Histoire Erotique

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Mélodie, Louisiane 1997 , Part 10 et 11 (Soft)

Mai 1997. Etat de Louisiane, USA. Mélodie est une jeune fille rousse de 18 ans qui vit à la campagne, dans une ferme de Louisiane près de Slidell. Sa vie va être renversée quand elle part aider l ami de son père dans son magasin.

Proposée le 12/05/2022 par amdsoo

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


10. Sylvia, retour à Sidrell
Sylvia revint à Sidrell, près d’un mois après être partie. La succession dans le CT avait être longue car les cousins n’étaient pas d’accord entre eux. Xavier vint la chercher à l’aéroport, il était très excité de la revoir. Non pas par manque sexuel, car il avait discrètement baisé une dizaine de prostituées, mais la perspective de mettre les mains sur le corps magnifique de sa femme, le faisait bander au point de lui faire mal. Sylvia prit cela avec beaucoup de plaisir, voir son homme si excite la ravit.
Sitôt dans la voiture, ils étaient encore sur le parking, Xavier baissa son pantalon et attira sa femme vers lui.
« Je vois chéri que je t’ai manqué » dit elle
« Pompe moi chérie, je n’ai pas fait l’amour depuis ton départ… »
« Bien sûr, je vais te vider les couilles mon petit chéri »
Elle ne détestait pas sucer Xavier, mais en semi public c’était la première fois depuis très longtemps. Elle regarda à gauche et à droite et ne vit personne, elle se pencha à travers l’accoudoir central et lui fit une belle pipe, il éjacula rapidement dans sa bouche et cela surprit Sylvia. Elle avala comme elle put.
« Bien dis donc chéri, c’était une grosse éjaculation ! » remarqua-t-elle, en s’essuyant le menton avec un kleenex.

Xavier avait concocté un plan qui occuperait Sylvia a la ferme, et lui éviterait de devoir rapatrier sa fille trop tôt. Mélodie était en « prêt » chez Theo, et les remboursements s étalonnerait pendant tout l’été. Mélodie avait fait du bon boulot avec Mr Saint, et le service de « nettoyage de bites » des toilettes, tournait correctement. Néanmoins il était très préoccupé par la situation économique de la ferme, très endettée. Et le moral des ouvriers saisonniers était au plus bas. Les dettes s’accumulaient et a part son ami Theo, il ne savait plus comment faire face aux banquiers et créanciers. La gestion de Sylvia, après le départ de son mari avait été catastrophique, il était temps d’y remédier. Il prenait son destin en main.

Quand ils arrivèrent à la ferme, Sylvia alla prendre une douche. Elle avait elle aussi de belles jambes, mais moins rousse que Mélodie, un corps moins pale aussi, les années de ferme lui donnaient un teint agréable et halé. Elle était totalement rasée, jambes et chatte. Xavier ne tolérait pas de poil. Des seins encore bien suspendus, mais qui tiraient quand même un peu vers le bas. Elle se malaxa les seins lentement, la pipe dans la voiture avait ouvert son appétit.

Après le déjeuner, Xavier la conduisit dans le sous-sol, ils avaient un problème de fuite et voulait son conseil. Le sous-sol de la ferme datait de la construction, vers 1800, mais certaines pièces étaient aménagées, à l’époque pour faire de la conservation alimentaire.

Theo laissa passer Sylvia dans une des petites pièces propres. La piece avait été aménagée en un donjon, avec multiples outils au mur, un chevalet, une croix. Le tout dans une ambiance tres medievale..

« Ma chérie j’ai préparé un plan pour améliorer nos finances »
« Ah bon ? « Dit Sylvia, intriguée a la vue de la mise en scene.
« Je vais devoir prendre certaines dispositions pour sauver la ferme, et j ai besoin de ton aide » répondit il
« Tu te rappelles que tu m avais toujours dit que tu aimerais essayer le BDSM ? »
« Oui » répondit- elle gênée.
« Voila il faudrait que tu te prêtes a cette mise en scène, je vais t expliquer car nous n avons pas beaucoup de temps pour se préparer.. » ..

