Histoire Erotique

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Melodie, Louisiane 1997

Mai 1997. Etat de Louisiane, USA. Mélodie est une jeune fille rousse de 18 ans qui vit à la campagne, dans une ferme de Louisiane près de Slidell. Sa vie va etre renverse quand elle part aider l ami de son pere dans son magasin.

Proposée le 11/04/2022 par amdsoo

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Thème: Femme dominée
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman


----------------------PART1

Mai 1997. Etat de Louisiane, USA.

Mélodie est une jeune fille rousse de 18 ans qui vit à la campagne, dans une ferme de Louisiane près de Slidell. Sa vie est simple, elle n’avait jamais voyage à l’étranger, se contentant de quelques camps de vacances chaque année, une vie entre ses activités dans son bourg, ses lectures et quelques amies. Mélodie est en dernière année de lycée, et s’apprêtait à partir à New Orléans dans une université l’année prochaine. Elle est pour l’instant interne a la semaine, dans une pension pour jeunes filles de Slidell, qui se situe à 100km de chez elle.

Sa mère s’était remariée lorsque Mélodie avait 5 ans, depuis elle n’avait plus revu son père. Il aurait quitté l’état et sa mère le détestant n’avait fait aucun effort pour le retrouver. Mélodie avait donc été élevé par sa mère et accessoirement son beau- père un homme plus âgé de 10 ans, Xavier. Xavier ne s’était jamais colporte comme le remplacement de son père, mais il a exercé un pouvoir constant sur Mélodie. Cet homme robuste a récupéré les rennes de la ferme, sa femme l ayant hérité des mains de son père a sa mort. Xavier est grand, plutôt costaud, des jambes courtes et puissantes, des mains de travailleur. A ses cote Sylvia sa femme, avait 38 ans et était encore une très belle femme, des longues jambes sportives, une poitrine haute et des seins en pointe, rousse elle aussi. On lui donne souvent 25+ ans et joyeusement les hommes en sa compagnie la confondaient gentiment avec sa fille Mélodie, quoique plus petite, qui possède une poitrine plus discrète que sa mère, et des cheveux roux très longs. Son visage était sain, propre et rassurant, des taches de rousseurs peignent un tableau si mignon que les garçons de son âge ne pouvaient arrêter de complimenter. Malgré tout, Mélodie même si elle a déjà embrasse des garçons n’avait jamais encore connu l’amour et le moindre contact intime avec l’un d’entre eux.

Mélodie était naïve, innocente et ne connaissait rien de la vie. Ils n’avaient pas internet dans leur ferme, même si en 1997 l’internet américain avait explosé dans les villes, il n’avait pas encore atteint la popularité nécessaire pour être reçu partout. Quand Mélodie avait démarré son année d’internat elle espérait alors pouvoir enfin découvrir la vie urbaine et bien sur toutes les tentations qui vont avec et pourquoi pas enfin rencontrer le boy-friend idéal, assumant qu’il serait charmeur, intelligent et beau. Mais Sylvia sa mère était fort stricte et la forçait à retourner chaque week-end a la ferme. Quelques fois Xavier se rendait en ville et lui économisait le trajet de bus, dans le confort de son truck.
Xavier semblait depuis l’année dernière s’intéresser de plus en plus à Mélodie, la questionnant et la regardant plus comme une nouvelle jeune femme. Des fois, elle avait surpris derrière la porte de ses parents des bruits étouffés, des cris, et sans avoir la certitude Mélodie avait bien compris que Xavier et sa mère prenaient quelques plaisirs.
Dans le village des bruits couraient que Sylvia avait été une chatte en chaleur mais que depuis qu’elle a connu son nouveau mari, elle s’était largement fait oubliée. Mélodie avait essayé d’imaginer Xavier nu et au-dessus de sa mère, mais les limites de son imagination s’étaient faites sentir, elle en était incapable, et avait relégué cela dans son esprit.

En fin Mai, Lors de l’un des dernier trajets Xavier lui avait posé la question si elle avait un boy-friend, elle avait répondu NON. Il avait apparu étonné, mais l’avait cru devant la fermeté et la spontanéité de sa réponse. Aurait-il alors eu la moindre intention à son égard ? Un après-midi sur la route, alors qu’ils revenaient vers la ferme Mélodie avait eu une envie pressante de faire ses besoins et ne pouvant attendre lui avait demandé de s’arrêter sur le bord de la route.
« Tu peux m’arrêter là ? Je dois faire pipi, je ne peux pas attendre ! »
« Oui bien sûr, attends je me gare » dit il
Alors qu’elle s’était éloigné derrière un buisson, elle n’avait pas remarque tout d’abord que Xavier s’était décalé de manière à pouvoir la voir. Quand elle s’est redresse, sa jupe encore soulevée et sa culotte entre ses cuisses, Xavier a eu pendant quelques secondes la vue sur sa jolie touffe rousse. Ce moment bizarre ou elle a ressenti comme si quelque chose n’était pas à sa place, quoiqu’après tout, elle était sa belle-fille, et lui un homme, elle s’était dit qu’elle devait avoir un certain pouvoir sur lui. Le pouvoir que les femmes belles ont sur les hommes et qu’il leur fait perdre raison.
« Ah je ne t’avais pas vu » dit-il comme pour dégeler les trois tonnes de glaces qui venaient de leur tomber dessus
Xavier et Mélodie étaient reparti en silence, une gênée mais excitée de l’incident et lui quelque peu perturbe. Elle s’est alors surprise à sentir un léger frémissement entre ses cuisses, comme si un courant d’air chaud était passe entre ses poils.

Le soir dans la pénombre de la nuit, Mélodie s’était caresse en pensant à cet homme, Xavier. Mais la présence virtuelle de sa mère a ces cotes, lui avait interdit d’avoir le moindre orgasme, elle s’était alors endormie.

