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Viviane

A l'époque, Viviane était une allumeuse qui avait ses règles 28 jours sur 28. Elle aimait bien se faire tripoter le haut, mais pas le bas. Cette histoire n'est pas un exemple à suivre. Mais pour Viviane, comme pour tout le monde, les goûts et les couleurs, ça ne se commande pas.

Proposée le 7/10/2020 par Antigonos

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Thème: Vengeance
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie


J’ai connu Viviane lors d’un stage à Mulhouse entre 79 et 81. Comme elle faisait partie des relations de ma sœur de sang, elle était intouchable. En effet, il y avait entre ma sœur et moi, des ami(e)s que l’autre aimait plus ou moins. J’ai d’ailleurs détesté son premier mec, mais c’était le sien. Le second s’était montré plus digne d’elle.

Mais comme on s’en doute, il y avait des interférences. Des filles de son giron sortaient avec mes amis, parfois à leurs risques et périls. Mais ni ma sœur ni moi ne nous sentions coupables. Ils étaient majeurs.

Comme c’était ses amies, elles ne m’intéressaient donc pas. Un jour, elle me dit que Viviane était moins qu’une amie. C’était une simple copine, une fille « désacralisée » par nos liens.

J’envisageais le personnage. Elle avait les cheveux trop courts à mon gré. Surtout à cette époque ! Je pense qu’au moment où nous discutions, elle ne m’intéressait même pas.

Un jour, je la croisais dans la rue de Colmar. Elle était en jean comme d’habitude. Mais les jeans de l’époque ne soulignaient pas les avantages de chacune. Ils étaient encore larges et peu moulants. Bref, elle restait une fille quelconque.
Je n’avais pas beaucoup de dialogue avec elle, et je me contentais de tenir la conversation. En revanche, elle avait un sourire en coin que j’avais du mal à interpréter.

Je la revis une deuxième fois dans une artère de Dornach. Sans doute allait-elle voir ma sœur avec le même sourire en coin… Et ce sourire m’agaçait. Je ne sais plus trop comment, mais ma main avait atterri sous son pull et remontait vers son soutien-gorge. Discrètement, car nous étions dans la rue en plein jour, je remontais jusqu’au sein et je me contentais d’appuyer sur le téton pour le faire sortir…

Elle ne manifesta aucune émotion et gardait ce sourire narquois. Au moment où ma main décida de fouiller dans son jean, elle me répondit :
« Non ! J’ai mes règles.

Par la suite, j’appris en recommençant les mêmes opérations que Viviane avait ses règles 28 jours sur 28. C’était frustrant, agaçant, humiliant.

Un soir, je la rencontrai à nouveau peut-être sur la rue de Colmar. Comme elle adorait se faire tripoter les seins, j’élaborai un plan. Je comptais l’amener dans les toilettes de la Place du Marché (je ne sais pas si c’est son vrai nom).

Mais avant de continuer, il faut se rappeler ce qu’étaient les toilettes à l’époque. Des abris en bétons avec des pissotières contre le mur et de l’eau qui coulait continuellement pour les rincer… Les résultats n’étaient pas toujours très probants. Une plaque surélevée faisait office d’une double entrée. Et de loin, on pouvait voir si l’endroit était occupé.
De l’autre côté, il y avait deux portes. Chacune donnait sur des cuvettes en porcelaine. Homme ou dame. Je me suis d’ailleurs toujours demandé si les employés de la ville les débouchaient à coups de burins ou au marteaux-piqueurs. Mais laissons la gestion de ces établissements à nos bons maires, et revenons-en à Viviane.

Il faisait presque nuit. Les magasins venaient à peine de fermer. Il devait donc être après dix-huit heures quand Viviane et moi arrivions sur la place.
Comme d’habitude, je me mis à lui tripoter les seins. Et comme d’habitude, elle me fit ce sourire en trompe-l’œil.
A nouveau, je m’aventurais vers sa braguette. Comme d’habitude, elle avait ses règles.

Furieux, je l’entrainais violemment dans le charmant endroit dont j’ai parlé. Je ne puis dire si elle avait peur car la nuit tombante, la pénombre de l’abri, m’empêchaient de le voir.

Une fois dedans, je lui arrachais son jean, me moquant du bouton qui avait sauté ou de la fermeture éclair cassée…
Elle criait « Non, Coyotte ». Et là encore, je ne saurais dire si elle le pensait.
Je lui caressais la chatte pour lui permettre de se préparer. Et je sortis ma pine en érection (depuis le temps qu’elle attendait !)

Comme je ne parvins pas à atteindre mon but, je lui baissais son jean au maximum pour la maintenir par les fesses. Elle était en équilibre contre le mur dont j’ai parlé, et moi de l’autre côté. Seules ses fesses que je tenais fermement, l’empêchaient de tomber…
J’avançais sans ménagement et la pénétrait d’un coup sec. Elle criait, elle hurlait si fort que d’autres vinrent voir (Je crois que c’était un mec et trois filles).
Depuis le temps qu’elle m’allumait, je ne tardai pas à jouir en elle…

Dans la pénombre, je la vis se frotter le sexe pour essuyer ce qui en ressortait. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je la vis passer sa main à la bouche ! L’obscurité m’interdisait de voir son regard, mais j’entendis les spectateurs éclater de rire…

Elle remonta son jean qu’elle ne pouvait évidemment plus fermer. Honteux, je l’attendis, peut-être pour m’excuser, mais lorsque je ressortis des toilettes avec elle, je vis sous les lampadaires, qu’elle avait toujours ce sourire narquois.

C’était un vrai casse-tête pour moi. Je croyais lui avoir donné une bonne leçon…

Peut-être quinze jours ou un mois plus tard, ma sœur me vit passer devant sa porte, et m’appela pour me dire :
« Coyotte, Sélima m’a dit que tu avais baisé la Viviane.
- C’est vrai, fit-je agacé. »
Elle semblait libre d’après nos conventions. Vis-à-vis de ma sœur, je n’avais pas fauté.
Mais ma sœur ne m’en voulais pas, elle continua :
« Tu ne comprendras jamais les filles, Coyotte. Viviane est spéciale. Elle aime qu’on la baise sauvagement. »

Depuis, Viviane s’était construite une réputation qu’elle le revendiquait haut et fort, si bien qu’un jour, je me promenais avec un ami qui la remarqua. Comme elle était de l’autre côté de la rue et qu’il y avait des voitures, je dus crier :
« Viviane ? T’es baisable ce soir ?
- Pas avant huit heures ! »

Je me souviendrai toujours de l’air ahuri qu’avait ce pauvre Brahim qui m’accompagnait.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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