Histoire Erotique

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Pour l'amour de Dieu chap 5

Le jeune pasteur et son épouse vont devoir lutter contre leurs pulsions, la cérémonie de la tribu sauvage est bien plus difficile que prévu. Le couple essaie de repousser la tentation, ils doivent tenir jusqu'à l'aube sans quoi l'époux deviendra un momocou et l'épouse une femme de la tribu.

Proposée le 5/12/2021 par cerisemoche

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Thème: SM, bondage
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


La fête commençait sous un quartier de lune en plein milieu de la jungle, moi et mon épouse devions tenir jusqu'à l'aube pour être accepté dans la tribu. Ensuite je pourrais accomplir l’œuvre de Dieu en répandent la Bonne Nouvelle. Bien que nous avions donné notre accord pour participer à la cérémonie et tout qu'elle comportait, ça n'en restait pas moins une sacré épreuve à passer. Mon cœur s'accéléra aux rythmes des tam-tams. Non loin du ruisseau qui traversait la faille géologique j'étais allongé sur le dos, jambes fléchies, les mains et les chevilles attaché par paire directrice. J'avais été placé dans le cercle délimité par des lianes tressées que je ne devais pas franchir sous peine de devenir aux yeux de la tribu un momocou, titre qui avait une consonance insultante. Mon épouse était à moins de cinq mètres debout les mains attachés dans le dos encadré par Rofili et Marie. Éparpillé autour de nous quatre une cinquantaine d'hommes et de femmes armés de lances et de gourdins initièrent une danse, leurs cris sporadiques raisonnaient dans la faille. Plusieurs grandes gourdes d'alcool passaient de bouche en bouche, la tribu se lâchait toujours plus. Accompagnant les tam-tams certains danseurs avaient fixé aux chevilles des sortes de carillons qui retentissaient à chaque pas, d'autres danseurs secouaient un instrument ressemblant à des castagnettes.

Mon cœur s'accéléra encore quand Rofili et Marie commencèrent à déshabiller mon épouse. Dans tout ce que m'avait raconté le pasteur Charles-Michel sur cette cérémonie la nudité bien plus que la tentation que je savais pourvoir rejeter m'avait le plus gêné, en cette nuit sous les tropiques la chaleur moite s'y prêtait pourtant bien. Marie l'aînée des deux défit d'abord le chignon de Katharina faisant cascadé une mer de lave sur ses épaules, Rofili la cadette agenouillé sur un côté de mon épouse coupa sa ceinture avec un poignard avant de faire sauté les boutons de la braguette. J'eus honte de ressentir un début d'excitation à cette effeuillage mais je ne pouvais rien n'y faire d'autant que les deux femmes n'étaient pas vilaine bien au contraire. Rofili devait avoir à peine dix huit ans une mine angélique, elle était coiffé comme Brigitte et beaucoup d'autres jeunes femmes. Les tempes et la nuque rasé laissant une large crête de cheveux crépus coiffé en hérisson d'une dizaine de centimètres. Elle avait de petits seins en citron et des fesses rebondis qu'une courte bande de tissue rouge cachait.

L'aînée Marie avait pas loin de la trentaine, plus en chair elle avait ses longs cheveux crépus coiffé en multiples tresses qui couraient en spirale sur son crane pour s'enrouler à son sommet comme une couronne. Elle avait un visage équilibré plutôt anguleux qui lui donnait un air sévère, des seins moyens et des fesses presque aussi ronde que mon épouse. Toutes les trois, Marie, Rofili et Katharina dégageaient une sensualité indéniable. Rofili agenouillé continua son œuvre, son poignard sans doute volé aux profanateurs de leur territoire glissa sous la manche du pantalon au niveau de la cheville pour venir doucement le découper dans la longueur. Malgré cette lame acérée qui remontait sur sa jambe Katharina n’affichait aucune peur, elle avait confiance en cette tribu qui nous avait bien accueilli, j'entendis plusieurs hommes pousser des cris indignes à ses jambes dévoilées. La peau clair de mon épouse contrasté avec celle noire des deux jeunes femmes, à ma surprise mon épouse avait mis une culotte en dentelles jaune qui intrigua Rofili, ses petits doigts se posèrent sur l'étoffe qui épousait le sacré de mon épouse. Je refluais l’excitation qui en découla tout en me disant qu'elle aurait pu mettre une culotte moins provocante. Marie passé dans le dos de mon épouse posa ses mains sur sa généreuse poitrine, ses doigts coururent sur la chemise kaki aux multiples poches.

Rofili et Marie tardèrent à continuer leur œuvre, elles continuèrent à découvrir de leurs mains le corps voluptueux ce qui n’eut pas l'air de déplaire à mon épouse. Je fini par comprendre que ces deux femmes tactiles qui levaient régulièrement leurs yeux vers moi se plaçaient de façon à ce que je n'en loupe pas une miette. J'étais la cible de leur manège, la tentation pour devenir un momocou avait commencé. Cela me fit un drôle d'effet, attaché je n'avais pas de mal à me voir comme une proie scruté par deux louves. Marie d'un geste sec fit sauter tout les boutons de la chemise de mon épouse. Plusieurs femmes qui nous entouraient se pressèrent de les ramasser, sans doute pour leurs coiffes. Quand aux hommes ils poussèrent des cris de joie aux deux lourds seins exposées au clair de lune, Katharina n'avait pas de soutien-gorge. Ses mamelons presque plat me furent rapidement caché par deux mains noire, tout en me regardant par dessus une épaule Marie les malaxa. Encore une fois Katharina n'eut aucun mouvement de recule, ça lui plaisait même d'être le centre d’intérêt de deux jolies jeunes femmes. Rofili continua à courir ses doigts sur ses jambes galbées de mon épouse remontant régulièrement caresser la fine étoffe de la culotte. Les coups d’œils répétés de Marie et Rofili plein de provocation bien plus que leur mains sur mon épouse me troublèrent, je détournais la tête sur que si j'en voyais plus ma queue prendrait tout son volume.

Sous la musique entraînante je me concentrais sur la voie lactée en priant Dieu de protéger mon épouse, si il lui arrivait quoi que ce soit jamais je me le pardonnerais. La danse de la tribu prit une autre tournure, plus violente, plus sauvage. Certains dansaient très près de mon cercle, je vis alors des hommes débarrassé de tout vêtement. Toujours allongé sur le dos, les mains attachées aux chevilles dans une position grotesque mon regard fut accroché par des bijoux de famille qui se balançaient librement aux rythmes des percutions. Ce fut très dure pour moi de ne pas penser que l'un d'eux dans le plus simple appareil allait tôt ou tard caresser mon épouse pour la tenter. Dieu me mettait à l'épreuve j'en étais convaincu, surmonter mes peurs, ma pudeur, la tentation charnel. Je me projetais vers l'après cérémonie, la porte à l'évangélisation de la tribu me serrait ouverte. Je m'accrochais à cette objectif sacré en observant les hommes des bois danser autour de moi. Ils étaient tous chasseur-cueilleurs, pas un gros, pas même une parcelle de gras. Le clair de lune et les flammes faisaient luire leurs peaux noires perlé de sueur, je pouvais voir les lignes de leurs muscles se dessiner à chaque mouvement. Même détaché je ne pourrais jamais physiquement défendre mon épouse, mon impuissance n'était plus du qu'aux liens.