En Juin, lorsque l’école a terminée et Mélodie s est retrouve à plein temps a la ferme, rangeant ses affaires et trainant a la maison. Un soir, le téléphone retentit et elle entendit sa mère se mettre à pleurer. Quand elle l interrogea, Sylvia, sa mère lui apprit que l’un de ses cousins du Connecticut s’était tue en accident de voiture le matin même. Mélodie ne le connaissait que très peu, et n éprouva de peine que pour sa mère qui semblait affectée.

Le lendemain Xavier appela Mélodie :
« Mel ! »
« Oui ? » dit elle
« Vient voir deux secondes »
Elle descendit les marches et retrouva Xavier et sa mère, sur le point de partir :
« Chérie, on va devoir te laisser, Xavier et moi allons aux funérailles de ton cousin » dit Sylvia, sa mère.
« Ah bon ? et moi je ne viens pas ?? » Dit Mélodie mais elle ne semblait pas non plus vouloir tant les rejoindre
« Non écoutes je fais un saut avec Xavier qui reviendra demain, et moi quelques jours plus tard, quand tout sera rentre dans l’ordre »
« Tu resteras avec Maria qui va dormir ici ce soir, comme ça tu ne seras pas seule » dit Xavier
« Maria ? Mais je peux rester seule pendant deux nuits ! « Râla Mélodie
« Ecoutes c’est déjà arrangé, et de toute façon c’est que pour deux nuits » ajouta Sylvia, Elle était rayonnante dans sa robe d été blanche et ne semblait pas partir pour un enterrement mais plutôt pour un mariage. Xavier la serrait par la taille, mettant en valeur sa poitrine. Ils finirent par partir en truck jusqu’ au New Orléans Airport.

Maria était une femme d’origine latine de 40 ans, elle avait fui son pays le Venezuela, il y a une dizaine d’année. Elle n’était pas très belle de visage, mais ses cheveux noirs mi long, une poitrine lourde et des fesses plutôt encombrantes, elle dégageait une aura particulière qui charmait beaucoup les hommes qui la côtoyaient.

« Mélodie ? ma belle je vais nous préparer un diner. » lui dit elle
« Ok Maria, mais je n’ai pas très faim, donc fais simple »
« On fait une belle salade qu’on se partagera »
« D’accord » dit Mélodie.

1H plus tard Mélodie était dans sa chambre quand Maria l’appela pour repas. Maria s’était changée et portait une robe courbe qui dévoilait ses jambes fines et bronzées, une chemisette bleue presque transparente dont on pouvait deviner le contour de ses seins importants au travers.
« Tu t’es mis sur ton 31 » lui dit Mélodie
« Oh merci, non pas particulièrement, pourquoi ? »
« Rien, rien, tu es ravissante Maria »
« Merci ma chérie » et elle s’approcha de Mélodie pour l’embrasser sur le front. Mélodie sentit sa poitrine entrer en contact avec la sienne et le doux parfum de Maria qui se répandit dans la pièce.
Le diner fut rapide et Maria lui offrit un verre de vin
« Un verre de vin ? mais Maria je n’ai que 16ans ! » dit Mélodie, surprise
« Allez fait pas ta diva. Bois un verre, profites en que tes parents ne sont pas là, je ne dirais rien », et elle lui tendit le verre à moitié plein. Elle attrapa quant à elle un autre verre largement plus plein et avala d’une gorgée tout son contenu. Elle se resservit un autre verre un peu plus tard.

Mélodie accepta et sirota le verre de Chardonnay bien glace, instantanément, elle sentit une chaleur la gagner. Quel bonheur !
« C’est délicieux ! » sentant l’ivresse la prendre…
Maria la resservit à nouveau, la salade se mangea rapidement et un autre verre se vida. Mélodie sentit ses jambes se dérober sous son poids.
« Je me sens bien mais un peu ivre » dit-elle.
Elle préféra s’allonger sur le canapé et s endormit presque immédiatement. Il n’était que 20H et il faisait encore jour dehors, en cette magnifique soirée de début d’été.

----------------------PART2
« Tu crois qu’elle dort ? » chuchotait quelqu’un a cote d’elle …
« Je pense elle a beaucoup bu. » l’autre voix répondit
« Viens dans la chambre, laissons-l ’ici » conclu enfin la personne

Mélodie rêvait.

« Ohhhh» quelqu’un soupirait dans la pièce d’a cote… Mélodie ouvrit un œil, sa tête tournait toujours et un rapide regards vers la pendule lui indique 22h. Elle avait dormi presque deux heures. Elle se leva et sans bruit se dirigea vers le bureau de son père, attenant au salon.

Mélodie passa la tete lentement dans l entrebaillement de la porte et vit deux personnes . Maria était agenouille devant un homme qui lui était debout et lui faisait face. Ses jambes étaient écartées et Maria avait sa bouche entièrement autour d’un énorme pénis. Mélodie n’avait jamais vu en vrai le pénis d’un vrai homme, a part en photo dans certains magazines. D ou elle observait, Maria ne pouvait pas la voir, elle allait et venait avec ses lèvres fermée le long du pénis massif de l’homme. Elle sembla à Mélodie que le pénis de l’homme grossissait encore. Elle vit aussi les bourses que Marie manipulait avec aisance et expertise. Ce n’était pas la première fois que Maria était avec un homme, elle savait où et comment toucher un corps masculin.

Mélodie passa une main dans son slip, et constata que la scène lui faisait des effets qu’elle n’avait jamais connus auparavant. L’humidité de son sexe, et la moiteur de ses jeunes poils en témoignaient. Elle passa un doigt dans sa vulve et il ressortit mouille… humm gémit elle.

Elle aussi voulait ce pénis si beau, si gorge de plaisir dans sa bouche.. elle se demanda quel gout cela pouvait avoir.. Cela la répugnait par moment, et l excitait à un autre.

