Histoire Erotique

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La petite route déserte

Un couple mature veut pimenter sa vie sexuelle. La très jolie mamie va bien malgré elle être l'héroïne de cette histoire, mais va en tirer une intense satisfaction, son mari aussi, ainsi que les deux autres héros.

Proposée le 20/07/2015 par veeline85

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Ma chérie et moi formons un couple depuis bientôt 18 ans. Bien sur nous avons vécus chacun de notre coté, nous avons eu des enfants puis la vie a fait qu’un jour nous nous sommes rencontrés et depuis nous sommes ensemble.
Bien sur il y a des hauts et des bas mais nous essayons de garder la flamme intacte.
Moi, notamment je continuais d’acheter des dessous affriolants et des tenues sexy que portait dans l’intimité ma petite chérie, et comme elle est toujours aussi bien « foutue » je m’excites à chaque fois qu’elle revêt ces tenues !!
Etant toujours à la recherche de nouveautés pour pimenter notre sexualité, j’ai lu un jour sur un site de récits érotiques une histoire qui m’a énormément plu, je vais vous la résumer brièvement :
Un couple, un peu dans notre situation, mais plus jeune, décide un jour de confier les enfants à leur mamie pour la journée.
Pendant ce temps, madame, sur la demande de son mari, se déguise en prostituée et va se poster dans un endroit désert comme si elle attendait le client. La coquine est émoustillée et accepte avec plaisir ce jeu de rôles.
Monsieur devant arriver quelques instants plus tard, et jouer le client.
La jeune maman, après un maquillage marqué, a enfilé une tenue limite indécente puis suivant le scénario convenu est parti se poster au lieu fixé.
Monsieur s’apprête à partir quand le téléphone sonne, il est prêt à l’ignorer et là il s’aperçoit que c’est mamie qui appelle, il ne peut l’ignorer !!
Le temps de discuter sans passer pour un butor et enfin il peut partir. Forcement il a accumulé beaucoup de retard et quand enfin il arrive au lieu de rdv, il aperçoit la voiture de sa femme mais aussi un autre véhicule.
Intrigué il ralentit mais ne s’arrête pas, en passant doucement, il voit sa femme en grande discussion avec un homme. Eberlué, il ouvre de grands yeux en voyant la tenue de sa femme, elle s’est vraiment déguisée en pute, mini jupe en cuir hyper moulante, superbe haut avec un décolleté profond qui offre ses seins. Des cuissardes en cuir avec de hauts talons moulent ses jambes habillées de bas résille.
Le temps de se garer hors de vue et de revenir par les bosquets et quand il arrive : plus personne !!
Un petit bois à 100 m de là, en regardant attentivement, il aperçoit les 2 véhicules, il fonce.
Là, il manque tomber, sa femme est allongée à plat ventre sur le capot et se fait prendre sauvagement …..