Poussant des cris virils qui m’impressionnaient toujours autant les hommes des bois reléguant les femmes derrière eux formèrent un arc de cercle autour de Katharina. J'eus le souffle coupé en regardant de nouveau dans sa direction. Planté au milieux du ruisseau entièrement nue Katharina était maintenant assise sur une sorte de tabouret sans siège, les deux jeunes femmes avec des gobelets la lavaient à grand eau. Les hommes la lorgnaient comme des chiens affamés, ils étaient quasi tous nus et passablement excités. Continuant à danser plusieurs hommes s'approchèrent de Katharina, ils bandèrent leurs muscles, poussèrent des cris viril, grimaçaient, se tapaient cuisses et tors. Puis ils s'écartaient pour laisser la place à d'autres, j'y voyais une parade amoureuse d'un autre temps.

Je fus frappé de constater que mon épouse accommodait de la revue des troupes, mieux même elle regardait ces hommes nus avec intérêt, allant jusqu'à sourire à certains. Ma jalousie monta en flèche, mes liens me fut moins supportable. Le pasteur Charles-Michel avait beau m'avoir prévenu le vivre était bien plus percutant. Toujours assises sur le tabouret mon épouse sous le soin des deux femmes entrouvrir ses cuisses impudiquement, ses yeux croisèrent les miens comme pour me provoquer d'avantage. Elle voulait que je sache que les deux jeunes et jolies femmes lui donnaient du plaisir. Confus d'un tel message qui m'échauffa les sangs je baissais les yeux, ce qu'elle du prendre pour un assentiment à continuer. Rofili à l'aide d'un gobelet lui versait régulièrement de l'eau sur ses épaules, Marie passait sur le corps une sorte de pierre ponce. Le souffle court je vis la petite main de la cadette suivre le ruissellement de l'eau vers l'intimité de mon épouse. Placé pile poil dans ma direction à la lueur de la lune la silhouette de sa vulve m'était visible avant d'être couverte d'une main noire, mon épouse ferma les yeux à ce geste. Entouré d'une trentaine d'hommes Katharina laissait les deux femmes lui écarter encore d'avantage les cuisses, je devinais qu'elle se retenait d'exprimer son plaisir. J'aurais du détourner la tête, me concentrer sur la prière mais je n'étais plus capable de quitter cette scène obscène. Les hommes qui l'encadraient en dansant et en poussant des cris commençaient à avoir leurs sexes aussi tendu que le mien. J'avais l'impression d'avoir commis une folie en entraînant mon épouse dans ce lieux, l'épreuve ne me paraissait plus aussi facile.

Alternant les deux femmes passèrent leurs mains entre les cuisses de mon épouse, leurs yeux venaient croiser les miens pour me tourmenter d'avantage. Je bandais comme un âne, je n'arrivais plus à prier, m'en trouvais indigne. Impuissant à lutter contre mes pulsions je regardais mon épouse retenir son plaisir en se mordant la lèvre inférieur. Ses lourds seins étaient plus honnête, sous les doigts adroits des deux femmes j'aperçus ses mamelons si discrets commencer à pointer. Les tam-tams et les autres instruments de musique couvrir les premiers soupirs de mon épouse, quelques uns me parvinrent qui m’inquiétèrent. Elle rentrait malgré bon-gré dans la cérémonie, je priais pour qu'elle soit assez forte pour tenir jusqu'à l'aube.

Les deux tentatrices finirent de la laver, ruisselante d'eau mon épouse fut conduite vers moi. Arrêté à la limite du cercle Katharina nue les mains attachés dans le dos m'adressa un sourire complice. Elle était planté du côté de ma tête, en contre plongé j'avais une vue imprenable sur sa chatte. Une vague de chaleur afflua à la vue de sa fente luisante don les petites lèvres gonflées de plaisir dépassaient légèrement des grandes, la cérémonie lui plaisait énormément ça ne faisait plus aucun doute. Comme un essaim d'abeilles les hommes suivirent le mouvement en poussant des cris de concert, Bokamao ne se détachait pas de ses hommes. Comme eux il attendait son tour pour venir à moins d'un mètre de mon épouse danser, taper le sol de sa lance, bomber le tors, montrer sans pudeur son sexe dressé. Mon épouse devait choisir nous avait dit le pasteur, un seul des hommes des bois pourrait la pousser à l'adultère, ce qui était pour moi une maigre consolation. Pendant que les hommes continuaient de parader ce qui au final n'était pas éloigné de nos boite de nuit Marie ramena une grande coupe en bois qu'elle posa entre les pieds de mon épouse et le cercle de lianes que je ne devais pas franchir. Je sentais le parfum plutôt agréable d'une sorte d'huile. Rofili sur un côté Marie dans le dos de mon épouse commencèrent à courir leurs mains l'huileuses sur son corps, Katharina se mordit encore une fois la lèvre inférieur de peur qu'à travers les percutions je l'entende soupirer.

Suant à grosses gouttes je suivais des yeux les mains noires qui couraient sur la peau clair de mon épouse. Sa généreuse poitrine malaxé avec adresse avaient pris du volume, ses mamelons régulièrement poussé par des doigts étaient bien visible. Les yeux clos, la bouche entre ouverte Katharina luisante du cou aux pieds commença à pousser des expirations de contentement. D'elle même mon épouse écarta ostensiblement ses jambes pour inviter une des quatre mains à apaiser le feux de son bas ventre. Des hommes continuèrent à lui tourner autour l'obligeant par des cris virils à ouvrir les yeux, mon épouse allait devoir choisir sous peu l'homme qui la tenterait. Toujours sur le dos je restais médusé sur les fins doigts de Rofili qui passèrent sur la fente de mon épouse, puis pour accentuer mon état Rofili écarta de ses doigts les grandes lèvres. Je pouvais voir le rose chair luisant d'huile et de cyprine, sous la chaleur qui m’envahit ma queue palpita.

Mon épouse m'accordait de moins en moins d'attention, son regard était porté sur les hommes qui se déhanchaient autour de mon cercle. Aucuns d'eux n'avaient posé ne serrait-ce qu'un bout de pied sur les lianes tressées qui nous séparaient, leurs armes toujours en mains, leurs corps toniques, leur cris viril. Tout cela me fit penser que j'étais dans une cage à requin et que pour ma sécurité valait mieux que j'y reste.

Marie et Rofili firent tomber leur courte bande de tissus qui cintraient leurs hanches. Totalement nues ne gardant que d'étranges bijoux fait de plumes et d'os d'oiseaux elles continuèrent à caresser mon épouse qui fini par s'adosser contre l'aînée. J'avais la tête quasi entre leurs jambes, voir leurs deux chattes m'enflamma pour de bon. Marie dans le dos de mon épouse amorça un petit mouvement de bassin en continuant à malaxer ses lourds seins, Rofili accroupie sur le côté continua à faire jouer ses doigts sur sa fente. Katharina à ces caresses ne pu retenir plus longtemps ses soupirs, sa voix accompagna les percutions. Pire elle laissa son regard concupiscent vagabonder sur les hommes quasi en trans qui ne cessaient de lui tourner autour. L'un d'eux armé d'un long gourdin frappa le sol avec avant de sauter comme un cabri en touchant presque mon épouse à sa réception. Il était jeune à peine dix huit ans ce faisait appelé Macoura. Ses yeux quasi fou captèrent ceux de mon épouse qui dès lors ne les quitta plus. Svelte il avait des cheveux crépus mi long qui engobaient un visage aplati, son nez épaté me paraissait cassé comme les boxers, il avait d'épaisses lèvres, une mâchoire saillante. Il arborait plusieurs cicatrices don une lui barré en diagonal un pectoral. Mon cœur manqua un battement quand mon regard descendit sur sa demi mole. Mon épouse avait-elle vu l'engin entre ses jambes, veineux se balançant aux rythmes de ses pas il devait au moins faire vingt centimètres. Mais c'est sont épaisseur qui m'impressionna le plus, peut être largeur de mon poignet.

