Histoire Erotique

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Charlène et son correspondant Viktor s'offrent l'un à l'autre pour le 1ère fois

Charlène invite son correspondant allemand pour quelques jours chez elle. Leurs derniers échanges devenant assez intimes, il était fort à parier que la belle petite française tombe sous le charme Viktor et se laisse tomber dans une passion sexuelle dévorante...

Proposée le 24/01/2022 par goelan

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


- Charlène, Viktor venez manger ! Hurla une voix de femme dans l'escalier

Habitué à appeler ses ados et parfois à devoir se répéter, la mère de famille ne s'inquiéta donc pas de ne pas voir arriver sur le champ sa fille de 16 ans. De plus, elle était avec son correspondant allemand arrivé la veille au soir. Ils devaient bosser ensemble sur des devoirs communs.

Dans la chambre de Charlène, la situation n'avait rien à voir avec ce que la mère de famille imaginait. La jeune fille avait bien entendu l'appel de sa mère mais elle était dans l'incapacité de répondre. D'ailleurs elle tentait de reprendre haleine mais c'était peine perdue.

A genoux sur son lit, son correspondant allemand, un beau gosse digne d'une revue de mode, lui avait enfoncé sa bite dans la bouche et des coups de bassins envoyait le sexe cogner contre sa joue ou sa gorge;

Elle avait des larmes aux yeux, ne s'étant pas attendue à cela aussi rapidement, à vrai dire c'était aussi sa première fellation et elle ne savait pas trop comment elle devait se comporter. Mais l'appel de sa mère l'inquiétait. Elle tapa sur les cuisses de l'Allemand en roulant ses grands yeux d'un marron hypnotisant. 

Mais l'autre, les lèvres entrouvertes, les yeux mi-clos, ne l'entendait pas ainsi et il profitait pleinement de la bouche de sa correspondante. Soudain, il s'arqua et envoya sa pine bien au fond de la cavité buccale.

Sa queue se trémoussa et lâcha de puissants jets de sperme trop longtemps retenus depuis la dernière fois qu'il avait éjaculé. Charlène surprise voulu se rejeter en arrière mais trop tard, le liquide séminale coula dans sa gorge et elle dû avaler.

Enfin, il se retira, attrapa une poignée de mouchoirs en papier sur la table de nuit de l'ado et s'essuya la bite.

Charlène, toute rouge, toussa et se jeta aussi sur les mouchoirs pour s'essuyer la bouche pleine de sperme. Elle était à la fois surprise et écœurée par ce qui venait de se passer.

- C'était mille fois mieux que dans nos échanges, la complimenta le garçon. Faudra recommencer.

Charlène fut à la fois flattée et anxieuse. Recommencer ? Elle qui s'était faite un fantasme de sa première fellation, cela n'avait rien à voir avec ses songes.

Elle évitait le regard du garçon et encore plus sa bite qu'il essuyait. Une boule dans son ventre la prévenait qu'elle venait de faire une énorme connerie.

Tout cela était un peu de sa faute. Enfin même beaucoup. Depuis un an, elle échangeait avec son correspondant dans le but de sa venue en France.

Si au début les échanges étaient classiques et réglementaires, l'allemand l'avait vite séduit et ouvert une correspondance à part. Il était beau gosse, mannequin junior à temps partiel, musclé pour son âge, juste un an de plus qu'elle et au fur et à mesure des discussions, une certaine amitié était née entre eux.

De fil en aiguille, il lui posa de multiples questions et les discussions se firent plus personnelles. Il y a peu il l'invita à jouer à un jeu de questions/réponses en ligne, une sorte d'action et vérité à distance. Et c'est là qu'il apprit que :

- elle avait déjà eu deux copains
- elle faisait de la danse classique depuis ses 6 ans
- elle était célibataire
- elle n'avait jamais eu de rapports sexuels, donc elle était vierge
- elle avait déjà embrassé un garçon
- l'acte le plus osé qu'un garçon lui avait fait c'est de la peloter
- il connaissait ses mensurations, fine, grande, musclée par la danse, une poitrine légère mais qui pouvaient encore grossir

Ils avaient même échangé des photos, mais Charlène n'était pas naïve non plus, aucune photo osée ou intime. Le pire qu'elle lui envoya c'est une photo d'elle en bikini à la plage et une autre en collant de danse lors d'un spectacle.

De son côté, étant mannequin amateur, il lui avait déjà envoyé son book et la jeune fille avait de plus en plus fantasmé sur lui. Elle attendait sa venue avec impatience. Les derniers jours de correspondances furent de plus en plus chaud et ils échangèrent des fantasmes sexuels. Puis un dernier jeu, Charlène avait perdu et reçu un gage. Elle devrait ouvrir la bouche et accepter ce qu'il voudrait lui mettre dedans. Mais à ce moment, elle n'aurait jamais pensé recevoir son sexe entre les lèvres.

Viktor avait été bien accueilli. Très poli, visiblement timide et réservé, il complimentait la mère c Charlène pour tout La tenue de sa maison, la décoration, les repas, etc. Forcément, elle était tombée sous son charme, comme sa fille.

Ingrid, la mère de Charlène était plutôt sévère avec sa fille, voulant la protéger du monde extérieur et surtout des garçons. Elle même avait eu  son premier enfant assez jeune et ne voulait pas que sa fille se fasse aussi avoir.

Elle avait refusé que Viktor dorme dans sa chambre, il ne manquerait plus que ça. Le jeune allemand occupait donc la chambre de l'étudiant parti à l'autre bout de la France et qui ne rentrerait pas avant les prochaines fêtes. Il n'y avait qu'un couloir entre les deux chambres. Par contre, elle les laissait avec confiance travailler ensemble. Mais le soir, elle veillait au grain, chacun sa piaule et puis c'est tout.

Dès son arrivée, Charlène avec ses longs cheveux lisse et châtain s'était retenue de lui sauter dessus, l'envie de lui parler et d'échanger en vrai était palpable. Et le beau gosse n'était pas insensible non plus à la beauté de l'ado. Arrivé en fin de soirée, ils n'avaient pas trop eu le temps d'échanger. Ensuite ils durent partir en cours ensemble et le soir fut vite arrivé.

Travaillant ensemble dans la chambre de Charlène, ils purent enfin discuter de leurs derniers échanges. Forcément la jeune fille rougit et fut embarrassée. C'était un fait de parler de ces choses à distances, mais avec un garçon en face d'elle et plutôt beau gosse en plus.

Lorsqu'il lui rappela le gage, après quelques parties de fou rire, elle s'était prêtée au jeu et à genoux au bord de son lit, elle avait fermé les yeux et ouvert en grand la bouche. Lorsqu'elle eut compris que quelque chose de gros, chaud doux et dur à la fois avec un bord arrondi venait d'entrer dans sa bouche, elle avait ouvert de grands yeux pour se retrouver face aux poils pubiens de Viktor et sa queue bien enfoncée entre ses lèvres.

- Tu as accepté tout ce que je voulais, avait-il dit d'une voix anxieuse et un peu coupable.

Avant qu'elle ne puisse se dégager, il lui avait doucement pris la tête entre les mains et commençait à s'agiter entre ses lèvres. La suite on la connaît, Charlène prise de court n'avait eu aucun autre choix que d'ingurgiter les jets de sperme.

Ce fut surtout la brusquerie des choses, ce manque de tendresse et douceur échangées ensembles durant leur correspondance qui la blessa. Elle avait un peu peur de lui maintenant qu'il l'avait bien eu. Elle avait fantasmé ouvertement et même rêvé de faire des trucs avec, mais pas comme ça, pas ainsi.

- Pourquoi ? réussit-elle à dire en s'essuyant, un goût âcre dans la bouche, tout en l'évitant

- Je pensais... que... tu avais compris... avec le gage, répondit le garçon visiblement embarrassé

Elle attendit une poignée de secondes pour répondre. En effet, les choses n'avaient pas été claires et leurs dernières discussions très hot, mais de là à lui fourrer sa bite au fond du gosier !

- C'est égoïste comme point de vue ! S'énerva-t-elle. Tu aurais pu me demander. C'était si brutal et... et... et...

Elle ne trouva pas les mots pour terminer sa phrase, mais ses yeux à la limite de pleurer en disait long sur sa façon de penser.

Et sa mère l'appela encore.

- Maman nous appelle... 

Un froid s'était établi entre eux.

- je suis désolé, gémit Viktor, je n'ai jamais fait ça avec une fille, je pensais que tu... aimerais

Charlène se retourna

- Avant de savoir faire, faut déjà apprendre le respect 

Durant le repas Charlène du faire semblant que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Comment dire à sa mère que le beau allemand venait de fourrer sa queue dans la bouche de sa petite fille chérie.

- Papa rentre quand ? Demanda-t-elle pour combler les vides

- Normalement samedi, mais tout dépendra des conditions de retour avec le Covid

- Il pourra être là pour me conduire ? 