Ce scénario me plait !!
En plus nous ne risquons pas d’être dérangés par un coup de fil de mamie, les grands parents, c’est nous !!!
Je raconte aussitôt l’histoire à ma douce (bien sur, j’omets de lui parler du coup de fil et du client), ma chérie se moque gentiment :
- Sois sérieux mon chérie, qui voudrait de moi à mon âge !!!
- Oh ma chérie, je t’assure que si tu te mettais sur le coté de la route, il y aurait beaucoup de clients ! Tiens après tout tu devrais le faire, ça remonterait nos finances !!!
- Salaud, tu serais prêt à me vendre !!
- Oui, oui, et je pense que je tirerais une bonne somme d’un jolie morceau comme toi
Là dessus elle me saute au coup et m’embrasse goulument. Tiens, tiens, on dirait que ma petite idée chemine doucement dans sa jolie tête !!
Le soir quand nous sommes couchés, je lui reparle de ma petite histoire et après un gros câlin (vu l’intensité du câlin, je la soupçonne d’être émoustillée par mon idée), elle finit par accepter.
Son souci maintenant c’est de choisir la tenue adéquate, je la laisse pour avoir la surprise le jour J.
Jour qui est fixé au surlendemain.
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C’est le grand jour !!! Ma chérie est allé s’habiller et reviens vêtue d’un jogging. Aurait-elle changée d’avis ?
- Mais non mon chéri, mais tu me vois sortir, dans la tenue que j’ai choisi, pour aller chercher la voiture ? déjà que les voisins nous regardent comme des extra terrestres !!!
- Oui, tu as raison.
- Ne t’inquiètes pas, je ne vais pas y aller avec des baskets, j’ai ce qu’il faut dans mon sac
Et de me montrer son grand sac à mains, je devrais dire son cabas !! Décidément les femmes aiment avoir un immense fourre tout.
Quelques minutes après, là voilà partie après un long baiser.
Aussitôt je rejoins ma voiture et je démarre. Pas question d’arriver en retard, elle ne me pardonnerait pas, et là, fini notre scénario coquin !!
Ma puce est partie quelques minutes avant moi, mais comme je roule plus vite, je devrais arriver une poignée de minutes après elle.
Soudain, c’est la catastrophe !! Une voiture vient de griller un stop et je n’ai pas réussi à l’éviter complètement. Pas de gros dommages mais le temps de constater les dégâts, échanger nos cartes et rédiger le constat, j’ai perdu presque une 1 heure.
Maintenant c’est mon amour qui va vous raconter la suite de l’histoire, je reprendrais la plume à la fin de notre histoire.
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Dans quelle aventure me suis-je mis ? Mon chéri me fait faire n’importe quoi !!! Ah voilà la petite route, heureusement que nous sommes en fin de matinée, je ne serais jamais venue seule ici la nuit.
Tiens ce doit être ici, voilà la borne N° 10 dont il m’a parlé. Effectivement, il y a un grand espace herbeux, et comme le sol est très sec je peux me garer sans problème.
Effectivement, il ne passe pas grand monde par ici, depuis le dernier croisement je n’ai vu personne.
Avant de me changer je jette un dernier coup d’œil alentour, personne à l’horizon.
Je descends de la voiture, j’enlève mon jogging, d’abord le haut puis le bas. J’apparais alors vêtue d’une petite robe rose, courte (mi cuisse) mais surtout en résille. Donc pratiquement transparente avec juste une partie légèrement plus opaque sur une toute petite partie de la poitrine et au niveau du bas ventre et des fesses, protégés aussi par un tanga blanc. J’ai complété ma tenue avec des escarpins à talons de 12cms.
Je m’admire dans les vitres de la voiture, l’image me plait bien, je suis satisfaite du résultat (sans fausse modestie, je sens souvent le regard des hommes sur moi et je me fais régulièrement draguer par des hommes souvent bien plus jeunes. Mais je ne suis pas une couguar, j’aime mon chéri)
En tout cas la robe est appropriée pour mon rôle d’aujourd’hui, l’excitation me gagne, mon chéri va être fou !!
Je suis tellement excitée que mes tétons se dressent et passent à travers les mailles de ma robe en résille, l’effet est top !
J’entends un bruit de voiture, ce doit être lui !
Oooohh non, une voiture de gendarmerie !!
Vite je me précipite dans ma voiture, j’espère qu’ils n’ont pas vu ma tenue !!
- Bonjour madame, gendarmerie nationale, avez-vous un problème ?
Je vois son regard posé sur mon corps puis remonter et me fixer dans les yeux.
