Histoire Erotique

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Tel est pris qui croyait prendre… ou l’histoire d’une conquête et reconquête

Un homme dont la vie sexuelle n’est plus épanouie dans son mariage monte un stratagème complexe pour pouvoir baiser une amie du couple sans qu’elle ne s’en rende compte. Il choisit en parallèle de piéger sa propre femme en lui faisant croire qu’un amour de jeunesse veut coucher avec elle. Mais sa femme n’a pas encore dit son dernier mot…

Proposée le 8/09/2021 par Muscalin

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Elle avait la petite quarantaine, de longs cheveux bruns lourds à grandes boucles encore épargnés par l'apparition de cheveux blancs. Son visage régulier était caractérisé par ses yeux bruns profonds, de longs cils soyeux et des sourcils réguliers. Sa bouche était grande et de profil, la forme légèrement ourlée de sa lèvre supérieure attirait l'attention. Les grandes créoles qui décoraient ses oreilles et ses bracelets qui cliquetaient durant ses mouvements gracieux mais énergiques lui donnaient un air de gitane insaisissable.

Tel est pris qui croyait prendre… ou l’histoire d’une conquête et reconquête Elle aimait porter des blouses à tour de cou ample laissant libérer la peau mate d’une épaule caressée par sa chevelure à chaque fois qu’elle tournait la tête. Le glissement furtif d’une fine bretelle de lingerie simple et délicate semblait se moquer éperdument des remises à l’ordre régulières qu’une main agacée exerçait tout en profitant au passage de coincer une petite mèche de ses cheveux derrière l’oreille.

Parfois, c'était le ramassage d'un jouet ou le service de l'apéritif sur la petite table du salon qui, accompagné d'une odeur parfumée discrète de femme mûre, laissait apercevoir le ballottement de ses seins galbés dans leur carcan de dentelles. Ces fugaces arrêts sur image de bonheur volés permettaient d’observer son cou délicat entourés de mèches ondulées qui s’accrochaient parfois à ses clavicules ainsi que sa nuque qu’un joli chignon improvisé jalonnait à sa racine de petits cheveux bouclés solitaires. Le fil de son collier en nylon était orné d’une simple perle qui roulait au rythme de ses respirations dans le creux de sa fourchette sternale.

La réalisation de ce chignon était à chaque fois un ballet de gestes vifs et précis offrant un moment d’érotisme discret sous le tissu laissant deviner le relief de la pointe de ses seins. Immédiatement, des images s'imposaient dans mon esprit en imaginant ce que je ferais en me plaçant dans son dos, calé au creux de ses fesses et laissant ma main se faufiler du bout des doigts dans son soutien gorge sous le tissu. Sa tête serait posée en arrière sur mon épaule, gorge tendue, offerte, alors que mon autre main glisserait dans son string en douceur en quête d’un bourgeon bien humide.

Au fil des années, il me semblait qu'elle avait parfois remarqué mes regards un peu obliques lorsque, perdu dans mon imaginaire érotique, elle me souriait doucement en coin, discrètement, en toute complicité sans n'avoir jamais verbalisé le moindre commentaire. Elle appréciait sans doute percevoir qu'elle ne me laissait pas indifférent tout en jouant de manière faussement désinvolte et naïve avec cela.

De mon côté j'avais aussi surpris son regard me scanner tout en se mordillant brièvement la lèvre inférieure avant de m’embrasser assez lentement sur les joues en posant sa main à plat sur mon sternum. Elle ne manquait jamais de se plaquer contre moi lorsqu’il était temps de se saluer en arrivant ou en partant. Je profitais de sentir le contact ferme et chaud de ses globes ainsi que l’odeur de sa peau mêlée à une goutte de parfum derrière ses oreilles.

Nos sorties estivales communes en famille étaient l'occasion d’admirer la rondeur de ses fesses mises en valeur par des jeans taille basse ou des robes d’été révélant ses longues jambes et plus encore ses courbes. Son bikini laissait parfois deviner furtivement sous le tissu quelques formes intimes que j'imaginais parcourir de ma bouche. De multiples photographies mentales de son corps se cumulaient dans mon esprit jusqu'à connaitre l'emplacement de ses grains de beauté, ses bijoux préférés ainsi qu'une sélection de ses plus beaux sous-vêtements.

Là aussi, je la surpris à essayer de deviner le plein potentiel de ce qui remplissait mon short de bain lorsqu’il se collait à mon sexe en sortant de l'eau. La dégustation de saucisses lors des grillades était l'occasion d'observer sa bouche sensuelle tout en mémorisant ces petits instants furtifs de léchage de ses doigts qui laissaient imaginer tout leur potentiel.

En dehors de ces rares moments de troubles à priori involontaires, mais réguliers, nous avions quelques conversations téléphoniques pour refaire le monde et analyser les traits de caractères opposés de nos conjoints et constater, par omission, la proximité des nôtres. Ces discussions me permettaient d'être attentif à sa voix douce et légèrement voilée donnant à ses intonations le caractère sexy de certaines animatrices d’émission de radio nocturne dans laquelle se confient des âmes en peine.