- Au pire je t'emmènerai à ta compette ou Oncle Antoine

- Merci maman

En effet, le week-end suivant Charlène avait une compétition de danse classique. Elle ne stressait pas, c'était hors cadre de son évolution sportive, mais tout de même, autant de pas la louper.

Viktor fut encore une fois le correspondant parfait. Poli, respectueux, pour une fois, charmant, il demandait, proposait, remerciait, complimentait à tour de bras.

- Vous avez encore beaucoup de travail ? Demande Ingrid en fin de repas alors que l'allemand s'était proposé pour débarrasser

Cela rappela à Charlène que oui, ils devaient encore bosser sur un travail commun pour le lendemain

- Oui, répondit-il laconiquement

- Vous en aurez pour longtemps ? Tu connais les règles, ce jeune homme, tout poli qu'il soit, doit être dans sa chambre pour 21h00 maximum

- Cela devrait coller, au pire, on finira chacun de notre côté

- Montez tout de suite alors, je m'occupe de la table. Viktor ?

- Oui madame ? Répondit-il avec un accent allemand

- J'irai te préparer ton ligne de toilette ensuite

- Merci madame

"Quel faux cul" pensa Charlotte, n'ayant toujours pas digéré l'affront qu'il lui avait fait juste avant le repas

De retour dans la chambre de Charlène Viktor s'excusa encore

- Je suis désolé pour tout à l'heure, j'ai cru que...

- Tu n'as vraiment jamais fait de... enfin tu sais quoi ? lui demanda-t-elle tout en gardant ses distances. Et tout ce que tu m'écrivais alors

- Je n'ai jamais eu cette chance, et par écris... on dit beaucoup de choses, beaucoup d'envie, beaucoup de fantasmes, j'ai pensé que...

- Mais tu m'as dit avoir déjà eu des relations ? 

- Oui, mais mon ancienne petite amie voulait vite, rapide, pas de chichi, je n'ai pas appris autrement

Son français devenait lacunaire, il tripotait ses mains et semblait vraiment désolé

Charlène le regarda fixement, son coeur en pinçait toujours pour lui, après tous leurs échanges...

- Tu n'as jamais regardé de film euh.. cochon pour.. apprendre ?

- A la maison je ne peux pas, contrôle parental sur le Internet, pour mes petits frères et soeurs, et toi ?

Charlène rougit tout à coup.

- Tu pourrais me montrer ? Tu connais des sites ?

Le visage de la jeune fille tourna au cramoisi

- Ma mère pourrait monter n'importe quand, murmura-t-elle en excuse

- Si on se met dos à la porte et nos copies pas loin... Pour éviter que je sois brutal, lui sourit-il

Qu'il était beau gosse et charmant. Un sourire ravageur dans un corps d'ado pas encore mature à souhait.

Charlène céda et prit son téléphone portable. 

- Assieds-toi ici, lui indiqua-t-elle en tapotant la place juste à côté d'elle sur son lit, leur dos donnant sur la porte d'entrée.

- merci

Il lui souriait de toutes ses dents et s'installa sans la coller

Charlène avait toujours le rouge aux joues et ses mains tremblaient lorsqu'elle tapa sur un navigateur en mode privée une recherche "fellation amateur"

- C'est ça qu'il faut taper alors ? 

- Dis moi pas que tu n'as vraiment jamais essayé ?

Viktor ne répondit pas. L'écran afficha la recherche Google, Charlène hésita, elle respirait déjà fortement, son coeur cognant à ses oreilles, puis cliqua sur un lien. Mais à quoi jouait-elle ? Quelques poignées de minutes avant elle engueulait son correspondant de lui avoir forcé la bouche et maintenant elle regardait du porno avec lui !

La vidéo se lança après la pub pour un site de visio érotique et un couple complètement nu allongé sur un lit se caressait. Aussitôt un silence gênant remplit la pièce, Charlène sentait la présence du garçon près d'elle et sûrement l'inverse. Le couple était plus âgé qu'eux, la femme avait une belle poitrine et après plusieurs caresses et baisers commença enfin à s'occuper du sexe tendu de son partenaire.

Charlène avala sa salive au moins pour la cinquième fois, elle était à la fois gênée et hypnotisée par la vidéo. Doucement, la femme pris en main le sexe de l'homme, se pencha et posa sa bouche sur le gland pour déposer des baisers dessus. Puis elle lécha le méa, le titillant, passant sa langue sous le gland, titilla toute la hampe, remonta et fini par engloutir le haut du sexe pour le tuter. L'homme semblait bien apprécier et lui caressait les cheveux.

- C'est comme ça alors... Murmura Viktor

- Oui, grogna d'une voix rauque Charlène dont les mains devenaient moites.

Viktor lui pris doucement une de ses mains et la posa sur son entre-jambe. Charlène rougit encore plus, sembla louper de respirer, sentant la bosse dure sous ses doigts.

- On... pourrait essayer... mieux ? Comme... dans nos échanges ?

La jeune fille fut à la fois glacée et en chaleur. Elle faire comme à l'écran ? Des mots sur un papier c'était bien beau, mais dans la réalité. Bien que peu de temps avant, elle avait déjà gouté à sa bite.

Sans attendre sa réponse, Viktor ouvrit sa braguette et doucement sorti son sexe bien droit. Charlène ne voulait pas le voir mais le sentait car il posa sa main dessus.

- S'il te plait, murmura-t-il

Sa voix vibrait de désir, Charlène tourna la tête et fixa l'objet de damnation.

Etrangement, elle remarqua certains détails, contrairement à un sexe classique, celui de Viktor était courbé comme une banane et non droit comme un "i". De plus, il était renflé au milieu et fin vers l'extrémité avec un gland en pointe arrondie.

Pendant ce temps, la vidéo continuait de tourner, la demoiselle prodiguait ses soins buccaux avec grande véhémence. Charlène et Viktor n'y faisait plus guère attention, mais la vidéo, couplé à l'intimité de la chambre, la proximité des deux adolescents, le sexe tendu et offert et un brasier qui enflammait le corps de la jeune fille eurent raison de sa volonté.

Elle replaça une mèches de ses beaux et longs cheveux châtains derrière son oreille et doucement, elle se pencha pour mieux observer le sexe tendu. 

Viktor n'osait plus bouger, allait-elle le faire ? Crispait dans l'attente, il vit enfin le visage de la belle s'approcher de son intimité.

Charlène se rappela du début de la vidéo pornographique, elle déposa quelques baisers sur le gland et n'en trouva pas réellement d'intérêt. Alors elle sortit sa langue et timidement elle titilla le méat. Soudain Viktor se contracta, elle arrêta puis repris ses attouchements du bout de sa langue et d'un côté, puis de l'autre, elle lécha les abords du gland. Cela semblait faire effet car Viktor respirait plus fort et elle le voyait vraiment tendu. Avec un sourire malicieux, elle se mit alors à titiller son gland du bout de sa langue, puis la glissa tout le long de la tige, ne tenant plus la bite que deux doigts.

Cela n'avait rien à voir avec l'acte barbare et égoïste de tout à l'heure. Elle se sentait plein de pouvoir, celui de donner du plaisir. Et elle appréciait la chaleur, la texture et la douceur du sexe. Il était dur et doux à la fois. Tendu et presque à rompre mais pourtant, c'était elle qui le tenait en son pouvoir. 

Pour finir elle revint sur le gland et sans le prévenir le prit entre ses lèvres et le tuta tout en continuant de le titiller dans sa bouche.

Viktor lâcha un gémissement, et murmura

- Tu es divine, je n'aurai jamais cru que... c'est... extraordinaire !

Encouragée par les compliments, avec orgueil, Charlène alla encore plus loin en commençant à le pomper comme sur la vidéo qui continuait à diffuser ses cours. Sa tête faisait des mouvements réguliers du haut vers le bas. Elle sentait cette barre de chair lui cogner la joue, frottait sur sa langue et son palais. 

Viktor était aux anges, pour une première fois, la belle lui offrait une prestation en or, oui rien à voir avec ce qu'il avait fait quelque temps plus tôt. Elle promettait c'était certain.

Il respirait de plus en plus fort, ne voulant pas la brusquer, il évita de lui tenir la tête et commença à lui caresser le dos. Il descendit sa main vers le creux de ses reins ou sa peau était visible du fait qu'elle s'était penchée sur lui. Du bout des doigts il lui caressa la peau, elle était si douce, si chaude...

Charlène ne savait plus où elle était, elle titillait à nouveau la bite luisante de salive tout en le branlant de quelques doigts toujours comme sur la vidéo. Elle sentait les doigts de son correspondant sur sa peau et cela l'électrisait. 

Soudain elle capta un bruit qui lui rappelait quelque chose. Elle se releva vivement en criant presque

"Ma mère monte l'escalier !