Une heure plus tard.
Quand Mr Smith débarqua, il était près de 15h00 et Xavier l’accueillit sur le perron.
« Cher Mr. Smith «
« Mr Stern » répondit-il d’une voix lugubre.
Ils remontèrent les marches et pénétrèrent dans le petit bureau. La conversation amicale n avait duré que 1 minute Mr Smith venait chercher son dû. 45000$ à payer sous 24h, sinon la saisie de la ferme serait prononcée.
« Le temps n’est pas de votre côté Mr Stern, je suis étonné d’ailleurs de ne pas voir Sylvia »
« Oh elle est très occupée ces temps-ci et a eu un décès dans la famille »
« Je suis désole d’apprendre cela, elle est si agréable à voir » dit Smith.
Xavier avait toujours pensé que Mr Smith avait un faible pour Sylvia, peut-être même que cela datait de leur enfance, car ils étaient tous deux du même coin. Xavier soupçonnait même que Smith avait accepté autant de découvert, par l’intérêt qu’il portait à sa femme.
« J’ai une proposition à vous faire si vous le permettez ».
« Et qui est ? » Interrogea Smith
« Et bien ma femme et moi, voyez-vous nous sommes dans des clubs, des clubs un peu spéciaux »
« Spéciaux ? » répéta Smith, montrant un certain intérêt.
« Oui nous sommes des libertins, nous rencontrons d’autres couples et. Well. Nous échangeons des « services » si vous voulez » …
« Services. ? »
« Suivez-moi, je vais vous montrer tout cela ».
Xavier se leva, et Smith lui emboita le pas. Dans le sous-sol, Xavier ouvrit une autre porte et la pièce était illumine et aussi joliment décoré. Ah il avait bien bosse pendant le mois précèdent, pour tout préparer avant le retour de Sylvia. La pièce était avec des tapis, et des instruments, comme des outils sur les murs. En s’approchant, Smith reconnut des jouets, canes, et objets dont il ne connaissait pas l’usage.
« Bienvenu dans notre donjon » Dit Xavier un peu malicieusement.
« Donjon ? » répéta encore Smith, décidément ce type n’avait pas de vocabulaire.
« Oui, mais laissez-moi vous montrer le plus intéressant. Le rideau sur la gauche s escamota, et une autre pièce était attenante. Et une femme était attachée au centre, elle était sur une croix de bois, les pieds et les mains liées. Elle avait aussi un masque sur le visage, et un « mouth ball choker » dans la bouche, un bâillon avec une boule. Elle semblait bouger mais très lentement, comme si elle entendait mais ne pouvait pas réagir.
« Votre… femme ? » balbutia Smith
« Oui, vous reconnaissez ses seins n’est-ce pas ? » « Son joli ventre ? » Ses longues jambes ? »
Smith s’approcha et posa la main sur la cuisse de Sylvia.
« Elle est… magnifique… » bégaya-t-il.
« Et elle est à vous si vous le voulez »
« À moi ? »
« Si vous le voulez, et gratuitement »
« Gratuitement ? »
« Absolument, je vous demanderais juste de nous donner plus de temps pour les remboursements, vous me comprenez, n’est-ce pas ? »
« Bien entendu, bien entendu… » Sa main montait et descendait la cuisse de cette femme si palpitante et vivante, elle était chaude et sentait bon. Il bandait, sa femme était peu intéressée par le sexe désormais, il avait toujours espéré tenir dans ses mains une femme comme Sylvia.
« Nous sommes en agrément donc, vous pouvez vous servir de ces instruments ci, sinon je peux baisser avec ce palan sa position afin que cela soit plus commode pour vous.
« Mais vous êtes sûr qu’elle est d’accord »
« Tout à fait, c’est un jeu pour nous, le bâillon, le masque etc.., c’est vraiment son truc »
Alors Smith saisit une petite canne de 50cm sur le mur.
« Je peux ? »
Xavier fit oui de la tête, Sylvia commençait à remuer mais ses mouvements étaient très limités. Sa poitrine ondulait doucement, comme si elle dormait.