J'appréciais ses soupirs et petits gémissement de dépit que mon cerveau détournait secrètement en petits râles de plaisir qu'elle devait probablement émettre lors de plaisirs solitaires. Cette pensée me provoquait à chaque fois une puissante érection.

Ses téléphones étaient devenus plus fréquents en raison du délaissement progressif et récurrent de son mari. Sur les routes en tant que représentant, il ne pouvait assurer une présence régulière dans le lit conjugal, laissant sa femme en proie à de vifs appétits insatisfaits et probables moments de plaisirs solitaires compensatoires puisqu’elle avait par dépit participé à une de ces soirée entre filles de présentation de sextoys.

Je savais par d'autres sources que son mari ne se privait pas de satisfaire son appétit sexuel en compagnie de sa jolie jeune secrétaire dont l’ambition manifeste lui avait fait passé pas mal de temps sous le bureau.
Mais ce n'était pas à moi de faire tomber le premier domino d'une crise conjugale majeure par une révélation malheureuse.
Il me fallait juste l'aiguiller par petites touches, instiller le doute subtilement pour initier un lent processus qui justifierait en temps voulu qu’elle se laisse aller à ses désirs lorsqu’une opportunité se présenterait...

Mon plan commençait à fonctionner. Plus l'absence s'accumulait, plus son besoin de contacts, d'échanges et d'écoute devenait une faim dévorante. C'était avant tout ce type de petites pulsions qui se cristallisaient progressivement dans l'expression du besoin d'être cajolée, considèrée et perçue comme prioritaire.

Corolaire de cet état, elle me faisait part de plus en plus fréquemment du trouble naissant en elle à l'égard d'un nouveau collègue de travail dont l'aura masculine lui faisait fantasmer l’idée de devenir sa tentatrice, voire son objet sexuel.
Je fus habité par le doute que son récit puisse être en fait un moyen détourné de m'exciter en testant et alimentant son plaisir de plaire et de troubler un homme avec la sécurité de le connaitre.

Mon écoute était d'autant plus attentive et authentique que ma propre situation n'était pas plus enviable. Ma femme si sexy et féminine à ses débuts s'était mutée en mère de famille et organisatrice redoutable. Ce qui impliquait bientôt le calendrier implicite des coïts conjugaux. Le pragmatisme prenant la place du jeu, la chose à faire celle du désir.

J'avais à plusieurs reprises créé les conditions cadres optimales pour laisser l'espace au jeu. Mais les préliminaires devaient commencer pour moi des semaines à l'avance par un cochage de listes interminables de tâches à effectuer.
Assouvir son besoin de contrôle et de sécurité au travers de l'anticipation et de l'organisation idéale étaient la clef de l'ouverture de ses jambes.

Seulement l'effort et l’attente devenaient trop intenses et mon endurance limitée pour des résultats en dessous de mes espérances.
Le processus devenait vicieux, car en ne devenant plus un chevalier servant je ne faisais plus que satisfaire le rôle qu'elle attendait de moi en rentrant dans une forme de normalité banale plutôt qu'un stimulant pour sa libido résiduelle.

Je n'en pouvais plus mais je restais pourtant fidèle tout en constatant en moi l'émergence de scénario dans lesquels je la possédait comme une traînée à baiser en lui imposant mes envies sans ménagement.

J’allais pouvoir concrétiser mes fantasmes sans avoir vu venir l’occasion à la suite de notre participation à la cérémonie de mariage d’un couple d’amis. J’eu droit cette fois a une implication totale et inattendue de sa part par des actes inhabituels déments. Cela commença lors de notre retour à la maison en rentrant à la maison après l’apéritif du mariage. Elle était saoule et desinhibée, elle avait avalé tout mon foutre après m'avoir taillé une pipe extraordinaire alors que je conduisais sur l'autoroute. Ce fut la conséquence de l’excitation générée après avoir revu un amour platonique de jeunesse parmi les invités.
J'avais été très excité de la voir émoustillée en ouvrant ma braguette et, alcool aidant, m'appeler par le nom de ce mec oublié. Elle ne s'en était même pas aperçue et était fier d’elle et de sa prestation mais restait frustrée de ne pas avoir eu sa part. Elle laissa glisser sa culotte de dentelle rouge sur ses escarpins et commença par soulever le bas de sa petite robe d’été et glissa sa main sur son sexe, déboutonna de son autre main sa robe pour laisser apparaître ses seins lourds qu’elle soupesait tout en amenant le mamelon tendu vers sa langue.
Je remarquais que quelques gouttes de mon sperme s’étaient projetées sur son décoletté. Ce spectacle contribua rapidement à réveiller ma vigueur et je pris la première sortie pour nous réfugier dans un petit bois en périphérie.
Ma verge était à nouveau tendue au travers de ma braguette ouverte ce qui accéléra la cadence de la main de ma femme sur son sexe et dans lequel disparaissait désormais son majeur et son annulaire dans un bruit humide révélateur.
Le petit bois ne devait être fréquenté que par quelques cyclistes ou joggeurs du dimanche.
C’est pourquoi dès l’arrêt du moteur un accord tacite nous fit rester dans l’auto.
Ma femme était au bord de l’orgasme, le bruit creux et sourd des impacts de la paume de sa main claquait et rythmait l’accélération de son souffle entrecoupé de petits râles. Elle était désinhibée par l’alcool et le souvenit d’Eric, cet amour de jeunesse qu’elle aurait tant désiré concrétiser .