Aussitôt Viktor se leva tentant de ranger sa bite tendu dans son pantalon, il n'y arrivait pas, il sortit alors son sweat de sa ceinture et le rabattit au dessus de son sexe. Charlène lui tendit des copies doubles et se jeta sur sa chaise de bureau. Viktor avait le dos tourné par rapport à la porte bien embarrassé. 

Ingrid toqua puis ouvrit la porte un panier de linges dans les bras, les deux ados répétaient un texte en allemand et elle n'y comprenait rien. Mais contrairement à ce qu'elle craignait, cela bossait dur, elle en fut rassurée. 

- Charlène, tu rangeras ton linge ensuite.

- Oui maman

- Vous en avez encore pour longtemps ?

Charlène regarda son radio réveil

- 10 à 15 minutes au plus

- Ok, mais à 21h00 max Viktor tu repart dans ta chambre, je vais te préparer ton linge si tu veux prendre une douche avant de te coucher. 

- Et si on n'a pas terminé ?

- Tu connais les règles jeune fille, c'est déjà bien que ton père et moi avons accepté que tu reçoive un correspondant, mais il n'est pas question qu'il reste plus longtemps seul avec toi dans ta chambre.

- Ok maman

- On continuera pas Zoom lança le garçon, au besoin

- Bonne idée, répondit sa mère, à tout à l'heure Charlène

La jeune fille souffla. Sa mère était du genre trop protectrice. Enceinte à 16 ans d'un gars qui n'avait pas assumé, elle s'était retrouvée seule à élever son grand frère. Heureusement qu'elle eût rencontré son père assez rapidement après et que celui-ci l'accepte avec un bébé dans les bras. Elle avait pu reprendre ses études avec du retard et Charlène arriva 4 ans après. Mais elle refusait que sa fille se fasse avoir de la même façon et donc la couvait au maximum. 

Ingrid quitta la chambre pour s'occuper de celle de Viktor, enfin celle de son fils en l'occurrence. 

Charlène attendit un bon moment sans bouger et lorsque les pas de sa mère résonnèrent dans l'escalier elle se mit à pouffer de rire. Viktor se retint aussi en mettant sa main sur sa bouche.

- On a eu chaud !

- Mon téléphone !

- Quoi ?

Charlène le chercha sur le lit, la vidéo n'avait pas été arrêtée. Elle le trouva sous le lit, intact la vidéo toujours en cours, heureusement que sa mère ne l'avait pas vu sinon... 

- Ouf, vraiment du bol.

- Merci en tout cas, c'était vraiment super.

- Mieux que Mr bourrin je suppose

Lança-t-elle en le sermonnant

- Je suis vraiment désolé... contrairement à tout ce que les gens pense, je n'ai pas beaucoup d'expérience dans ce domaine je pensais que...

- Pourtant tu l'as déjà...

- Oui mais ne l'avais jamais fait et ce fut très rapide

Il se releva pour ranger son attirail

- C'est tout petit maintenant, s'amusa-t-elle en le visant du doigt

- Il ne tient qu'à toi de...

- Tu rigoles, tu veux vraiment jouer avec le feu

Viktor s'approcha de Charlène toujours assise sur son siège de bureau

- Regardes, il gonfle déjà

En effet le petit bout de chair prenait de la grosseur entre les doigts de l'allemand
Charlène fixait la porte de sa chambre puis le membre devant elle

- Tu crois vraiment... que je vais passer mon temps à... te donner du plaisir ? Tu es là pour bosser pas pour...

Sa voix était enrouée, le sexe devant elle était maintenant complètement tendue, elle finit par avancer sa main, le caresser puis pencher sa tête pour l'engloutir entre ses lèvres. Viktor jubilait, la jeune fille devant lui, si belle, si douce, aspirait son sexe tout en le tenant. La sensation était délicieuse beaucoup plus que ce qu'il avait fait au début.
Si beau qu'il était, Viktor était un peu naïf au niveau sexe. Ses potes et lui avaient échangé sur leurs différent(e)s correspondant(e)s et forcément la beauté de Charlène les avait rendus jaloux. Entre les blagues grivoises et les conseils à la con, le garçon s'était mit en tête de lui fourrer sa bite dans la bouche par surprise. Il n'avait jamais pensé qu'elle se mettrait d'elle même à lui faire une fellation, surtout qu'elle était encore vierge.

Il avait déjà eu des relations sexuelles mais la jeune fille avec qui il les avait eu était assez prude et après deux ou trois fois chaotiques, elle avait eu peur et cessait de le voir. Beau gosse comme il l'était, il pourrait avoir plus de filles, mais quelque chose coinçait toujours, il était exigeant et avait du mal à faire confiance.

Pourtant dans leurs derniers échanges, ce fut très chaud, il l'avait un peu travaillé au corps dans ce sens et n'était pas déçu du résultat.

Charlène jouait avec le feu, elle le savait, tenant le sexe dans une main, elle pompait copieusement la bite de son correspondant. Elle crut entendre un bruit et prit peur, elle recracha le sexe gluant de salive et repoussa Viktor.

- Range moi ce machin maintenant, j'ai trop peur que ma mère se raboule

- J'y étais presque se plaignit le malotru

- Raison de plus, je n'ai pas très envie de... recevoir la sauce

- Ah, désolé, je pensais que les filles aimaient cela

- Mon pauvre, on n'est pas dans un film porno ici mais vas-y goutte, on verra après ce que tu en penses

Viktor fit la mou, se branla un peu devant le visage de Charlène qui le repoussa en riant. Puis il rangea sa queue et ramassa ses affaires.

- File vite avant que ma mère ne râle, autant éviter les problèmes.

Ce qu'il fit légèrement frustré mais content tout de même que leur relation se soit réchauffée. Il n'avait jamais pensé en arrivant être aussi proche d'elle, mais il en avait rêvé au point de se branler devant les photos de la jeune fille. Si ses potes savaient ça, ils seraient fous de jalousie !

Comme les ados avaient respecté les règles, Ingrid continua son train train du soir avant de venir souhaiter une bonne nuit à sa fille. La venue de Viktor changeait un peu leur quotidien, mais elle le voyait comme un loup dans la bergerie. Certes, elle ne pouvait pas les surveiller tout le temps mais au moins, elle espérait que ses rabâchages continuels protégeraient sa fille des profiteurs, surtout qu'elle était bien belle. Mais d'un autre côté, l'allemand lui semblait être un bon garçon, poli, aimable, réservé et un tantinet timide. Pas le genre de garçon rentre dedans comme... comme celui qui l'avait mis enceintre. Elle soupira, que c'était difficile d'être une mère de famille. Elle était loin de se douter que sa jolie fille chérie venait de faire une gâterie au loup présent dans la bergerie...

 Il était plus de 23h30 lorsque Charlène eut une envie pressente. En pyjama, elle sortit de sa chambre en catimini, passa devant celle de sa mère qui ronflait bruyamment et se rendit aux toilettes du bas car ils feraient moins de bruits et ne réveilleraient pas sa maman.

Lorsqu'elle sortit des toilettes du couloir de l'entrée, elle eut une peur bleue et ne put s'empêcher de crier en voyant Viktor, une petite loupiote dans la main, attendre debout dans le couloir.  

- Tu m'as fait peur ! Murmura-t-elle en s'inquiétant du bruit de son cri, mais la chasse d'eau devait l'avoir couvert. Tu fais quoi là ?

- Comme toi, murmura-t-il, je t'ai suivi car je n'ai pas l'habitude, je ne voulais pas te faire peur

- Ah, la place est libre alors

- Tu peux m'attendre ? Si je me trompe de chambre et rentre dans celle de ta mère...

- C'est pas difficile quand même

- S'il te plait...

- Ok, mais ne soit pas long, j'ai froid moi

L'affaire fut rapide et Viktor ressorti dans le couloir. Mais au lieu de partir, il s'approcha de la jeune fille qui recula jusqu'au mur.

- Tu fais quoi là ? 

- Tu es très belle en pyjama tu sais ?

Charlène rougit, elle rougissait beaucoup ces derniers temps. Mais elle était stressée que sa mère la trouve en bas avec lui.

- Il faudrait remonter se coucher

Elle avait l'impression que leurs murmures résonnaient dans le couloir.

- Oui, il faudrait...

Viktor s'approcha encore, lui prit le menton entre les doigts et fixant ses yeux dans les siens, avança sa bouche vers celle de Charlène. La jeune fille frémit, son coeur s'emballait, les lèvres de l'allemand touchèrent les siennes et leur bouche se rencontrèrent.

Un peu moins fatiguée, elle aurait pu se rendre compte que l'arrivée de Viktor à sa suite n'était pas sans arrière pensée. Excité par ce qu'il avait fait au soir, le garçon s'était dit "peut-être que...".

Charlène sentit les mains du garçon sur son visage, leur bouche s'entrouvrirent et chaque langue trouva facilement l'autre pour un ballet plein de découvertes. Elle posa ses mains sur son torse, sentant les muscles de l'adolescent en dessous de son t-shirt de nuit. Elle sentit aussi autre chose, plus bas, gros et long, se coller à elle à travers le tissu fin du bas de pyjama.