Maria arreta de le sucer quelques instants.
« Oh chéri tu es en train de lâcher ton liquide précieux !, tu veux jouir ? mais attends-moi aussi je veux que tu me prennes » dit Maria
« Ecarte tes jambes et montre moi ta chatte » lui dit l homme, il était grand, et muscle, plus jeune que Maria largement, il était noir et Mélodie ne pouvait voir que son dos et une partie de son flanc.
Maria se releva et s’appuya en arrière sur le bureau de son père, poussant quelques papiers administratifs.
En écartant les jambes au maximum, Mélodie vit le sexe de Maria s’ouvrir complétement. Elle était rasée mais avait gardé une bande de poil tout autour de ses lèvres, ouvertes et mouilles, L’homme s agenouilla et mit sa langue sans sa vulve et se mit à lécher de bas en haut la chatte de Marie qui se mit à gémir doucement…

Mélodie sentait que Maria aussi voulait jouir. Elle n’avait jamais vu de sexe de femme autre que le sien et celui de sa mère, mais jamais dans cet état-là. Il semblait que sa vulve avait doublé de volume, que ses lèvres étaient une véritable bouche et une usine a liquide… Quand elle se regardait dans un miroir, les jambes très écartes, elle ne voyait qu’un tout petit trou, des petites lèvres. Comment ce pénis si monstrueux pourrait-il entrer dans son vagin à elle ? En regardant Maria elle se dit qu’elle n’avait pas le même corps après tout, Maria était Latina, habitue des pénis d’hommes plus importants.

L’homme se releva, manipula son pénis d’avant en arrière comme pour l’aiguiser, et l’amena au bord de la chatte mouille de Maria. Puis d’un coup sec il la pénétra a moitie.
« Oh oh » dit Maria
« Je vais te défoncer la chatte »
Il continua d’appuyer son sexe et il pénétra entièrement dans le vagin de Maria, Mélodie faillit intervenir tant elle crut que Maria souffrait… Puis les deux corps se mirent à se mouvoir en cadence, les jambes de Maria maintenant par-dessus les épaules de l’homme, et son sexe dur comme une lame, entrant et sortant jusqu’ au gland, pour repartir à nouveau dans un gémissement commun… l’homme était en plein contrôle maintenant, et la chatte de Maria devait subir des assauts terribles. Mélodie se demanda comment cela était possible. Mais sa vulve s’était encore distendue encore plus et le pénis rentrait dans ses chairs sans aucun problème.

« Oh je vais venir dans ta chatte » dit il
« Non attends je te veux dans ma bouche » dit Marie, elle se désengagea du pénis, et Mélodie put voir que sa chatte s’était ouverte encore plus, béante, et qu’un peu de liquide blanchâtre coulait dans la direction de son anus.
Elle tomba alors à genoux à nouveau. Elle prit le sexe trempe de plaisir et proche de l’explosion et l engouffra dans sa bouche, suçant d arrière en avant et pompant de ses deux mains, la verge de l’homme en pleine jouissance. L’homme eut un sursaut et se mit à râler comme un animal. Maria sortit le gland de sa bouche et gardant entre ouvertes ses lèvres, continua à pomper l’homme de ses deux mains. Le sexe se tendit alors et une longue giclée de sperme vint inonder son visage et entra partiellement dans sa bouche. Mélodie crut que c’était terminé mais l’homme s’y reprit à nouveau et une nouvelle giclée atterrit au fond de la gorge de Maria qui s étouffa un peu surprise, mais qui avala sans conditions. Puis une autre vint, et une quatrième moins importante mais épaisse. Au bout de six giclées, la bouche de Maria était pleine, son visage constelle de sperme qui avait aussi atteint ses sourcils. Marie suça goulument le gland de l’homme pour le nettoyer complétement. Enfin d’un coup elle avala l’équivalent d’une tasse a café du liquide sirupeux et blanchâtre.

La scène avait duré 30 minutes, mais pour Mélodie cela avait semblé être une minute, néanmoins des fourmis dans ses membres lui rappelèrent que cela avait être probablement plus long.
Mélodie comprit qu’il fallait mieux qu’elle retourne faire semblant de dormir. Rapidement elle retourna dans le salon et se remit en position de dormir.

Au bout de 20 minutes, le couple revint dans le salon, habilles et toujours discrets, Mélodie avait les yeux fermes et ne pouvait plus s’échapper. Se réveiller maintenant aurait alors surpris Maria avec cet homme, qui de plus noir, chez son patron. Des explications auraient été nécessaires et Mélodie ne voulait pas entrer dans ce débat. Elle avait vu de ses yeux, et cela lui suffisait pour l’instant

« Elle dort toujours » dit Maria
« Elle est belle » dit l’homme en s’approchant.
« Oui, elle a un corps de femme maintenant » dit Maria
« Tu crois qu’elle aime les hommes noirs, son père est si raciste ? «
« Les femmes blanches aiment les hommes bien membres, mais elle ne le sait probablement pas encore » dit Maria.

Maria s’approcha à son tour et Mélodie sentit que le sofa s’enfonçait légèrement au niveau de ses jambes, qui reposaient allonges. Elle sentit la main de Maria sur ses jambes nues.
« Elle a une peau de bébé, si douce, tiens touches si tu veux, ne t’inquiète pas, elle dort »
« Tu crois ? elle ne va se réveiller ? » chuchota l’homme
« Non ! « Elle dort profondément. L’alcool.

L’homme était à quelques centimètres de Mélodie, il tendit la main vers sa jambe replie et caressa sa peau. Elle était comme de le soie, jeune et pale, avec des taches de rousseurs à l’intérieur de ses cuisses.