- Euh, non monsieur, tout va bien.
- Pourriez-vous descendre du véhicule et me présenter vos papiers s’il vous plait.
- Mais pourquoi ? je ne fais rien de mal.
- Veuillez descendre s’il vous plait.
Morte de honte je sors de ma voiture et j’essaie de dissimuler mon corps en mettant un bras devant ma poitrine et une main devant mon ventre tout en baissant la tête. Pourvu que mon homme arrive.
Le gendarme a été rejoint par son collègue et les deux hommes ne se privent pas de me mater.
Mon dieu, c’est un vrai cauchemar !!
- Vos papiers, c’est la dernière fois que je vous le demande !
Je suis obligée de me pencher dans la voiture pour prendre mes papiers et je sens leur regard sur mon petit cul qui est mis en valeur par la robe résille et le tanga blanc. De plus mes hauts talents accentuent la cambrure naturelle de mon corps.
Je me redresse et lui tend mes papiers, sans les ouvrir il me dit :
- Que faites- vous ici ? ne me dites pas que vous partiez faire une balade dans la nature
Et d’ajouter :
- Surtout dans cette tenue !!
Alors, j’essaie de leur expliquer le scénario que nous avons élaboré avec mon chéri.
Ils se regardent en souriant,
- Tu as vu son conjoint toi ?
- Non, comme toi j’ai rien vu
Celui qui m’a interpellé en premier reprend la parole
- Moi, ce que je vois, c’est une pute prise en flagrant délit et que l’on va emmener à la brigade
- Oh non, je vous en prie, je dis la vérité mon homme va arriver et tout vous expliquer.
- Ecoute ma belle, il n’ya que toi et nous, alors avant que je me fâche tu vas nous suivre et on prendra tes coordonnées pour te rentrer dans le fichier, si tu n’y ai pas déjà !
- Quel fichier ?
- Celui des prostituées de la région
- Nooooon, c’est pas possible, je vous jure que je vous dis la vérité et je me mets à pleurer
- Maintenant les larmes, ça suffit, on connait.
Du coup, voyant la tournure des évènements je pique une crise de nerf, les gendarmes sont obligés de me maintenir. Le plus virulent fini par me passer les menottes après m’avoir tiré les bras dans le dos.
Mes bras tirés en arrière font ressortir ma poitrine et mes tétons pointent de nouveau entre les mailles de ma robe.
Les deux gendarmes ont le regard rivé sur mes seins, et j’entrevois une porte de sortie.
- S’il vous plait, je vous en prie, laisser moi partir et rentrer chez moi
- Pas question d’autant qu’il me semble y avoir un problème
- Quel problème ?
- Sur vos papiers, votre date de naissance n’a pas l’air correct
- Quoi ? faites moi voir
Pendant que son collègue me maintient en laissant trainer ses mains sur mes hanches et mes fesses, il me tend ma carte d’identité en me montrant ma date de naissance
- Et ça ?
- Quoi ça ? c’est ma date de naissance pourquoi ?
- Vous voulez dire que vous avez …. 63 ans !! vous vous moquez de moi
- Mais non, je me tues à vous dire la vérité et vous ne me croyez pas
- Là c’est bon, allez on file à la gendarmerie et s’adressant à son collègue, arrête de lui caresser les fesses, je te dis que c’est une pute, ta femme te verrait !!!
Voyant qu’ils étaient décidés à m’emmener à la brigade et ne voyant pas d’autres portes de sortie je me suis lancée
- Si vous me laissez partir et rentrer chez moi, je vous dédommagerais
- En plus, elle veut nous corrompre !! pas de ça ma belle, ça va te couter cher, tu t’enfonces
- Mais non je ne veux pas vous corrompre, je n’ai pas d’argent, je pensais à autre…humm Chose !!
- Ah oui, et qu’entends tu par « autre chose » ?
- Je…. Je pourrais être gentille avec vous
J’ai lancé ça car j’espère que mon amour va arriver, hélas toujours rien.
Les 2 gendarmes me fixent en souriant
- Tiens c’est une bonne idée ça
S’adressant à son collègue :
- On va planquer les voitures derrière les bosquets
Aussitôt dit, aussitôt fait, les véhicules sont cachés et les gendarmes me font monter dans leur fourgonnette, toujours menottées.
C’est vraiment un cauchemar, en plus c’est moi qui leur ait la proposé d’être gentille pensant être sauvée par le gong, je vais devoir assumer.
Non que les deux hommes soient des monstres, ils sont plutôt beaux, maintenant que je les vois bien, ils ont dans les 30 – 35 ans, des corps de sportifs, en temps normal, je serais même fière de voir le désir dans leur regard mais là, je vais y passer !!!