Elle sentit les mains descendre sur son cou, puis caresser ses bras, qui se chargeaient de chair de poule aussitôt, puis glissèrent sur ses hanches. Charlène avait soudainement chaud malgré la fraîcheur du couloir. Elle n'avait pas imaginé retrouver son correspondant en pleine nuit à côté des toilettes et encore moins l'embrasser à pleine bouche.

Elle sursauta et frissonna lorsqu'elle sentit les mains de Viktor lui caresser le ventre, puis doucement remonter pas dessous le tissu du haut de son pyjama.

- Tu fais quoi là... Murmura-t-elle entre deux baisers, son front collé à celui du garçon

- Exploration nocturne, lui répondit-il dans un souffle

Lorsque les doigts rencontrèrent les seins de la jeune fille, celle-ci eut un léger mouvement de recul, mais elle était déjà contre le mur. Ses tétons étaient durs et furent aussitôt attrapés par les doigts de Viktor. Elle n'avait pas une poitrine extraordinaire, rien à voir avec celle de sa mère, mais cela lui suffisait, et cela la gênait moins pour la danse classique, par rapport à certaines de ses amies beaucoup plus pourvues par la nature.

- Doucement, souffla-t-elle, espèce de bourrin

Viktor l'embrassa à nouveau tout en continuant de peloter la jeune fille. Il était émerveillé par la facilité avec laquelle il arrivait à ses fins. Charlène envoutée, répondait à ses demandes et se laissait faire. Jusqu'où pourrait-il aller avec elle le temps de son séjour en France ? Il avait plein de fantasmes dans la tête encore faut-il qu'elle les accepte.

Il finit par bien relever le t-shirt au-dessus de ses seins et se penchant, avant que Charlène ne puisse réagir, il délaissa sa bouche pour s'attaquer à sa poitrine. 
Dès le contact de la bouche de Viktor sur ses seins et ses tétons, l'ado laissa échapper un soupir. Les mains du garçon étaient chaudes et douces et sa langue, comment dire, cela lui procurait des frissons dans tout le corps.

Pendant qu'il lui léchait les seins et les tétons, Viktor entreprit de caresser Charlène de son cou à son ventre, en passant par ses hanches fines et ses seins. Il s'enivra de son parfum naturel, de la douceur de sa peau, de son corps offert. Son sexe tendu lui faisait mal mais pour le moment il se concentrait sur ce que la jeune fille lui offrait.

Charlène respirait fort maintenant, son ventre la brûlait et les doigts sur sa peau la rendaient toute chose. Jamais elle ne s'était imaginée à moitié nue dans le couloir d'entrée à 23h30 passé. Elle espérait surtout que sa mère continue de dormir, sinon ils seraient bons pour le pilori.

Lorsque Viktor se mit à genoux et commença à lui lécher le nombril et embrasser son ventre, Charlène eut un sursaut de lucidité, cela allait un peu trop loin.

- Il faut remonter... remonter... Souffla-t-elle

- Ou descendre, répondit Viktor en tirant sur le bas du pyjama.

Oui ou descendre dans les affres de la lubricité.

La jeune fille fermait les yeux pour ne pas voir, pour éviter de se rendre compte, pour se couper de la réalité. Elle sentit le tissu de son pantalon glisser sur ses cuisses puis d'un coup, celui-ci s'affala à ses pieds. Si sa mère la voyait ainsi. Elle chassa les réprimandes et récriminations de celle-ci de sa tête. Son corps était tellement en ébullition.

Elle sentait la bouche de Viktor baisait sa peau, arriver sur son pubis, embrasser ses poils, non pas plus bas, il ne fallait pas.  Elle attrapa sa tête à deux mains, ils allaient déjà trop loin.

- Viktor, j'ai peur, ma mère...

- C'est à mon tour de te donner du plaisir, après ce que tu m'as fait.

Du plaisir ? Il n'allait quand même pas.

Viktor avait appris de ses leçons et depuis qu'il était seul dans sa chambre avait profité de la connexion internet de la maison pour faire des recherches sur les cunnilingus et les premières fois avec une fille. C'est aussi pour cela qu'il était aussi excité, à regarder des vidéos porno et lire des textes, cela l'avait mis dans tous ses états. Donc forcément, lorsqu'il l'avait entendu descendre, il l'avait suivi peu de temps après.

Charlène laissa échapper un petit cri lorsqu'un premier coup de langue attrapa son clitoris, elle serra ses mains sur la tête de Viktor et dut se mordre la lèvre inférieure lorsque les suivants asticotèrent son bouton. Elle tremblait maintenant, le garçon l'aspirait entre ses lèvres et lui donnait des petits coups de langue. Il lui écarta doucement les jambes et sa bouche glissa encore plus bas. Charlène eut comme un hoquet de stupeur, les sensations que son ventre envoyait à son cerveau étaient aussi brûlantes que la lave sur la neige.

Les secondes passèrent puis bientôt les minutes. Charlène agrippée à Viktor était secouée de tremblements, elle gardait la bouche fermée difficilement pour éviter de laisser échapper la jouissance qui grimpait dans ses poumons, prête à exploser dans sa bouche.

Le garçon explorait de sa bouche et sa langue toute l'intimité cachée jusqu'alors de Charlène. Il avait mal aux genoux sur le carrelage froid, mais il n'aurait jamais échangé sa place contre son lit. Il caressait aussi les cuisses de l'ado, remontant sur son ventre puis passa sur ses fesses. Tout son corps était lisse, musclé et harmonieusement constitué. Quel délice.

Il passa ses doigts à l'intérieur des cuises et remonta pour taquiner son sexe du bout de ses phalanges. Charlène faisait pression sur sa tête tremblante, la rendait sensible. Il passa son index sur ses lèvres humides de salives et de sécrétions intimes, puis frotta son clito par de petits gestes concentriques. L'ado gémit malgré ses lèvres serrées. 
Il glissa son doigt plus bas et le fit passer plusieurs fois entre ses lèvres pour enfin taquiner l'entrée de son vagin protégé par son hymen. Charlotte sursauta et gémit un "non pas ici". De la cyprine dégoulinait de son sexe embaumant la couloir d'une odeur féminine de sexe.

Viktor passa sa main dans son boxer de nuit et sortit sa bite tendue et dure. Tout en continuant à lui lécher sa vulve, il se mit à se branler doucement. 

Charlène sentit le garçon se relever. Elle suffoquait, chaque cellule de son corps était en transe, sa tête lui tournait, elle en avait oublié où elle était et quelle heure il était. Depuis combien de temps elle se faisait caresser, butiner ou lécher ? Le souffle court, sa poitrine se soulevant à une vitesse incroyable, elle sentit contre son ventre le sexe dur et tendu de Viktor. 

Il se mit à l'embrasser tout en lui caressant à nouveau les seins. Il se collait à elle, son short de nuit glissa et atterrit aussi à ses chevilles. Les deux ados se caressaient de partout. Charlène attrapa même le sexe offert à deux mains pour mieux le sentir et faire aller ses doigts du haut vers le bas. 

Viktor prit une des cuisses de la fille en main et la remonta contre lui, il mimait des mouvements de coït contre le ventre plat de l'ado. Celle-ci passa ses bras autour du cou de l'allemand et batailla avec sa bouche, échangeant de longs baisers passionnés.
Dans la cacophonie des mouvements le sexe de Viktor passa du plat du ventre à l'entre-jambe de Charlène, il continuait à faire aller et venir son bassin d'avant en arrière, sa bite glissant entre les lèvres humides, les rendant fou tous les deux.

Il lui prit l'autre cuisse et la souleva. Coincée contre le mur et Viktor, elle se tenait à lui par les bras, ses jambes qu'elle passa dans son dos et leur bouche qui n'arrêtaient pas de se rencontrer. Les deux langues jouaient une chorégraphie endiablée et peau contre peau, les deux corps en voulaient plus.

 Charlène sentait le sexe dur qui glissait sur son intimité. Une petite voix dans sa tête hurlait à plein poumon d'arrêter tout ça rapidement, sinon...

- Viktor... gémit-elle

- Oui, grogna-t-il en réponse

- Il faut arrêter... On va... trop loin...

Elle avait du mal à s'exprimer, essoufflée et enivrée de tous ses sens par leur ébats, ici, en pleine nuit, contre le mur du couloir d'entrée.

- J'ai envie de toi, avoua-t-il sa queue échauffant les lèvres intimes de Charlène à chaque passage.

- Pas ici... pas comme ça... pas de protection...

Viktor ne pouvait contrer le dernier argument, ce n'était pas le moment de foutre la petite française lubrique en cloque. Soudain il eu une idée, peut-être que...

- Retourne-toi, lui glissa-t-il à l'oreille

- Pourquoi faire, haleta-t-elle en retour

- Tu verras...