Quand le premier coup tomba, Xavier fut surpris de la fermeté avec laquelle Smith avait donné son premier coup de canne.

Sylvia se préparait depuis une heure, mais le coup la sortit de sa torpeur.




?
11. Sylvia paie les dettes
Elle avait une douleur atroce à la cuisse gauche, comme une brulure. En fait elle avait désormais une marque de dix centimètres à l’intérieur de la cuisse.
Le bâillon et les attaches étaient très serrés, elle pouvait juste respirer par le nez.
Quand le deuxième coup tomba, elle crut mourir sur le champ, la violence faillit l’étouffer, elle s’arcbouta sur la croix. Son autre cuisse la cuisait. La mise en scène devait etre parfaite, Mr Smith ne devait se douter de rien.

« Essayez un peu ses seins, elle adore ça » elle entendit Xavier qui parlait.
Le coup tomba sur ses deux seins, zébrant les deux à la fois, une belle marque rouge, qui lui enflamma les tétons. La douleur la traversa mais elle sentit une chaleur a l interieur de son vagin, comme si on lui versait de l huile chaude.
« Quel beau corps qui se tends sur les coups », Smith en bavait, il avait tout pouvoir sur elle. Une femme extrêmement désirable. Il avait tout pouvoir, et Sylvia l excitait de plus en plus.
« Limitons à 25 coups, car elle aime aussi beaucoup les caresses »
« Bien entendu ».
Sylvia encaissa les 22 coups de plus, ses cuisses, ses jambes, son ventre et ses seins reçurent la majorité. Smith essaya de lui mettre un coup entre les jambes, là où la chair est bien tendre, mais il était maladroit (sa femme lui répétait ça depuis des années : tu n’es pas doué avec ton outil), et la canne atterrit exactement dans la fente de sa chatte. Le coup était médiocre, mais l’impact très intense, le corps de Sylvia se souleva, faillit briser les liens, et retomba comme un sac. Elle jouit sous l impact, presque comme une déchirure.

Mr Smith la pénétrât alors, son pénis dur comme un bâton. La douleur avait reculé, mais ses grandes lèvres la faisaient un peu souffrir. D’un coup de rein, il s’installa dans la place, et commença un ramonage bien orchestré, encouragé par Xavier
« Bourrez-lui bien la chatte aussi, elle adore ça »
Après quelques minutes, quelques pincements sur ses seins meurtris, dans un râle de bête, il lâcha son sperme au plus profond du vagin de la belle rousse. Sylvia reçut comme une délivrance son sperme, arrosant son vagin et ses lèvres, meurtries par le châtiment Son vagin, dégoulinant, et ses lèvres entrouvertes, rouge à vif, ses zébrures multiples sur son corps délicieux.
« Quel plaisir ! » lâcha Smith
« Et bien je vous en prie, revenez nous voir dans une semaines Mr Smith, et nous varierons les thèmes et les positions, il lui faut un petit peu de temps, entre les séances, pour guérir ce corps meurtri. Mais je sais qu’elle a adore »
Sylvia entendit ces mots avec plaisir, le tour avait fonctionne.
Mr Smith se retira, en prenant rendez-vous pour le surlendemain.
Quand il fut parti, Xavier retourna dans le bureau, et vérifia sur les camera 2 et 3, que les enregistrements de la séance avaient bien été saisis. On y voyait clairement Mr Smith fouettant sans vergogne le corps immobilisé de Sylvia et ses ébats minables avec sa bite de banquier.
« Ce sera utile quand il faudra réellement négocier à la baisse le remboursement, Mme Smith, et son entourage a la banque seraient certainement ravis de voir comment Mr Smith passe son temps libre ». Il ricana.
Il redescendit s’occuper de Sylvia, lui retira son masque et son bâillon. Il la massa avec une huile naturelle, ses zébrures disparaitraient, ses longues jambes l excitaient à nouveau, et il la pénétra dans la même position que Smith, sa chatte remplie de sperme l excita.
« Tu as bien travaille aujourd’hui, une des dettes sur la ferme vient d’être payée »
Rapidement il lui défonça la chatte, et sitôt fini se rhabillât, content.