Aux cris de toute la tribu qui retentit jusqu'aux cimes des arbres je compris que mon épouse venait de choisi l'homme qui devrait la tenter. Comme un seul homme les éconduits reculèrent de plusieurs mètres en apostrophant l'élu, ils avaient l'air de l'encourager. Macoura seul avec mon épouse et les deux jeunes femmes affichait la joie de ses dents blanche qui dans la nuit brillaient comme des phares. Il continua à tourner autour de mon épouse en dansant aux rythmes des percutions en faisant voler au dessus de sa tête son gourdin, démontrant son adresse et sa force.

Toujours accroupit Rofili masturbant mon épouse fini par attraper l'épaisse et longue queue du jeune homme qui arrêta de danser. Le message me fut limpide, Rofili approchait les deux sexes. Je fus pris d'une terrible jalousie quand Macoura posa sa main sur la hanche de mon épouse. Katharina rouge jusqu'aux oreilles soutenu le regard enfiévré du jeune excité, à ma grande crainte son imposante queue pris tout son volume. Le souffle coupé je vis Rofili poser ses lèvres sur le gland massif en courant ses doigts sur le manche, le jeune homme enserra d'avantage mon épouse par la hanche. Épaule contre épaule leurs visages étaient tourné l'un vers l'autre, leurs sexes vers moi, encore une fois Marie et Rofili voulaient me tourmenter. Nous étions en pleine cérémonie, ce que j'avais craint était entrain de ce produire. De ce que j'avais compris faire succomber mon épouse démontrait la force de la tribu. Faire de moi un momocou démontait ma faiblesse de ma tribu.

Les deux jeunes femmes s'occupèrent chacun des apprenties amants. Marie restait dans le dos de mon épouse, elle pinçait, étirait, roulait ses doigts huileux sur des mamelons fièrement dressés. Rofili accroupit de profil sur le côté du jeune homme léchait, suçait, dardait de sa langue l'imposant engin. Moi j'étais sur le dos complètement déboussolé par mes émotions qui me déchiraient le cœur, tout allait trop vite je n'étais pas prêt à encaisser tout ça. Mon épouse se rapprochait inexorablement des lèvres du jeune homme qui la dépassait d'une demi tête, ma jalousie qui en découla devait cohabiter avec la naissance de vils pulsions. Je n'arrivais pas à refluer le plaisir malsain à contempler en contre plongé mon épouse prendre du plaisir avec un autre.

Macoura avec douceur qui dénotait avec sa danse guerrière passa une main sur la joue de mon épouse. Je pouvais entendre la respiration haletante de Katharina, voir ses yeux briller à cette proposition tacite. À ses pieds j'aurais pu lui dire de se reprendre, de détourner la tête mais rien ne me vient. Lentement les épaisses lèvres de l'élu se posèrent sur celle de mon épouse, sous les percutions des tam-tams ils s'embrassèrent tendrement. Les deux jeunes femmes continuèrent de les caresser, Rofili suçait l'engin avec fougueux. Marie toujours dans le dos de mon épouse malaxait sa lourde poitrine. J'avais beau me dire que c'était une épreuve qui m'ouvrirait la porte de évangélisation de la tribu j'en restais très affecté, le coup était dur d'autant plus dur qu'une partie de moi s'en excitait.

De trois quarts Katharina et Macoura comme seul au monde continuèrent à s'embrasser, je voyais clairement leurs langues se chercher. Mon épouse commença à ondulé contre Marie, sa chatte n'était plus caressé, à ses soupirs je compris qu'elle s'en plaignait. Encore une fois je restais sans réaction à ce geste qui allait dans le sens de la tribu. Sous la langue du jeune homme Katharina avait clairement envie de prendre du plaisir, je n'arrivais même pas à lui en vouloir. Dieu sait comment j'aurais réagi si deux séduisantes jeunes femmes m'avaient chauffé ainsi en courant leurs mains l'huileuse sur mon corps. Regardant en contre-plongé les écarts de mon épouse un moment, je fus attiré par ce que Rofili faisait. L'engin pourtant conséquent était avalé par elle sans difficulté, sa langue roulait sous le gland avant de disparaître dans sa bouche sous des bruits de gorge. Rofili recrachait de temps en temps l'engin ruisselant de sa bave, à ces instants courant sa bouche sur le manche elle prenait un malin plaisir à plongé son regard dans le mien. J'avais honte mais j'étais incapable de détourner les yeux de cette acte extrêmement obscène, d'autant que je voyais aussi deux chattes se chercher. Marie continuait de donner de petits coups de bassin, mon épouse y répondait en bougeant en rythme.

J'avais beau être immobile je transpirais autant que les danseurs, l'un d'eux sans renter dans le cercle me tendit le bec d'une gourde. Je voulais garder toute mes facultés déjà émoussé par le spectacle obscène mais la soif était plus forte, je buvais plusieurs gorgés avant de remercier cette bonne âme. J'avais l'impression que les tam-tams dirigeaient mon épouse et son élu, leur baisé devint plus fougueux. Macoura aventura sa main sur un des seins de mon épouse qui soupira, visiblement la main n'était pas si rugueuse. Katharina avait beau être attaché les mains dans le dos tout son être trahissait son consentement. Ses cheveux de feux qui cascadaient dans son dos encadraient un visage rougit, ses carotides palpitaient, sa lourdes poitrines pointaient de désir, sa fente ouverte comme une fleur laissait un filé de nectar couler le long d'une cuisse. À ce constat jalousie et vils pulsions m’étouffaient, j'avais à la fois envie qu'ils arrêtent et à la foi qu'ils aillent plus loin. Toute mon éducation de pasteur s’étiolait, dans cette faille géologique entouré d'une forêt luxuriante, bercé par les percutions en tout genre j'avais l’impression que cela réveillé ma nature animal. Je perdais pieds et j'en avais conscience sans pour autant trouver une contre mesure.


Rofili sorti une énième foi de sa bouche l'épaisse et longue queue noire qui se dressait fièrement vers les étoiles. Agenouillé le menton baveux elle se penchant sur moi, têtes bêches elle trouva mes lèvres entrouverte de surprise, sa langue intrusive poussa la mienne. Je tirais sur mes liens en gémissant mon refus d'autant que je percevais un goût viril mélangé à sa salive mais la jeune femme continua à jouer sa langue sur la mienne. Ses mains coururent sur mon tors avant qu'une ne se pose sur la bosse qui déformait mon pantalon. J'arrêtais aussitôt de me débattre, j'avais été si touché par le spectacle obscène que mon corps brûlait déjà d’exulter. Marie lui parla dans leur langue, se redressant Rofili me sourit de toute ses dents. « Tu as bon goût momocou. » Je ne sus que répondre tant le ton était dénué de mépris, elle repris en main la queue du jeune homme pour reprendre sa fellation. Je restais un instant décontenancé par ce baisé volé, puis je levais mes yeux vers mon épouse qui expirait sa frustration sans pudeur. Son élu continuait à l'embrassait, Marie dans son dos continuait à caresser ses seins mais aucun des deux ne descendaient ses doigts vers le triangle cuivré. Katharina ondulait de plus belle en poussant de petites plaintes qui se perdirent dans les percutions, elle aussi perdait pieds.