Celui qui semble le chef me fait signe d’avancer, le véhicule n’étant pas très haut, je suis obligée de me courber et avec mes hauts talons cela fait ressortir ma croupe callipyge.
Les deux hommes n’en perdent pas une miette et caressent mes fesses au passage.
Soudain, leur radio grésille, on leur demande de rentrer le plus rapidement possible.
Le 2° gendarme répond et assure qu’ils seront de retour d’ici ¾ d’heure.
- Bon, on n’a pas le temps, alors tu vas nous sucer et on s’occupera de toi une autre fois me dit le chef, n’oublie pas que j’ai vu tes papiers.
Il se positionne alors sur la banquette, ouvre sa braguette et sort un sexe de belle facture, ensuite il me fait mettre à genoux sur la banquette les poignets toujours menottés dans le dos et appuie sur ma nuque.
Voyant que je n’ouvre pas la bouche il menace :
- Suce, autrement on t’emmène à la brigade et là je rigole plus !!
Paniquée, car je le vois inflexible, j’écarte les mâchoires et engloutit la bite tendue.
Il saisit mes cheveux et fait monter et descendre ma tête. C’est lui qui impose le rythme, étant menottée je ne peux rien faire
- C’est bien, t’es une bonne suceuse !!
Je n’avais plus qu’une idée en tête, en finir le plus vite possible, aussi je redoublais d’ardeur.
Le salaud avait l’air d’apprécier, il a relevé ma tête et m’a ordonné de lui lécher les boules, j’ai obéi, c’était lui qui menait le jeu.
Soudain j’ai senti des mains qui se posaient sur mes fesses, son acolyte a entrepris de relever ma robe jusqu’à la taille. Puis j’ai entendu un sifflement.
- La vache !! quel cul !!! c’est pas possible, t’as pas 60 balais. Nos femmes qui en ont 20 à 30 de moins, sont bien moins foutues que toi.
- Hhhoooomppffff je ne pouvais parler, ma bouche étant remplie par la bite de son partenaire
- Ouais t’as raison elle est chouette la petite mamie suceuse, et douée avec ça !! tu vas voir.
Pendant que je continue ma fellation en alternant les mouvements de succion et le léchage des couilles velues, descendant même jusqu’à l’anus que j’agace de petits coups de langue pour la plus grande joie de son propriétaire.
- La salope, c’est trop bon, elle me lèche le cul
- Purée, j’ai hâte que ce soit à mon tour, elle est super bonne, je vais regarder les mamies d’un autre œil ah, ah, ah !
Et il donne quelques claques sonores sur mes fesses, ensuite il écarte mon tanga qui ne cache pourtant pas grand-chose et je sens sa main s’insinuer vers ma féminité.
Là du coup je vais y passer me dis je, car bien malgré moi, je dois avouer que la situation ne me laisse pas insensible et qu’il va s’en rendre compte.
Pas manqué :
- Woooohhh la petite salope, elle est trempée, on dirait qu’elle aime se faire malmener
- Alors ma belle, t’aimes sucer, tu vas être servie, et tu avales tout sinon je te fais lécher ce qui tombe par terre, et pas question de tacher mon pantalon.
Il accélère la cadence, je fais de mon mieux pour suivre le rythme tout en sentant les doigts de son collègue sur ou plutôt dans ma chatte puis un autre doigt qui pénètre mon petit trou.
Dans ma bouche je sens la verge gonfler et bientôt plusieurs jets inondent ma bouche, coulant dans ma gorge.
Me rappelant ses ordres, j’arrive à presque tout avaler, un peu de sperme s’échappe quand même par la commissure de mes lèvres, j’avale le plus rapidement possible puis je lèche le sperme qui a fini par couler de mes lèvres sur son pantalon.
- Tu es vraiment une bonne petite pute, allez mec, à toi de te faire sucer, et tu vas voir que c’est une vraie pro !!
Le collègue a pris la place laissée vacante et maintenant c’est son sexe qui rempli ma bouche, ils m’on laissée dans la même position, les poignets toujours menottés dans mon dos. Il fait comme son collègue, saisit mes cheveux et impose le rythme de la fellation.
Son collègue, quand à lui, a littéralement arraché mon tanga et ses doigts me pénètrent sans ménagement.
- On a tes coordonnées, la prochaine fois on aura plus de temps, et là je t’exploserais ce superbe cul !!!
Je ne peux répondre, le bâillon de chair rempli toujours ma bouche, les deux hommes ne se retiennent plus et bientôt la bite lâche ses jets de perme au fond de ma gorge. Comme avec son collègue je m’applique à tout avaler.
Ils me font nettoyer leurs queues avec la langue puis jugeant le résultat satisfaisant, ils me libèrent enfin des menottes, le chef m’aide même à remettre mon tanga.
