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Ni Pitiés, ni Remords.

Ici, la pitié n’est pas de mise, c’est l’univers des pleurs et des grincements de dents, entrez et respirez l’air vicié d’une aventure fidèle aux écritures d’un certain Léopold von Sacher Masoch, alors âmes sensibles abstenez-vous ou…, masturbez-vous !! A l'attention de celui qui me l'a demandé..

Proposée le 26/01/2022 par maximilien7

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Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Quand vous entrez dans cet univers, la pitié est une denrée rare, car elle ne sert pas celui pour qui le plaisir consiste à voir souffrir. La souffrance peut être donnée, et elle peut être ressentie, elle complètera quelques fois l’histoire d’une éducation, une relation douloureuse entre le vécu et le fantasme, le plaisir et la douleur alors se complètent dans un concert de sensations.

La Sentence.

IL faut un temps encore, puis dans un grand silence on amène le supplicié, c’est un homme bedonnant qu’on traîne par ses mains nouées jusqu’au centre de la pièce, une barbe de plusieurs jours dénonce une condition misérable, ses cheveux ébouriffés complètent cette image, ses pieds sont nus et il est d’allure abattue.
Une femme s’avance un couteau la main, en quelques coups de lame sa chemise part en lambeaux, une autre baisse le pantalon crasseux, et la première arrache en un seul mouvement le slip qu’elle jette au sol. C’est un sexe velu qu’on voit apparaitre pendulant entre deux fortes cuisses, un sexe vigoureux et deux belles couilles hérissées de poils que la matrone saisit d’une main ferme arrachant à l’individu un cri terrible. La séance est déclarée ouverte, la sentence devant être exécuté sur le champ.
Au milieu de cette assistance Enola n’en attends pas mieux, car elle n’est venue que pour cela, pour voir souffrir un être sans défense, pour le voir exsuder en vertu de la douleur qu’on lui infligera, sentir l’odeur âcre de la sueur et s’il le faut, du sang, alors elle trouvera le plaisir d’un orgasme accomplit à chacun de ses cris. La roulette couine sous la corde qui pèse, et les bras se tendent vers le plafond, le corps se déploie, le torse de l’homme hérissé de son pelage brun s’expose, le dos large et musclé se raidit et la jeune femme apprécie de voir cette bête humaine trembler par la crainte du châtiment qui l’attends, de voir ce cul tendu et sensuel, qui mériterait qu’on s’en occupe.

La femme la plus proche estime, tâte et soupèse l’appareil génital, puis frappe d’une main ferme l’appendice qui gigote, l’homme beugle et ses jambes se soulèvent par saccades, c’est une première satisfaction pour Enola qui aussitôt serre ses mains sur son bas ventre.

La jeune femme est adepte de sensations fortes, alors quand jaillissent les cris de souffrance, son sexe se vivifie et s’enflamme, il en est de même pour celle qui l’accompagne et qui saisit son bras tant la surprise et grande. Les regards se font complice, elles attendent une suite non moins brutale et elle le sera certainement, car les accessoires qu’on déploie sur la petite table ne laissent aucun doute, il y a là, toutes sortes de godemichés, de pinces, et d’instruments significatifs d’une utilisation qui n’engendre pas la pitié.
Les claquements du fouet que déploie la plus jeune tortionnaire laissent imaginer ce qui suivra. Les deux jeunes femmes trépignent d’impatience et mettent leurs morale en berne, ce n’est pas le lieu de s’en encombrer, ni le moment de s’en faire, car le sifflement de la lanière est strident, alors elles se crispent d’un même mouvement lorsque la sangle de cuir s’abat sur les fesses du supplicié.

Par l’impact l’homme est projeté en avant, ses jambes quittent le sol et dans un hurlement il se débat, l’agression de la douleur doit être brûlante.
Enola se fige dans une satisfaction licencieuse et se repait de la vision de cet homme, de son pénis qui se dresse à chaque coup qu’il reçoit, Pathie se cache les yeux pour ne pas voir. Mais quelques fois il est plus troublant d’entendre, lorsque les murs résonnent d’une voix ou se révèle l’effroi. La femme frappe sans relâche, elle est vigoureuse et prends un plaisir sadique pour viser juste, le cul, puis les jambes, le dos ensuite, puis contournant sa victime le torse est strié de traces rouges, puis, le ventre et même le sexe n’est pas épargné.
On ne supporte qu’avec peine l’horreur de la scène et moins encore les hurlements du type dégoulinant de sueurs et qui n’en finit pas de trépigner dans l’espoir d’éviter le prochain coup. Les premières gouttes de sang apparaissent bientôt, Enola détrempe ses sous-vêtements, et c’est pire pour son amie qui s’active déjà entre ses cuisses. Suivant les exemples qu’elle voit autour d’elles, certaines se caressent, d’autres gémissent de concert, d’autres encore se masturbent mutuellement, et l’homme cris à gorges déployée. Il y a une forme de beauté dans ce corps qui se balance, une extase à voir la lanière qui s’enroule et se déploie, et cette bite qui maintenant se dresse, énorme, volumineuse en son écrin de poils souillés d’acrimonies.