Rofili après avoir avaler un bon tiers de l'engin le recracha pour se tourner vers moi. Cette fois je fermais la bouche, une partie de moi avait envie de retrouver ses lèvres mais une autre se troublait d'y sentir le liquide pré-séminal d'un homme. « Pasteur, me dit-elle d'une voix douce teinté d'accent. Un momocou a l'honneur de préparer le sexe d'une femme en vu d'un coïte, si tu le désirs tu peux sans sortir du cercle lécher ton épouse. » À cette proposition j'eus la poitrine compressé par une boule de chaleur, je levais mes yeux vers la fentes rose chair luisante de nectar avant de me reprendre. J'étais pasteur comme elle l'avait dit, jamais je ne pourrais me compromettre devant toute la tribu don j'étais censé être le modèle à suivre. « Nous ne faisons pas ce genre de chose, mentis-je effrontément. » Si tout les hommes évitaient soigneusement de rentrer dans mon cercle de lianes tressées la cadette y posa les deux pieds. Face à moi Rofili vint s’asseoir sur mes genoux fléchis par mes liens. La boule de chaleur qui me compressait le tors grandi encore quand elle posa ses pieds de chaque côté de mes bras pour exposer sa vulve glabre. Je pouvais distinguer au clair de lune et aux flammes environnantes des lèvres intimes virant vers l’intérieure de sombre à rose chair qui comme mon épouse luisait de nectar. Avoir sucé le jeune homme l'avait bien excité. Avec son air coquin je la voyais déjà me faire la même chose, rejetant ces pensées déviantes avec peine je tournais la tête à la tentation, à toutes les tentations.

Les soupirs de mon épouse qui devait continuer à se dodeliner contre Marie en embrassant sans retenue son élu furent rejoint par la Rofili. Je sentais son poids sur mes genoux, j'aurais du en rester là en continuant à regarder les multiples pieds de la tribu qui battaient le sol en poussant des cris de joies mais le son ténu de la jeune femme fini par me faire redresser la tête. Rofile sur son trône se caressait d'une main un sein, l'autre s'activait entre ses cuisses, son regard sur moi était d'une telle provocation que sans mes liens je ne sais pas ce que j'aurais fait. Mon sang en fut fouetté, je n'arrivais ni à détourner la tête ni même à penser. Son corps tonique aux formes modestes perlé de sueur m'enflamma, mon épouse avait beau être au dessus de ma tête j'en regardais une autre. Plongeant dans mon regard Rofili continua à se faire du bien en passant d'un sein à l'autre en poussant de petits soupirs réguliers. Je restais médusé sur ses doigts visqueux qui glissaient contre sa vulve, par moment le majeur disparaissait.

Entre elle est mon épouse je commençais à avoir du mal à rejeter mes envies de baiser, je comprenais pourquoi la cérémonie exigeait que l'on m'attache. Ma queue compressé dans mon pantalon à peine effleuré depuis le début commençait à m'incommoder. Je pris plusieurs grandes inspirations pour me concentrer sur une prière mais rien n'y fit mon excitation ne faisait que croître. Voyant ma faiblesse qui devait se lire sur mon visage tant mes joues me brûlaient Rofili me tendit sa main poisseuse. Je savais pécher, je savais aussi que mille yeux m’observaient pourtant je fus incapable de résister à la tentation. Je suçais aussitôt les petits doigts tendus, avec bonheur j'emplis ma bouche du jus d'amour. J'étais mortifié mais incapable de m'arrêter, même la chaleur des doigts me plaisaient. J'avais envie d'être aussi caressé, le désirais secrètement. Rofili reprit sa masturbation, à ce moment les beaux yeux verts de mon épouse se posèrent sur moi m'évoquant l'amour qui gonfla mon cœur de bonheur, elle ne m'en voulait pas du tout pour mon écart.

Marie d'un côté Macoura de l'autre couvraient mon épouse de baisés. Ils léchaient son cou, suçaient ses seins, leurs mains huileuses glissaient sur la peau claire en évitant le triangle cuivré. Je voyais bien que Katharina supportait de moins en moins ses liens, comme moi malgré la présence de toute tribu elle avait envie de se toucher. Les doigts poisseux de Rofili revint à mes lèvres, je les suçais avec avidité en demandant des yeux pardon à mon épouse. Celle ci continua à vibrer sous les quatre mains sans prononcé d'autres sons que des appelles à la baiser, son visage était défait par le plaisir, son fin nez retroussé était rouge que ses joues. Katharina sans plus de pudeur gémit de plus belle en ondulant du bassin, puis n'y tenant plus elle m'adressa la parole d'une voix suppliante. « Mon lapin ils vont finir par me rendre folle, tu pourrais me lécher la chatte comme l'a proposé Rofili. » Sans toute la tribu qui dansait en nous observant mais surtout sans le pasteur Charles-Michel et ses filles j'aurais accédé à sa demande. Je ne pouvais pas m’exhiber ainsi encore moins préparer le sexe de mon épouse comme avait dit Rofili, devinant que la queue qui la prendrait ne serait pas la mienne. Tout en m'alarmant sur notre situation qui avait déjà bien dérapé je pris conscience que je suçais toujours les petits doigts de la cadette. Doutant de mes forces moral pour la première fois, je me jurais de ne plus me laisser aller en tournant la tête à toutes les tentations. « L’Éternel est mon berger, murmurais-je. Je ne manque de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages. Il me dirige près des eaux paisibles. Il restaure mon âme. Il me conduit dans les sentiers de la vie juste. »

Je pensais arriver à me reprendre par la prière quand je sentis la cadette quitter mes genoux pour venir les écarter, aussitôt je l'imaginais me sucer comme elle avait sucé le jeune homme. Mes liens qui fixaient mes poignets à mes chevilles ne m’empêchaient pas de serrer les jambes, pourtant j'étais incapable de fermer le chemin à Rofili qui à quatre pattes avança telle une panthère entre. Elle devina mes pensées, mes espérances, je le voyais à ses yeux joueurs quand sa bouche se posa sur la bosse qui déformait mon pantalon. Mes liens me dédouanaient de tout péché, si elle voulait me sucer je n'étais pas en mesure de l’empêcher. Aussitôt ma façon de penser m'indigna, je ne me reconnaissais plus, Dieu savait bien que j'en mourais d'envie et j'essayais de le Lui cacher. Je retins un soupir d’agacement quand Rofili remonta sur mon ventre, avançant encore elle vint me lécher le cou en prenant garde à ne pas s'appuyer contre mon sexe. Sous le suçon de Rofili je retrouvais des yeux mon épouse qui ondulait sous les quatre mains, Macoura à demi penché lui suçait un sein de l'autre côté Marie lui suçait le lobe d'une oreille. Katharina se tourna vers Marie à porté de bouche, je la revoyais avec la même envie embrasser de la même manière Thérèse. J'en étais troublé, il ne faisait plus aucun doute que mon épouse aimait aussi les femmes, leurs langues se trouvèrent avec passion.

Rofili fini par me boucher la vu, à un souffle de ses lèvres je ne pu résister à relever la tête pour l'embrasser. Sous les vibrations de la tribu qui tambourinait le sol de leurs pieds en poussant des cris joyeux à cette cérémonie qui tournait à leur avantage je poussais un soupir à la langue joueuse de la jeune femme. Nue sur moi Dieu sait que sans mes liens j'aurais eu du mal à ne pas la baiser, je m'enfonçais inexorablement dans la luxure. Sous le fougue baisé ma volonté d'être un pasteur irréprochable faiblissait. Je tirais sur mes liens pour crasser les petits fesses rebondis de Rofili qui fini par m'enjamber pour avancer sur mon corps. Sa bouche laissa place à un petit sein que je suçais en expirant mon bonheur.

