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Lost connection

Elle a commandé un sextoy connecté particulièrement puissant sur Internet. Cette coquine va le tester dans le train pour aller au travail. Le jeune homme assis en face d'elle l'inspire beaucoup. Mais la technologie est-elle vraiment fiable ?

Proposée le 19/09/2020 par Méchant Lapin

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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Roman


Ça y est je l’ai reçu hier. Plus de deux semaines que je l’attends, ça commençait à faire long. Je l’ai mis à charger, j’ai installé l’application sur mon téléphone et j’ai couplé les deux. J’adore son design avec ses cotés en inox et son corps noir. Il donne l’impression d’être discret mais efficace. Un peu comme Alfred le majordome de Batman, mais dans un autre genre bien sûr. Je ne peux plus attendre je vais l’essayer ce matin. J’ai 45 minutes de train pour aller travailler, il devrait m’aider à passer le temps de manière plus agréable. Il faut juste que je sois prudente, ces inducteurs neuraux directs ne sont pas vraiment légaux ici, en tout cas pas le modèle que j’ai commandé.


Je suis montée dans le train depuis cinq bonnes minutes. Il était plutôt vide au départ, mais je sais qu’il va rapidement ramasser les pauvres âmes prises dans ce mouvement pendulaire quotidien entre leur maison et leur lieu de torture. Je sais qu’on dit lieu de travail normalement, mais je ne peux pas m’empêcher d’y penser comme ça. Parfois, je me dis que je suis déjà morte et que je suis piégée en enfer pour une damnation éternelle et cruelle. Si vous connaissiez mon chef, cette hypothèse ne vous semblerait pas si saugrenue.

Un gars mignon dans la vingtaine vient de s’installer en face de moi. Il a mis ses écouteurs dans ses oreilles et regarde défiler le paysage d’un air distrait. Pavillons, petites tours, entrepôts décrépits et tâches de forêt se succèdent derrière la vitre. Il est craquant, je crois que c’est l’inspiration que je cherchais. Je sors mon téléphone et lance l’application. Je choisis d’abord le niveau un, pour tester. Je sens immédiatement un petit titillement qui monte de mon entrejambe. C’est agréable. Le bruit de l’inducteur est largement couvert par les grincements poussifs du train et le ronronnement sourd de la ventilation. Je suis habillée avec un tailleur strict, jupe droite, chemisier blanc un peu transparent, mais pas trop, ça fait vite pute, et une veste noire cintrée. J’ai mis mes ballerines pour le train. J’ai mes talons aiguilles dans mon sac. Je ne connais pas beaucoup de femmes qui s’amusent à crapahuter dans les transports en commun en les ayant aux pieds. Si ça ne tenait qu’à moi ces maudits instruments de souffrance auraient brulé dans un rituel expiatoire depuis longtemps. Mais mon gros bâtard de chef tient à ce que ses collaboratrices « présentent bien ». Ouais, c’est surtout un gros pervers qui aime fantasmer sur nos petits culs cambrés. En parlant de fantasmer, je croquerai bien le gars sur le siège en face. Je pourrai commencer par lui déboutonner sa chemise et le chauffer en passant ma main sur son torse. Je suis sûre qu’il est lisse et ferme. C’est qu’il a l’air de prendre soin de lui. Je pousse mon petit jouet un cran de plus. La sensation se fait plus forte, je serre les jambes. Je pourrai lui enlever son pantalon ensuite. Mater son joli petit cul serré et tâter de sa queue. Attraper ses boules dans ma main pour les masser pendant que je le serre contre moi et puis saisir son pieu à pleine main pour l’astiquer tout doucement en accélérant peu à peu. Accélérer oui, c’est ce qu’il faut que je fasse. Je ressors l’application pour monter le rythme encore une fois. C’est dommage de devoir s’interrompre pour changer, ça casse mon fantasme. Attends, j’ai vu ça dans le manuel. Ah voilà, c’est là, mode « stairway to heaven », il monte de rythme tout seul toutes les deux minutes. C’est ce qu’il me faut, je vais mettre ça et essayer de tenir le plus longtemps possible. Si ça devient trop intense, j’arrête tout. Ça sera mon petit défi du matin. Allez, go !

La sensation persistante qui monte de mon bas ventre a vite fait de remettre mes pensées coquines sur leurs rails. Une fois que je l’aurai bien chauffé, je pourrai faire glisser ma robe pour dévoiler mon corps. Vous savez ces robes fines de cinéma qui glissent en un seul mouvement fluide pour former un petit tas sur le sol dés qu’on touche une bretelle. Le truc qui n’existe pas dans la vraie vie où il y a toujours une fermeture qui se coince ou un nœud impossible à défaire. Il m’attire contre lui et je sens mes tétons durcis qui viennent frotter contre ses pectoraux. Il a saisi mes fesses fermement dans ses mains et attire mes hanches contre lui. Je sens son sexe tendu contre mon ventre.