Puis le vacarme cesse, l’homme semble avoir défailli, alors pour le ranimer on l’asperge d’un sceau d’eau froide. Puis, on le décroche de sa potence, la plus jeune des femmes a quitté ses vêtements, elle est magnifique, si belle sans que plus rien ne cache ses attributs, on l’équipe d’une ceinture qui fait horreur aux deux amies. Car en son milieu s’érige un phallus digne d’un étalon, long et distordu il fait envie à certaines qui s’en extase, d’autre alors se surprennent à imaginer cette masse noire qui les pénètre et perfore sans pitié leurs matrices. On fantasme et on se délecte pendant qu’on attache le supplicié sur le chevalet qui trône au milieu des spectatrices, les bras tendu et les cuisses écartelées, il geint et se lamente en toute conscience de ce qu’il devra subir et qui fera sans nul doute, le point d’orgue de ce spectacle vicieux.
Nos deux amies au comble du plaisir, attendent avec impatience ce moment délicieux, cet instant où l’on verra s’enfoncer cette masse d’ébène entre ces fesses velues pour perforer la rosette brune, elles attendent de voir cette chair se débattre et cette gorge brailler de douleur, ce trou s’ouvrir et dégueuler d’excréments quand il se rétractera après l’agression.
On fait au moins preuve d’une certaine indulgence, en enduisant l’ouverture de crème lubrifiante, certaines le regrette ouvertement, ‘’ qu’on l’encule à sec’’ entends-t-on dire, ‘’ une bonne sodomie mérite d’être à son apogée’’ dit-on par ailleurs, nos deux filles restent interloquées par l’image brutale de cette humiliation qu’elles ont subies un jour, dans le secret d’une pièce, la tête enfoncée dans un moelleux coussin ou même sur le tapis d’un scélérat fortuné.
Cette fois-ci un mâle se fera empaler devant elle et ce n’est que justice, alors elles trépignent dans cette attente qui sous peut arrivera à son terme.

La jeune femme se positionne en conquérante entre les jambes, et prépare soigneusement le pic face au rectum, on retient son souffle en voyant trembler les cuisses de l’homme qui s’agite et qui supplie qu’on l’épargne, mais rien n’y fait, l’autre se tient debout face à sa tête, puis elle se saisit de ses cheveux et laisse entrevoir un signe significatif pour que débute l’action. D’un formidable coup de rein, la première répond à cette invitation, la bite force l’entrée, elle perce et pénètre l’antre rectale, le corps alors trépigne et rue dans ses liens, la salle silencieuse est surprise par les cris de la victime, qui émet un râle long et puissant, c’est celui d’une bête blessé qu’on vient de frapper.

La pitié n’est pas du ressort de la tortionnaire, ni incluse dans ce lieux de souffrance, elle accentue ses mouvements très violents et percute le cul qui suinte de ces liquoreuses éjections, l’autre ne cri plus il semble agoniser sous la torture. Il relâche ses membres le membre factice s’extrait quand la jeune femme s’en écarte. Entre les cuisses, érigées sous le périnée souillé de mouille et d’excréments, pends un phallus toujours fortement tendu, la vieille s’en empare et avec un sourire dément elle empoigne le pis du condamné pour le traire comme on le ferait d’une vache. L’homme aussitôt gémis et se contracte, cette main masturbe et brutalise longuement cette masse de chair jusqu’à ce qu’enfin elle se répande sur le sol, Enola, en voyant gicler un sperme visqueux hors de cette bite monstrueusement enflée, mouille sa culotte de plusieurs jets de cyprine et son amie presque en même temps s’enfonce plusieurs doigts dans sa fendasse survoltée.
Alors elles y trouvent la récompense tant espérée, tant souhaitée lors de leurs batailles amoureuses ou il n’a plus suffis de quelques fessées dispensée avec célérité pour assouvir l’envie de souffrir et de voir souffrir.
On offre à l’assistance survoltée, la mort du condamné par pendaison, c’est l’apothéose de cette soirée de sadisme, car il fut un temps où c’était ainsi qu’on rendait la justice, l'homme gigote longtemps encore quand la corde se serre autour de son coup, puis, il éjacule une dernière fois et ses semences se rependent sur le sol.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
interessant
Posté le 19/01/2024

Fauconnier
J'aurais aimé être celui que l'on a torturé et finalement mis à mort par pendaison. Je me suis crossé e lisant votre histoire et j'ai même éjaculé. Il y en a d'autres toutes aussi sadiques sinon plus?
Posté le 17/09/2022


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