Presque des gentlemen.
Ils discutent entre eux un moment, puis reviennent vers moi et me tendent une enveloppe, intriguée, je regarde le contenu, il y a deux billets de 50 € !!
- Mais….. je vous ai dit que je n’étais pas une pute !!
- On le sait bien dit le chef en riant
- Quoi, vous le saviez depuis le début et vous, vous… salauds !!
- Bien sur qu’on savait, il n’y a pas une pute qui viendrait dans ce coin, il n’y passe jamais personne, mais quand on a vu que tu marchais, on en a un peu profité et comme on n’est pas des salauds, on a tenu à te donner une rétribution. Comme ça tu sauras ce que c’est.
- Ben dis donc, pour des flics, chapeau, vous êtes aussi salauds que les autres
- Eh, ne dis pas que tu n’y as pas pris du plaisir ! on a pu constater que tu étais très, très, réceptive
Un peu honteuse, j’avoue au fond de moi, qu’il est vrai que j’ai aimé le traitement infligé et que si je n’aime pas particulièrement avaler le sperme, je dois reconnaitre que dans l’action je me suis délectée de leurs liqueurs. Et s’ils avaient essayés d’aller plus loin, je me serais laissée faire, après tout je ne pouvais que subir, étant menottée !!!!
Oh les menottes, parlons en des menottes, le chef se retourne vers moi en me les tendant
- Tiens, c’est cadeau !
- Comment ça ? cadeau !
- Ce sont des fausses bien sur, ton homme pourra s’en servir avec toi, on a vu que t’aimais ça
Là-dessus ils me laissent en plan et repartent avec leur fourgonnette, non sans m’avoir peloté consciencieusement les fesses et les seins au passage.
Quelques minutes après leur départ, j’entends un bruit de moteur et je vois arriver mon chéri tout sourire dehors.
- Alors toi, je te retiens avec tes scénarios de fous, j’aurais pu me faire violer !!
Devant son désarroi, je lui raconte que ça fait plus d’une heure que je l’attends et que je sursautais à chaque fois qu’une voiture passait. Notamment une voiture de gendarmes qui vient de passer.
Bien entendu, j’omets de lui préciser qu’à part les gendarmes, personne n’est passé. Et surtout j’omets de dire qu’ils se sont arrêtés un long moment !!!
- Tu sais que tu es splendide quand tu es en colère, jamais je n’aurais pensé que tu mettrais cette robe. Ca me donne des idées, viens par là !
Il cherche dans son sac et en sort des menottes, en moins de temps qu’il ne faut, je me retrouve de nouveau menottée dans le dos. Quelques secondes plus tard ma bouche est de nouveau remplie, cette fois-ci, c’est la bite de mon homme.
Un instant, je suis ébahie, on dirait qu’il a deviné ce qui vient de se passer.
Comme avec les pandores, je m’applique de mon mieux et je sens de nouveau une boule de feu envahir mon bas ventre.
C’est le silence, juste troublé par des bruits de succion.
Mon homme baise littéralement ma bouche, puis il s’écarte, me fait tourner, remonte ma robe comme l’avait fait précédemment le gendarme, arrache mon tanga, mais au lieu de me doigter, il me prend d’une seule et violente poussée.
Je pousse un long cri qui se termine en gémissement, il m’envahit jusqu’au fond de ma matrice
- Dis donc ma chérie, tu es trempée, on dirait que jouer la pute te fais mouiller
- Oh oui chéri !! c’est bon, vas y baise moi bien, baise ta petite pute
- Oui, ma chérie, je te baise à fond, ensuite je prendrais ton petit cul et tu me finiras avec ta bouche.
- Je suis ta pute ? alors, combien tu me donnes pour ce délicieux programme et ne me parle pas de me payer en « liquide », je veux des espèces sonnantes et trébuchantes,
(En aparté : les flics m’ont donné 100€ pour une pipe, alors je veux plus, beaucoup plus.)
- Ok, 100 € !
- Non, 350 €, à prendre ou à laisser !!
- Huum, d’accord, mais alors là j’en veux pour mon argent !!
Sur ce, il recommence à me pilonner tout en introduisant son pouce dans mon petit cul et il triture mes tétons qui de nouveau s’échappent par les mailles de ma robe.
De nouveau, je sens un orgasme m’envahir, la bite de mon chéri qui me laboure le ventre, son doigt maintenant bien enfoncé dans mon rectum et les sensations ressenties par le triturage de mes tétons me rendent folle. Je vais de nouveau jouir, cette fois, grâce à mon amour.
Un bruit me ramène à la réalité, les gendarmes sont revenus et nous observent.