Je baissais fébrilement le siège et elle fit rapidement de même tout en se mettant lentement la croupe au dessus de mon sexe. J’observais la scène comme pour bien me souvenir de chaque instant et fis le constat de la proximité du levier du frein à main et de vitesse près desquels les orifices de ma femme passaient.

Je lui dis cruement combien cela m’exicitait de l’imaginer se faire baiser par Eric, que je voulais qu’elle s’imagine que pour son anniversaire je l’aurais invité chez nous pour qu’il la bourre pendant qu’elle me suçerait.
Elle me répondi «  Chiche ? » tout en écartant doucement les lèvres trempées de son sexe au dessus du levier de vitesse et commençant un long va et vient en se frottant frénétiquement le clitoris. Puis, elle regarda mon sexe avec envie, me donna du doigt l’ordre de m’avancer à son niveau pour avaler progressivement tout mon sexe.

Je me concentrais sur la vision de ses lèvres glissant sur le pommeau du levier, l’englobant et le faisant disparaitre par le cambrement de sa courbure lombaire qui ondulait. Ses seins tapaient mes boules et sa respiration devenait bruyante en reniflant par le nez tandis qu’elle gémissait de plus en plus bruyamment la bouche pleine. Soudain elle cessa de me pomper et se cambra en arrière sur son levier tout en spasmant et haletant, elle jouissait puissament.

Essouflée et démontée elle se retourna et m’offrit le spectacle de son cul trempé de mouillon, fit glisser ses doigts dedans pour humidifier son anus et chercha le contact de mon gland. Elle le trouva, saisi mon membre et une fois guidé, appuya petit à petit jusqu’à ce que son anus se détende et l’épouse. La sensation fut extraordinaire. Je senti la force de sa musculature se resserer autour de la base de mon gland et je pris immédiatement appui par mes mains sur les ailes de son bassin pour accélérer l’exploration plus en profondeur. Elle fit un petit cri retenu puis accepta doucement cette nouvelle sensation et m’invectiva de continuer et de ne pas m’arrêter.
Après quelques minutes seulement de cris rauques durant lesquels elle m’ordonnait de « tapper bien au fond « , ses spasmes recommencèrent ce qui déclencha un puissant orgasme simultané.

Essoufflée et étonnée d’elle-même, elle me souris avec défi et m’indiqua une direction du regard.
Dans le rétroviseur, un cycliste avait assisté à toute la scène et une puissante érection se dessinait sous son maillot. Loin d’être gênée, ma femme appuya sur le bouton de la vitre et, une fois baissée, fit signe au cycliste de s’approcher.
Hésitant, elle l’encouragea à venir et une fois à hauteur de la vitre lui demanda d’ouvrier la porte et de baisser son short tout déformé.
Elle me regarda avec dédain, saisi le sexe du cycliste et commença à lui gober les couilles tout en le branlant vigoureusement. N’y tenant plus le cycliste déchargea rapidement sur le visage de ma femme et fila au plus vite.

Elle était souillée de foutre sur son visage, ses seins et sa robe d’été. Elle commença par porter sa main à son anus pour en récupérer mon jus qu’elle poussait comme dans une coupelle. De l’autre main, elle passa le doigt sur son front et ses joue et récupéra celui du cycliste pour le faire couler dans son autre main et se l’étala gaiement en se massant les seins puis reboutonna consciencieusement sa petite robe d’été, régla son siège, boucla sa ceinture et me dit: « on y va ? » tout en riant.

Après cet épisode d’incroyable de lâcher-prise, je me mis dans la tête de la rendre totalement obsédée sexuellement par cet Eric en me faisant passer pour lui par l’aide de faux e-mail qui après le temps nécessaire lui ferait croire qu'il serait prêt à faire n'importe quoi pour faire l'amour avec elle si elle osait le mettre au défi.
Après l’épisode du mariage, j’en était venu à songer à inviter un homme bien membré par l’intermédiaire d’un site internet spécialisé. L’idée aurait été de le faire rentrer lorsqu’elle se douchait car elle avait pour habitude de profiter de ce moment pour de se faire jouir silencieusement. Cela lui permettait d’avoir une détente profonde et j’avais même pu une fois l’enregistrer en douce avec mon téléphone que j’avais planqué sous le meuble du lavabo.
Mais le scénario que je préparais en m’appuyant sur la puissante découverte d’un déclencheur tel que cet Eric me fit renoncer à cette idée.
Je n'étais pas dupe, le coup de la voiture n'était pas un réel engagement dans le développement de notre intimité, mais j'étais très excité à l'idée de la rendre totalement accro à la possibilité de se faire baiser comme une nympho qu'elle n'avait jamais eu l'occasion d'être.

