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Mes débuts (1)

Jeune marin dans la Marine Nationale en 1965, j'ai découvert le plaisir entre hommes...

Proposée le 5/09/2021 par gecko45

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Je me suis engagé dans la Marine Nationale à 17 ans. Au printemps 1965, j’ai été détaché en tant que matelot radio sur le porte avion Clémenceau pour des exercices avec des bâtiments des USA.

Mes débuts (1) En fin d’exercice nous avons fait escale à Casablanca au Maroc où nous sommes restés 5 ou 6 jours.

Nous sommes arrivés le soir et je ne suis pas sorti ce premier jour.
Le second jour, en début d’après-midi, n’étant pas de service, je me suis décidé d’aller visiter cette ville que je ne connaissais pas. N’étant pas affecté sur ce bateau, n’y étant que pour un mois, d’un naturel timide et réservé, je me suis fait que des relations professionnelles mais aucune relation de camaraderie. Je suis donc descendu à terre seul.

J’avoue que je ne me souviens plus très bien de la topographie des lieux. Je sais qu’en quittant le port j’ai emprunté des rues ou avenues en direction du Sud, j’ai traversé une ou deux places, il y avait une église ou une cathédrale et j’ai atterri dans un parc où je me suis assis sur un banc à l’ombre d’un arbre.

J’avais un peu chaud, je me sentais un peu fatigué et j’avais soif. Simple matelot, à cette époque j’avais très peu d’argent de poche et j’hésitais à me rendre dans un bar dans un pays inconnu n’ayant fait que très peu d’escale à l’étranger dans ma très courte et jeune carrière militaire. Bref honnêtement je me demandais ce que je faisais là et commençais à envisager de retourner à bord.

En regardant autour de moi, à peu de distance, j’ai vu une jeune fille, un livre sur les genoux, qui regardait dans ma direction… c’est vrai que cela devait faire un peu étrange de voir ce marin seul assis sur un banc dans un parc, alors que la plupart de mes collègues étaient plutôt dans les bars entourant le port.

Après environ un quart d’heure d’observations mutuelles, je me suis décidé d’aller vers elle.
- Bonjour, je m’appelle Jean ..
- Moi je me nomme Samia…
S’en suivi une conversation sur ses études, ses parents, sa famille, ses loisirs, et réciproquement…. Rien de très intéressant dans le cadre de ce récit mais qui me fit passer une heure agréable.

L’après midi était bien avancé quand elle me déclara qu’elle devait rentrer. Je lui ai demandé si je pouvais l’accompagner et elle me répondit positivement.

Elle était jolie, sympathique, riait facilement et moi j’étais bien. Je l’ai donc suivie et nous avons avancé dans cette ville dont je n’avais pas le plan. Pris dans l’ambiance et la conversation, je ne me suis pas préoccupé du chemin que nous empruntions….

A un moment donné elle m’a dit excuse moi mais tu ne peux pas venir plus loin car je ne veux pas que l’on me voit avec un marin, cela me donnerait une mauvaise réputations et mes parents seraient très mécontents. J’ai très bien compris, et je l’ai laissée s’éloigner. J’étais déçu et en même temps elle m’avait permis de passer un moment agréable.

J’ai commencé à rebrousser chemin mais très rapidement je me suis aperçu que je n’avais aucune idée d’où je me trouvais. A l’époque pas de portable et de GPS associé !!!!

J’ai demandé à une personne que je croisais où se situait le port. Elle m’a indiqué une direction mais cela ne m’a pas beaucoup plus avancé et je commençais à m’inquiéter car le soir arrivait rapidement.

Une voiture s’est arrêtée à ma hauteur et son chauffeur, un arabe, m’a demandé où j’allais. Je lui ai répondu que je voulais retourner à bord de mon bateau à quai au port. Il m’a dit : » monte je vais t’y amener » … C’est avec empressement et soulagement que je me suis assis à ses côtés en le remerciant vivement.

Il roulait lentement en me posant des questions sur moi, en m’expliquant des anecdotes sur les endroits que nous traversions.