Mélodie sentit la main légèrement calleuse de l’homme montant et descendant le long de sa jambe, c’était comme si elle buvait du miel, c’était délicieux. Elle sentit son vagin se remplir de liquide.
« Tu veux voir quelque chose ? » dit Maria
« Oui quoi »
« Tiens regardes » dit marie, au même moment elle passa deux doigt dans les élastiques de son slip et tira vers le bas lentement. Mélodie sentit sa culotte descendre et les poils de son pubis être de plus en plus à découvert. Elle entrouvrit les yeux dans la pénombre de la nuit qui été tombe maintenant. Elle vit le visage épais de l’homme, rude et beau. De l’a ou il était, il avait une vue plongeante sur son sexe, bien replie et enfouie dans ses poils roux.
« Quelle merveille » dit-il
« Tiens touches là. » dit Maria, elle écarta légèrement les poils de sa chatte et mis en plein vue le petit clitoris de la jeune fille.
L’homme passa son doigt et le fit rouler sur l’organe du plaisir. Il serra entre ses deux doigts et pressa un peu plus. Mélodie crut qu’elle allait exploser. Les deux doigts fouillaient maintenant avec discrétion dans les recoins les plus caches de son corps. Mélodie sentit sa vulve s’ouvrir elle aussi, comme une fleur au petit matin. Du liquide se mit à perler au bords de son vagin, comme la rosée. L’homme pénétra son vagin avec son doigt, puis elle l entendit le ressortir pour le sucer comme une glace a la rose.
« Humm, elle a bon gout, tiens goutes toi aussi » dit il
Mélodie sentit alors un doigt plus fin, un doigt de femme, experte, la pénétrer à son tour. Elle n’en croyait pas ses sens.
Mélodie ouvrit ses yeux en grand, tombant nez à nez dans les yeux noirs de l’homme...

----------------------PART3
L’homme eut un sursaut quand Mélodie ouvrit les yeux.
« Oh ! tu n’es pas endormi » dit maria
« Ben… » répondit Mélodie, qui regardait la main de l’homme qui était toujours entre ses cuisses….
« Tu ne vas rien dire, tu comprends Mélodie. » ajouta Maria
« Tu n’as rien vu, rien entendu sinon Matt aura des ennuis, » dit Maria en regardant l’homme à sa gauche. Matt avait toujours sa main dans la culotte de Mélodie, même s il semblait terrorise, il était comme paralysé par ce sexe si jeune et tendu vers lui.
« Je ne dirais rien, mais j’aurais aimé quelque chose » dit Mélodie
« Quoi ? »
« J’aurais aimé… qu’il continue… » dit-elle, puis elle se redressa et écarta ses jambes, d’abord prudemment, puis plus largement. Ses poils roux luisaient dans la lumière faible du salon.
« Tu veux que Matt… ? »
« Oui, qu’il continue avec ses doigts ». dit-elle nerveuse. La jeune fille succombait à ses sens, plus sure d’elle-même, à la merci de cet homme, cet étranger noir de surcroit, dont elle voulait tant y être soumise, Sa mère la tuerait si elle apprenait.

Matt acquiesça alors, et s’approcha de Mélodie encore plus. Il posa ses deux mains sur le corps brulant de la jeune fille. Sa robe légère était remontée jusqu’ a ses anches. La vue de ses jambes magnifiques, sa petite chatte entre ouverte par le passage du doigt épais de Matt puis de Maria, firent que Matt eut une large érection. La toile de son pantalon se tendit. Maria avança et commença à remonter sa robe par-dessus ses épaules. Mélodie leva ses bras et laissa la robe lui échapper. Elle était nue, presque entièrement devant ce couple, en soutien-gorge, les jambes écartées, et devant un homme puissant et en érection. Maria entrepris de lui dégrafer son soutien-gorge, dévoilant d un coup sec, les deux seins, petits, fermes et fiers. Ses tentons étaient tendus, Matt les attrapa dans ses dents et les fit rouler. Quel plaisir que de toucher ce corps propre, jeune et beau. Chaque cm carre de la peau de Mélodie émettait des ondes de plaisirs, pour elle, et aussi pour tous ceux qui s’en approchait.

Maria passa sa main entre ses cuisses et commença à caresser Mélodie avec le plat de sa main. Le frottement lançait des boules d’électricité dans le corps de Mélodie. Matt embrassa tendrement Mélodie, qui ouvrit ses lèvres pour recevoir la langue puissante de l’homme, Il sentait la sueur, et le sexe, il sentait la chatte de Maria, mais peu importe, elle était enivrée par ces odeurs nouvelles.
« Attends, tu vas gouter son membre » dit Maria. Elle dégrafa la ceinture de Matt, et laisse tomber le pantalon à ses pieds.
« Oh » dit Mélodie qui ne pouvait détacher ses yeux du gonflement sous le slip de l’homme. Il s’était redresse et les deux femmes étaient à ses pieds. Maria, baissa alors le slip et extirpa le long membre encore endormi de l’activité sexuelle précédente. Mais qui se réveillait.
« Tu as pris un sexe d homme dans ta main ? » demande Maria à Mélodie
« Non » avoua Mélodie
« Regarde, fais comme ça ». Elle prit le membre a pleine main, et serra juste ce qu’il faut pour exercer une pression sans faire mal non plus
« Descends lentement et remonte le long du membre, puis redescend jusqu’ a que tes doigts touche la base du pénis » dit-elle en s exécutant

Mélodie était charmée, elle prit le membre, maintenant plus dur et dresse devant elle, et entreprit de suivre les conseils de Maria, Monte, descend, monte, descend. Le gland s’ouvrait légèrement quand elle descendait, et Mélodie crut voir une goutte se former à son extrémité.
« Tu vois, il est content » dit Maria, en souriant.
« Je peux le… mettre dans ma bouche ? » demanda Mélodie
« C’est même recommandé » ria t elle
Mélodie se redressa sur le sofa, offrant une vue imprenable à Matt sur ses seins, tendus et dont les tetons étaient devenus dur comme de la pierre. Elle approcha ses lèvres mi ouvertes et gouta le gland mouille du bout de sa langue.
« C’est bon « dit-elle. Cela sentait aussi une odeur féminine qui était mêlée à une odeur plus forte, il n’avait pas dû prendre de douche après avoir pénètre Maria.
Puis elle ouvrit plus largement ses lèvres et prit le gland en entier dans sa petite bouche d’adolescente. Matt soupira et attrapa les cheveux roux de Mélodie qu’il se mit à caresser. Humm. Humm.
Mélodie avait vu dans la bureau les gestes de Maria, elle prit les bourses remontées de Matt et entreprit de les masser. Maria était surprise
« Oh, tu m’as vu faire, petite salope » dit-elle, lâchant une injure amicale a l’encontre de la jeune fille.
« Humm » acquiesça Mélodie qui avait la bouche pleine du sexe, maintenant en érection totale.
« Fais tourner ta langue autour du gland » dit Maria.
« Nettoies bien sa queue, il était dans ma chatte il n’y a pas si longtemps après tout » ajouta t elle
« Humm « fit Matt
« Humm « fit Mélodie qui allait un peu plus vite à monter et descendre profondément le long du membre trapu. Le sexe de l’homme était maintenant parfaitement propre, la petite langue de Mélodie était passée dans tous les recoins de son gros gland.