J'avais des fantasmes pas très compliqués à réaliser mais pas l'espace ni le moment pour les exprimer ou les partager en complicité. En fait, je rêvais plus d'intentions à mon égard dans le but de m'exciter que d'actes sexuels crus ou brutaux, d'environnements insolites ou de ces scénarios attendus de films porno.
Je rêvais d'une petite robe d'été sans culotte et sa révélation au restaurant, qu'elle se caresse à côté de moi de manière ostentatoire en m'ordonnant le moment où je pourrais la pénétrer pour amplifier son plaisir, de sms coquins et de jouissance au téléphone enregistré sur mon répondeur de portable comme surprise, de cunnilingus dans une cabine d'essayage, de caresses réciproques dans le fond du cinéma, de rendez-vous dans une chambre d'hôtel en se faisant passer pour des inconnus en se bandant les yeux.
Autant de matériel dont j’allais me servir pour les assouvir en me faisant passer pour cet Eric.

Parallèlement à cela, les confidences de mon amie n'aboutirent jamais à ce degré de détails malgré notre proximité évidente. Elle se contentait de m'expliquer sa carence d'attention et la "gestion" de ses hormones dans l'exercice de moins en moins vaillant de maintien de sa fidélité en regard de l'inconscience de son mari à la livrer malgré lui en pâture à ses instincts.

Ses pulsions devenaient difficiles à cacher et son esprit se laissait déjà aller à lui permettre de se laisser dévorer des yeux et plus si affinité par son nouveau collègue
Cela se manifestait verbalement par des "j'en peux plus", "j'ai faim", "j'ai besoin de me laisser doucement draguer c'est tellement bon", "j'aimerais séduire et plaire", "j'aspire à plus de contacts physiques" mais jamais rien d'explicite sexuellement. Toujours ce doute que ce récit ne soit que fiction pour tester son effet sur moi sans risques.

Je répondais par ma compréhension de la situation et ma connaissance masculine de cet état de tension permanent transformant mon regard admiratif d'esthète de la beauté féminine en regard carnassier désireux de soulagement dans la possession impossible d'inconnues.

Je ne lui révélais évidemment pas les fantasmes élaborés que je nourrissais à son égard et qui hantaient mes nuits depuis des années.
Si pour un homme la tension peut être réduite en jouant avec son cerveau et son imaginaire, ce mécanisme de survie ne satisfait aucunement le besoin d'être désiré.

Pour elle, je servais au moins de palliatif en la laissant me déverser le contenu de son cœur par son besoin d'attention.
Je sentais bel et bien que ce besoin satisfait pouvait me permettre quelques libertés quant à la mise en œuvre de mes talents cachés de manipulation douce, de messages cachés ou induits tout en la laissant croire que cela venait d'elle.
Plus elle se révélait et se livrait presque naïvement, plus j'améliorais ma connaissance fine et ma stratégie pour concrétiser mon fantasme.

Je commençais mon travail de sappe en l'invitant doucement à verbaliser ce qui l'attirait chez ce collègue. J'accentuais le vertige en reformulant de manière plus marquée les manquements de son mari. Je minimisais les risques d'un comportement légèrement ambigus afin d'aiguiser le plaisir d'un flirt subtil cherchant à jouer au plus près de limites qu'il lui restait à définir mais qui pouvait aussi lui rappeler nos petits instants de complicité volés.

Elle m'expliqua qu'en premier lieu c'était ses mains qui avaient attiré son attention. Des mains fermes et musclées qui laissaient à penser qu'elles pouvaient prendre en douceur et sécurité. Elles lui donnaient l'envie d'être attrapée sèchement mais avec fougue. Comme quand il saisissait son blouson de motard en fin de journée. Ses avant-bras noueux parcourus de veines apparentes étaient une invitation à se blottir dans ses bras dont elle imaginait des tatouages de bad boy caché sous sa chemise au tissu bien découpé.
Elle aimait l'odeur musquée de son passage et en profitait pour mater son petit cul musclé. Sa barbe noire était soigneusement taillée, courte mais offrant un contraste avec ses dents blanches.
Il n'était pas un mâle de calendrier et pas si beau que cela, mais se dégageait de lui un charisme masculin certain.
Étonnement, ce n'était pas un frimeur beau gosse jouant de son animalité masculine. Il avait une attitude sobre et simple tout en étant seulement agréable et attentionné dans les conversations professionnelles. Il savait se taire et garder le recul nécessaire dans les situations délicates. Il semblait percevoir avec tact et sensibilité les états d'âme de mon amie sans trop en jouer. Son défaut ? Il était célibataire ce qui attisait encore plus son attractivité. Pourvu qu'il ne soit pas gay me disait-elle.

