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Fruits mûrs 5 Rendez-vous rituels, je fourre Muriel dans le silence

Mon amante Muriel, petite rousse de 50 ans, apprécie ce rituel: elle vient chez moi sans me voir, se bande les yeux. Elle m'attend, toute nue, et je l'enfile sans dire un mot. Ensuite, nous échangeons des fantasmes débridés, dont certains se réaliseront. Nous irons ensemble au bordel.

Proposée le 9/03/2021 par langauchat

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Muriel, dame fluette aux cheveux roux et bouclés filait sur l’autoroute depuis une bonne demi-heure. Malgré ses lunettes de soleil, ses traits fins exprimaient une certaine autorité, celles d’une mère de famille artiste et travailleuse.

Ses mains fines, presque maigres, posées sur le volant de sa petite voiture, palperaient bientôt les testicules de son jeune amant, c'est-à-dire moi, lorsqu’elle serait arrivée à destination.
A quoi pensait-elle? Au plaisir de transgresser l’ordre de sa vie bourgeoise, de s’écarter de sa routine familiale…toute cette route pour venir se dévêtir sur un lit pliant, et faire jaillir le sperme d'un homme plus jeune qu'elle!

Quelles idées vicieuses bouillonnaient sous son front? Etait-ce nos derniers sms?

- Qu’est-ce que tu aurais envie de me faire? m’écrivait la jolie ménagère pendant son travail.

J’avais répondu par des obscénités. A toute mes questions les plus salaces, elle avait répondu par l’affirmative. Du coup, j’avais envie de rendre notre prochain rendez-vous plus vicieux, plus théâtral.

- J’aimerais que tu sonnes à ma porte. J’attendrai dans la salle de bains, sans venir à te rencontre. Tu te déshabilleras et m’attendras toute nue sur mon lit. J’attendrai suffisamment longtemps pour que tu sois prête, offerte comme une pute, les yeux bandés.Alors je sortirai de la salle de bain, tout nu moi aussi. Nous ne dirons pas un mot. Je m’approcherai, et t’enfoncerai ma bite dans la chatte, dans un silence absolu. Notre rencontre, ce sera cela: ma queue dure sur les bords de ta fente, ma queue qui s'enfonce.

Muriel était enchantée par la perspective de cette mise en scène, de cette pénétration silencieuse, qui ramenait notre rencontre à un stade primitif, qui la libérait de son rôle de femme au foyer travailleuse et raisonnable. Elle viendrait juste pour se faire fourrer… quarante minutes de voiture, une entrée dans un appartement silencieux, deux minutes pour se déshabiller...elle n'aurait ensuite qu'à se laisser porter par la sensation du membre dur qui investirait son vagin de bourgeoise stressée.

- Ce ne sera plus une fente de bourgeoise, mais une bonne fente de pute qui va libérer le foutre d’une bite en manque, se disait-elle.

En écrivant, je revis la scène.

D’une main, je me branle discrètement sous la table, à deux pas d’une amie qui est en train de préparer le repas. Elle me voit devant l’ordinateur, sans se douter que je suis en train de chercher des phrases qui font ressurgir l’image de Muriel, cuisses écartées, la fente ouverte, Muriel heureuse de m’attendre, les cuisses ouvertes, immobile dans le silence de la pièce, de n’être plus qu’une fente, qu’une vulve passive et salope.

J’envoie un sms à Muriel pour lui rappeler ce qu’elle doit faire.

« Tu sonnes, j’attends dans la salle de bains, tu te déshabilles, tu attends sur le lit, yeux bandés, tu m’offres ta chatte. Notre premier contact sera celui de mon gland à l’entrée de ton vagin »

Elle se découvre une nature de soumise, et mouille en écrivant:

« Bien compris. Signé: ta petite pute »

J’entends le bruit de sa petite voiture qui se gare dans la cour. J’aperçois brièvement l’expression digne et raffinée de la conductrice, bientôt nue sur mon lit pour se faire enfiler.
Je me précipite à la salle de bains. On sonne. La porte s’ouvre.
Dans ma cachette, je finis de me foutre à poil . J’écoute le silence.
La petite salope se déshabille dans mon salon, j’entends de légers bruit de froissements de tissu.

Elle a du glisser ses jambes fines hors de son pantalon coloré, et le poser soigneusement sur une chaise.

Maintenant, elle doit avoir fait glisser sa culotte. La bruyère taillée de son pubis et son petit cul sont à l’air.