Je ne reconnaissais pas du tout les lieux que nous traversions mais bon, quand je marchais aux côtés de Samia, j’avoue que je n’ai pas du tout à faire comme le petit poucet en balisant le chemin emprunté. En plus la nuit était tombée…

Il souriait, était plaisant à écouter, blaguait et je me laissais bercer (un peu comme le serpent qui écoute la flute…) . Par ailleurs j’avais pas mal marché et j’étais un peu fatigué.

A un moment il a mis sa main droite sur ma jambe, sans plus. Là je me suis mis en alerte. Que me veut il celui-là. Dans un premier temps j’ai reculé mes jambes vers la portière.

Il a enlevé sa main et m’a proposé de faire un détour par un quartier commerçant qu’aimaient beaucoup les touristes car il y avait plein de boutiques. Je lui ai fait remarquer que j’avais très peu d’argent et que je ne pourrais pas m’acheter quoi que ce soit. Il m’a répondu qu’il se ferait un plaisir de me faire un cadeau car j’étais très sympathique et qu’il désirait que je parte du Maroc avec un souvenir de lui.

Franchement ?... Je sortais des jupes de ma mère et oui j’étais naïf !

A cette époque, mes seules expériences sexuelles avaient été avec des jeunes filles de mon âge et se limitaient à des baisers et quelques tripotages… Nous étions dans le première moitié des années 60 !

Il a commencé à rouler un peu plus vite et j’ai bien noté qu’il changeait de direction. Il m’a dit qu’il allait me faire visiter des endroits intéressants que peu de touristes avait la chance de connaitre… Je l’ai remercié et lui ai précisé qu’il fallait que je sois rentré à bord du Clémenceau avant minuit.

Il parlait et blaguait beaucoup ; je reprenais confiance… il a remis sa main sur ma cuisse ;.. Un peu plus haut sur ma cuisse…





J’ai enlevé sa main. Il m’a demandé si je n’aimais pas. Je lui ai répondu que je n’étais pas homosexuel et que dans la Marine Française cela était puni très sévèrement.
- Je ne fais rien de mal, mon geste est seulement amical dit-il ; comment es ce que tu te nommes, moi c’est Mohamed
- Jean.
- Ne t’inquiète pas Jean nous sommes entre amis, tu verras nous allons passer un moment très agréable…

Il prend ma main que j’avais laissé sur ma jambe et la place tout en haut de sa cuisse... Je me crispe, j’ai chaud, j’enlève ma main et la remet sur ma jambe…
- Mohamed j’aimerais que tu me ramènes au port s’il te plait.
- Mais non, mais non mon ami nous sommes bientôt arrivés et ensuite je te promets je te ramènerais.

Nous étions sortis du centre-ville très urbanisé, les rues étaient de moins en moins éclairées, les habitations ou commerces plus distants les uns des autres… je n’avais aucune idée d’où je me trouvais, à quelle distance était mon bateau, comment je ferais sans lui pour retourner à bord !!!!!

J’avais beau être totalement inexpérimenté, je comprenais très bien ce qu’il voulait. J’avais peur, pas cette peur panique, non plutôt craintif.

Mon frère était 8 ans plus âgé que moi. Quand j’avais 6 ou 7 ans nous dormions dans le même lit. Il lui arrivait de me faire jouer au docteur… je devais l’ausculter et notamment les parties génitales. Je me souviens qu’il bandait et sa queue me semblait énorme …. Plusieurs fois il m’a demandé de le branler….
Plus tard, à l’école, quand j’avais 10 ou 11 ans, j’étais assis au fond de la classe à côté d’un camarade plus âgé que moi. Il attendait ses 14 ans pour aller travailler à l’usine. Un jour il m’a demandé de mettre ma main dans sa poche...
- Pourquoi ?
- Tu vas voir tu trouveras une surprise

Ma main de trouva rien, il me dit que c’était tout au fond… j’ai avancé ma main plus loin – sa poche était trouée - j’ai d’abord touché sa cuisse avant de rencontrer son sexe en érection.
- Prends le dans ta main et caresse le.
C’était doux, chaud et dur à la fois… cette chose semblait vivante ! Cela m’excitait et je l’ai caressée jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter car il allait jouir… ce jeu s’est répété à plusieurs reprises durant l’année scolaire … c’est aussi à cette époque que j’ai commencé à me masturber.