De mon côté, j'avais mis en œuvre mon plan machiavélique pour réveiller la libido de ma femme. J'avais commencé par lui faire livrer des fleurs à son travail avec un petit mot tout simple: "toujours aussi belle". Étonnamment, elle m'en parla le soir-même et je la surpris en lui disant que j'étais plutôt fier qu'un inconnu convoite mon épouse mais que c'était moi qui était censé en profiter. Elle sourit et admis que cela faisait longtemps que nous n'avions pas eu de moment intime. Ce soir-la je fis l'effort de me coucher en même temps qu'elle et je pris soin de préalablement raser ma bourse et tailler soigneusement mon pubis afin de lui offrir tout loisir de se laisser à une éventuelle pulsion sexuelle. Allongé sur le lit j’observais avec qu’elle attention elle se crémait la peau, en particulier sa nuque, le galbe de ses épaules et ses seins et leur pourtour. Ses cheveux noués en un chignon grossier et provisoire laissaient échapper quelques mèches éparses. elle m'enfourcha sans ménagement quand elle surpris mon érection naissante en sortant de la douche. Ses magnifiques seins lourds se cognaient sur mon visage alors qu'elle fermait les yeux en ondulant sur mon manche. Elle pensait à son admirateur inconnu j'en était sûr.
La semaine qui suivi, ce fut un e-mail bref qu'elle reçu de ma part sous anonymat:" la victime est si belle et le crime est si doux, a commencer par un baiser dans le cou"
Ce soir là, pas de feed-back a mon égard. Elle était accrochée. Restait à la ferrer définitivement.

De son côté, mon amie avait tout prévu pour passer à l'action après avoir longtemps gambergé. C'était un vendredi.Ses enfants devaient manger à l'école et son mari était absent toute la semaine en affaires. Comme promis la porte n'était pas verrouillée et comme elle l'avait demandé, aucun bruit ne devait être fait. Je l'ouvris tout doucement pour éviter un grincement ou craquement. Une musique chaude t chaloupée passait sur la stéréo du salon.
Elle avait disposé quelques bougies pour guider mon chemin. Leur parfum enivrant mais délicat mettait directement tous mes sens en action, comme décuplés. Je commençais déjà à distinguer quelques gémissements doux mais appuyés. Mon sexe commença directement à durcir et à se sentir de plus en plus à l'étroit dans mon jeans.

Plus je progressais plus les sons s'intensifiaient. Aucun bruit ne pouvait me trahir car là musique camouflait les bruits de frottement de mes habits et mon souffle. Cela ajouta un côté mystérieux à l'atmosphère dont la tension sexuelle était palpable. J'arrivais au niveau du palier où 4 portes étaient ouvertes.
Des petits bruits mouillés et des soupirs étaient émis de la première porte à gauche. Je passais prudemment l'objectif de mon téléphone au bord du cadre de la porte pour voir discrètement la scène mais surtout m'assurer qu'elle jouait bien le jeu prévu.
Elle apparu sur l'écran de mon téléphone comme dans un porno chic de Dorcel.

Elle avait noué ses cheveux lourds bouclés en un chignon laissant tomber sur son visage les quelques mèches ondulées qui partaient de son front. Elle avait bandé ses yeux avec un tissu satiné rouge qui mettait en valeur le rouge de son affolante bouche entrouverte qui était l'origine de gémissements de plus en plus appuyés.

Une fine lingerie rouge épousait le galbe parfait de ses seins. Ses épaules étaient nues car le tissu était prolongé à ses extrémité d'un fin lacet plat satiné faisant le tour de son cou et pendant entre ses omoplates dont les pointes se dégageait sous sa peau parfaite selon ses mouvements. Un long collier de perles blanches entourait son cou gracieux et plongeait dans son décolleté dont les vibrations et à coups faisaient bouger les seins en coinçant ça et là quelques perles.

Je dégustais chaque seconde et chaque image tout en déposant avec précaution mon téléphone dans l'axe pour immortaliser par le film ce moment unique de concrétisation de tous nos fantasmes dont je serai a priori le seul à détenir la totalité du secret.
Elle n'avait pas encore perçu ma présence et c'était bien ainsi car je compris que j'allais assister à un moment où elle s'abandonnerait sans retenue à l'extase.

Au dessous d'un fin collier de taille dont les extrémités libres pendaient sur sa cuisse, ses 2 mains s'affairaient sur l'espace laissé libre par le petit hexagone de tissus telles deux parenthèses de dentelles créant une écrin pour son sexe offert à mon regard et au travail de ses doigts. Cette lingerie était maintenue en place par deux fines attaches doubles qui servaient d'appui sur ses hanches.

J'observais fasciné ce spectacle et posais mon téléphone sans bruit sur la bibliothèque et le bloquais verticalement dans l'axe grâce à un gadget que j'avais trouvé sur le net. Le simple fait de le savoir décuplait mon plaisir et mon excitation. J'allais pouvoir immortaliser tout cela pour mon propre plaisir égoïste.

L'ouverture de sa lingerie laissait apparaître entre ses passages de mains et de doigts son Mont de Vénus dont la douce pilosité taillée en ticket de métro apparaissait puis disparaissait lors de ses lentes et régulières bascules du bassin.
Le rythme augmentait progressivement tout en étant coordonné avec sa respiration et ses sons de plus en plus prononcés tandis qu'un majeur vibrait consciencieusement sur son clitoris et que d'autres doigts la pénétraient en même temps.
Elle se cambra soudainement en arrière en soubresauts ce qui fit glisser les bonnets de son soutien-gorge par dessus ses tétons tendus libérant les globes blancs et le collier de perle qui vint se réfugier entre ses clavicules et son épaule.