Malgré ses essais, Mélodie ne parvenait pas à prendre tout le sexe dans sa bouche. Elle s étouffait à la moitie quand celui-ci touchait le fond de sa gorge, provoquant même des convulsions, à la limite de vomir.
« Ne vas pas trop loin, pour le prendre totalement, tu dois travailler, il a un sexe de 23 cm, c’est une taille importante » dit Maria
Maria poussa gentiment Mélodie en arrière, et pris aussi le pénis de Matt. Elle le mit dans sa bouche et inclina sa tête vers l’arrière.

Matt commença à pousser son sexe à l’intérieur de la bouche de Maria, a moitie, puis les trois quarts. Mélodie, était effare de voir les 23cm lentement s’enfoncer dans la gorge de Maria. Cela devait être douloureux mais Matt semblait apprécier car il accélérait son mouvement maintenant, enfonçant et retirant son sexe de sa gorge. Maria sentit le gland pénétrer au plus profond d’elle, ce moment difficile mais tellement haletant pour la femme qui tient le sexe de son amant a sa merci.
« Tiens ré essaie » dit Maria, en délogeant le pénis de sa gorge, Le gland était tuméfié, rouge de sang, près à exploser
« Quel pénis magnifique « dit Mélodie
« Oui et il est encore meilleur quand il te pénètrera ta petite chatte rousse tu verras » dit Maria

Avant que Mélodie le reprenne en bouche, Maria lui demande d’ouvrir grand sa bouche. Mélodie ouvrit en grand et Maria lui déversa au fond de sa gorge une salive très épaisse, un mélange de sperme et de salive plus exactement.
« Cela l’aidera à lubrifier ta gorge ? » dit Maria.
Matt fit de même et s’approcha du visage enfantin de Mélodie, lui prit la bouche toujours ouverte et laisser glisser un énorme crachat dans la gorge de mélodie. Mélodie crut s étouffer mais fit rouler sur sa langue le liquide pour en garder tous les bénéfices lubrificateurs. Matt se remit en place et prit son pénis d’une main et de l’autre il tenait la nuque de Mélodie, Le pénis entra plus facilement dans sa petite bouche, et a moitie, elle sentit qu’il touchait les parois du fond de sa gorge, elle inclina la tête comme Maria l’avait fait, améliorant l’angle de pénétration et offrant une possibilité d’aller plus loin. Matt mit ses deux mains derrière la tête de Mélodie et poussa un peu. L’énorme gland avança d’un cm, puis de deux. L’impression était incroyable, la bite de ce noir rentrait au trois quart dans la bouche de la jeune fille. Il poussa encore sur 2 cm puis se retira de 5cm, et s enfonça encore.

Maria s’était allongé sur le sofa, et avait passé la tête entre les cuisses de Mélodie. L’odeur de Mélodie était merveilleuse, elle sentait la forêt, la rivière, la pureté de n’avoir jamais eu de rapports sexuels, tout était neuf là-dedans, et ne demanderait qu’à être utilise.

Mélodie sentit la langue de Maria prendre son clitoris dans ses dents, ses sucs internes se mettaient en mouvement, lâchant dans la bouche de Maria, des perles de bonheurs, que Maria gobait a son grand délice.

Le sexe de Matt reprenait sa route, avec plus de facilite maintenant, émettant un jus lubrificateur en permanence, le corps humain dans toute son évolution savait s’adapter, il voulait essayer de la lui mettre entièrement mais réalisa que la jeune fille n’était pas prête. Mélodie faillit s’évanouir, de mal, de plaisir, elle se sentait entièrement possédé par ce couple qui lui donnait un plaisir jamais imagine.

Maria continuait à lécher la jeune chatte qui s’ouvrait sur 2 cm, elle vit le début de son orifice, il était si petit. Elle introduit un doigt puis deux, c’était serre à l’intérieur, Elle les ressortit et les chairs se refermèrent presque aussitôt. La vigueur de son orifice, la tension des muscles à cet endroit était extraordinaire. Une guillotine a bite pensa Maria. Les hommes auraient tant de plaisir à y pénétrer, à leur risques et périls !

Mélodie sentit une raideur dans le mouvement de Matt, et puis un jet de liquide brulant vint se plaquer au fond de son palais, Elle fut surprise et toujours le membre en bouche n eut aucune autre possibilité que d’avaler dans un gros gargouillis de sperme, L’homme continua à éjecter des cordes épaisses de sperme au fond de la gorge de Mélodie, Au même instant, elle sentit une décharge électrique naitre entre ses cuisses, la parcourir et eut son premier orgasme. Elle déglutit d’un coup pour vider sa bouche et retomba en arrière, épuisée et tremblante.