Donc ce jour-là à Casablanca, dans cette voiture, tous ces souvenirs me sont revenus d’un coup ! je devais être tout rouge, j’avais de plus en plus chaud, je tremblais même un peu.

Mon chauffeur quitta la route principale, pour emprunter des rues plus étroites et moins fréquentées. Je n’osais plus parler.
Il s’arrêta enfin dans un quartier à côté d’un café et me dit de descendre que nous allons prendre un thé. Il y avait quelques passants et le bar était occupé par quelques hommes qui discutaient. Je me suis dit que je ne craignais pas grand-chose.
Mais un marin français en tenue qui débarque ça se remarque ! les conversations se sont tues. Mohamed leur dit quelques mots en arabe, et à moi me dit de le suivre au fond de la salle où il me désigna une table.
Le patron apporta rapidement deux verres et une théière.

Mohamed s’est assis à côté de moi et me dit qu’il aimait venir ici, que sa maison était à proximité et que toutes ces personnes étaient ses amis. Il me parla un peu de lui et j’en ai profité pour le regarder à la dérobée car depuis notre rencontre je n’en avais pas vraiment eu l’occasion.
Il devait mesurer entre 1m75 et 1m80 alors que je mesurais 1m65. Il était maigre tout comme j’étais mince.
Son visage n’était pas précisément beau, mais pas moche non plus. Maigre comme le reste de sa personne. Son nez était assez proéminent. Il était habillé modestement d’un polo, d’un pantalon et des sandales aux pieds. Il devait avoir 40 ou 45 ans, ses cheveux droits étaient coiffés en arrière.

Nous buvions tranquillement notre thé. Les conversations avaient repris entre les consommateurs qui ne s’occupaient plus de nous.

Mohamed est revenu à la charge. Tout en parlant, il me souriait. Il me regardait dans les yeux et j’ai eu l’impression qu’il s’était rapproché physiquement de moi. Sous la table j’ai senti sa main à nouveau sur ma jambe, tout en haut de ma cuisse.
- Mohamed !!!
- Ne t’inquiète pas Jean, je ne te veux aucun mal. Viens, allons aller chez moi je vais te faire connaitre ma femme et mes enfants.

Il s’est levé et dirigé vers l’arrière de la salle où il y avait une porte. Je restais assis, hésitant. Il m’a souri :
- Allez viens, n’aie pas peur ! tu es un marin de la Marine Française et un marin français n’a pas peur…. Si ?

Je devais être rouge comme une tomate marocaine bien mure !!!!!
Dehors des personnes circulaient, de la musique provenait de quelques maisons éclairées aux environs. Je me suis encore persuadé que je n’avais aucune raison d’avoir peur. De toute façon comment je pourrais rentrer sans lui ???

Je me suis levé et l’ai suivi dans une arrière-cour, puis une ruelle avant d’arriver à l’entrée d’une maison non éclairée. Je lui ai fait remarquer qu’il n’y avait surement pas de femme ni d’enfant. Il m’a juré que si mais qu’ils devaient être chez sa mère qui habitait dans un quartier voisin. Ils ne tarderaient surement pas.

Il a ouvert la porte qui était fermée à clé, à allumé et m’a prié d’entrer. Un petit salon, une cuisine pauvrement meublés.
Il me dit de m’assoir dans le divan, qu’il allait nous préparer du thé.