Sous le rythme des tam-tams, le brouhahas des danseurs, les soupirs de mon épouse, je léchais et suçais à tour de rôle la frêle poitrine. J'étais en feux, l'odeur, la texture, la douceur des seins ainsi que les petits soupirs que j'arrachais à Rofili me faisaient perdre toute pudeur. Quand elle avança encore sur moi je léchais la sueur de son ventre tonique, je savais où elle voulait me conduire, j'en mourais d'envie. Passant ses genoux entre ma tête elle se redressa en me couvant d'un regard vorace, moi je ne quittais pas sa vulve des yeux. Coincé entre les grandes les petites lèvres sombres aux extrémités viraient au rose chair, luisante de nectar je relevais la tête sans même y penser. D'une main ferme Rofili me repoussa en riant, mon épouse avait raison ils voulaient nous rendre fou. «  Avant de me butiner mon petit momocou, me dit-elle d'un ton taquin. Donne à ton épouse la même liberté. Laisse la prendre son envole, abandonnes à d'autres ce qui jusque là n'appartenait cas toi. » Je négociais avec moi même, trouvant des excuses pour céder encore du terrain à la tribu, levant mes yeux vers mon épouse qui avait déjà péché de la sorte avec Thérèse je me dis qu'un de plus ne changerait pas grand chose. « Katharina si tu en as envie tu peux...tu peux lécher une femme. Pour cette nuit restons simplement fidèle, d'accord ? » « D'accord, me soufflât-elle. » Marie parla dans sa langue au jeune homme qui répondit en tournant mon épouse vers lui pour chuchoter à son oreille, ce qui me déplus fortement. Ils étaient de profils, leurs pieds frôlaient le cercle de lianes qui nous séparait. Je restais fixé sur l'engin si noir qui appuyait sur le ventre clair, mon épouse à ce contacte n'eut aucun mouvement de recule bien au contraire. Trouvant les lèvres du jeune homme elle se plaqua contre lui, sans ses mains attachés dans le dos j'étais sur qu'elle l'aurait étreint.

Rofili passa une main dans mes cheveux, me surplombant elle approcha lentement sa vulve de ma bouche. « Butines mon nectar mon petit momocou. » Sous les yeux des danseurs je pliais à mes pulsions, le souffle court je passais ma langue entre ses lèvres intimes qui m’obsédaient. Encore plus étroite que mon épouse je découvrais une fente aussi douce que brûlante, enfonçant ma langue dans le vagin je fis gémir une jeune femme qui n'était pas la mienne. Je perdais vraiment la tête mais j'étais incapable de m'arrêter de découvrir la douceur de la vulve, curieusement être attaché me libérait de tout remord. Emplissant ma bouche de nectar je regardais en même temps mon épouse embrasser son élu en plaquant son ventre contre l'imposante queue. La jalousie était emmêlé par un plaisir malsain qui ne cessait de grandir, j'aimais la voir à la merci d'un autre. Fléchissant les jambes mon épouse lécha le tors du jeune homme qui passa ses mains dans ses cheveux de feux. Marie derrière mon épouse l'aida à se mettre à genoux, mon cœur battait à toute vitesse à ce qui se préparait.

Devant le visage rougie de mon épouse se dressait l'épaisse et longue queue couleur ébène, je n'avais pas donné mon consentement pour ça pourtant je restais sans voix en continuant à passer ma langue contre la fente de Rofili. Agenouillé avec mon épouse épaule contre épaule Marie prise en main le gourdin qui passa à l'horizontal. Katharina haletante, perlé de sueur le regardait avec envie et crainte, la taille devait la calmer. Elles étaient de profil, Marie poussa mon épouse à tourner la tête dans ma direction, elle voulait que nous soyons témoins l'un et l'autre de notre cheminement vers l’adultère. Les intenses yeux verts plongé dans les miennes mon épouse posa ses lèvres sur le gland massif, elle voyait bien que ça me plaisait malgré moi. Ses lèvres pulpeuses s'ouvrir pour laisser sa langue découvrir le gland à moitié décalotté, noir il perlait d'un liquide translucide. Loin de s'en dégoutter mon épouse passa sa langue sur l’urètre, puis quittant mon regard pour celui de son élu elle suça plus franchement l'engin. Marie une main sur la queue la guidait à avancer, mon épouse roula sa langue sous le gland ce qui eu l'air de plaire à Macoura qui poussa un râle.

Les tam-tams amorcèrent un rythme lourd, les danseurs l'accompagnèrent en poussant de la voix. Allongé sur le dos la bouche collé contre la vulve de Rofili je regardais mon épouse s'avancer toujours plus loin sur l'engin. Elle bavait abondamment quant j'aperçus sa gorge se modifier, j'en étais étourdi. D'un coup de rein Macoura fit passer toute sa queue dans la bouche de mon épouse qui poussa d'affreux bruit de gorge. Mon cœur prêt à sortir de ma poitrine, mon sexe prit de palpitations, je n'en revenais toujours pas, mon épouse déchaîné guidé par Marie alla jusqu'aux couilles avant de recracher l'engin couver de sa bave. Reprenant son souffle Katharina se tourna vers moi pour s'assurer que j'avais aimé son exploit, elle me sourit avant de reprendre l'engin en bouche. Une chienne en chaleur, je savais que c'était mal de penser ça d'elle mais c'était l'effet qu'elle me faisait. Alors que sans me rendre compte je léchais avidement la vulve d'une jeune femme qui poussait des gémissements. La nature sauvage de la jungle, les percutions qui vous touchaient l'âme, la tribu en trans, tout ici faisait surgirent nos instinct les plus basiques. Sous les gémissement de Rofili je continuais à enfoncer ma langue dans son vagin, mon épouse continua de jouer avec l'engin en retrouvant dès qu'elle le pouvait mes yeux.

« Tire la langue, me dit Rofili le souffle court. » Perlé de sueur, ses petits seins érigé, son visage défait par le plaisir, je compris qu'elle voulait jouir. Doucement d'abord elle ondula du bassin, sa vulve écrasé sur ma langue allait et venait. Je n'étais plus qu'un jouet entre ses mains, gémissante de plus belle elle accéléra. Posant une main sur l'épaule de mon épouse et l'autre sur la cuisse du jeune homme pour s'équilibrer Rofili se frotta contre ma langue, je pouvais sentir son clitoris dur comme de la pierre. Suivant mes pulsions je réussi à le prendre entre mes lèvres, se figeant Rofili poussa une expiration de bonheur quand je me mis à le susurrer délicatement. Elle et Marie se parlèrent dans leur langue, puis cette dernière parla à la cantonade. La tribu scanda mon titre dégradant alors que je n'étais pas sorti du cercle. Trop occupé à énerver le bourgeon je les laissais à leur exultation, Rofili devait avoir toute mon attention. J'adorais la sentir vibrer sous ma langue, écouter ses soupirs, regarder ses yeux brillants. Ses hanches furent prit de tremblement, je roulais ma langue sur le petit bout de chair avant de le sucer avec plus d’intensité. Rofili ne gémissait plus elle poussait des feulements, continuant à susurrer son clitoris ses fesses tremblèrent de plus belle. Elle poussa un cris bestiale en se cabrant, je pouvais sentir son orgasme me traverser. Haletante elle vint s’asseoir sur mon tors en s'adossant sur mes cuisses les yeux brillant de reconnaissant, la moitié du visage poisseux de son nectar je reprenais moi aussi mon souffle.

Mon épouse avait arrêté de sucer son élu, dans ses yeux à elle j'y lisais l'envie, elle n'avait pas oublié ce que m'avait demandé la Rofili. Je m'étais bien trop avancé dans la luxure pour lui refuser cette caresse, toujours sur le dos les poignets lié aux chevilles j'aurais voulu mettre tout mes fautes sur l'alcool, la chaleur, la musique mais je savais qu'une partie de moi adorait cette cérémonie.