----------------------PART4
Trois jours plus tard, Mélodie était toujours sous le charme de cette nuit extraordinaire quand elle entendit la voiture de son père adoptif. Elle n’avait pas revu Matt, et Maria et elle avait longuement discute de son « expérience », Maria semblait effraye que Xavier puisse découvrir ce qu’y s’était passe. Mélodie avait juré bien sûr qu’elle ne dirait rien à son père. Elle vint à la rencontre de son père et il lui raconta les funérailles et l informa que sa mère resterait une semaine chez ses cousins. Son père semblait de bonne humeur et lui dit que le soir même il aurait son ami Theo pour diner, il demanda à Maria de préparer le repas. Maria partit en ville faire des courses avec Mélodie.
Alors qu’elles traversaient la propriété de près de 500 hectares, Maria indiqua à Mélodie la petite route sur la droite
« C’est par là que Matt habite » dit elle
« Il habite au camp des ouvriers » rajouta-t-elle.
Ce type d’exploitation de coton nécessitait un grand nombre d’ouvriers à l’année mais beaucoup étaient temporaires et restaient sur la propriété directement seulement 4 ou 5 mois. Les ouvriers permanents vivaient dans la petite ville a 15km.
Mélodie sentit son sexe avoir une petite convulsion a l’idée qu’a moins de 2km, Matt était là, et peut être qu’il aimerait la revoir à nouveau.
« Tu crois que je pourrais revoir Matt ? » demanda t elle
« Non, c’est dangereux, si ton père l apprends il le chassera, et il te punira, et moi aussi ».
Son sourire s estompa et elle tenta d’oublier ce membre noir et luisant qu’elle aimerait à nouveau toucher.

Vers 17h, Theo arriva en camionnette, il était accompagné de son neveu, Gérard, un garçon de 20ans, avec un visage horrible et boutonneux. Il était grand comme son oncle, et portait un jean assez sale, et une chemisette a carreau. Mélodie connaissait vaguement Theo, un ami d’enfance de Xavier que sa mère détestait, et qui n’habitait pas dans la région. Mélodie était étonné de le voir, et Xavier lui indiqua que les deux resteraient dormir, pour éviter de conduire en état d’ivresse. Comme toujours elle verrait son père boire jusqu’ à être totalement ivre. En temps normal, sa mère le prenait en charge, et elle savait que Xavier pouvait devenir méchant sous ivresse.
Vers 19h, Mélodie passa une robe légère, la chaleur en Juin commençait à arriver, et cela empirerait jusqu’à un niveau insupportable en Juillet et Aout. Elle retrouva les hommes, Xavier, Theo et Gérard qui étaient sous le porche et buvaient des bières fraiches. Maria faisait le service et allait de la cuisine a la dining-room pour dresser la table. Mélodie offrit de l’aider mais Maria lui indiqua que son père la réclamait sous le porche.
Le porche était très grand, avec des chaises confortables, Xavier la complimenta sur le choix de sa robe. Il regarda Theo et lui sourit. La nuit tombait lentement, Mélodie s’assit et prit une limonade. Gérard buvait des bières sans interruption et ne pouvait enlever ses yeux de la vue de Mélodie. La dernière fois qu’il avait vu Mélodie c’était il y a 4 ans, elle avait 14 ans et n’avait même pas de seins. Theo et Xavier racontaient leurs histoires de pèche, et plaisantaient
« alors Gérard la petite Mélodie elle est devenue bien jolie tu trouves pas ? » lâcha Theo
« Heu oui « dit-il sans pouvoir lâcher son regard des jambes nues de Mélodie.
« Ah ah ah »
Ils se mirent à rire de bon cœur. Mélodie se sentit gênée, Gérard était vraiment moche
La conversation reprit et Mélodie entendit que son père devait de l’argent à Theo, une dette contractée il y a maintenant 2 ans. Après 4 ou 5 bières, les hommes étaient passablement ivres, et proposèrent de passer à table.
Maria servit les plats aux trois hommes puis Mélodie et enfin elle-même. Mélodie ne rêvait que d’aller se coucher, et trouvait les conversations des deux amis, plus que barbantes.
Le vin coula aussi pas mal pendant le repas. Theo complimenta Marie sur sa beauté sud-américaine. Theo était plus âgé que Xavier, dans les 50 ans passes. Gérard ne disait rien mais semblait aussi intéressé par le corsage de Maria. Quand le repas fut terminé, Theo semblait de mauvaise humeur car Xavier lui annonça qu’il ne pourrait pas le rembourser tout de suite, la saison semblait bonne mais les ventes ne se feraient qu’en septembre, il demanda à son ami de patienter.
Tout le monde regagna le porche ou la chaleur était plus agréable, une brise de terre passait sous le patio et donnait l’impression de fraicheur relative. Mélodie indiqua qu’elle se retirait dans sa chambre.
« Tu ne veux pas rester avec nous Darling ? » demande Xavier
« Non merci je suis fatiguée » je vais me coucher.
Son père la força à venir sur ses genoux pour l’embrasser. Mélodie trouvait toujours puéril qu’il tienne autant ce rituel alors qu’elle avait maintenant 18 ans. Elle s’exécuta et prit place sur les genoux de son père.
« Si tu veux que je patiente, je vais te demander un acompte Xavier » dit Theo sérieusement
« Un acompte ? »
« Oui « et il se mit à regarder Maria qui débouchait la 4eme bouteille de Chardonnay, bien glace.
« Quel genre ? je t’ai dit que je n’ai pas de liquidité, qu’est-ce que je pourrais faire pour te faire patienter » dit Xavier
« Tu sais que j’ai un commerce à la ville, je cherche qqn pour m’aider, ta belle fille Mélodie présente très bien, elle pourrait travailler pour mon affaire »
« Ma fille ? hmm »
« Oui je la logerais, disons 4 semaines, ça irait ? « Dit Theo
« Je ne sais pas si je veux faire ça » dit poliment Mélodie, totalement surprise de l’offre de Theo.
Son père avait mis sa main sur sa cuisse et la caressait gentiment.
« Mélodie c’est juste pour qqn semaines, et comme ça tu serais en ville, tu as toujours rêve d’être en ville, Gérard te fera rencontrer ses amis, a 18 ans, ça peut être sympa d’aller en Ville »
« Non je ne veux pas et puis Maman en pense quoi »
« Je parlerais à ta mère demain et puis on décidera, de toute façon Theo ne part que demain midi. «
Mélodie n’appréciait pas du tout cette offre car elle allait devoir subir Gérard et sa clique pendant 4 semaines, déjà qu’au bout de deux heures cela semblait interminable. Elle s’excusa une dernière fois et regagna sa chambre, en colère.