J’en ai profité pour regarder autour de moi. Pratiquement pas de décoration. Des photos d’enfants et d’une dame en habit traditionnel étaient exposées sur un meuble. Cela me rassura et me fit penser qu’effectivement il était marié et que sa famille pouvait rentrer à tout instant.
Il est revenu avec les tasses et une théière ; a servi la boisson et s’est assis à côté de moi à presque me toucher. Nous avons bu et je lui ai dit qu’il me faudrait rentrer sans tarder.
- Jean il n’est que 22h, nous sommes à une demie heure du port, nous avons le temps (et en mettant sa main sur ma cuisse) n’ai pas peur … tiens je vais te faire visiter ma modeste maison.

Il se lève et me tend la main pour m’aider à me lever. Sans la quitter il m’amène vers une porte qu’il ouvre :
- Tu vois notre maison est modeste. Mais elle est confortable. J’ai confiance en toi et je ne te cache rien. Tu es mon ami (il avait toujours ma main dans la sienne)
Nous étions dans une chambre meublée d’un lit double, d’une armoire et d’un lit de petit enfant.
- Mais tu as plusieurs enfants ?
- Oui Jean mais les grands dorment chez ma mère où ma femme vient de les amener. Pour l’instant je ne peux pas payer un loyer pour une maison plus grande et celle-ci ne se compose que de ces trois pièces. La cuisine sert aussi de salle à manger et de salle de bains.
Venant d’un milieu très modeste, cela ne me choqua pas plus que ça !

Mohamed était maintenant tout contre moi et me fit tourner vers lui en m’entourant les épaules avec son bras libre tandis que son autre main gardait toujours la mienne prisonnière.

Son visage se pencha vers le mien et il m’a embrassé sur le front, la joue, le cou, la joue près de mes lèvres … je tremblais, j’avais peur, je suais ;
Il m’a fait assoir sur le bord du lit est resté debout devant moi et sans autre forme de procès il à ouvert sa braguette et a sorti son sexe en semi érection. Pas gros, pas large, plutôt fin mais assez long, plus que le mien en tous les cas. Ce qui m’a surpris le plus c’est qu’il était circoncis, ce que je n’avais encore jamais vu, même lors des douches communes que je prenais à bord. Son gland ressortait bien au bout de la tige alors que moi j’avais un long prépuce…

- Regarde Jean, elle te plait ? Tu veux bien la caresser, après je te ramène au bateau.
Je n’ai pas bougé. J’ai fixé sa queue, sans réagir.
Il a avancé un peu plus et son sexe n’était plus qu’à une vingtaine de centimètres de mon visage. Il se caressait lentement et la bête se raidissait petit à petit. Je me suis dit que si je ne le prenais pas en main, il me la mettrait dans ma bouche …. J’ai donc avancé ma main mon prendre son sexe… chaud, doux comme de la soie, dur aussi, palpitant…. On aurait dit qu’il était vivant. Une fois de plus mes souvenirs d’enfance sont revenus au galop….
J’ai commencé des mouvements de masturbation sur ce pénis qui devenait de plus en plus dur. Je commençais à m’exciter aussi… mon partenaire avait fermé les yeux et sa respiration s’était un peu accélérée…
- Viens, lève-toi, dit-il en me tirant pas la main. Je me suis retrouvé debout devant lui et il m’a enlevé prestement ma vareuse, mon tricot rayé avant de s’attaquer aux quatre boutons de mon pantalon qui s’est retrouvé à mes pieds en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire… je n’en revenais pas. Je ne savais pas quelle attitude prendre. J’avais peur, mais j’étais aussi excité.
Il m’a poussé sur le lit, défait mes chaussures et achevé d’enlever pantalon et slip…
Je ne bandais pas vraiment, j’étais à la fois excité mais aussi apeuré, difficile de décrire ces sentiments contradictoires qui m’assaillaient à ce moment-là…



Mohamed ne perdait pas de temps ; polo, pantalon et chaussures ont rapidement été retirés.
Nous étions nus tous les deux, moi allongé en travers du lit, lui debout à me regarder avec un petit sourire.
- Mohamed, ta femme va rentrer
- Pas tout de suite… plus tard… ne t’inquiètes pas mon chéri…
Me faire appeler mon chéri par un homme inconnu il y a peu m’a fait tout bizarre, on aurait dit ma mère ….