Elle resta ainsi haletante et frissonnante les lèvres de son sexe étaient gonflées et foncées.
Au pied du lit étaient disposé sur le sol divers objets. Un blaireau, une petit bombone de crème à raser et un rasoir visiblement neuf, un petit pot de miel doré, un gode nacré, des menottes et un cordon de rideau dont l'extrémité se terminait par une boule et des petits fils tressés.

Tandis qu'elle récupérait son souffle je saisis les menottes ce qui l'a fit sursauter et illumina son visage d'un sourire tout en se mordillant nerveusement son majeur.
Elle se rendit compte et compris que je l'avais sans doute observée.

Comme convenu, aucunes paroles ne furent échangées. Elle commença à lécher son doigt comme pour me démontrer ses qualité de suceuse et je pris le temps d'observer sa bouche au travail. Je fis glisser les menottes sur son ventre. Elle frissonna et fit rejoindre ses poignets au dessus de sa tête en les rapprochant du châssis du lit pour m'inviter à l'y attacher ce que je fis en prenant soin de ne pas échanger de contact peau à peau.

Je pris le long cordon de rideau et constituait 2 noeuds coulants que je fis glisser l'un après l'autre à ses chevilles pour l'entraver aux pieds du lit. Elle compris et sa respiration s'accéléra.
Je me mis à genoux au pied du lit, les coudes et avant-bras sur le matelas entre ses jambes avec son sexe offert devant moi. Je saisi le blaireau et la bombonne de mousse à raser. Je disposais une petite noix de mousse qui lévita sur ses poils pubien. Le blaireau se déplaça lentement depuis son anus jusque sur ses lèvres et finalement rejoignit la mousse en faisant des ronds appuyés sur son clitoris et ses poils. L'intérieur de ses cuisses laissa apparaître une chair de poule, des frissons et ses tétons se dressèrent tandis qu'elle se tortillait d'excitation entravée sur son lit.

Le rasoir fit tranquillement et proprement son travail. Chaque passage impliquait d'étaler délicatement la mousse et je profitais de faire glisser mon pouce de temps en temps sur son clitoris ce qui lui faisait émettre quelques sons excitants.

J'avais une puissante érection qui ne demandait qu'à être libérée de son carcan. J'avais juste envie de fouiner et gober son sexe offert à grands coups de langue et d'y glisser mes doigts en même temps mais mon excitation était telle que j'avais peur de tout gâcher en allant trop vite.

Il me fallait profiter de cet instant au maximum. Le téléphone filmait ce moment d'éternité ce qui me permettait de me concentrer sur l'instant présent. Je maintenais la peau de son Mont de Vénus tendue pour terminer l'ablation des derniers poils jusqu'à reveler un pubis doux, glabre, mettant en évidence ses lèvres bouffies par sa dernière session de plaisir. Sa vulve apparaissait entre quelques lignes de mousse et sa mouille coulait discrètement comme un petit filet de bave finissant sur son petit cercle rose-brun.