----------------------PART5
Les hommes continuèrent à boire.
Maria essaya aussi de s’échapper discrètement, mais Xavier la saisit par le bras.
« Mais tu vas ou princesse » dit Xavier
« Il est tard et je suis un peu lasse » dit-elle, voyant bien que son patron insistait.
« Restes un peu » Xavier la pris par la taille
« Non Patron il se fait tard »
« Tu n’as pas oublié que tu es en situation illégale aux USA n est ce pas » ajouta Xavier.
« Comment ?? »
« Oui tu sais que tu n’as pas de carte de séjour, tu veux être déporté dans ton pays ? »
«. Non. » trembla Maria
« Alors assis toi la, entre Theo et moi, sois gentille «
Maria comprit la situation, les hommes ivres, et le risque que cet homme immonde la denonce au service d immigration . Elle s assit sur le bord du canape, Aussitôt la main de Theo lui toucha le décolleté de sa robe. Xavier mit sa main sur sa cuisse, et remonta vers l interieur de ses cuisses.
« non messieurs, .. je vous en prie… »
« allons une petit gaterie et tu pourras t en aller » dit Xavier
« mais… » et sous la pression de Theo, elle n’eut pas d autres choix que de s enfoncer sur l arriere du canape. Xavier remonta sa robe sur le haut de ses cuisses. Maria comprit qu’ il valait mieux faire au plus vite, des hommes souls ne pourraient pas l ennuyer trop longtemps.
Xavier l embrassa et melangea sa langue avec la sienne, elle tenta de l empecher car cela la dégoutait d avoir cette langue alcolisee dans sa bouche mais il exerca une pression sur sa nuque et elle dut le laisser prendre possession de sa cavité buccale .
Theo, lui caressait ses seins, elle n avait pas de soutien gorge car sa robe était assez etroite .
« la salope a pas de soutif » dit Theo. Gérard avait les yeux fixés sur la poitrine de Maria que son oncle caressait maintenant plus énergiquement.
Xavier effleura la culotte en coton de Maria,
« Qu’est qu’il y a là-dedans hein »
Il passa son index entre l élastique du slip et la peau et constata que Maria était bien rasée. Malgre son écœurement, Maria sentit une vague salee et humide descendre dans son canal vaginal, et laissa le doigt tester son humidite intime. Xavier fit remonter son index jusqu'a son clitoris et le resortit tout humide, il le sentit et souria
« il semble que tu n es pas si farouche »
« Je vous en prie, je vais vous sucer tout les deux, mais c’est tout, vous me le jurez ? » suggéra t elle
« Très bonne idée » dit Theo, et il ouvrit sa ceinture. Xavier se redressa et se mit devant elle.
« Déboutonnes toi-même » dit-il, le ton plus autoritaire
Maria s exécuta, et defit la ceinture de cuir de Xavier, puis baissa le pantalon. Devant elle, elle vit le gonflement du sexe de Xavier, il était bien membre. Theo defit les bretelles de sa robe et, Maria laissa tomber sa robe a ses pieds. Elle était presque nue, et ses seins lourds pointaient en direction des deux hommes. Elle sortit le penis endormi de Xavier et commença a le caresser, les testicules étaient tendues, et il était tres poilu. Cela ne la dérangeait pas, dans sa vie, elle avait eu toute sorte d amant, elle espérait s’en sortir avec une branlette et il ne l embêterait plus. Theo, c’était aussi mis debout et Maria resta assise sur le bord du canapé. Gérard ne bougeait plus mais sa main était passée dans son pantalon et il se caressait a la vue de la plantureuse vénézuélienne. Theo sortit un sexe plus court mais épais. Il suait et dégageait une odeur forte presque écœurante. Maria prit les deux sexes dans ses mains et commença a les branler lentement. Xavier était bien dur et son sexe était érigé comme un bâton. Du pre-sperme coulait un peu à l’extrémité, Theo était reste assez mou et se plaignit auprès de son ami
« Dis-moi ce n’est pas une bonne salope ça, elle est pas capable de me faire bander ! » dit il
« Salope, tu fais bander mon ami si non tu vas recevoir une correction », et il lui pinça le teton droit tres fort. Maria fut surprise et lâcha la sexe de Xavier pour se toucher son teton endolori.
« aiiiiiiie , vous me faites mal ! »
« tais toi connasse » dit Xavier en la giflant modérément. Maria eut une larme qui roula sur sa joue rougie.
Maria comprit qu’ il valait mieux que tout se passe bien. Elle continua à branler Theo et passa son autre main sous ses bourses, massant et branlant à la fois, le membre de Theo qui doucement se mit à se dresser. Elle mit un doigt dans son anus, elle savait que les hommes ne résistaient pas à cette astuce qu’elle avait pris d’une amie qui était Escort à Caracas. Son sexe se raidit instantanément.
« Ah tu vois quand tu veux » dit il
Xavier avait entrepris de lui masser les seins, en les caressant mais aussi en les pinçant légèrement. Maria constata que son flot de jus vaginal avait continué a mouiller sa culotte. Xavier passa sa main dans son entrejambe et tira sur la culotte vers le bas, libérant la chatte trempée et luisante de Maria. Il lui retira la culotte et la porta a son nez, reniflant son odeur intime.
« Dis-moi tu sens comme la marée ah ah «
Maria était donc nue maintenant, a la merci des deux hommes, et de Gérard qui n en ratait pas une miette.
« Viens la fiston » lui dit son oncle.
Gérard fit les 4 pas qui le séparait de Maria. Son pantalon sur les talons, il exhibait un sexe jeune, et épais. Maria remarqua qu’ il n’était pas circoncis, elle préférait les hommes circoncis car plus propre elle pensa rapidement.