Un rondin de bois d'une cinquantaine de centimètres de haut de la taille d'un banc fut placé tout proche du cercle de lianes, Macoura s'y assoit sous de multiple exclamation de ses camarades. Il prit mon épouse par la main pour la placé face à moi debout entre ses genoux. Comme pour Rofili je constatais qu'avoir sucer le jeune homme avait beaucoup excité mon épouse. Sa toison rousse était imbibé de nectar, sa vulve gonflait de plaisir m'attirait comme un aimant. Les rythmes des tam-tams, la chaleur moite, les danseurs excités qui se déhanchaient en poussant de cris de concert me donnèrent l'impression en cette nuit que tout été lié contre moi pour me pousser vers ma perte.

Marie et la Rofili s'agenouillèrent de chaque côté de moi, leurs mains passaient sur mes vêtements trempés de sueur, je leur aurais presque demandé de me déshabiller tant cela était devenu incommodent. Le cœur à tout rompre je savais ce qu'elles voulaient avant même qu'elles ouvrent la bouche. « Nos esprits nous ont fait un grand cadeau en te conduisant à nous, me soufflât Rofili. Tu lis dans le cœur des femmes si facilement, je suis certaine que tu serras aussi doué avec les hommes. » Avant que je m'attarde sur ''les hommes'' Marie frôla de ses doigts mon sexe tendu en reprenant d'une voix presque envoûtante. « Ça t'a beaucoup excité de voir ton épouse sucer un autre homme, tu vas voir mon petit momocou que la suite va aussi te plaire. Regarde ton épouse et avoues lui ton désir de faire éclore sa fleur pour qu'elle accueille sans mal la queue de son amant. Supplies là de laisser ta langue passer entres ses pétales, de faire couler son nectar pour que son amant la baise sans mal. » Katharina luisait sous les rayons lunaire et les flammes environnantes, des mèches de cheveux collé à sa peau contournaient un lourd sein pour venir mourir non loin de sa toison rousse, elle me fit l'effet d'une déesse Grec bien connu pour sa beauté et ses mœurs légères. Il émanait d'elle une attraction sexuelle irrésistible presque surnaturel.

Rofili me mit sur les genoux face à mon dilemme, lécher mon épouse au risque qu'elle succombe ou arriver à contenir mes vils pulsions, me reprendre, trouver de l'aide dans la prière et finir cette cérémonie la tête haute. Entre les jambes de mon épouse en arrière plan comme une mise en garde l'épaisse et longue queue était fièrement dressé, une infime parti de moi l'imagina s'enfoncer dans le sacré de mon épouse. Avouer mes déviances devant toute la tribu était hors de question, à un souffle de la vulve de mon épouse faisant fi de la demande humiliante je tendais le cou. Rofili poussa un gloussement pendant que Marie me retint par la gorge, Macoura lui retint le bassin de mon épouse qui expira sa frustration. Katharina me regarda comme si j'étais le coupable de ses tourments, notre écart d'âge de sept ne me parut jamais aussi criant. Agenouillé à ses pieds j'avais l'impression d'être devenu un enfant attendant d'être puni par sa grande sœur. « Mon lapin je ne te pardonnerais pas si après avoir léché Rofili tu me refusais pareille caresse. » Penaud je voulais plus que tout au monde lui faire plaisir mais la phrase à dire étaient bien trop humiliante, Katharina reprit d'une voix plus douce. « Tu es l'amour de ma vie je te resterais fidèle quoique tu dises. » Les grosses mains de Macouro toujours sur ses hanches elle poussa néanmoins son bassin en me défiant des yeux de lui refuser sa demande tacite. « Tu me resteras fidèle, demandais-je pour me rassurer. » « Oui mon lapin à tout jamais. » Je restais un instant sur sa vulve, entre ses poils cuivrés j'apercevais son clitoris luire. Je comprenais qu'un commandement de l'ancien testament interdise de regarder le sexe d'une femme, ça transformait mon sang à lave, ma volonté en servitude. « J'avoue, bredouillais-je à la fois mortifié et surexcité. Que ça me plairait de faire éclore ta fleur...pour qu'elle accueille sans mal la queue...de...de ton amant. » « C'est bien, me dit Marie. Maintenant supplies ton épouse d'accéder à ta demande et que tous t'entende. » Les percussions avaient faiblis, elles résonnaient comme un bourdonnement. Les hommes tout autour de nous tapèrent du pieds ou frappaient de leurs lances le sol en murmurant mon titre humiliant. Leurs regards victorieux m’écrasaient, j'aurais voulu me cacher dans un trou mais le désir impérieux de mon épouse était bien plus puissant que ma honte. « Je t'en supplie, dis-je de vive voix. Laisse moi passer ma langue entre tes pétales, laisse moi faire couler ton nectar pour que ton amant te baise sans mal. » « Encore ne t'arrête pas de supplier, me dit Marie. Que tout nos esprits entendent avec joie qu'un étranger reconnaît la supériorité de nos hommes en lui abandonnant son épouse. » À mesure que je pliais à toute les exigences momocu résonna dans la faille avec toujours plus de force.

J'étais épuisé de me battre avec moi même, mes plus bas instincts prenaient inexorablement le pas sur ma foi et ma raison. Quand les deux tentatrices guidèrent ma tête vers la fleur comme elles l’appelaient je les en aurais remercié. Au contacte de la fente brûlante de Katharina je poussais un soupir de libération, je passais doucement ma langue sur cette organe envoûtant. Contempler mon épouse expirer son plaisir, les yeux transi d'amour posé sur moi valait cent fois le prix de ma fierté piétiné. Enfonçant ma langue dans son vagin en m’abreuvant de son jus d'amour j'oubliais peu à peu mon environnement pour n'avoir d'yeux que pour elle. J'avais toujours pris beaucoup de plaisir à passer ma langue entres les lèvres intimes mais en cette nuit si particulière j'en fus étourdi, tout les particules de mon corps étaient devenu sensible j'avais l'impression de retomber dans mon adolescence tant mes pulsions étaient vive.

Agenouillé les poignets attaché aux chevilles encadré par deux jolies jeunes femmes qui me caressaient par dessus mes vêtements accentuaient encore mon état, poussé par un courant chaud qui irradiait tout mon corps je lâchais prise pour me laisser transporter. Le son des tam-tams prit un rythme lourd, mon épouse se dodelinait en gémissant. Je poussais régulièrement ma langue dans son vagin avant de lécher chaque recoin de ses lèvres intimes, une petite voix intérieur me disait que je courais à ma perte mais je m'en fichais. Le bonheur de Katharina était devenu ma raison de vivre, debout écartant d'avantage les jambes elle ondulait en fermant les yeux. Je poussais ma langue vers son bourgeon, tournant autour un instant sous des expirations suppliantes je le pris entre mes lèvres, mon épouse se figea pour me laisser le lui susurrer.

Son souffle devint lourd elle était proche de l'orgasme, sans mes liens je l'aurais doigté en même temps. Attentives les deux tentatrices me tirèrent la tête en arrière, Macoura assit derrière Katharina prit le relais de ses mains. L'une flatta une fesse l'autre glissa sur la vulve, loin de se plaindre du changement de partenaire mon épouse continua de poussa des gémissements en ondulant. « Un parfait petit momocou, me dit Marie. Tu as compris que ton épouse a besoin de se faire baiser par un homme qui lui donnera des enfants forts. » Comment j'avais pu ignoré cette possibilité pourtant évidente. J'avais été si sur de moi et de mon épouse que dans mon esprit la cérémonie finirait sans plus que quelques attouchements. Rofili se pencha sur mon autre oreille en m’agrippant les couilles par dessus mon pantalon. « En engrossant ton épouse Macoura va te faire un grand cadeau. Ta faible race laissera place à la sienne mais ce serra bien ton enfant, jamais il ne te le contestera. » Mon épouse avait tout entendu, j'attendais une réaction outré, un renouvellement de sa promesse de me rester fidèle, mais non constante de me laisser dans le doute elle ferma les yeux en continuant à gémir sous les doigts noires qui s'activaient contre sa vulve.