N'y tenant plus elle ne put s'empêcher d'écarter ostensiblement ses cuisse et de décoller ses fesses du plan du lit pour visiblement offrir son sexe glabre en pâture. Elle ne pouvait plus tenir ainsi et la faim qui tenaillait son corps depuis si longtemps montrait des signes d'impatience. Comme la règle du jeu était qu'aucun mots ne devaient être échangés, le langage corporel jouait tout son rôle la concernant. Ne me voyant pas, j'avais quant à moi le plaisir de pouvoir contrôler la situation et de d'imposer mes désirs en premier.
Elle tirait la langue pour que je commence à la lécher.
J'hésitais entre profiter de manière abrupte de la situation en la prenant tout en douceur par derrière vu la quantité de mouille qui s'accumulait et luisait sur sa rondelle brune-rose ou augmenter son désir d'être pénétrée en lui laissant libérer mon sexe de son jeans pour lui offrir son nouveau fourreau en abusant de cette si belle bouche ouverte. Je fini par choisir sa bouche. J'étais franchement étonné de la grosseur de l'engin et elle le fit aussi comprendre quand elle compris ce qui l'attendait lorsque je lui présenta la base de ma verge en la posant doucement sur sa lèvre inférieure.
Elle sourit et glissa sa langue en la faisant virevolter entre mes boules. Ma queue dominait son visage et cette bouche que je fantasmais voir à l'œuvre depuis si longtemps commença enfin à glisser vers le gland tout en exprimant un gémissement de contentement accompagné de bruits appuyés de succion. J'étais à chaque fois poussé aux limites de ma maîtrise, mais elle savait décidément ce qu'elle faisait et son intention était clairement de me faire jouir tant elle s'accrochait à mon sexe. Apres tout c'était le seul moment où elle pouvait me dominer et je me laissait donc aller en me rassurant sur le fait qu'elle était entravée et que je pouvais certainement la faire jouir à nouveau et me laisser le temps de récupérer mes forces pour un prochain outrage. J'ejaculais puissamment dans sa bouche et me retira pour finir entre ses clavicules et ses sein. Elle sourit contente d'elle et semblait me montrer son expertise en tirant la langue couverte de semence et me montrant fièrement qu'elle allait l'avaler.
Essoufflé, je saisi immédiatement le cordon de rideau et commençait à ramener en arrière ses longues jambes en pliant ses genoux sur ses épaules tant elle était souple. J’attachais le cordon autour de ses poignets en laissant une longueur entre eux de façon à le faire passer derrière ses genoux. Ainsi elle pourrait maintenir cette position sans effort.
Elle s’attendait à quelque chose sans trop savoir comment elle allait être traitée. Elle souriait visiblement excitée par l’idée d’être à son tour satisfaite dans une position de victime consentante.
Avec cette position de soumission toute sa souplesse s'exprimait, ses seins étaient coincés l'un contre l'autre éclaboussés par une traînée de sperme qui me rappela déjà la scène qui venait de se dérouler et contribua à éveiller doucement ma verge de sa torpeur.
Ses seins comprimés tels 2 ballons redondant entre ses coudes, faisaient ressortir son collier de perles du petit tunnel formé par son décolleté. Je me surpris à y voir une nouvelle opportunité d’y glisser mon membre une fois que sa vigueur serait retrouvée.
Je décida de lui montrer à mon tour le savoir-faire de ma langue. Je me mis à genoux au pied du lit pour que je puisse confortablement m’étaler à plat ventre en face de son sexe. Il était magnifiquement serti par la couronne formée par la rondeur de ses fessiers que j’avais envie de claquer, mordre, pétrir. Ainsi offerte la raie de son cul était trempée de mouillon.
Mon gland n'eu aucune difficulté à s'appuyer franchement sur son anus ce qui aida fermement mon membre tant cela était stimulant. Elle sursauta et fit un grand soupir qui contribua à sa détente et à m’enfoncer délicatement millimètre après millimètre. La sensation était délicieuse et le moment de resserrement puissant autour de la base du gland exquis. Je lui laissait le temps d'accepter cette nouvelle sensation et me coordonnait sur sa respiration pour continuer ma possession ferme par petits aller-retour dont chaque aller s'aventurait de plus en plus loin. Pour distraire son attention, j'ajouta mon index et mon majeur à la manœuvre en les introduisant doucement dans son sexe en comprimant son clitoris latéralement. J'avais le sentiment d'une prise de bowling tandis que je me surpris à sentir mes couilles frotter son cul ce qui me fit réaliser combien je la possédais profondément, enfin.
Ses gémissements devinrent des râles réguliers à chaque fois que je la pénétrais profondément. Elle devenait rouge et haletante. Je saisi le gode nacré et commença à le glisser sur son sexe qui s’entrouvrait à chaque coup de butoir.
Elle commença à entre couper ses râles de "oh oui bourres ! Bourres bien !!" Qui décuplèrent mon plaisir et mon excitation.
Mon érection était redevenue tout à fait vaillante et je variais les rythmes dans ce fourreau si étroit.
Elle hoquetait et me suppliait de continuer et d’accélérer jusqu’à ce qu’elle soit saisie de puissants spasmes qui la firent hurler et s’étrangler en même temps. Les contractions furent si puissantes autour de mon sexe que je n’eu aucun contrôle sur les miennes et que je senti mes couilles se crisper lors du grand soulagement.

Essoufflés et épuisés je me retirais de son cul en douceur tout en maintenant des deux mains son bandeau dont je profitais de resserrer les liens.
Pas question pour moi de céder au romantisme et à la tentation de la révélation. Selon les règles établies entre nous, elle devait continuer à travailler sans éveiller les soupçons des collègues et surtout de son collègue dont elle devait croire avoir été la victime consentante.

Je l’embrassais doucement dans son décolleté et laissait glisser ma main en descendant le long de son ventre et la libéra de ses liens et de sa position scabreuse pour commencer à m’éclipser avec mes habits lorsque j’entendis un craquement d’articulation dans la pièce voisine en face de la chambre. Une main féminine apparu sur le cadre de la porte et je fus stupéfaits de voir apparaître tout sourire ma femme dans sa robe d’été avec une tache d’humidité bien visible et le tissu chiffonné au niveau de son sexe. Elle avait le doigt posé sur sa bouche me faisant signe de rester silencieux et faisait tournoyer son string dans l’autre main tandis que la musique continuait à couvrir mes mouvements de fuite. Elle me rassura et me fit signe de laisser tourner la caméra de mon téléphone.
Sous le choc, j’allais me rhabiller quand elle me fit comprendre de rester nu en fronçant des yeux et levant l’index en le faisant osciller pour me dire non.