FIN DE LA 1° PARTIE

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LA PETITE ROUTE
2° PARTIE
Soudain, je sens ma chérie se raidir, tout à mon plaisir de la prendre pendant que je lui doigte le cul et lui triture les tétons, j’ai fermé les yeux et quand je les rouvre, je vois deux gendarmes qui nous observent. Une énorme bosse déforme leurs uniformes.
Ma chérie a un hoquet de surprise, je sens son sexe qui spasme, je veux me retirer, puis soudain je me rappelle de tout ce que j’ai vu.
En effet, ma chérie croit que je viens juste d’arriver, erreur !!
J’étais là depuis un bon moment, car quand je suis arrivé, j’ai aperçu la voiture de gendarmerie pourtant bien cachée. Sur le coup, affolé, j’ai pensé qu’ils avaient arrêté ma chérie et j’ai préféré garer la voiture plus loin, puis m’avancer discrètement à moins de 10 mètres derrière un bosquet pour juger de la situation.
Là, quelle surprise, ma chérie dans sa petite robe rose en résille, avec son tanga blanc et ses escarpins de 12 cms qui est visiblement en train d’essayer d’expliquer sa tenue aux deux pandores qui ne se privent pas pour reluquer le jolie corps.
Je m’aperçois qu’ils lui ont menottés les poignets dans le dos, ce qui fait ressortir sa poitrine dont les tétons pointaient entre les mailles de résille.
La suite m’abasourdi !
Voyant les gendarmes inflexibles, ma belle leur dit quelques mots que je ne comprends pas car elle a parlé tout bas. Puis il y a la réaction du chef, et enfin ma belle refait une proposition.
Comme elle a parlé plus fort, j’ai bien compris ses mots et je manque m’écrouler.
- Laissez- moi partir et je serais gentille avec vous.
C’est pas possible, ma chérie vient de s’offrir aux deux gendarmes, je n’en crois pas mes oreilles, en même temps, ma bite gonfle brutalement dans mon caleçon, et je décide de rester discret et de voir la suite. Je prends soin de filmer la scène avec mon portable, au cas où les pandores ne seraient pas corrects, j’aurais une preuve.
Les gendarmes font monter ma chérie, toujours menottée, à l’arrière de leur fourgonnette. C’est à ce moment qu’ils ont eu un appel leur demandant de rentrer rapidement.
Accélérant alors le processus, le chef s’installe au fond d’une banquette, dégrafe son pantalon et sort une bite de belle taille. Ensuite il demande à ma chérie de s’agenouiller à l’autre bout de la banquette.
Voyant que la coquine ne voulait pas ouvrir sa jolie bouche, il se fâche et menace de l’emmener à la brigade. Apeurée, elle n’hésite plus, et malgré ses bras tirés dans son dos par les menottes, elle se penche en avant et embouche la verge tendue.
De ma position, j’ai une vue imprenable, je suis de ¾ arrière ce qui me permet de voir le coté du visage de ma chérie, déformé par la verge du gendarme, je vois aussi les jolies seins de ma belle ballotés au gré de sa fellation. Surtout, j’ai son magnifique petit cul qui semble vouloir bondir, tellement il est offert à la vue.
Pendant que son collègue apprécie la pipe que ma chérie lui prodigue, le deuxième ne se prive pas de mater et de caresser les trésors ainsi dévoilés !!
Et pour avoir plus d’aise, il retrousse la robe jusqu’à la taille. Le cul magnifique n’est plus protégé (si peu) que par le tanga blanc.
Je vais avoir un film du tonnerre, moi qui rêvais de voir ma petite chérie se dévergonder, je suis servi !!