« Demain nous aurons la visite du semencier, il est furieux car il n’a pas été paye depuis six mois, il faudra être forte, je t’expliquerais » Dit-il lentement.
Puis il la détacha méthodiquement, et la conduisit dans sa chambre. Un repas était servi. C’était une bonne journée.

Sylvia passa la première partie de la nuit sans dormir, sauf par petits moments de dix minutes. Son corps lui faisait moins souffrir mais le coup sur ses lèvres intimes la lançait toujours. Elle avait bizarrement envie d’être encore baisée, d’être encore sur la croix et subir les coups de ces deux hommes, son vagin produisait un filet ininterrompu de jus, elle mouillait comme jamais. Elle partit à l’assaut de son clitoris et malgré la douleur parvint à un énorme orgasme. Elle s endormit profondément jusqu’ au petit matin.

Son corps se remettait lentement, après une douche chaude, de l’huile à nouveau sur ses zébrures, elle se sentait un peu mieux. Sur ses écrans, Xavier surveillait sa femme avec une certaine satisfaction, il apprécia qu’elle se rase les jambes et s épile malgré ce qu’elle venait de subir. Il se dit que d’une certaine façon, elle jouait dans son jeu. Le plus sexy elle serait et le moins difficile cela deviendrait.

Vers 16h00, le semencier vint le trouver. Un gars pas commode, il gara son truck a cote de celui de Xavier sur les graviers. Il était avec un autre homme noir plus jeune qui l’accompagnait.

« J’espère que vous avez mon argent, sinon c’est la fin de la fête » jeta t il a Xavier, les deux hommes étaient de vraies brutes, des pectoraux saillants, des gros biceps et des jambes puissantes. Xavier ne faisait pas le poids, lui non ... mais Sylvia ?
« Vous allez apprécier j’espère tous nos efforts. »

La conversation fut rapide et moins enjouée qu’avec le banquier, et Xavier en vint à la proposition commerciale.

« Voyez-vous, ma femme Sylvia que vous connaissez est dans le sous-sol à cet instant, elle est à quatre pattes, solidement tenue par des attaches. Ses jambes sont très écartées pour vous permettre un accès facile à sa chatte, sa bouche. Ses seins pendent et vous pourrez les malmener à votre guise…je pensais que cela pourrait retarder les paiements que nous vous devons… »
Le bonhomme parut surpris, il était venu en découdre avec ce mauvais payeur, mais voilà que cet imbécile lui offrait sa femme.
« Je demande à voir avant… » dit il
« Suivez-moi. »

Sitôt dans le donjon, les deux hommes entourèrent la belle Sylvia. Elle n’avait pas de bâillon cette fois-ci. Sa position ne cachait rien. La presque quarantenaire écartait largement ses cuisses, et laissait voir une fente fine, et des lèvres un peu rougies de la veille. Son corps était bien graisse d’huile, elle était très appétissante comme cela. Ses seins sans support pendaient mais gardaient une jolie forme oblongue.