Notre amie commune était encore dans un état second, comme saoule, hébétée de jouissance. Elle respirait encore fort sous son bandeau tout en caressant doucement le ventre comme pour se rassurer. De son sexe bouffi et de la raie de son cul s’écoulait encore mon jus blanc qui faisait quelques bulles. C’est alors que ma femme souleva sa robe d’été qui révéla que sa chatte était trempée de mouillon et duquel dépassait un petit cordon tressé. Elle nous avait observé discrètement depuis la porte et je n’avais rien entendu tout concentré que j’étais sur mes outrages.
Elle s’approcha doucement de notre amie, saisi les menottes et la rattacha rapidement au châssis du lit. Celle-ci sembla surprise au contact des mains de ma femme car elle ne reconnu pas mes mains. Pour la première fois elle parla et demanda: « qui est là ? » Ma femme me désigna les cordons du regard et me fit comprendre d’attacher les pieds de notre amie au cadre du lit. Je m’exécutais tandis que la victime se débattait.

Je regardais fasciné cette inconnue qu’était ma femme faire glisser sa petite robe au sol tandis que notre amie ligotée continuait de répéter sa question et demander qu’on lui ôte son bandeau. Ma femme se retrouva nue. J’adorais observer ses gros seins se ballotter lorsqu’elle se déshabillait.

Elle monta sur le lit et se mit à califourchon sur notre amie et lui retira son bandeau. La stupéfaction ne fut pas feinte et son regard passait de ma femme à moi en protestant et se débattant. Elle nous traita de fou et folle et nous accusa de viol, de conséquences terribles. Mais ma femme se chargea de la faire taire en se tournant et lui présentant son sexe et son étrange petit cordon ainsi que son cul. Elle me fit un étrange sourire et introduit deux doigts dans le sexe de la victime et les ressorti en tirant un long fil de mon sperme qu’elle fit tomber sur sa langue. J’étais fasciné et comme hypnotisé par ce spectacle. J’avais retrouvé ma vigueur et me branlait en me rapprochant. Soudain elle se pencha en avant et aspira le sexe de notre victime et le lécha abondamment jusqu’à l’anus la bouche pleine de mon sperme qu’elle avalait goulûment en se délectant et se léchant les doigts.

Elle était déchaînée et notre victime avait les yeux qui roulaient de plaisir sous les coups de langues habiles et l’aspiration étudiée de son clitoris. Elle commença à tirer la langue en direction du cul de ma femme qui le lui colla sur son visage.
Ma femme haletait sous les coups de buttoir de la langue pointue qu’elle accueillait dans sa rondelle en gérant la vitesse de pénétration. Simultanément elle tira doucement sur le petit cordon tressé qui sortait de son sexe et en sorti un chapelet de boules de geisha ce qui la fit jouir sur le champ dans des gémissements rauques. Elle gicla des saccades de fluides chauds sur le visage de la victime qui fit un long cri essoufflé.
Ses cheveux étaient trempes de cyprine et je réalisais brusquement que ma femme était une femme fontaine.

N’en pouvant plus, je m’installait à mon tour sur le lit et embrassa longuement ma femme qui sentait le sexe et le sperme. Je la fit tourner de sorte qu’elle soit face à la victime et que je puisse la prendre à mon tour. Elle récupéra les boules de geishas qu’elle introduisit à moitié dans le sexe de la victime et pour autre moitié dans le sien. Haletantes toutes les deux elles se mirent à gémir quand elle enclencha les vibrations des boules.

Je me retrouvais donc face à leur deux sexes reliés dont les lèvres vibraient dans un bouillon de foutre, de salive et de mouille. Ne me restait de disponible que leurs culs tout lubrifiés. Je saisi mon chibre dur et m’appuya contre la rondelle de ma femme et m’enfonçais rapidement tandis que mes boules vides tapaient sur leur vulves chaudes.
J’étais tellement vidé que ma queue pu faire son ouvrage de fort bonne durée libéré de l’urgence d’éjaculer habituelle.
Je fini par exploser lorsque ma femme m’ordonna de taper encore plus fort au fond en hurlant mon prénom et pas celui d’Eric en criant « va-y bourre au fond bordel ! mais bourre-moi le cul ! défonce-moi déchire-moi je suis ta grosse pute de femme !!! »

Ces deux salopes jouirent en même temps tandis que je lui fourrais de foutre une dernière fois son somptueux cul.
Nous étions tous les 3 dans un état second. Je détachais la victime désormais consentante et hébétés nous sommes allés nous doucher ensemble en partageant encore des baisers et des caresses entre sourires et éclats de rire.

En reprenant le volant ce jour-là je n’arrivais pas à comprendre les raisons qui permirent de faire exploser nos limites lors de cet événement grandiose mais, j’étais heureux comme jamais d’avoir dignement baisé celle que je désirais depuis si longtemps et découvert le potentiel libéré de ma désormais plus belle salope de ma vie qu’était ma femme, ma pute, ma chose, celle qui faisait de moi désormais un homme pleinement comblé.

Bon, je vous laisse nous avons un film à visionner et je ne crois pas que nous arriverons au bout…

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Commentaires de l'histoire :

Muscalin
N’hésitez pas à me faire part de ce que vous avez aimez ou regretté dans mon texte afin que je m’améliore pour le prochain.
Posté le 10/09/2021

Draga
Je suis trompée, je ne peux plus écrire de l'excitation. J'adorerai avoir un marri actif et qu'il me pénètre tous les jours.
Posté le 10/09/2021


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