Le chef fait accélérer ma chérie, la jolie suceuse n’est pourtant pas très à l’aise dans cette position avec les poignets menottés dans le dos, mais elle met du cœur à l’ouvrage et la verge luisante de salive disparait presque entièrement dans la jolie bouche distendue.
Le collègue a glissé une main entre les deux globes fessiers, d’abord sur le tanga puis, très vite, le petit morceau de tissu est écarté et les doigts se glissent vers la chatte ainsi offerte.
Je vois qu’il marque un temps d’arrêt.
- La petite salooooope !!! Elle est trempée !!!
Le chef, tenant la tête de sa fellatrice à deux mains, baise à grands coups de reins la bouche aux mâchoires distendues.
Entre les fesses, deux doigts pénètrent la chatte baveuse, et un pouce s’est introduit dans l’anus.
Un sein est soupesé, le téton dressé comme une petite bite est trituré, pincé, roulé entre des doigts avides.
Aux soupires du chef, je sens l’explosion arriver, je zoom sur le visage de ma chérie.
Va-t-elle avaler ? J’ai un doute car je sais qu’elle n’aime pas trop.
Son tourmenteur ne lui laisse pas le choix, tenant la jolie tête à deux mains, il s’enfonce jusqu’à la garde et jouit bruyamment.
La jolie suceuse n’a d’autre choix que d’avaler ou étouffer, je la vois déglutir plusieurs fois.
Pendant de longues secondes le chef continue ses va et viens dans la bouche, enfin il se retire quand il est sûr que sa fellatrice a bien tout avalé.
Comme un peu de sperme a réussi à s’échapper et couler sur son pantalon, il lui fait lécher. Elle s’exécute !!! je n’en reviens pas ….
Ouahhh !² , la prise est super, j’ai fait un gros plan du tonnerre, je me masturbe depuis le début et j’ai bien failli tout envoyer, heureusement j’ai réussi à me retenir.
Le collègue a sorti ses doigts de la chatte et du cul de ma coquine, et remplace le chef sur la banquette.
Ma puce n’a même pas le temps de respirer qu’une nouvelle bite force ses lèvres et s’enfonce dans sa bouche jusqu’à la gorge.
Comme son chef, il saisit la tête délicate et la maintenant fermement de ses deux mains, il pistonne la jolie bouche.
Là aussi je fais des gros plans, alternant le visage de la fellatrice et son joli cul que le chef claque bruyamment d’une main pendant que l’autre malaxe les seins dont les tétons pointent orgueilleusement.
Il me semble, mais oui !! J’entends des gémissements étouffés par le bâillon de chair, pas des gémissements de douleur ou de peur, non, des gémissements de plaisirs !!
Ma chérie prend son pied, je vois en zoomant sur son petit cul que sa chatte est trempée, la mouille coule sur ses cuisses.
Le sucé accélère et rempli la bouche de son jus, lui aussi oblige ma chérie a tout avaler, ce qu’elle fait sans se faire prier.
Les gendarmes redressent la belle tout en continuant à la peloter copieusement puis ils la libère de ses menottes et annoncent leur départ.
Je m’éclipse discrètement. 5 minutes plus tard et alors que les gendarmes ont disparu, je rejoints ma chérie en lui faisant croire que j’arrive à l’instant.
La voyant ainsi, dans sa petite robe rose, j’ai instantanément envie d’elle. D’autant plus que des images torrides défilent dans ma tête. Images de pipes profondes et totales, de seins malaxés, pincés, de globes fessiers écartés, fessés, d’une chatte et d’un petit trou doigtés.
Alors, avant qu’elle ne puisse dire un mot, je sors une paire de menottes et je l’attache comme elle a été attachée par les gendarmes. Puis je prends sa bouche et ensuite je la prends en levrette, tout en lui doigtant le petit œillet.
Et là, rouvrant les yeux, je vois les deux gendarmes !!!