Il la lâcha doucement et la fit se retourner avant de lui retirer le peu de vêtements qui lui restait. Les mains contre le mur, les jambes écartées, complètement nue, elle le sentit se frotter à son dos, lui lécher le cou, lui caresser les hanches puis les fesses. Il se baissa tout en lui embrassant le dos lisse et superbe. Enfin, il arriva à son fessier qu'il baisa de sa bouche aussi.

Charlène frémit lorsqu'il lui butina le sexe par derrière, mais fut surprise lorsqu'il écarta ses fesses et se mit à lui lécher son petit trou. Elle frémit et fut sur le point de le repousser lorsqu'il commença à la masturber du bout des doigts.

Une voix hurlait dans la tête de la jeune fille, ARRETE, ARRETE, ARRETE ! Tu sais ce qui va se passer et tu le laisses faire ?

Une autre voix plus réaliste lui taquinait l'esprit avec des "ne t'étonnes pas de la suite, dès que tu as pris sa bite dans ta bouche, tu lui as ouvert la porte à tout le reste".

Enfin une dernière réflexion lui disait de ne pas croire ce garçon. Comment ne pouvait-il avoir si peu d'expérience, comme il le disait, et lui faire autant de choses ? Il en savait plus qu'il ne le disait, c'était certain !

Mais pour le moment, pliée contre le mur, les jambes écartées, complètement nue dans son couloir d'entrée, Charlène se faisait lécher l'anus à grands coups de langues.

Viktor titillait le petit trou fripé de l'ado depuis un petit moment, il salivait dessous beaucoup, assouplissant l'autre possibilité de la posséder sans protection. Pendant ce temps, il continuait de jouer de ses doigts avec son intimité, la faisant trembler et gémir. D'ailleurs, elle mordait sa main maintenant pour ne pas crier.

Viktor se releva et se colla à la jeune fille qui respirait fortement, la tête appuyée contre le mur, il prit sa bite dans sa main et la frotta sur ses fesses? Charlène frémit, elle sentit la bite glisser entre ses fesses à plusieurs reprises.

- Tu vas faire quoi ? Murmura-t-elle presque à elle-même connaissant déjà la réponse

Viktor ne répondit pas, il avait peur que sa voix détruise le cocon sexuel établi entre eux. 

Charlène sentit la bite dur se poser contre son anus, alors c'était là qu'il voulait... 
La petite voix de sa raison hurlait à plein poumon, il ne devait pas, il ne devait pas, il...

Elle sentit la pression sur son anus, elle déglutit et murmura

- Vas-y doucement

Cela y était, elle l'avait dit. Pas un "non tu peux pas" un "pas ici", un "pas maintenant", mais un "vas-y doucement".

Plus par instinct qu'autre-chose, vu qu'il n'y voyait pas grand chose dans le noir du couloir, à part sa loupiote au sol un peu plus loin, Viktor guida son gland sur l'œillet gluant de salive et poussa dessus. Les mots de Charlène l'avaient mit en ébullition. 
Charlène grimaça, elle sentait son cul s'ouvrir sous la pression, un truc, LE truc s'insinuer en elle. Jamais elle n'aurait pensé avoir un rapport sexuel dans le couloir de son entrée en pleine nuit et avec un correspondant de l'autre bout du monde en plus, qu'elle ne reverrait sûrement jamais après son passage dans la maison. Et là, nue, offerte, oui offerte, elle le laissait entrer en elle.

Le fin gland de Viktor écarta l'anneau de chair et glissa entre les fesses de la pucelle. Celle-ci se pencha d'instinct encore plus en avant et serra les poings en sentant la bite entrer en elle. Elle s'attendait à tout instant à entendre la voix de sa mère criant "mais qu'est-ce vous foutez ici bordel !". Mais rien n'arrêta la poussée du sexe de Viktor entre ses fesses. 

Il était là depuis quand déjà ? Un peu plus de 24h00 et le voilà déjà qui l'enculait ? Et encore, s'il y avait eu des capotes c'était par devant qu'elle se faisait dépuceler à pas d'heure.

- Ça va ? Lui demanda-t-il à l'oreille

- C'est.. étrange, vas-y doucement, répondit-il dans un souffle

Ce qu'il fit. Il passa sa main sur son sexe et constata qu'un bon tiers était déjà dans le cul de sa correspondante. Il la caressa, les hanches, le ventre, ses seins, embrassant son cou, les lobes de ses oreilles puis poussa encore un peu. A chaque coup de bite, elle avalait sa salive, laissait échapper un petit cri ou respirait fortement.

Instinctivement Viktor commença à reculer puis entrer en elle, de tout petits mouvements mais à chaque fois il poussait de plus en plus loin. Mais si le début de sa bite en pointe fine était passée assez facilement, la partie renflée de son sexe élargissait encore plus l'anus de la belle.

Une voiture passa dans la rue, ses phares illumina le couloir un court instant et le jeune couple en pleine action. Charlène complètement nue la tête appuyée sur un bras contre le mur était tenue par les hanches et maintenant subissait les mouvements de bassin du garçon derrière elle.

Elle le sentait en elle aller et venir, son cul s'habituant de mieux en mieux aux passages incessants de se mandrin dur, chaud et souple à la fois. Elle haletait, avalant son souffle, se mordant les lèvres pour éviter de gémir. Soudain, une poussée plus forte que les autres la renvoya contre le mur, elle le sentit s'insinuer encore plus loin dans son cul, si long, si gros, si imposant.    

Viktor l'envahissait complètement maintenant. Il fit une pause, sa bite entièrement dans le cul de l'ado, profitant pour revenir à ses seins. Puis il se mit à la sodomiser tirant sa queue de ce fourreau si serré et si chaud pour mieux l'envahir de nouveau.

Le couloir s'emplit alors des bruits du coït anal. Qui aurait pu penser que la belle Charlène se ferait ainsi prendre le cul en pleine nuit ? Surtout pas sa mère qui dormait profondément heureusement. 

Viktor exultait, il était dedans, il la possédait. Il en avait temps rêvé durant leurs échanges torrides et le voilà en train de l'enculer. Sa bite glissait entre les fesses de la petite française du bout du gland jusqu'à ce que ses couilles collent à son vagin. Il n'avait pas eu de mal à la pénétrer, par chance la forme de sa bite l'avait aidé pour cela.
Charlène savait qu'elle venait de faire une connerie, mais contrairement à ce qu'elle pensait, tout son corps exultait de plaisir. Le sentir en elle, les frottements à l'intérieur, la chaleur qui embrasait son ventre, ses seins si sensibles, et ses mains la parcourant sans cesse.

Sa respiration était saccadée, sa poitrine se soulevait avec intensité, son coeur battait aussi fort qu'après un cours de danse voire plus encore. 

Soudain, elle le sentit se retirer puis glisser son sexe plus bas, entre ses lèvres.

- Juste une fois, chuchota-t-il à son oreille plaqué contre elle, je ne finirai pas dedans...

Elle sentait le sexe tendu glisser sur son vagin, butter contre son clitoris, puis revenir titiller son hymen. Pliée en deux, haletante, il ne lui suffisait que d'un mot pour qu'il la dépucelle ici, dans le couloir, en pleine nuit. Il venait déjà de lui prendre son cul et quelques heures plus tôt ce fut sa bouche, alors pourquoi pas ? Pourquoi ne pas terminer ce qui avait été commencé. Pourquoi pas le recevoir en elle ? Mais le risque ? S'il éjaculait de plaisir à ce moment-là ?

Elle sentait qu'il poussait, puis il se retirait, il s'était relevé, caressant son dos attendant son signal. Un oui ou un simple non, il n'y avait pas de place pour le "peut-être".

Son propre sexe était en feu, il dégoulinait de cyprine, elle le sentait couler sur ses jambes. Il palpitait de l'intérieur dans l'attente de ce membre pour lui procurer des montagnes de plaisirs à venir. Il jouait avec elle, frottant sa bite sur ses zones sensibles, elle frissonnait à chaque fois qu'il jouait de son gland à l'entrée de son vagin. Allait-il le faire sans sa réponse ? Allait-il la transpercer de son dard ? 

Une part d'elle en avait envie, qu'il y aille, après tout, il venait bien de l'enculer après lui avoir fait boire son sperme, alors un peu plus ou un peu moins. Mais il n'était pas protégé, si une seule goutte de sperme entrait en elle... 

Une nouvelle voiture passa, Charlène regarda leur ombre projetée contre le mur, elle pliée et nue contre le mur, elle eu le temps de voir ses seins pointus vite déformés par le passage des phares et derrière elle, l'ombre d'un garçon, debout, la bite en main, tel un gladiateur près à la perforer de son épée de chair. 