Ah! La jolie petite putain, je me réjouis de la fourrer.

Son chemisier fleuri a-t-il rejoint le pantalon sur la chaise? Ses mains nerveuses se sont-elles repliées dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge?

Pas encore, j’entends encore quelques froissements.

Sont-elles maintenant libérées, ses petites collines de collégienne, les tétons fraise-des-bois si avides de se faire sucer?

Plus un bruit. La petite dame au corps de nymphette doit être couchée sur mon lit, les yeux bandés.

J’attend encore quelques secondes. N’y tenant plus, je m’avance à poil dans la pièce, dans un silence pesant.

Je reçois un coup dans le ventre, secoué par le désir, lorsque l’image de ce corps fluet, aux formes discrètes, vient frapper ma rétine. Cette sensation ne devait pas s'émousser avec le temps.

La jolie gamine de cinquante ans se masturbe doucement, les yeux bandés.

La simplicité de ses formes m’invite au sexe avec une obscénité tranquille, presque candide. La vision me brûle instantanément, avant que je ne puisse la détailler. Ce n’est que quelques secondes après que je détaille ce que je vois, les jambes frêles, ouvertes sur la fente rose, le doux renflement des petits nichons, et cette bouche bien dessinée, entr’ouverte et légèrement gémissante, pendant que Muriel se branle.

Ses jambes sont déjà bien écartées. Une bonne pute. Je n’ai plus qu’à m’agenouiller près d’elle et positionner mon gland à l’entrée de la vulve.

Je pousse d’un mouvement lent mais ferme.

La bouche de Muriel est toujours entr’ouverte. A l’intrusion du gland, elle aspire de l’air comme si elle risquait de se noyer. Le vagin de Muriel est une bouche rose grande ouverte, dont les parois sont distendues pour avaler ma grosse bite.

Toujours en silence, je me branle dans le vagin de Muriel.

La svelte mère de famille soupire sous l’effet de la pénétration.
Le bandeau qui couvre ses yeux met en valeur la sensualité de sa bouche. Je me penche pour l’embrasser. La suavité de sa langue de sirène se répercute en onde jouissive jusque dans mes couilles.

Nous enlevons le bandeau. Nos regards sont noués, tandis que nos sexes coulissent profondément l’un dans l’autre.

- J’aimerais qu’on nous voie…j’aimerais que ma soeur se branle en nous regardant!

- Je me suis bien fait gicler en pensant à toi, pendant tous ces jours, lui dis-je en copulant.

Nous devenons moites. Mon sexe clapote dans la vulve rasée.

- Je me suis touchée en pensant à ta bite.

Nous parlons en baisant. Nous évoquons des personnes de notre entourage, la société dans laquelle nous nous sommes connus. Muriel se voit en train de se faire enculer devant du monde.
Elle aimerait me voir baiser ses étudiantes, après les avoir branlées sur ses genoux.

- J’aimerais lécher ta queue avec une autre femme.

Je lui raconte mes visites dans les bordels. Elle me demande des détails. Elle trouve que c’est très bien pour ma queue d’aller se fourrer de pute en pute.

Elle m’assure que ça l’exciterait de me voir tripoter les gros seins de telle ou telle dame que nous connaissons. Inventive, elle précise les images. Elle décrit dans quel cadre la dame me sucerait, comme elle creuserait les joues, comme elle-même, Muriel, viendrait lui peloter les nichons, comme elle se coucherait sur la grosse dame pour que je les fourre l’une et l’autre alternativement.

Muriel voudrait se faire tirer devant tout le monde, dans un club échangiste. Elle voudrait sucer des queues. Elle voudrait m’embrasser pendant que je baise une petite jeune.

Nous continuons de parler tandis qu’elle me suce, à plat ventre entre mes jambes.

- Tu veux bien être ma petite pute?

La question la fait sourire. Muriel est en train de me gober langoureusement les couilles de sa langue de velours.

- Je crois que c’est bien ce que je fais, dit-elle avant de me gober les bourses en tétant.

Nous formons le projet d’aller ensemble chez les putes. Muriel se réjouit sincèrement de me voir fourrer une fille de vingt ans.

- On en choisira une qui a de gros seins. J’aimerais tellement les toucher, cela m’excite. On te sucera ensemble.

Les idées fusent, comme le sperme dans sa chatte. Avec le temps, un bon nombre d’entre elles se réaliseront.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Micfou53
Très bien écrit, beau contexte, très bandant !
Posté le 10/03/2021


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