FIN DE LA 2° PARTIE
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3° PARTIE

Les deux gendarmes sont bouche-bée, et nous aussi !!!
Jamais je n’aurais pensé qu’ils reviendraient.
Si un témoin était là, il dépeindrait une scène assez cocasse tout en étant torride :
Imaginez, un couple faisant l’amour, en levrette, sous les yeux de deux gendarmes qui se paluchent en les matant.
A mon immense surprise, je m’aperçois que ma petite salope est littéralement trempée, elle lève les yeux vers les gendarmes dans un regard qui en dit long.
Les pandores baissent leurs pantalons et s’approchent la bite à la main, ma chérie ouvre grand sa bouche, et enfourne la première queue qui se présente.
Les deux hommes se battent presque pour investir la bouche qu’ils ont rempli de leur liqueur il y a peu. De mon coté, tenant ma chérie par les hanches, je la prends vigoureusement.
La belle pousse des gémissements de plus en plus forts.
J’ai une soudaine envie de lui enlever sa robe pour que nos mains puissent se promener librement sur son corps somptueux. Comme la robe est déjà remontée sur ses hanches, je continue à la tirer vers le haut, aidé par un des gendarmes. Les seins apparaissent, la belle suceuse est obligée d’arrêter sa fellation à deux bites pour laisser le petit bout de tissus passer par-dessus sa tête.
Seulement pour l’enlever complètement, je dois retirer les menottes, je me penche et entreprend de les déverrouiller.
Et là : SURPRISE !!!!
J’entends une petite voix : non, laisses-les
Et de replonger sur la bite la plus proche.
Nous nous regardons, les gendarmes et moi, ébahis, mais très vite, nous voyons quel parti nous pouvons en tirer.
Pendant plus d’une heure, nous l’avons prise à tour de rôle, elle nous a sucés, léchés, nous lui avons rendu la pareil, excitant son clito, buvant sa source.
Nos doigts se sont introduits dans tous ses orifices !!!
Le premier, je l’ai sodomisé, doucement d’abord, j’ai attendu qu’elle ait un premier orgasme, pour forcer l’allure, en même temps sa bouche était envahie par les deux bites des gendarmes.
J’ai joui dans ses reins, elle a hurlée de jouissance en recrachant les bites, je suis sorti de ses reins et le chef m’a aussitôt remplacé, son collègue restant bien au chaud dans la bouche de ma chérie.
Le chef n’a pas été aussi doux que moi et dès le départ, il l’a enculée sauvagement, à grands coups de reins, ce qui a déclenché un nouvel orgasme très bruyant de la coquine. Il a continué de la besogner pendant de longues minutes, elle enchainait les orgasmes les uns après les autres et soudain le chef s’est raidi, il est sorti du petit cul totalement dilaté, a saisi la belle enculée par les cheveux et lui a fait faire demi tour pour jouir sur son jolie visage, ses cheveux, ses seins, elle en était couverte.
Inutile de vous dire que j’ai tout filmé avec forces gros plans.
Le chef n’avait pas encore fini de se vider sur la belle, que son collègue investissait le petit cul qui n’avait pas eu le temps de se refermer.
Lui aussi se déchaine dans l’étroit conduit provoquant les couinements de la jolie sodomisée.
Le collègue ne tient pas très longtemps, il se retire et jouis sur les jolies fesses rougies par un grand nombre de fessées.
Pendant ce temps, le chef et moi, nous nous faisons nettoyer la bite par la langue experte de ma petite pute. Le collègue a, lui aussi, droit au même traitement.
Ensuite, épuisée ma chérie s’écroule.
Les gendarmes se rhabillent, visiblement très heureux, on se serre la main, et échangeons nos coordonnées. Puis ils s’approchent de ma chérie, lui font un gros bisou, et flatte sa croupe qui leur a donné tant de plaisirs.
A mon tour, je m’approche, je la saisis dans mes bras, caresse son corps magnifique et je lui dis :
- Qu’est-ce qui a déclenché ta « fougue »
- Je ….. je crois que.. Eh bien, ce sont les menottes !!

Peut être qu’un jour nous reverrons nos amis de la gendarmerie !!

FIN

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Commentaires de l'histoire :

jean
trés bonne aventure d´une femme mure, super, méme un homme aux cheveux gris peut avoir avec une pette pilulu. bravo pour la femme et son mari. Jean
Posté le 2/01/2017

Nathalie
Récit très suggestif qui ne m'a pas laissée indifférente. Veeline, vos mots m'ont comblée des plaisirs que vous devinez. Revenez, j'en ai encore envie !!
Posté le 24/06/2016

Anonyme
Très jolie histoire ! assez originale et bien troussée. N'hésitez pas à nous en faire lire plus...
Posté le 13/02/2016


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