Il s’est allongé à côté de moi et a commencé à me caresser le torse, le ventre puis mon sexe. Il l’a pris entre deux doigts pour le masturber ; l’a délaissé pour prendre mes couilles, les faire rouler entre ses doigts… ma verge commençait à réagir et à se raidir. Il s’est penché sur mon visage, m’a embrassé dans le cou, sur la joue, près des lèvres (j’ai détourné la tête pour qu’il ne puisse pas m’embrasser sur la bouche). Ses lèvres sont descendues sur mes seins, ont aspiré mes tétons avant de les mordiller déclenchant des frissons….
Sa bouche est encore descendue, et a gobé le bout de mon sexe pas encore tendu complètement. Sa main malaxait toujours mes bourses… tout était bon…. Si bon….. je me posais de moins en moins de question et ne pensais plus trop à l’heure….
Après un moment il s’est redressé sur un coude et m’a dit :
- À toi maintenant de me faire du bien.
J’ai redressé mon torse et malgré mon manque total d’expérience, j’ai fait ce qu’il m’avait fait en m’appliquant car j’avais vraiment envie de lui faire plaisir...
Mes mains ont caressé son visage puis sa poitrine, mes doigts ont joué avec ses tétons que j’ai également pincés, mes mains ont parcouru tout son corps jusqu’à l’objet convoité… il était bien raide maintenant, bien dur, le gland proéminant, le tout de couleur brune alors que j’étais blanc comme un cachet d’aspirine…
J’ai masturbé sa queue et pris ses testicules en main. Elles étaient lourdes et bien plus volumineuses que les miennes.
Pendant ce temps je me suis penché et avec ma langue j’ai agacé la pointe de ses seins, léché sa poitrine et suis remonté avec ma langue vers son cou, derrière de ses oreilles et sans être vraiment conscient ma bouche s’est collée à la sienne et nous nous sommes embrassés fougueusement. Je planais, je n’étais plus réellement là !!!!
En fait, avec le recul, et en décrivant cette scène, je pense que je me sentais fille … je ne sais pas si vous pouvez comprendre …
Il m’a fait basculer sur le dos, s’est mis sur moi et m’a embrassé à son tour… Tantôt avec douceur, tantôt avec force. Sa bite bien raide était contre mon ventre. Il bougeait légèrement son bassin pour la frotter contre moi, un liquide s’en échappait.
Il tenait mon visage entre ses mains et m’embrassait toujours, j’en perdais haleine.
Il fini par me lâcher la bouche et est descendu en me parcourant tout le corps avec sa langue jusque ma verge maintenant bien droite qu’il a pris en bouche et qu’il a sucé avec douceur en me caressant les testicules.
Avec sa main il m’a fait comprendre d’écarter les jambes ce que j’ai fait et ses doigts se sont alors glissé vers mon cul. Il a remonté sa main et m’a mis ses doigts dans ma bouche en me demandant de les sucer. Ce que j’ai fait sans réfléchir plus avant.
Mon partenaire a glissé ses doigts maintenant bien mouillés de ma salive dans ma raie culière à la recherche de mon petit trou inviolé à ce jour…
Sa bouche avait repris ma queue un instant abandonnée et la suçait, la léchait, léchait mes couilles aussi le tout pour me tenir excité mais sans me faire jouir. Sa main disponible caressait mes seins, jouait avec mes tétines très sensibles.
Derrière un doigt s’est infiltré dans mon conduit sans que j’aie vraiment mal. Ça me faisait un effet bizarre de le sentir bouger, entrer, sortir avant d’être rejoint par un second…. Je me suis laissé faire, vraiment très excité. Je n’avais jamais connu cela… et j’aimais !
Mon amant faisait maintenant tourner ses doigts à l’intérieur pour élargir mon orifice.
Jugeant que j’étais prêt et persuadé que je ne me révolterai pas, Mohamed s’est relevé m’a couché sur le ventre, tiré sur mes hanches pour relever mes fesses et a appuyé son gland à l’entrée de mon cul. Ça m’a fait mal et je lui ai fait savoir.
- Jean, pousse comme si tu voulais faire caca et tu verras ça rentrera tout seul et tu auras du plaisir.

