

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


§ Eva & Pierre §

Ces derniers temps, Pierre était le plus heureux des hommes. En quelques mois sa femme était devenue coquine comme il ne l’avait jamais connue.

Depuis des années, il s’était fait une raison sur le rythme peu soutenu de leurs ébats en se réfugiant dans ses fantasmes et en se soulageant sans jouissance chaque fois que nécessaire.

Aujourd’hui tout était si bien avec Eva, qu’il ne ressentait plus cette pression sexuelle qu’il devait évacuer. Maintenant, ils ne faisaient pas forcément plus l’amour, mais Eva participait plus ou moins à ses libérations et cela changeait tout. Elle jouait avec lui, avec ses faiblesses. Au moins une fois par semaine, il éjaculait d’une façon ou d’une autre ! Soit elle participait activement, soit elle lui disait quoi faire. Il n’avait plus de besoins honteux à assouvir seul dans son coin.

Et puis il y avait tous ces jeux, ces petites tortures qu’elle lui infligeait. Il sentit son sexe se gonfler douloureusement en repensant à la veille au soir.

À genoux sur un coussin au pied du lit, la culotte qu’Eva lui avait mise sur la tête recouvrait en partie son visage comme une cagoule grotesque. Quand il était excité, il n’avait que faire du ridicule et cela amusait beaucoup sa femme. De toute façon sa culotte imprégnée de son odeur était un délice.

Les mains menottées dans le dos et les couilles attachées avec une simple ficelle au lit, il avait les yeux rivés sur son sexe qui se dégonflait doucement et piquait inexorablement vers le bas jusqu’à entrer en contact avec le vibro coincé sur le rebord du sommier. Allongée sur la couche, Eva était absorbée par son film à la télé.

Sous les vibrations de l’appareil, le gland de Pierre reprit vie et son pénis finit par se redresser en se durcissant de nouveau. C’était sa troisième érection en quelques minutes, la soirée allait être longue.

À la fin du film, Eva s’était approchée et avait repris le vibro. Elle se cala jambes écartées face à lui et, lui appuyant la main sur la nuque, elle lui enjoignit de bien la mouiller de sa langue. Il ne se fit pas prier.

Satisfaite du résultat, elle l’interrompit en le repoussant légèrement de façon à ce qu’il soit aux premières loges face à sa chatte, puis allumant le vibro, elle commença à se donner du plaisir devant lui, impuissant et toujours entravé.

Il était hypnotisé par le spectacle de sa femme frémissante de plaisir. Il suivait le parcours du vibro avec lequel elle caressait les lèvres de son sexe. Son clito boursoufflé semblait dur comme la pierre. Il aurait voulu le lécher, le sucer, le pincer de sa bouche.

Eva était ailleurs. Elle finit par se laisser aller et après un soubresaut, elle émit un son roque.

Satisfaite, elle resta alanguie une minute avant de détacher Pierre. Se penchant sur sa queue toute raide, elle y déposa un baisé avant de lui souhaiter une bonne nuit non sans lui décocher un sourire malicieux.

C’était presque un accord tacite qu’ils avaient sans qu’ils ne l’aient jamais formulé. Si Eva jouissait la première, Pierre devait passer son tour. L’inverse n’était pas toujours vrai.

Pierre mit du temps à débander avant de pouvoir s’endormir sereinement. Il savait qu’au bout de sa torture il y aurait l’extase de la délivrance… peut-être demain… peut-être pas… mais un jour proche et l’attente n’en était que meilleure.


§ §


— Je crois que j’ai été très vilaine ces derniers temps, glissa Eva à l’oreille de Pierre. Ce genre de phrase prononcée par sa femme était pour lui le signal que les rôles s’inversaient, en général le temps d’une soirée ou d’une journée. Il la regarda avec un petit sourire en coin.

— En effet, je pense que tu mérites une bonne punition. Pour commencer tu vas te rendre aux toilettes et retirer ta culotte et ton soutien-gorge. Ensuite tu reviens ici.

Ils étaient à un repas organisé par la boite d’Eva avec tous les salariés. La soirée s’éternisait. La mauvaise musique avait réussi à pousser une partie des convives à se trémousser sur la piste au milieu des tables.

Docile, Eva se rendit aux WC et retira ses dessous qu’elle glissa dans son sac à main. Retraversant la pièce au milieu de tout ce monde pour rejoindre leur table, elle avait l’impression d’être nue et que tout le monde la regardait.

Elle se rassit à côté de son mari qui ne tarda pas à poser une main sur sa cuisse. Il remonta inexorablement la robe d’Eva. Elle frissonnait de peur que quelqu’un ne s’aperçoive de son manège. Heureusement la nappe cachait ce qui se passait dessous et ses deux collègues restés attablés avec eux étaient plus intéressés par ce qui se passait sur la piste de danse.