Depuis le début de la cérémonie je n'avais jamais été aussi déstabilisé, je voulais faire confiance à mon épouse, la laisser passer cette épreuve pour accéder à mon rêve le plus cher mais le doute s’insinua dans mon esprit. Je la contemplais nue les mains attachées dans le dos soupirant sous des doigts noirs visqueux de son nectar, elle offrait sa croupe au jeune homme assit derrière elle qui bandait comme un âne. Déjà dans la tourmente les tentatrices enfoncèrent le clou, Rofili malaxant mes couilles par dessus mon pantalon reprit. « Une fois que ton épouse aura goût à la puissance des hommes de notre tribu elle ne pourra plus s'en passer. En tant que momocou que tu vas devenir sous peut ton rôle serra de la servir pour faciliter ses unions. » « Cella n'arrivera jamais, je ne sortirais pas du cercle et mon épouse me restera fidèle. » À l'intention de Katharina j'avais haussé le ton aux cinq dernier mots, je fus estomaqué de l'entendre pousser une plainte. « Katharina, dis-je indigné. » « Ce n'est pas pour ce que tu as dit que je souffle, Macouro ce salop ne fait qu’effleurer ma chatte sans y enfoncer ne serait-ce qu'un doigt. » Elle me regarda avec des yeux d'ivrognes, elle en avait le langage mais c'était bien plus la frustration que l'alcool qui la mettait dans cette état d'énervement. « La nuit est bien avancé, dis-je pour l'encourager à tenir bon. Nous serrons bientôt libéré de cette épreuve. » Marie prit la parole en me donnant ses doigts à sucer, ils étaient poisseux de son nectar. « Pasteur aucun étranger n'a jamais tenu jusqu'à l'aurore, vous êtes bien trop faible. Ton épouse vas te tromper sous tes yeux et tu y prendras beaucoup de plaisir, avant la venu du jour tu finiras par te soumettre à son amant.» Malgré la dureté de ses paroles je fus incapable de m’empêcher de lui sucer les doigts. Charles-Michel et son épouse avaient donc succombé à la tentation, c'était ma faute je ne lui avais rien demandé supposant qu'un pasteur ne pouvait que triompher. Les petites plaintes de mon épouse me rappela à l'instant présent, elle se frottait à la main entre ses jambes cherchant clairement à jouir. Macoura dans son dos s'amusait à dérober ses doigts l'obligent à fléchir les jambes pour les retrouver, j'eus le souffle couper en comprenant qu'il l’entraînait vers son sexe. Mon épouse ne pouvait l'ignorait mais elle continua à rentrer dans son jeux, le pire c'est que c'était moi qui l'avait mise dans cette état. Continuant à sucer les doigts de Marie j'avais l'impression d'une prophétie autoréalisatrice se mettait en place, je commençais à prendre au sérieux les dire des jeunes femmes. Moi un momocou et mon épouse à jamais souillé, j'aurais du ressentir une vive révulsion mais un plaisir malsain m'envahit.

Le cœur à tout rompre je retint mon souffle quand mon épouse fini par effleurer d'une fesse l'épaisse et longue queue, elle me regarda mi gêné mi agacé. « Je ne vais pas te tromper mon lapin. » Sans attendre ma réponse elle s'adossa contre Macoura qui par dessus son épaule me nargua du regard, ma jalousie bondit. Katharina passa ses jambes de chaque côté de celle de son élu, elle poussa une expiration de bonheur en appuyant sa vulve contre la base de l'engin. Puis elle se penchant vers moi comme pour se faire pardonner, Marie la retenu pour qu'elle puisse trouver mes lèvres sans tomber à la revers. Je m'étais un peu calmé à la possible conception mais d'un simple baisé mon épouse souffla sur le feux qui consumait ma raison, je soupirais sous sa fougueuse langue. Notre amour était fusionnel, malgré le fait que je la sentais onduler contre la queue d'un autre je n'avais aucune doute sur ses sentiments pour moi. Pétrissant sa langue de la mienne sous les caresses de quatre mains je fermais les yeux pour me laisser aller à ce tendre baisé. Accoutumé aux cris viril des hommes des bois qui accompagnaient les percutions je me prêtais à rêver d'atteindre l'aurore sans plus commettre d'autre péché.

Marie fini par redresser mon épouse, je crus instant que Macoura avait quitté son rondin mais non il s'était simplement allongé sur le dos les mollets pendants. Sa queue maintenant à l'horizontal me paru moins dangereuse pour mon épouse, celle ci se reposant sur les cuisses ouverte du jeune homme poussait ses fesses en arrière en cherchant de sa vulve le contacte de la colonne de chair. Katharina jouait avec le feux, à chaque vas et viens de son bassin elle poussait une expiration mi plainte mi plaisir. Agenouillé entre les deux paires de cuisses j'étais au première loge de ce spectacle obscène, les lèvres intimes de mon épouse épousaient le manche couleur ébène en le faisant luire de nectar. Je remarquais que Macoura ne la caressait plus, ses mains étaient sagement le long de son corps, sans son érection on aurait pu le croire endormi. Ainsi la tribu démontrait toute la faiblesse de mon épouse, plus personne ne la pousserait à succomber.

La mélodie des tam-tams changea, un rythme entêtant résonna dans la faille. Les brûlots dans les parois furent suralimenté illuminant bien mieux mon épouse don la chevelure se mélangeait aux couleurs des flammes. Les hommes autour de nous quatre les bustes en avant accompagnèrent les percutions de cris sec en frappant le sol de leurs pieds. Cette mélodie de la nuit des temps me toucha jusqu'au tréfonds de mon âme. Mon épouse perlé de sueur se laissa entraîner, suivant le fil des percutions sa vulve allait et venait sur l'engin, haletante elle poussa plusieurs plaintes. Je voyais dans ses yeux posé sur moi l'envie d'aller plus loin, je comprenais pourquoi la tribu lui avait attaché dans le dos les avants bras l'un contre l'autre, elle ne pouvait en aucun cas lever le mat qui commençait à l’obséder. Sa position assise ne lui convint plus, montant sur le rondin elle posa ses genoux de chaque côté du bassin du jeune homme pour reprendre sa caresse sexe contre sexe.

Rofili et Marie continuaient à me caresser mais même sans je n'aurais pu contenir mon excitation à contempler mon épouse onduler sur une épaisse et longue queue en appelant de ses soupirs son besoin de l'avoir en elle. Par moment l'engin en palpitant se levait légèrement, mon épouse alors essayait de le redresser de son pubis. J'aurais du lui rappeler ses engagements mais j'en étais si troublé, ma poitrine était écrasé par une boule de chaleur, mon sexe compressé était lui aussi pris de soubresaut, les deux tentatrices me maintenaient sciemment à la frontière de la jouissance.