« On peut lui donner quelques coups de fouet ? » questionna le deuxième homme, visiblement intéressé par cette position et les outils à disposition tout autour de la pièce.
« Ce ne sera pas possible, elle a pris cher hier. » s excusa Xavier, Sylvia soupira de bonheur à entendre ses paroles. Dans cette position, elle se sentait vulnérable et offerte.
« Nous avons un deal ? »

Les deux hommes se regardèrent, la femme à leur pied était ravissante, ils bandaient déjà très fort. Xavier était un malin, la vue de la vulve exposée et la raie de ses fesses, était un spectacle exquis qu’aucun homme bien membré refuserait.
« Oui, j’annule vos dettes de l’année dernière, mais je souhaite voir madame une fois par semaine, jusqu’à la fin de l’été »
« Deal » conclut Xavier. « Je vous laisse, prenez votre temps. » Il se retira dans le bureau, et se concentra sur ses moniteurs. L’enregistrement ne servirait à rien, ces rustres devaient se foutre totalement des vidéos, mais Xavier voulait voir à quoi Sylvia allait être exposée. Et puis on ne sait jamais, lui venir à son secours.
« Je vous en prie, ayez pitié... » Dit-elle doucement comme pour amadouer les deux lascars, mais cela faisait parti de la mise en scène.

Le jeune noir avait déjà baisse son pantalon et son slip, et il lui présenta une belle bite qu’elle prit en bouche, en maugréant. Le semencier, avait sa verge droite dressée, un engin de vingt deux centimètres. Il la doigta un peu, elle mouillait comme jamais.

« La belle pute » dit-il, en crachant sur sa chatte, mais cela n’était pas nécessaire.

Il l enfila sans attendre. Sylvia sentit ses chairs se tordre, le double de son mari ! La torpille était droite et vint buter contre la paroi du vagin, Sylvia crut s’évanouir, le jeune type ne le ménageait pas non plus. Sa bite noire allait et venait dans sa bouche, poussant de plus en plus, au risque de la suffoquer. La verge du semencier, vint presqu’en butée dans son vagin, l’impression était que sa vulve allait exploser. Le va et vient commença entre ses reins. Dans sa position, Sylvia ne pourrait rien faire que d’encaisser les bites qui se glissaient sans bruits aux deux extrémités de son corps. De cette position, son plaisir secret commença à se construire. Son vagin avait cédé et adapté à l’extraordinaire taille du torpilleur. Et ses jus intimes fluidifiaient ce mouvement. Les deux hommes changèrent de position après 10 minutes de mouvement ininterrompu. Elle était épuisée, comment pourrait-elle supporter encore plus ?

Le semencier lui saisit les deux seins et les pressa brutalement. Depuis qu’elle avait eu Mélodie, ils étaient plus mous qu’avant, et plus gros aussi. Il les malaxait de ses gros doigts d’ouvrier. Quel plaisir de se faire maltraiter comme ça ! raisonna-t-elle. Le noir avait un gland énorme et épais, et bien que Sylvia l’ait bien lubrifié, il dut forcer l’entrée de son temple secret, et sitôt dedans commença un ramonage sérieux. Elle eut un premier orgasme, vibrant de la tête au pied, et avalant presque en entier la verge du semencier.

« Elle est trop fun cette pute ! » dit le noir
« Attends on va lui ramoner le cul à Mme Stern »

Sylvia entendit ses mots, et elle n’avait guère faire de sodomie dans sa vie, seul le père de Mélodie, Hank, lui faisait faire cet exercice. Son anus n’avait plus été dilate depuis 13 ans. Elle prit un peu peur…
Le noir cracha sur le beau trou du cul de Sylvia. Il mit un doigt dedans.

« Serre, il va falloir bosser patron »
« Vas-y le jeunot, on a tout le temps qu’on veut »

Xavier fut étonné, car le cul de Sylvia était off-limit depuis toujours pour lui. Mais il était curieux de voir comment elle allait supporter la charge… Il zooma un peu sur l’écran. L’anus était déjà moins serré, et le jeune avait deux doigts à l’intérieur, il prenait des jus de sa chatte et les réinvestissait dans son cul, du beau travail. Devant le semencier tentait le face-fucking en règle, et la pauvre Sylvia faillit se décrocher la mâchoire, c’était tellement épais…
Le jeune noir appliqua son gland sur le bel anus, légèrement ouvert sur un centimetre, et força le passage.