Gérard s’approcha, et lui palpa le sein droit, il lui fit un peu mal mais il ne connaissait pas le corps des femmes et Maria était occupe avec des deux mains. Theo, lui présenta sa bite devant sa bouche et lui demanda d’ouvrir la bouche. Maria leva les yeux vers lui et accepta. Elle prit le sexe épais et desormais rigide entre ses lèvres. Il avait une odeur forte, elle ferma les yeux et passa sa langue sur le gros gland de l homme de 50ans.
Gérard lui caressait toujours les cuisses et sa chatte, en lui pinçant le clitoris par moment. Xavier la poussa sur le canapé, alors que Theo venait lui aussi de s’asseoir. Maria se pencha pour reconnecter ses lèvres à sa bite, tendue comme un arc. En se tournant, elle offrit une vue intéressante sur sa chatte légèrement entre-ouverte sous l’action des doigts de Xavier.
Xavier et Gérard s’empressèrent de lui toucher ses fesses volumineuses. Elle eut un frisson, mais se calma, la marée l’emportait, et son désir petit à petit prenait le pas sur sa raison et son dégout. Xavier enleva son pantalon, et approcha sa verge de son orifice maintenant, Maria écarta les lèvres de son vagin, pour faciliter la pénétration. En un coup sec Xavier s enfonça facilement dans le trou glissant et mature.
« Ça rentre bien, ta chatte est bien mouillée ma belle »
Theo avait toujours sa bite dans la bouche de Maria, il entama un mouvement de vas et viens, clairement démontrant sa volonté de la pénétrer plus profondément. Les deux hommes entrèrent en une sorte de ballet, une bite lui pourfendant la chatte, et une autre qui entrait de plus en plus dans sa gorge. Maria n’avait plus peur de ces deux hommes, elle transpirait et mouillait de tous les trous. La cadence s’accéléra, les hommes étaient souls et ne resteraient pas longtemps à ce rythme, elle sentit qu’ils s excitaient. Gérard lui malmenait les seins maintenant, elle ne pouvait pas lui dire d’arrêter car c’était comme s’il essayait de la traire. Ses tetons la brulaient, et il les pinçait régulièrement.
Xavier vient le premier, il la pénétra très profondément, elle le sentit toucher la paroi du vagin, à l’entrée du cervex, un jus épais se répandit en elle, il ressortit sa bite et la renfonça trois fois, a chaque reprise émettant un jet de liquide chaud. Elle se senti remplie. Theo proposa de changer de position.
« Moi aussi je veux ta chatte »
Il se leva et remplaça Xavier a l’autre bout du canapé. Il lui caressa les jambes tout d’abord, les écarta pour avoir une vue totale sur sa vulve trempée et ouverte, et introduisit sa bite dans la chatte brulante de Maria. Maria sentit le membre plus épais lui écarter les parois de son vagin. Avec le sperme de Xavier, cette bite glissait sans effort. Gérard lui présenta la sienne, et Maria la prit entre ses lèvres. Elle poussa sur la peau du prépuce, et commença à lui mordiller le gland. Theo avait pris son allure et lui laminait la chatte, entrant et sortant de son sexe mouille. Sa vulve était dilatée par les deux pénétrations, elle se sentait nue encore plus, sans protection. Gérard lui força la bite au fond de sa gorge, et Maria faillit vomir. Puis se reprenant, elle s’efforça de le faire entrer plus profond dans sa gorge.
« Attendez » dit-elle, en se dégageant à la fois de Theo et de Gérard.
Elle mit la main dans son vagin, et en sortit un jus opaque et abondant. Elle s’enfonça la main dans sa gorge pour lubrifier le conduit. Puis elle se mit à quatre pate sur le canapé, Theo la pénétra violement par derrière et Gérard lui enfila son sexe au fond de la gorge, en poussant par à-coups. Elle inclina la tête et le gland passa le bout de sa gorge, pour descendre dans le canal de la trachée. Elle ne pouvait plus respirer mais continua à le faire descendre encore plus profond. Gérard n’avait jamais pris une femme mature de cette façon, la plupart des filles de son âge, soit refusait la fellation, soit ne suçaient que brièvement et toujours sans passion. Il sentit son foutre arriver, et s’enfonça une fois encore, calant son gland a l entre de la trachée. Puis son foutre déferla dans le conduit, inondant Maria, en la suffocant. Maria avala d’une traite le sperme, puis une seconde fois, et une troisième fois, à chaque fois Maria déglutissait pour ne pas s’étouffer. Il se retira lentement et elle put respirer. Theo la bourrait de coup de bélier dans la chatte. Elle entreprit de bien nettoyer le gland de Gérard, de peur que les hommes ne la punissent. Puis Theo vint à son tour, il sortit la bite son orifice, et se mit à arroser le dos de Maria, en 4 ou 5 jets sirupeux.
La soirée se termina tranquillement, Maria partit prendre une douche, et les trois hommes s endormirent peu de temps après, souls et les bourses bien vidées.

( La suite est ecrite, je la posterai si il y a la demande)


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Commentaires de l'histoire :

amdsoo (L auteur)
je suis vraiment désole mais tout est publie depuis 3 semaines, mais les admins mettent énormément de temps a valider/publier. je tiens a préciser que c est une histoire "extreme" . Passez votre chemin si vous cherchez une histoire courte, et non violente. Merci Il y a 16 Chapitres, dans 4 histoires.
Posté le 21/04/2022

cerisemoche
Super période et milieu, l'interdit blanc noir aurait pu être plus marqué. Si très agréable à lire, merci.
Posté le 13/04/2022

amdsoo
Ce sont les deux premieres parties d une longue histoire qui démarre lentement. Les 2 chapitres suivant ont été publiés mais ce site mets énormément de temps a valider.
Posté le 11/04/2022


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