Accélération. Ah oui c’est mieux quand ça se fait tout seul. Ma respiration se fait plus profonde et je me cale un peu plus dans mon siège. Il m’a fait me retourner et alors qu’il écarte mes jambes gainées de bas noirs, sa main vient frotter ma vulve qui produit instantanément un liquide clair. Son doigt inquisiteur vient agacer mon clitoris. Je commence à pousser de petits râles et il introduit un doigt puis deux dans mon vagin. Je suis tellement humide que ça rentre sans effort. Il me stimule avec de petits mouvements rapides mais précis. Les petites braises de mon entrejambe sont en train de se transformer en feu intense. Il retire sa main, saisi mes hanches et m’empale d’un seul coup.

Accélération. Je sens son gland qui remonte mon tunnel d’amour et commence un pilonnage rapide. Les flammes qui remontent de ma vulve ont embrasé mes cuisses, mon ventre et ma poitrine. Mon visage s’empourpre et je commence à ressentir une douce sueur froide. Je prends une grande inspiration. Il est peut-être tant d’arrêter ce petit jeu, je vais finir par me faire repérer. Je sors mon téléphone et active l’application. Mais que … l’écran principal affiche juste une boite rouge clignotante « lost connection ». Eh, comment ça « lost connection » ! Je me tortille sur mon siège alors que des éclairs de plaisir tombent toujours régulièrement sur ma chatte.

Accélération. Maudit appareil. Je relance l’application sans succès. Ce sont maintenant des flèches brulantes qui remontent le long de mon corps. J’essaie de rester impassible, mais tous mes muscles se tendent et je sens des gouttes de sueur qui perlent au coin de mon visage. J’ai chaud, j’imagine le marteau pilon qui fouille mes entrailles alors que je rebondis sur cette bite tendue. Non, non, non ne pense pas à ça, ça va juste empirer les choses. Il fait si chaud, je pourrais enlever ma veste. Non, surtout pas ! J’ai les tétons durs comme de la pierre, avec mon chemisier si fin ils vont se faire remarquer comme une côte de bœuf fumante dans un pique-nique végan.

Accélération. Mais, bordel de merde, il a combien de niveaux de puissance ce truc ? Je pince mes lèvres pour ne pas crier. Je ne peux m’empêcher de penser à cet épieu qui me défonce. Je ne sais même plus dans quelle position. Tout ce qui m’importe c’est le rythme qui irradie à travers mes nerfs. Le garçon a cessé de regarder au dehors et me fixe maintenant. Je crois que je suis en train de faire de drôle de grimaces. Faute d’espoir de résoudre mon souci, j’ai abandonné mon téléphone et j’ai maintenant les deux mains cramponnées aux accoudoirs en attendant cet engin démoniaque arrive à la fin de son cycle.

Accélération. Que le gars qui a inventé ce truc soit maudit … ou béni, je ne sais plus vraiment. Alors que les ondes continuent de pulser je ne pense plus qu’à des bites qui me prennent tout le corps, tous les orifices. Je sens de grosses gouttes qui coulent le long de mon cou, descendent le long mon torse et se glissent entre mes seins. Je change position en vain toutes les cinq secondes pour essayer d’atténuer les sensations. Heureusement, la rame est maintenant bondée et les gens sont passés maitre dans l’art d’ignorer leur prochain, surtout s’il semble en mauvaise posture. J’essaie de contrôler ma respiration sans vraiment y arriver. J’avale des goulées d’air en tremblotant pendant que mon corps est couvert de lave. J’ai l’impression que des dizaines de mains, verges, seins, langues, dents, bouches… me couvrent le corps de leurs caresses, pénétration, mordillement … Oh Dieu que c’est horrible, Dieu que c’est bon. Par les burnes de Jupiter, je ferme les yeux et j’atteins l’orgasme. J’essaie de maitriser mon corps mais plusieurs spasmes incontrôlables me surprennent alors que j’essaie de me faire minuscule dans mon siège.

Arrêt. Ah, enfin, j’étais à bout. Cet appareil du diable a finalement décidé de cesser ses assauts. Fin de programme ou batterie vide, je m’en fiche en fait. Je sens mon chemisier qui se colle à ma poitrine et la racine de mes cheveux est toute humide. Je reprends lentement mon souffle. Le train ralenti en arrivant au terminus, j’entends le bruit interminable des roues qui frottent sur les lames d’aiguillage. Je vais tenter de m’éclipser en douce. Aïe, le beau gosse en face me regarde toujours. Je crois qu’il a tout vu. Il doit juste penser que j’ai mangé un chili trop épicé, ou que je suis folle. Non, il n’imagine sans doute pas ce que je cache.

Le train s’est immobilisé. Je me lève pour descendre. Mr Canon est juste derrière moi. Il se penche et me murmure à l’oreille : « j’aurai pu vous le dire avant, mais il suffisait de redémarrer votre téléphone ».

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