Viktor n'en pouvait plus, il voulait la posséder, la dépuceler, entrer en elle, la baiser vulgairement. Tout en la caressant, il jouait de son membre comme un artiste avec son instrument, il le faisait glisser entre ses lèvres humides et luisantes de mouille. Il était sur de pouvoir entrer en elle presque d'un coup tellement elle était trempée. Alors qu'attendait-elle ? Juste un oui, un mouvement de tête ou de cul vers lui pour lui faire comprendre qu'il pouvait y aller.

Mais elle avait peur qu'il éjacule, qu'il la mette enceinte comme sa mère. Elle lui avait raconté, il le savait mais dans l'état d'esprit où il était, dans la fournaise de leur corps, malgré la fraicheur du couloir, malgré le froid du carrelage sur sa plante des pieds, malgré l'heure tardive, il savait que c'était le moment. Un petit coup de queue et puis hop, il lui déchirerait son hymen et s'enfoncerait en elle.

Il se pencha à nouveau sur elle, bloquant son gland juste à l'entrée de son vagin spongieux, il sentait son gland écartait la membrane protectrice, il embrassa le cou de Charlène puis son oreille, elle frissonna.

- J'y vais ? Demanda-t-il

Elle ne répondait pas, son corps criait oui, son esprit hurlait  non. Elle sentait la pression, il allait entrer en elle, il allait le faire, c'était certain.

- Si tu ne dis pas non... Souffla-t-il, je pends cela pour un oui.

L'adolescente refusait de le croire, il n'allait pas le faire, il fallait quelle parle, tout de suite, qu'elle refuse, qu'elle dise non. La pression se fit plus forte, il allait la déchirer, lui prendre sa dernière virginité.

Les secondes s'écoulèrent, Charlène passa sa langue sur se lèvres, elle ouvrit la bouche, le son de sa voix était rauque, lointain, faible.

- N'éjacule pas dedans murmura-t-elle dans un souffle quasi inaudible...

Soudain, elle fut propulsée vers l'avant. Elle cria lorsque le membre entra d'un coup de toute sa longueur dans on vagin, déchirant son hymen au passage.

- Merci ! Souffla Viktor

Puis il se releva, la prit par le hanches et se mit à la baiser. Trop excité, il y alla de bon train, de grands coups de bite dans son vagin grand ouvert maintenant. Charlène regretta aussitôt ses paroles, elle avait été prise de court, cela avait été si rapide, sans douleur non plus, avant il était à l'extérieur à toquer à la porte, et ensuite d'un coup, elle était devenu femme. Mais à ce rythme il n'allait pas tenir longtemps et se déverser en elle.

Mais le plaisir grimpa si vite qu'elle du se mordre la main à nouveau pour ne pas crier. Chaque mouvement en elle, à chaque fois que le sexe de Viktor la possédait, à chaque mouvement de bassin, elle recevait un choc électrique. C'était si bon, divin, comment avait-elle pu vivre sans cela avant ?

Et elle n'était plus vierge... ça y était elle était femme. 

Viktor n'en croyait pas ses oreilles, elle avait dit oui. Il s'était relevé et en bonne position, d'un bon coup de rein il l'avait dépucelé. Il avait rêvé y aller doucement, sentir la pénétration, jouer avec elle, y aller en douceur, mais le lieu, le moment et l'excitation avaient été trop forts.

Quelle jouissance il avait même faillit éjaculer tout de suite mais avait du prendre sur lui pour se retenir. Maintenant il il allait franco, à la limite, il sentait son sperme près à jaillir, à inonder son vagin à... Il se retira en urgence, glissa plus haut et s'enfonça d'un coup violent dans son cul, alors il éjacula soudainement et avec puissance tapissant l'intérieur du rectum de la fille de son sperme.

Celle-ci fut surprise par ce changement d'orifice mais lorsqu'elle sentit l'explosion en elle, elle en fut si ravie qu'il tienne parole et si excitée par ce qu'elle venait de vivre qu'elle fut transpercée par un orgasme puissant.

Etrangement, ils n'échangèrent pas un mot une fois repu. Comme si la gêne d'avoir fait ça ici et de devoir s'en retourner seuls dans leur chambre respectif cassaient l'ambiance.
Charlène avait mal partout, elle avait l'impression de le sentir encore en elle. Elle puait la sueur et le sexe. Elle ramassa son pyjama et se rhabilla

- Merci souffla Viktor en déposant un baiser sur ses lèvres

- Merci d'avoir finit ailleurs

- Je n'ai jamais vécu cela, avoua-t-il avec franchise, c'était si... magique

- Au dodo maintenant

- Et fais de beaux rêves

Il l'embrassa encore puis elle le repoussa. Elle monterait la première au pire il pourrait se cacher en bas s'il entendait qu'elle discutait avec sa mère.

***

Charlène se nettoya comme elle put avec ses mouchoirs et une crème de jour dans sa chambre. Sa mère ronflait toujours lorsqu'elle était passée devant sa porte. Sauf que sa fille n'était plus la même que celle qui était descendue, maintenant elle n'était plus vierge.

Il était presque une heure du matin. Leurs ébats avait duré si longtemps ? Elle n'en revenait pas du tout. D'une part de ce qui venait de se passer, de comment sa vie était chamboulée depuis l'arrivée de son correspondant, et justement de s'être laissée aller ainsi à toutes ses demandes en si peu de temps. En moins de 8 heures il avait éjaculé dans sa bouche, elle lui avait fait deux fellations et maintenant il venait de la pénétrer devant et derrière.

Roulée en boule dans son lit elle se demandait maintenant si elle avait bien fait. Se souvenir de sa première fois ainsi dans un couloir avec un étranger. D'un autre côté il y avait un soupçons d'étrangeté et de romantisme. Qui pourrait se venter de l'avoir fait ainsi au lieu d'un simple lit lorsque les parents n'étaient pas là ?

Elle passa sa main entre ses jambes, depuis un moment elle voulait savoir. Ses doigts glissèrent entre ses lèvres intimes. Son sexe la picotait un peu, mais elle pu y entrer son doigt sans la résistance dont elle était coutumière. Alors c'était ça être femme ? Ne plus sentir cet hymen empêchant toutes pénétrations ? Pourtant le sexe de Viktor y était entré si facilement, il lui avait suffit que d'un bon coup de rein... Elle passa sa main entre ses fesses et trouva son anus légèrement boursouflé. Un peu piquant aussi. Si elle avait fantasmé que Viktor lui fasse l'amour, ils en avaient même parlé en jouant à action ou vérité, l'option sodomie n'était pas venue sur le tapis, pourtant c'est pas là qu'il avait commencé.

Elle ne lui en voulait pas, dans l'excitation elle en avait eu autant envie que lui, mais la peur qu'il finisse en elle... Heureusement qu'il avait eu le réflexe d'éjaculer ailleurs.
Viktor n'arrivait pas à dormir, sa queue était toujours tendue à la pensée de ce qu'il venait de faire. Si par écrit les deux ados avaient exprimé l'idée de faire l'amour ensemble, maintenant c'était chose faite. Il était content de l'avoir suivit et profité du bon moment, il n'était pas sur que cela pourrait se reproduire, mais au moins il l'avait fait. En mâle orgueilleux il exultait. Avoir fait l'amour avec une petite française, jolie et pucelle de surcroit et à l'insu de sa mère. 

Devait-il s'en réjouir ? Oui pour sur, il avait tellement fantasmé devant les photos de Charlène en danseuse. Il avait rêvé pouvoir lui lécher ses seins, caresser son corps et la posséder. Mais jamais il n'aurait pensé qu'elle soit si réceptive à ses caresses et ses demandes. Rien qu'à repenser à son corps, son cul, son vagin, il se branla vivement en rêvant la rejoindre et la faire jouir toute la nuit. Si ses copains savaient ça ? Surtout son meilleur ami ! Ils se disaient tout sur tout, c'était rare entre garçons, mais son ami était gay et il s'épanchait souvent sur sa vie intime. A cette heure-ci il dormait mais demain, oui demain il lui raconterait tout. Ils avaient tellement partagé ensemble, il serait fier de lui à n'en pas douter.

***

Le réveil fut dur pour les deux adolescents, leur nuit avait été plongé de rêves érotiques et de nombreuses questions, surtout pour Charlène. Viktor lui ne semblait pas souffrir d'inquiétude pour la suite.

Ingrid pensant être une bonne mère couveuse et prévenante, elle n'imaginait pas un instant que sa fille s'était envoyée en l'air avec son correspondant la nuit dernière. Elle joua donc son rôle de parent modèle comme tous les jours.

Mais les deux ados s'échangèrent quelques regards en coin explicites, si seulement elle les avaient mieux observé. Mais vaquant à ses occupations et courant de partout, le matin étant toujours un moment de rush, elle ne surprit pas les œillades complices liant sa fille et son correspondant.

