Histoire Erotique

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La psyché

Un couple va dans un hôtel. Dans la chambre d'hôtel se trouve un miroir. Un grand miroir qui permet de tout voir.

Proposée le 15/05/2021 par drika

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie


J’entre dans la chambre devant lui. J’entends la porte se refermer. Que voit-il de moi ? Dans le grand miroir en pied, cette femme, silhouette élégante, je suis belle dans mon ample jupe rouge vif qui me fait la taille fine. Mon chemisier blanc souligne mes formes qu’il regarde. J’aime ça.


Il m’enlace par-derrière, des bras forts, décidés, désireux. Il m’attire contre lui, mon dos contre sa poitrine et je sens sa bouche qui respire à mon oreille. Temps suspendu. Désir. Il murmure quelque chose, j’écoute surtout sa voix, cette douceur, j’ai confiance.


Je ferme les yeux, face au miroir qui voit ses mains remonter sur le chemisier blanc. Je les sens légèrement sur mes seins, chercher les tétons, les exciter doucement. Je me laisse faire.


Je me laisse faire lorsqu’il déboutonne le chemisier. Chaque bouton s’ouvre au rythme de ses doigts qui capte toute mon attention, un bouton, un bouton, encore un, un autre, le dernier, je respire plus vite.


Il me tient fort contre lui. Il écarte mon chemisier, je sens son regard sur mes dentelles, elles sont belles et de prix. Elles sont transparentes pour mettre en valeur ma vaste poitrine, il l’admire, elle est pour lui, j’attends, tremblante de désir.


Il empaume doucement un globe et le fait sortir de la dentelle, pareil avec l’autre, ses mains apprécient le poids de seins. Il joue avec les mamelons. Le miroir doit refléter une femme dépoitraillée, à la merci de cet homme qui voit mes mamelons se dresser sous ses caresses.


Je veux me tourner vers lui, mais il me tient serrée contre lui pour que je sente son sexe se gorger de sang et de désir, qui est dur contre mes fesses et ma croupe ondule pour le sentir plus encore.


Sa main gauche sur ma poitrine et je sens l’autre qui descend vers ma jupe. Elle descend lentement, il apprécie ma taille, il prend son temps. Il soulève ma jupe, sa main sur ma cuisse, l’intérieur de la cuisse. Il retrousse la jupe et le miroir lui montre les bas transparents qui gainent mes jambes, mes cuisses jusqu’à la chair et plus haut la culotte en dentelle claire faite pour exposer ma toison soigneusement échancrée. Il admire et prend son temps. Je suis à sa disposition.


La main gauche, fort sur le sein. La main droite caresse la cuisse dans le doux, remonte, remonte. Un doigt entre dans la culotte, juste sous l’élastique, pas plus, suit le trajet de l’élastique, doucement. Le doigt ressort et se pose sur le sexe à travers la dentelle. Il trouve facilement, il saisit, il caresse le mont de vénus, j’ondule, j’entends son souffle dans mon oreille, ma pudeur m’empêche de voir ce que montre le miroir, cette main qui me soumet.


Un doigt s’aventure à l’entrée de ma fente. Il fait le tour extérieur du propriétaire. Puis il entre dans mon humidité. J’aimerais le retenir, mais il sort déjà. Il retourne sur mon plaisir, il connaît mon rythme, je monte, encore, je monte, il me fait monter et ça sort de moi un cri plus fort. Je suis envahie de jouissance, il continue, il ne m’abandonne pas, ça monte encore, encore, encore, une jouissance plus forte encore. Le miroir tremble un peu, je l’ai touché dans mes mouvements de volupté.


Il murmure à mon oreille : « Bien… Maintenant, mets-toi à genoux ». La chaleur de son haleine me ravit. J’obéis à mon maître. J’en ai tellement envie. Vite, à genoux, vite prosternée, j’en tremble. Mes fesses offertes. Il soulève ma jupe. Il prend un temps pour regarder le spectacle. Je tends mes fesses plus encore. Regarde. Regarde.


Il écarte la culotte. Sa verge dure contre mon sexe. À l’entrée. Il prend son temps. Des petits mouvements juste à l’entrée. Puis un peu plus loin. Je sens mon humidité qui lui tapisse la voie. Il ressort, il rentre, comme ça, comme il veut. Je suis à sa disposition. J’aime ça. Un coup profond, ah, j’aime ça. Fort. Va fort, j’aime, j’aime.


Il rompt les digues et je sens sa semence au moment de ma jouissance extrême. Nous planons de plaisir.


Quand j’ouvre enfin les yeux, je vois ses yeux qui brillent, la partie n’est pas finie.

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Commentaires de l'histoire :

Gemini83
Bonjour, Merci pour cette belle histoire qui prend son temps pour nous faire découvrir toute cette sensualité.
Posté le 16/05/2021


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