Mes joues me brûlèrent quand mon épouse réussi à faire basculer à la vertical l'épaisse et longue queue. Pointant dans ma direction le gland noir perlant de nectar était tellement proche, tellement menaçant que j'eus un mouvement de recule. Le bassin de mon épouse qui poussait l'engin à droite à gauche lui donnait comme une vie propre. Katharina trouva vite le coup de main pour qu'il reste plaqué contre sa fente, amorçant un lent vas et vient elle poussait des expirations de bonheur à chaque fois que le gland massif poussait ses lèvres intime. J'étais au supplice tant d'un simple mouvement de bassin elle pouvait s'empaler sur l'engin. Mon épouse me décocha un sourire complice comme si c'était sur ma queue qu'elle se masturbait, je lui rendais bien malgré moi. La musique tonnait à mes oreilles comme mon sang à mes tempes, j'avais du mal à respirer, je sentais l'inéluctable arriver, je le désirais presque. La vulve remontait toujours plus sur le gland noir en épousant sa courbe, puis repartait en répandant son nectar. Mon épouse ne me quittait plus des yeux, heureuse de mon émois elle me souriait en gémissement son envie impérieux. Remontant une énième foi sa vulve contre le gland massif Katharina resta ainsi en ondulant doucement, ses beaux yeux vert ne me demandaient pas mon accord mais ma complicité.

Ses lèvres intimes enveloppèrent peu à peu le gland massif, elle grimaça tant sa vulve s'étirait comme jamais pour avaler la tête de l'engin. Elle poussa une expiration de soulagement quand le gland passa entièrement. J'étais fait cocu à un souffle des sexes unies, loin de m'en accabler mon corps s’enflammait comme jamais. À cheval sur son étalon Katharina un sourire extatique aux lèvres s'empala lentement sur l'engin, sans remord, sans honte, sans pudeur, elle continua en ondulant à me couver d'un hardant désir. J'aurais pu croire que c'était avec moi qu'elle baisait, j'étais si prêt, je sentais ses effluves bestiale, nous étions connecté sans l'être. Les tam-tams donnaient le rythme de la dépravation de mon épouse, s'accoutument à l'engin elle amorça un vas et viens, autour de nous d'hommes surexcités donnaient de la voix à chaque percutions. C'était une cavalière sur sa monture qui galopait vers l'extase, ses lourds seins ballottaient à un rythme régulier, sa vulve recrachait presque tout l'engin avant de l'avaler jusqu'aux couilles perlant de mouille. Sur Macoura mon épouse était épanoui, elle était dans son élément au milieux de la tribu sauvage. Ses yeux toujours sur moi exprimaient une perversité qui avait commencé à se faire jour à notre premier jour dans cette jungle. Me voir agenouillé pieds et poings lié, totalement impuissant l'excitait indubitablement. Elle prenait un malin plaisir à sortir entièrement l'engin pour du bassin le pointer dans ma direction. Le gland noir ruisselait de son nectar à quelques centimètre de mon nez, elle ondulait alors doucement sur le manche veineux en reprenant son souffle puis d'un mouvement de bassin renfoncer l'engin faisant ainsi durer son plaisir tout comme mon supplice.

Mes tourmenteuses qui m'encadraient en me caressant par dessus mes vêtements revinrent à la charge de leurs langues acides. « Alors pasteur tu jouis bien du spectacle ? Me demanda Rofili. Ça t'excite de contempler ton épouse se faire baiser sous ton nez. » « Il est heureux d'abandonner son droit de se multiplier, enchaîna Marie une main ferme sur mes couilles. Macoura va t'offrir un enfant valeureux qui fera la fierté de ta faible tribu. » Je ne pouvais plus raisonner tant je brûlais littéralement sous un plaisir inassouvi, sans mes liens je me serrais branler sur le champ. Tout ce que je pouvais faire c'est de lever les yeux vers mon épouse pour qu'elle défende ma paternité. « Laissons Dieu en décider, me dit-elle malicieusement. » Je fus bien plus affligé par ses paroles que de la voir me cocufier avec un jeune homme monté comme un âne, j'avais terriblement peur de la perdre si cela arrivait. « Tu as entendu ton épouse, me dit Rofili. Laisse ton Dieu décider qui la fécondera. » « Tu as déjà perdu, renchéri Marie. Ton épouse ne pourra plus ce passer d'une telle puissance viril. Regarde comment elle vibre tout son être appelle la semence de Macoura.» Empalé jusqu'aux couilles Katharina dessinait de large cercle avec son bassin en gémissant sous la tension que la colonne de chair lui procurait. « Maintenant mon petit momocou, reprit Marie. Je veux que tu dises à ton épouse combien tu es content qu'elle baise avec un homme. » « Jamais, dis-je piqué au vif. Et je ne suis pas un momocou. » « Nous allons voir ça, me dit Rofili. » Elle défit aussitôt ma braguette, d'un tour de main elle fit jaillir ma queue dressée. Je fus mortifié d'être ainsi exposé à tout les regards, mon gland à moitié décalotté était baveux de liquide pré-séminal que Rofili toucha du bout des doigts avant de les sucer. Une parcelle de fierté m’empêcha de la supplier de me branler tant ce simple contact m'avait électrifié, les deux tentatrices n'eurent pas de mal à le deviner, elles me soufflèrent à chaque oreille mes rêves les plus fou. « Soumets toi comme un bon momocou et nous te sucerons la bite, me dit l'une. » « Soumets toi pasteur et tu pourras me lécher la chatte, me dit l'autre. » Agenouillé devant mon épouse qui baisait avec un autre ne suffisait pas à mon humiliation, elles voulaient me dépouiller de tout amour-propre, me faire ramper plus bas que terre. J'avais beau le savoir leurs propositions cochonne pliaient ma volonté déjà bien amoindrit, une petite voix pernicieuse me soufflait qu'une humiliation de plus ne changerait rien. « Vous allez me sucer, demandais-je honteusement. » « Et bien plus encore, répondit Marie. Tu vas avoir un avant goût de ce que peu avoir un momocou. » « Regarde ton épouse, me dit Rofili. Dis lui que ça te fais plaisir de la voir baiser avec à un homme . » Haletante Katharina dressé sur son amant ralenti ses ondulations, elle se délectait du petit jeux sadique. « Je t'écoute mon lapin. » Je bandais comme un âne, je ne pouvais pas nier l'évidence alors à quoi bon. « Ça me fait plaisir de te voir baiser avec un homme. » Comme un chien obéissant qu'on récompense Rofili fit courir un doigt sur ma verge, j'avançais le bassin pour qu'elle la prenne en main. « Doucement pasteur, rit-elle. Nous ne faisons que commencer ton éducation de momocou. » « Dis lui que tu renonces à l'engrosser, reprit Marie. Que tu abandonnes ce devoir aux hommes de ma tribu. » Le coup était dure mais dans mon état j'aurais dit presque n'importe quoi. Devant la vulve étiré de mon épouse qui allait et venait sur l'épaisse et longue queue la même voix pernicieux me souffla que c'était déjà le cas. « Je renonce à t'engrosser, j’abandonne ce devoir aux hommes de la tribu. » Katharina les yeux pétillantes de malice sorti presque entièrement la queue, elle voulait que je vois à quoi je l'abandonnais. L'épais manche couvert de sa mouille palpitait, les veines étaient saillante, Macoura pouvait jouir à tout moment. « Et toi Katharina, demanda Marie. Tu rejetteras de toute tes forces les momocous qui voudront t'engrosser. » « Oui je les rejetterais avec force, même mon époux. »

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Je vais être dur: c'est banal. J'entends par là l'histoire du sempiternel cocu blanc, incapable de satisfaire Mme qui heureusement trouve son bonheur chez les autres. Au final, dans le dernier chapitre à paraître, on sait déjà qu'il a perdu. Ce n'est pas un suspens. Le seul truc finalement réaliste c'est la bassesse de la nature humaine: la compétition sexuelle d'une tribu qui s'imagine que c'est en humiliant l'autre que l'on est supérieur, la veulerie de s'imaginer que l'on peut convertir à tout va. C'est bien écrit mais l'histoire du cocu blanc moins bien monté que tout le monde a déjà été dite tellement de fois... Dommage. Dommage.
Posté le 6/12/2021


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