Ce ne fut que sur la route du lycée qu'ils purent enfin échanger leurs impressions. Surprenant Charlène, l'allemand s'arrêta à une pharmacie sur la route, heureusement pas celle habituelle de la famille et lui chuchota à l'oreille qui avait acheté des capotes.
Charlène rougit mais ne répondit rien. Elle n'avait pas imaginé refaire l'amour avec lui, enfin si, non, la folie de la nuit était inattendue pour elle. Bien que, elle s'attendait à quoi à jouer avec le feu devant son clavier. Combien de fois elle s'était masturbé en rêvant qu'il la possède. Maintenant que c'était chose faite, comment devait-elle se comporter ? Sûrement pas en tant que petite-amie, alors là tout le lycée saurait qu'elle se tapait le premier garçon venu. Car c'était un peu ça en fait, elle ne l'avait jamais rencontré jusqu'alors.

C'était tout de même dingue. Elle s'était refusée à des garçons de son propre collège et même à des amis de son frère qui l'avaient dragué, et là, sur un coup de tête, le corps en chaleur, son correspondant lui avait fait la totale !

- J'ai pas beaucoup dormi, révéla-t-il, je n'ai fait que penser à toi

- Pareil, répondit-elle dans un souffle

- J'ai envie de recommencer

- Cela va être difficile et le couloir d'entrée n'est pas le meilleur endroit du monde

- Zut moi qui pensait refaire une pause pipi cette nuit

- Arrêtes, j'ai eu peur que ma mère ne nous découvre la moitié du temps

Viktor ne répondit rien, Charlotte était très proche de sa mère il ne pouvait lui en vouloir

- On va faire comment alors ?

- Je ne sais pas, répondit la jeune fille

- Tu ne veux... plus le faire ?

- Ecoute.. tout ça a été si vite, non ne fait pas cette tête, on était deux hier soir, je n'ai pas dit non, sauf que c'est compliqué à la maison

- Ta mère ?

- Oui, elle a tellement peur que je tombe enceinte si jeune

- On a fait attention hier

- C'était limite, à quelques secondes près tu aurais pu finir en moi

Viktor se tu, ce n'était pas faux. Après coup, son envie et son impulsion à la déflorer avaient prit le dessus sur la raison.

- Désolé...

- Ne le soit pas, tout est arrivé si vite

- Tu regrettes ?

- J'aurai aimé un lieu ou un moment différent, mais qui pourrait se venter d'avoir fait cela à minuit à 2 mètres de sa porte d'entrée !

Viktor rit et la poussa de l'épaule

La journée au lycée fut assez longue, surtout que vu le beau gosse que Charlène avait ramené, cela faisait jaser. D'autant plus qu'elle était l'une des plus belles filles du lycée. Par chance, un de leur prof était absent et ils pouvaient rentrer chez eux plus tôt.
Forcément à la maison sa mère n'était pas encore rentrée de son travail. Charlène appela tout de même, fit le tour au cas où et lorsqu'elle se retourna en haut de l'escalier, Viktor l'avait rejointe un regard pétillant dans les yeux.

- Tu penses à ce que je penses ?

- Qu'il faut travailler les langues ?

Charlène poussa l'allemand dans sa chambre puis celui-ci la poussa sur son lit. Il se jeta sur elle et l'embrassa encore et encore. L'ado commença déjà à respirer fortement. Tous deux s'attaquèrent à leurs habits et en moins de temps qu'il faut pour le dire, ils se retrouvèrent nus tous les deux.

Viktor n'en pouvait plus d'attendre, il attrapa son jean et en tira un préservatif.

- Déjà ? Demanda Charlène à genoux toute nue devant lui

- Faut pas faire attendre la bête

Elle pouffa, il emballa sa queue et sans plus attendre s'allongea sur elle pour la pénétrer.

- C'est quand même mieux sur le lit, souffla-t-elle entre deux gémissements

Celui-ci grinça d'ailleurs le garçon n'y allait pas de main morte. Charlène se retenait tout de même de faire trop de bruit, au cas où avec les voisins. Mais elle montrait tout de même qu'elle appréciait le traitement.

- Viens sur moi, proposa-t-il

Il s'allongea et la jeune fille passa ses jambes au-dessus de lui, attrapa son sexe et s'empala dessus.

- Tu es vraiment trop jolie, grogna-t-il en attrapant un de ses seins et léchant le téton de l'autre.

Charlène se défoulait sur la bite de Viktor comme si elle n'avait attendu que ce jour, enfin plutôt la veille, pour se réveiller et assouvir ses pulsions sexuelles.

- Merde il faut que je mette mon alarme

- Pourquoi ?

- On doit être parti avant que ma mère ne revienne, si elle nous voit ici en rentrant elle se doutera de quelque chose

- Comme quoi ?

- Comme ça, ahhhhhhhhhhh

Elle sauta sur le pieu tendu en faisant voler ses cheveux autour d'elle, puis elle se pencha pour embrasser l'allemand.

- Les françaises sont vraiment torrides, glapit-il sous l'effort

- "les" ? tu en connais d'autres ?

- façon de parler en tout cas je ne regrette pas d'être venu

- Tu parles déjà couramment français

- Pas ma faute si ma mère est française

- Mon téléphone, se rappela-t-elle soudain

Elle se dégagea et farfouilla dans son pantalon, elle en sorti son portable pour assurer une alarme à 30 minutes avant de retour de sa mère.

- Donnes moi ça

- De quoi  ?

- Allez file !

Elle lui tendit son téléphone, il afficha l'appareil et photo et la captura toute nue

- Arrêtes, tu fais quoi là ?

- Tu me les enverras après

- Ni comptes pas, et rends moi ça !

Elle se jeta sur lui, il continuait à la shooter

- Arrêtes, si on tombe sur mon téléphone, on pourrait les voir

- Tu as un double pin ?

- Oui

- Tes parents connaissent les codes ?

- Non 

- Alors tu ne risques rien

Elle se jeta néanmoins sur lui et ils se bâtèrent tous les deux pour tenter d'en prendre possession. Elle finit sur le ventre avec une clé de bras dans le dos.

- Arrêtes

- Attends

- Mais, ahhhhh

Viktor venait de se placer au-dessus d'elle et plongeait son sexe dans le sien

- C'est mieux comme ça ? Demanda-t-il en la faisant gémir

- Vicieux, ahhhhh

Il la tira vers lui et Charlène se retrouva en levrette il la filma alors en train de se faire baiser par derrière sans qu'elle ne s'en rende compte. Mais bon comme c'était son téléphone...

Le smartphone posé sur la table de nuit sonna, Charlène leva la tête et retira la bite de Viktor de sa bouche le repoussant

- Faut qu'on y aille cria-t-elle, faut refaire mon lit, ranger tout ça, se rhabiller et surtout n'oublie pas de jeter la capote dehors !

- Faut vraiment ? J'aime bien te faire l'amour moi

- Si tu ne veux pas prendre le train pour repartir directement chez toi, bouge ton cul et aide moi

Viktor caressa celui de Charlène à la place puis finit par l'aider. Puis une fois prêts, s'assurant que sa mère n'était pas dans les parages, ils sortirent pour se faufiler dans une rue de derrière Viktor jeta la capote usagé contenant son sperme dans un poubelle et il partirent se promener au square pas loin.

- Tu ne regrettes pas... hier, aujourd'hui ?

- Je... J'ai l'impression... En fait, c'est plutôt l'inverse. 

- Quoi ? Demanda-t-il 

- Que j'avais un manque jusqu'à maintenant, enfin pas depuis longtemps, mais mon corps réclamait plus que de simples caresses personnelles

- Tu t'es masturbée lorsqu'on s'écrivait ?

Elle se retourna vers lui l'air outré

- Et toi ?

- Bien sûr, je ne rêvais que de cela, ton corps et tout le reste

- Tu n'as pas failli à ta mission

- Tu n'as pas répondu

Charlène rougit

- Oui, répondit-elle dans un murmure

- Tu crois qu'on pourra recommencer ?

- A la maison, ça sera dur

- Ailleurs alors ?

- Demain soir j'ai entraînement de danse

- Tu vas mettre ton truc moulant ?

- Mon body ?

- Oui, tu es trop jolie avec

- Merci

- Je me suis demandé, tu es nue en dessous ? 

- Espèce de vicieux, d'après toi ?

- Je pense que tu portes une culotte mais en haut, non ?

- Cela dépend de la tenue, mais oui, à plusieurs reprises nous sommes seins nus en-dessous

- Cela m'excite

- Vicieux et... comme beaucoup de mec en plus

- Comment ça ?

- Parce que tu crois qu'une bande d'ado aux jolies formes dansant dans des tenues hyper moulantes n'attirent que des fans de danse classique ? Dans les spectacle il y a toujours une part de vicieux comme toi qui se régale de nous voir se déhancher en s'imaginant que nous sommes tous des gouines ou des salopes

- Je n'y avais pas pensé

- Pourtant tu fantasme sur moi en tenue

- Ce n'est pas pareil, toi je te fais l'amour

- Mais pas avant

- On va faire quoi ensuite ?