« La dernière fois que j’ai fait ça, ma petite amie pouvait plus marcher pendant 3 jours » dit-il en riant
« Elle s’en fout, elle ne marche pas elle, elle vit dans la cave » et ils éclatèrent de rire tous les deux.

Le gland pénétra son cul devenu souple, et s engouffra dans son colon.

« Ohhhh » dit elle
« Me voilà a moitie dans la place chef »
« Du beau boulot »

Les minutes qui suivirent ne furent pas les meilleures pour Sylvia, la bite dans son cul était entrée toute entière et le jeune lui donnait de grandes claques sur les cuisses et les fesses. C’était un peu comme s’il était sur un cheval.

« ahhhhh, oohhhhhhh » Sylvia voyait les 36 chandelles
« Je vais venir dans son cul » et il lâcha de longs filets de foutre au plus profond de son cul
« Oh my god, trop bon, quelle salope ! » dit il

Quand il se retira, le spectacle était pas beau à voir, un anus semblait comme un cratère explosé et huileux, on durait un champ de guerre après 4 jours d’artillerie. Et un peu d excrément aussi sur sa bite.

« Passes devant et fais-toi bien nettoyer, ce n’est pas normal d’avoir un cul aussi sale »

Le noir passa devant Sylvia et lui mis la bite entière dans la bouche

« Lèches bien et dans tous les coins, c’est à toi tout ce qui est dessus, je te le rends »

Sylvia était écœuré mais pas le choix. La bite était là, dans sa bouche et elle s’appliqua à bien tout avaler et lécher le gland qui dégonflait.

« Hmmmm » marmonnait elle

Pendant ce temps le semencier s’était repositionné devant la chatte dégoulinante et le cul béant de la belle femme.

« Dis-moi, tu as fait un bon boulot, mais la pauvre est déchirée de partout », regardant avec régal ce magnifique arrière train, à la merci de sa méchante verge.

Il entreprit lui aussi de l enculer comme il se doit. En un coup sec, l’anus céda et il enfourna les vingt deux centimètres de sa bite dans le cul de la dame.

« Arggggggggg » gémit elle
L’enculage fut plus long que prévu, peut-être dix ou douze minutes, de souffrance pour l’une, et de de plaisir pour l’autre. A la fin, il déchargea 7 ou 8 saccades de sperme dans ce cul marron et dégoutant. Sylvia était presque inerte…

« Ohhhh…ahhh »

Je n’J’avais pas joui autant depuis longtemps » et il lui mit une grande claque sur sa fesse, laissant l’empreinte des cinq doigts.
Il conclut en se faisant nettoyer aussi la bite, mais cette fois la bite avait des bouts de merde assez gros dessus.
« Hmmmmmm » et elle lécha, et suça cette bite sans trop maugréer. Le gout était horrible, mais elle déglutit tout.

Elle était épuisée, vidée d’énergie, son cul était béant, un filet de sperme marron s’écoulait, elle sentait l’air ambiant qui la pénétrait c’était gênant et honteux. Que devaient penser ces deux hommes ? elle avait été prise comme une salope, une ordure, et en plus elle leur avait donné un orgasme. Pendant une heure ces deux hommes l’avaient maltraité à un point extrême, et en plus elle avait aimé ça…. Etait-elle devenue une grosse pute ?

Les deux hommes repartirent comme prévu. Xavier bandait comme un fou mais quand il vit le résultat de la session, il eut un haut le cœur, le cul ne se refermait toujours pas. Il la sodomiserait ce soir, mais d’abord il fallait la doucher. Une très belle journée !! il la remercia en l embrassant, mais réalisa après qu’elle avait lèche des bites pleines de merde. Il faillit vomir.

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