J’ai fait ce qu’il m’a dit lui faisant confiance alors que je ne le connaissais pas une heure auparavant.
La pression de sa queue s’est faite plus importante, j’ai essayé de me relâcher, j’ai poussé comme il me l’a dit et j’ai senti la tête de son sexe me pénétrer et s’arrêter. Il a attendu pour me laisser m’habituer à cette présence puis a repris sa progression. Ça me faisait mal mais c’était très supportable.
Il s’est encore arrêté, ma caressé le dos, s’est penché pour m’embrasser dans le cou ; une de ses mains à pris mon sexe qui s’était recroquevillé et l’a malaxé en même temps que mes testicules.
Puis il m’a pris par les hanches et a poursuivi sa progression jusqu’à ce que son pubis et ses poils soient contre mes fesses. Il a attendu un peu avant de repartir en sens inverse jusqu’à ressortir… Sans attendre il est re entré jusqu’au fond d’un seul coup de rein. J’ai crié car il m’a fait mal…
Il s’est arrêté aussitôt, m’a parlé doucement m’appelant « ma chérie », me caressant, m’embrassant partout où notre position le permettait… la douleur s’est estompée et me sentant plus relaxé il a fait de petits mouvements d’aller-retour, lentement, toujours en parcourant mon corps avec ses mains et en me parlant avec douceur.
J’avais de moins en moins mal, je dirais même que je sentais un peu de plaisir… sa voix me berçait. C’était étrange quand j’y repense cinquante ans plus tard, mais sur le moment je ne me posais pas de question philosophique !
Je profitais de ces instants, de cette découverte de l’amour physique, moi qui étais puceau en arrivant…. Devant et derrière car je n’avais jamais eu de relation avec un femme et encore moins avec un homme.
Mohamed, me sentant plus réceptif a accéléré ses mouvements de pénétrations, allant bien au fond. Son torse était bien décollé de mon corps, ses mains agrippaient mes hanches fortement et il me labourait vigoureusement. Chaque fois qu’il me pénétrait, je sentais ses poils pubiens contre mes fesses, ses couilles frapper les miennes…. J’avais encore un peu mal, mais peu à peu le plaisir prenait le dessus… j’avais les épaules et la poitrine contre le couvre-lit ; le cul bien relevé. J’ai glissé une main sous moi pour me masturber… je ne bandais pas vraiment mais j’ai quand même éjaculé…
Mon amant, mon premier amant, a gémit et s’est arrêté d’un coup, bien au fond de mon conduit. Je l’ai senti se déverser en moi avant de s’écrouler sur mon dos. Nous étions en sueur. Il m’a caressé les cheveux, a tourné ma tête pour m’embrasser avec beaucoup de tendresse… baiser que je lui ai rendu…

Il est sorti et s’est allongé sur le dos. Je me suis allongé sur le côté et je l’ai regardé, j’ai caressé sa poitrine avant de descendre prendre sa queue poisseuse en main. Il me demanda de la sucer mais j’ai refusé.
Je lui ai rappelé que je devais rentrer avant minuit. Il s’est levé, nous nous sommes habillés. Il m’a conseillé de mettre mon mouchoir dans mon slip pour récupérer son sperme qui ne manquerait pas de s’écouler.
Il m’a ramené au port au pied de la coupée en me demandant de me revoir le lendemain.
Je lui ai répondu que cela ne sera pas possible car j’étais de service jusqu’au surlendemain.
Nous avons convenu qu’il viendrait me chercher à 14h...

Je suis monté à bord, confus, avec des questions plein la tête ; la première étant = es ce que je vais honorer notre prochain rendez-vous ? ….

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Commentaires de l'histoire :

Slyette
C'est très bien écrit. Mais Mohammed n'a pas été correct...
Posté le 19/05/2023


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