- Ensuite quoi ?

- Quand je repartirai... tu vas le dire à tes parents ?

Charlène ne répondit pas, elle y avait déjà pensé. Son premier amour repartirait dans quelques jours la laissant seul à des centaines de kilomètres de lui.

- Non, ils n'ont pas à savoir et... Pour après, je ne sais pas. Tu rencontreras surement une jolie allemande qui te donnera plein de jolis bébés allemands

- Ou alors... on pourrait avoir une relation... à distance ?

Charlène s'arrêta et le regarda droit dans les yeux

- A quoi tu penses exactement ?

- Dans six mois c'est à ton tour de venir

- Et tu penses qu'on va tout reprendre à zéro dans 6 mois ? Faire l'amour dès qu'on peut en cachette dans tous les coins ?

- Pourquoi pas...

- Et ensuite alors ? 

- On pourrait se voir entre-deux, si, on... en parle à nos familles

- Viktor, Cela fait à peine deux jours que tu es là et...

- Je t'aime !

Charlène devint toute blanche, un vent passa et fit danser ses cheveux autour de sa tête, elle les remit en place derrière son oreille.

- Oublie ça, je...

Elle l'attrapa par la veste et le tira à elle, puis l'embrassa

- Répète, lui demanda-t-elle alors

- Je t'aime, dès que je t'ai vu sur les photos, dès que je t'ai vu en vrai, dès que j'ai pu te toucher et je n'arrête pas de revivre ce moment égoïste où je t'ai mis... J'en ai mal au coeur

- Oublie ça tu veux... Viktor, je crois bien aussi avoir des sentiments pour toi, mais je ne sais pas si c'est... parce qu'on fait l'amour ou si c'est plus profond, tu comprends ?

- Tu crois que c'est... que physique ?

- Je... je ne sais pas, tout est difficile, troublant et compliqué. Mon corps te réclame, mais j'ai peur de la réaction de ma mère. Et puis la distance, comment pourrions-nous tenir une relation ainsi ? Aussi loin l'un de l'autre ?

Viktor souffla

- On verra bien, je ne suis pas encore parti

- Oui, on verra bien, murmura-t-elle avant de l'embrasser ignorant superbement les gens qui  marchaient autour d'eux

***

Vers minuit Charlène descendit l'escalier discrètement, elle n'eu pas à attendre longtemps pour voir apparaître Viktor.

- Je me doutais que tu me suivrais, souffla-t-elle les bras autour de son cou en l'embrassant

- Ce que j'aimerai rester avec toi

- C'est trop dangereux

- Oui je sais

- Ma mère dort ?

- Elle ronflait lorsque je suis passé

Charlène tata alors le boxer de nuit de Viktor et trouva ce qu'elle y cherchait, une bite déjà bien dur

- Tu as pris une capote ?

- Zut j'ai oublié... On pourrait faire autrement, murmura-t-il en caressant les fesses de Charlène

- Vicieux

Elle lui prit la main et l'entraîna dans la cuisine

- Tu vas où ?

- Attends, tu verras, j'ai vu ça dans un film

- Porno ?

- Tu veux vraiment le savoir ?

- Oui

- Et oui, je regardais du porno avant.

Elle ouvrit le frigo et en sorti la margarine

- Tu as faim ?

- Oui de toi

Elle lui expliqua et il comprit avec un grand sourire.

Il l'embrassa et l'allongea sur le ventre sur la grande table de la cuisine. Il descendit son short de nuit et commença à la caresser. Puis il prit de la matière grasse pour lui beurrer le petit trou

- Ahhh, c'est froid

- Ce n'est pas mon idée

Charlène sentit un doigt inquisiteur lui fouiller le derrière, les coudes sous le menton, le cul offert, elle fixait le vide attendant la suite.

Viktor beurra aussi son sexe et l'approcha de l'anus huileux puis il poussa dessus. Charlène le sentit s'enfoncer en elle, d'abord le bout fin puis le reste de son sexe plus gros. 

- Ca glisse bien, murmura le garçon en commençant à l'enculer

La table étant massive, les mouvements du coït de nuit ne s'entendait pas. La jeune fille commença à respirer plus lourdement. Elle le sentait en elle et cela lui suffisait.

Tout à coup, l'escalier s'alluma et le jeune couple entendirent les pas de la mère de Charlène dedans; Viktor ne bougea plus au plus profond du cul de l'ado, celle-ci plaqua sa main sur sa bouche, les yeux remplis de craintes.

Ingrid, à moitié endormie, trottait doucement avec sa veilleuse vers le couloir, vers les toilettes du bas, ceux qui faisaient moins de bruit que ceux d'en haut.

- Merde souffla Viktor qui s'était couchée sur la jeune fille paralysée et aussi pour être moins visible. Même s'ils n'avaient pas allumé la cuisine, une forme debout pourrait se voir.

- Chut souffla Charlène, tu fais quoi là ?

Viktor ne pouvait s'empêcher de boucher son bassin, juste de petits mouvements invisibles mais cela chauffait d'autant plus le ventre de sa compagne

- Arrêtes...

- Chut, lui murmura-t-il en réponse tout en continuant à l'enculer

Au bout d'un moment, la chasse d'eau fut tirée et la lumière réapparue dans le couloir, puis dans le salon, les ados se trouvant dans la cuisine, ils avaient une pleine vue sur la mère d'Ingrid et par malheur, il suffirait qu'elle lève la tête et regarde dans leur direction pour, peut-être les voir, et là cela serait la catastrophe. 

Mais Ingrid en longue chemise de nuit, à moitié endormie, alla tout droit vers l'escalier, après tout pour elle sa jolie petite fille et son invité dormaient chacun dans leur chambre. Les marches grincèrent et finalement ils l'entendirent fermer sa porte.
Viktor se releva alors d'un coup, attrapa les hanches de la jeune fille et se mit à lui assainer de grands coups de butoir. Sa peau claquait contre celle de Charlène, il la sentait tendue après le passage de sa mère mais la margarine aidait grassement le passage de son sexe en elle. D'ailleurs ainsi, elle paraissait moins serrée que le première fois. Il s'en donna alors à coeur joie en faisant gémir l'adolescente qui avait du mal à rester silencieuse.

La cuisine était envahie du bruit de la férocité du coït. Demain, pensa Charlène, elle mangerait à la même place, plus jamais elle ne verrait cette table de la même façon. Comme la première fois, elle le sentit de tendre et peu après il se déversa en elle. 
Essoufflée, la fatigue la rattrapa, à ce rythme elle en teindrait pas. Toujours sa queue fixée en elle, il la releva et passa une main par devant, il lui releva une jambe sur une chaise et commença à la branler. Elle se laissa aller contre son torse tout en agrippant son bras. Il était immonde, il la faisait jouir encore et encore, elle n'en pouvait plus et laisser passer de plus en plus son émotion. Si sa mère redescendait et les voyait ainsi !
Enfin, elle s'arqua une dernière fois et lui demanda d'arrêter.

Elle le sentit quitter son cul et elle s'affala sur la chaise.

- Je n'en peux plus, murmura-t-elle en reprenant son souffle.

- Moi aussi, avoua-t-il la caressant

- Tu fais comment pour être toujours en forme ?

- D'après-toi ? C'est facile avec toi à côté de moi qui pourrait résister ?

Elle lui sourit puis se leva pour se servir un verre d'eau. Elle grimaça en se déplaçant.

- J'ai l'impression d'avoir un kilo de beurre entre les fesses, ce n'était pas une si bonne idée

Il pouffa et alla l'embrasser

- Moi j'ai trouvé plutôt cela grassement jouissif

- T'es con, ria-t-elle doucement

- Mais je t'aime, lui murmura-t-il en la collant

- Moi...aussi, répondit-elle en l'embrassant

Une fois nettoyé avec un peu de sopalin, sans oublier les traces sur la table et la margarine au frigo, les deux ados regagnèrent leur chambre l'un après l'autre en catimini. En passant devant la chambre parentale, elle entendit sa mère ronfler, tant mieux.

Viktor devait se l'avouer, ce n'était pas des mensonges, il était tombé amoureux de la petite française. Il faut dire qu'avec tous ces échanges privés, elle l'avait bien chauffé aussi et maintenant qu'ils faisaient l'amour, c'était du réel et non plus des fantasmes la bite dans la main un mouchoir dans l'autre.

Comment allaient-ils gérer la suite ? Cela le tracassa mais la fatigue l'emporta et il s'endormi des rêves plein la tête. Au cours de la prochaine nuit, si la chance était encore de leur côté, il prendrait une capote avec lui.

A suivre 
***
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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Adorable Charlène ! Encore pucelle et déjà chaude comme la braise ???????????? Elle m'a fait bander du début à la fin ????
Posté le 26/11/2022

Émeraude08
Une histoire délicieuse ! Vous êtes génial ! J'attends la suite avec impatience!
Posté le 14/02/2022


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