La robe relevée jusqu’en haut des jambes, Pierre lui écarta les cuisses et commença à promener ses doigts à travers sa toison. Quand il commença à masser lentement son clito, elle frémit. Il continuait son exploration et constatant qu’elle était humide, tout en continuant à la masturber, il lui introduit un doigt.

Eva était rouge comme une pivoine. Elle était à la fois excitée et inquiète. Pierre ne laissait rien paraître.

Le rythme de la musique s’accéléra et celui de la main de son mari aussi. Brusquement elle resserra les jambes emprisonnant la main de Pierre mais ne parvenant pas toutefois à l’immobiliser. Il continuait et Eva finit par se laisser submerger dans un spasme.

Constatant que sa femme avait pris son plaisir, Pierre retira sa main et la regardant avec un sourire narquois, il se lécha ostensiblement les doigts.

— Ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, retourne aux toilettes, je te suis, lui dit-il d’un air mystérieux.

Eva s’exécuta avec Pierre sur les talons. Devant la porte des WC, ils croisèrent une jeune serveuse qui les voyant entrer tous les deux écarquilla les yeux. Eva était toute rouge alors que Pierre mettait un doigt en travers de sa bouche tout en adressant un sourire entendu à la jeune femme et en refermant lentement la porte des toilettes sur eux.

Sans ménagement, il fit tourner Eva sur elle-même puis relevant sa robe, il la fit se pencher en avant. Un instant, elle craint que la serveuse ne soit en train de les épier à travers le trou de la serrure.

Pierre sortit son sexe en érection et sans plus attendre il la pénétra vigoureusement. Elle n’était plus qu’un objet de jouissance tout à lui. Dans une étreinte rapide et violente, il prit son plaisir se servant d’Eva comme d’une poupée de chiffon.

Une fois soulagé, il la fit se retourner. Lentement elle s’assit sur la cuvette. Elle plongea son regard soumis dans le sien, déterminée à lui montrer qu’elle était son esclave servile. Puis elle entreprit de sucer et lécher son sexe pour en retirer les restes de son foutre tout en caressant religieusement ses couilles.

Il passa ses doigts dans ses cheveux pour l’encourager. Une fois qu’elle l’eut bien nettoyé, la bouche pleine du goût de son sperme, ils se sourirent puis finirent par éclater de rire. Finalement, la soirée n’aura pas été si nulle.

§ §

Ce soir, c’est soir de punition pour Eva. Elle n’est vêtue que de sa culotte et Pierre lui attache un collier de chien auquel il attache une laisse. La dernière fois, c’est lui qui était en laisse, attaché par les couilles. En talons hauts, bas et dessous, Eva l’avait promené à travers la salle à quatre pattes. Parfois elle le faisait marcher devant elle et jouait à tendre la laisse pour tirer sur ses testicules et parfois elle marchait devant afin qu’il puisse l’admirer dans sa démarche chaloupée.

— Ce soir tu es ma chienne, dit-il avant de lui ordonner de se mettre à quatre pattes. Elle sent l’excitation monter en elle. Il la promène à travers la salle de façon à l’admirer. Elle sait qu’il n’en perd pas une miette et s’efforce d’adopter une démarche féline.

Il finit par la faire se mettre à genoux. Il lui attache les jambes et lui menottes les mains dans le dos. Entravée de la sorte, elle ne peut plus se remettre debout. Elle se sent délicieusement à sa merci.

Il cale son vibro dans sa culotte contre sa chatte. Il l’allume et les vibrations inexorablement se propagent en elle. Pierre approche un tabouret de bar devant elle. Il descend son pantalon et s’y assoit. Elle fait face à son sexe. Elle s’étonne qu’il soit flasque. Après un tel petit jeu, en général il bande se dit-elle.

Il prend gentiment sa tête entre ses mains et la guide pour qu’elle prenne son pénis en bouche.

— J’arrêterai le vibro quand tu me feras bander dit-il en la regardant du dessus. La tête calée entre ses jambes, Eva commença à sucer et lécher ce petit sexe, le faisant rouler sur sa langue. Il lui tient la tête de façon à ce qu’elle ne puisse pas retirer son sexe de sa bouche.

Tout à coup elle comprend : ce salaud s’est branlé avant, c’est pour ça qu’il ne bande pas !

De son pied, Pierre exerce des pressions sur le vibro qui depuis plusieurs minutes excite Eva. Elle finit par jouir et les vibrations deviennent désagréables. Heureusement Pierre a cessé son manège avec son pied.

Enfin elle sent le sexe de son homme se gonfler. Une fois que l’érection est satisfaisante, Pierre lui détache les jambes. Il la redresse, lui enlève sa culotte et la couche sur le tabouret de bar. Il la pénètre longtemps tout en lui frottant le vibro sur le clito. Ils finissent par jouir l’un après l’autre.

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